L'extension de 2024 conçue par Eviden, composée de 14 racks de calcul BullSequana XH3000, augmente la puissance de calcul du supercalculateur à 125,9 pétaflops.

La station FR.PLOF fait partie des près de 200 stations qui composent le réseau service national d’observation Réseau large bande permanent (SNO RLBP).

L'objectif du projet Fire-landes est d'améliorer la prévision des interactions entre le changement climatique et les incendies de forêt dans les Landes de Gascogne.

La Halle offre aux scientifiques de l'OSERen des salles de grandes dimensions pour reproduire le fonctionnement des environnements naturels en conditions contrôlées, mais aussi de nouveaux moyens de stockage et d'appui pour les observations de terrain.

L'objectif du projet Fire-landes est d'améliorer la prévision des interactions entre le changement climatique et les incendies de forêt dans les Landes de Gascogne.

La dentinogenèse imparfaite est une maladie qui peut affecter le collagène ou le minéral et elle se manifeste par une fragilisation de la dentine.

Alors que la mortalité chez les jeunes arbres a doublé, le projet Biodiversa + RESTORE étudie les impacts du changement climatique sur trois systèmes forestiers (au Brésil, en Allemagne et en France) pour découvrir des schémas communs malgré les différences de contexte.

Chercheur au Laboratoire d'Océanographie Physique et Spatiale (LOPS), il analyse notamment les mécanismes régissant la circulation océanique dans l'Atlantique Nord et leurs impacts sur le climat.

Basé sur le site de Plouzané de la Division Technique de CNRS Terre & Univers, le Parc National d'Instrumentation Océanographique (PNIO) met à disposition de la communauté scientifique un ensemble de 800 instruments de pointe pour des recherches côtières et en haute mer.

Edith Heard est lauréate de la médaille d'or du CNRS 2024. Les recherches de cette spécialiste mondiale de l’épigénétique, notamment sur l’inactivation du chromosome X, ouvrent de nouvelles perspectives tant en biologie qu’en médecine.

La campagne CROSSROAD vise à mieux comprendre les courants océaniques de la zone de circulation méridienne de retournement de l’Atlantique (Atlantic meridional overturning circulation, AMOC) ainsi que son impact sur le climat.

Les scientifiques cherchent à quantifier le flux des sédiments transportés au fond de la Loire et de ses principaux affluents. Pour cela, ils s'aident de techniques innovantes comme l'analyse des flux liquides et solides, la topo-bathymétrie ou l'acoustique environnementale.

Les scientifiques étudient des individus de l'espèces de tétra mexicain qui ont rapidement évolué pour vivre dans les eaux souterraines de grottes où ils ont été isolés, afin de mieux comprendre les mécanismes de l'adaptation morphologique et comportementale.

Le projet Premalocom vise à évaluer les effets d'un entraînement précoce à la marche quadrupède sur le développement locomoteur et moteur de grands prématurés cérébrolésés.

Les scientifiques cherchent à reproduire les conditions de construction et d'utilisation d'un four de potier de type "connecté" sur la base d'exemplaires mésopotamiens d'époque Chalcolithique récente, vers 4500-3200 av. J.-C.

Le programme ATLASea a pour but d'obtenir un socle de données génomiques de référence sur les organismes marins de la zone économique exclusive française. A cette fin, les scientifiques ambitionnent de séquencer les génomes de 4 500 espèces marines.

Eleni Diamanti, directrice de recherche au CNRS et spécialiste des technologies quantiques, est lauréate de la médaille de l'innovation du CNRS 2024.

Test des performances en vol de cellules potovoltaïques en couches minces CIGS, une technologie qui ouvre la possibilité d'utiliser des panneaux solaires sur des structures gonflables aéroportées.

Le projet STABLE-FP porte sur l'étude du fonctionnement de protéines fluorescentes présentes dans des organismes marins.

Cyril Aymonier, lauréat de la médaille de l'innovation du CNRS 2024. Directeur de recherche CNRS, il travaille sur la synthèse, la mise en forme et le recyclage de matériaux inédits grâce à des approches non conventionnelles et durables.

Lydéric Bocquet, directeur de recherche CNRS au Laboratoire de physique de l’École normale supérieure (LPENS) et pionnier de la nanofluidique, a reçu en 2024 la médaille de l'innovation du CNRS.

Chercheur au Centre de recherche en cancérologie et immunologie intégrée Nantes-Angers (CRCI2NA), il est spécialisé dans l’étude de la résistance des cancers du sang.

Elle est responsable du service Finances et contrats au sein de l’Institut des sciences chimiques de Rennes (ISCR), service qu’elle a créé.

Chargé des collections du Musée de géologie de l’université de Rennes, il est rattaché à l’Observatoire des sciences de l’univers de Rennes (OSER) et au laboratoire Géosciences Rennes.

Dans le cadre d'une campagne de prospection géophysique, différentes méthodes et savoir-faire qui n'ont jamais été utilisés à Carnac, ont été testés.

Dans un contexte où les relations entre la prévision climatique par le GIEC et sa réalité à l’échelle locale sont encore mal définies, le premier objectif du projet de recherche "Les eaux de La Réunion face aux changements climatiques" est de rendre compte de...

Elle est chercheuse au laboratoire Chimie et interdisciplinarité : synthèse, analyse, modélisation (CEISAM).

La société Ion-X développe des propulseurs ioniques basés sur un principe d'électrohydrodynamique (EHD) miniaturisé, pour équiper des microsatellites et nano-satellites. Une technologie issue des recherches de Jacques Gierak au Centre de nanosciences et de nanotechnologies (C2N).

Découvrez trois robots de ce laboratoire : un robot collaboratif à câbles, un modèle reproduisant l'architecture d'une patte d'oiseau pour étudier son équilibre, et un robot inspiré du cou d'un oiseau, construit à partir de modules en tenségrité.

L'entreprise Mecaware recycle les produits technologiques en fin de vie, notamment les batteries, pour récupérer de manière écologique les métaux stratégiques et les terres rares.

La société Lactips produit un polymère biosourcé, biodégradable dans les différents milieux et hydrosoluble qui constitue une alternative à certains plastiques traditionnels. Une technologie développée au laboratoire Ingénierie des matériaux polymères (IMP).

Le projet ANR ChamDoc relève le défi technologique et scientifique de créer des programmes de reconnaissance et d’analyse automatique des écritures manuscrites du Champa ancien, situé au sud du Vietnam moderne.

Biomemory est une deeptech française spécialisée dans le stockage de données moléculaires. Sa solution vise à stocker l'information sur de l'ADN. Une technologie issue du CNRS et de Sorbonne Université.

Ce site paléontologique, l'un des plus riches et diversifiés au monde pour cette période, met à mal l'idée antérieure d'une baisse de biodiversité ou d'une extinction biologique entre le Cambrien et l'Ordovicien.

Michel Talagrand est lauréat du prix Abel 2024 et ancien directeur de recherche CNRS au sein de l’Institut de mathématiques de Jussieu – Paris rive gauche (IMJ-PRG).

L'objectif du projet ZEOLIGHT est d'incorporer du nitrure de bore dans de la zéolithe pour élaborer un prototype de LED ("Light emitting diode") qui, avec des phosphores conventionnels, permet de produire de la lumière blanche avec une très faible consommation d'énergie.

Certaines personnes atteintes de troubles neurologiques présentent des mutations du gène TRIO. Le projet TRIOTISM a pour but de comprendre les mécanismes moléculaires responsables de ces troubles et les processus qui sont altérés dans le fonctionnement du cerveau.

Le babylab du Centre neuroscience intégrative et cognition est spécialisé dans l'étude du développement de la cognition (les processus mentaux liés à la connaissance) chez les bébés et les enfants.

Les neutrinos sont des particules élémentaires dont les propriétés sont encore très mystérieuses et pourraient être à l’origine de la disparition de l’antimatière primordiale. Ils sont étudiés dans le cadre du projet ENTER.

Entrée du siège du CNRS, avec le logo de 2023.

La crise biologique de la fin du Crétacé, il y a 66 millions d'années, a affecté les environnements marins et continentaux à une échelle globale.

Un spectromètre de masse a été modifié pour le projet ManOx, pour la génération et l'identification d’espèces de manganèse-dioxygène très réactives, formées en phase gazeuse. L’objectif est d’élucider l’activation de l’oxygène par des complexes de manganèse.

Le projet HV-PhotoSw a permis la conception, la fabrication et la caractérisation d’un transistor bi-polaire en carbure de silicium (SiC).

Des spectromètres CRDS utilisant une cavité optique de haute finesse sont développés au laboratoire interdisciplinaire de physique (LIPhy). Ils sont notamment utilisés dans le cadre du projet COMPLEAT.

Le spectromètre imageur infrarouge MIRS a été livré au Japon en mars 2024, pour son installation sur la sonde MMX qui doit être lancée en 2026.