Recherches sur la cognition animale au CRCA

Marquage par immunohistochimie (IHC) de coupes de cerveaux de souris. Les bains dans lesquels ces coupes sont immergées contiennent des anticorps permettant, dans l’expérience, de localiser des protéines de doublecortine qui sont des marqueurs de neurones immatures. L’étude se concentre sur la neurogenèse adulte, soit le développement de neurones à l’âge adulte, dans l’hippocampe. Dans un second temps, les coupes passent dans des bains pour les laver et détecter les protéines par fluorescence…

Marquage par immunohistochimie (IHC) de coupes de cerveaux de souris. Les bains dans lesquels ces coupes sont immergées contiennent des anticorps permettant, dans l’expérience, de localiser des protéines de doublecortine qui sont des marqueurs de neurones immatures. L’étude se concentre sur la neurogenèse adulte, soit le développement de neurones à l’âge adulte, dans l’hippocampe. Dans un second temps, les coupes passent dans des bains pour les laver et détecter les protéines par fluorescence…

Marquage par immunohistochimie (IHC) de coupes de cerveaux de souris. Les bains dans lesquels ces coupes sont immergées contiennent des anticorps permettant, dans l’expérience, de localiser des protéines de doublecortine qui sont des marqueurs de neurones immatures. L’étude se concentre sur la neurogenèse adulte, soit le développement de neurones à l’âge adulte, dans l’hippocampe. Dans un second temps, les coupes passent dans des bains pour les laver et détecter les protéines par fluorescence…

Marquage par immunohistochimie (IHC) de coupes de cerveaux de souris. Les bains dans lesquels ces coupes sont immergées contiennent des anticorps permettant, dans l’expérience, de localiser des protéines de doublecortine qui sont des marqueurs de neurones immatures. L’étude se concentre sur la neurogenèse adulte, soit le développement de neurones à l’âge adulte, dans l’hippocampe. Dans un second temps, les coupes passent dans des bains pour les laver et détecter les protéines par fluorescence…

Marquage par immunohistochimie (IHC) de coupes de cerveaux de souris. Les bains dans lesquels ces coupes sont immergées contiennent des anticorps permettant, dans l’expérience, de localiser des protéines de doublecortine qui sont des marqueurs de neurones immatures. L’étude se concentre sur la neurogenèse adulte, soit le développement de neurones à l’âge adulte, dans l’hippocampe. Dans un second temps, les coupes passent dans des bains pour les laver et détecter les protéines par fluorescence…

Marquage par immunohistochimie (IHC) de coupes de cerveaux de souris. Les bains dans lesquels ces coupes sont immergées contiennent des anticorps permettant, dans l’expérience, de localiser des protéines de doublecortine qui sont des marqueurs de neurones immatures. L’étude se concentre sur la neurogenèse adulte, soit le développement de neurones à l’âge adulte, dans l’hippocampe. Dans un second temps, les coupes passent dans des bains pour les laver et détecter les protéines par fluorescence…

Montage de coupes de cerveaux sur des lames, après une étape de marquage par immunohistochimie (IHC), afin de permettre l’observation au microscope. Ces coupes ont été préalablement immergées dans des bains contenant des anticorps permettant, dans l’expérience, de localiser des protéines de doublecortine qui sont des marqueurs de neurones immatures. L’étude se concentre ainsi sur la neurogenèse adulte, soit le développement de neurones à l’âge adulte, dans l’hippocampe. Les coupes sont…

Montage de coupes de cerveaux sur des lames, après une étape de marquage par immunohistochimie (IHC), afin de permettre l’observation au microscope. Ces coupes ont été préalablement immergées dans des bains contenant des anticorps permettant, dans l’expérience, de localiser des protéines de doublecortine qui sont des marqueurs de neurones immatures. L’étude se concentre ainsi sur la neurogenèse adulte, soit le développement de neurones à l’âge adulte, dans l’hippocampe. Les coupes sont…

Montage de coupes de cerveaux sur des lames, après une étape de marquage par immunohistochimie (IHC), afin de permettre l’observation au microscope. Ces coupes ont été préalablement immergées dans des bains contenant des anticorps permettant, dans l’expérience, de localiser des protéines de doublecortine qui sont des marqueurs de neurones immatures. L’étude se concentre ainsi sur la neurogenèse adulte, soit le développement de neurones à l’âge adulte, dans l’hippocampe. Les coupes sont…

Séchage de coupes de cerveaux colorées et disposées sur des lames après marquage par immunohistochimie (IHC). Les bains de coloration rose permettent l'apparition d'une contre coloration marquant les noyaux des cellules, facilitent l’identification des aires du cerveau et des zones d’accumulation. Deux autres bains sont effectués, un à forte concentration en alcool déshydrate les coupes, l’autre composé d’un solvant organique, les clarifie en éliminant les lipides. Ces coupes ont été…

Observation au microscope à champ large de lames de coupes de cerveaux de souris après marquage par immunohistochimie (IHC). La chercheuse compte les cellules marquées, soit les cellules immatures. La coloration rose permet l'apparition d'une contre coloration marquant les noyaux de cellules, facilitant l’identification des aires du cerveau et des zones d’accumulation. Ce microscope permet de faire des observations en fluorescence ou en méthode visible. Les coupes observées ont été…

Observation au microscope à champ large de lames de coupes de cerveaux de souris après marquage par immunohistochimie (IHC). La chercheuse compte les cellules marquées, soit les cellules immatures. La coloration rose permet l'apparition d'une contre coloration marquant les noyaux de cellules, facilitant l’identification des aires du cerveau et des zones d’accumulation. Ce microscope permet de faire des observations en fluorescence ou en méthode visible. Les coupes observées ont été…

Observation au microscope à champ large de lames de coupes de cerveaux de souris après marquage par immunohistochimie (IHC). La chercheuse compte les cellules marquées, soit les cellules immatures. La coloration rose permet l'apparition d'une contre coloration marquant les noyaux de cellules, facilitant l’identification des aires du cerveau et des zones d’accumulation. Ce microscope permet de faire des observations en fluorescence ou en méthode visible. Les coupes observées ont été…

Coloration de coupes de cerveaux de souris disposées sur des lames après marquage par immunohistochimie (IHC). Les bains de coloration rose permettent l’apparition d’une contre coloration marquant les noyaux de cellules, facilitent l’identification des aires du cerveau et des zones d’accumulation. Deux autres bains sont effectués : un à forte concentration en alcool déshydrate les coupes, l’autre, composé d’un solvant organique, les clarifie en éliminant les lipides. Ces coupes ont été…

Coloration de coupes de cerveaux de souris disposées sur des lames après marquage par immunohistochimie (IHC). Les bains de coloration rose permettent l’apparition d’une contre coloration marquant les noyaux de cellules, facilitent l’identification des aires du cerveau et des zones d’accumulation. Deux autres bains sont effectués : un à forte concentration en alcool déshydrate les coupes, l’autre, composé d’un solvant organique, les clarifie en éliminant les lipides. Ces coupes ont été…

Coloration de coupes de cerveaux de souris disposées sur des lames après marquage par immunohistochimie (IHC). Les bains de coloration rose permettent l’apparition d’une contre coloration marquant les noyaux de cellules, facilitent l’identification des aires du cerveau et des zones d’accumulation. Deux autres bains sont effectués : un à forte concentration en alcool déshydrate les coupes, l’autre, composé d’un solvant organique, les clarifie en éliminant les lipides. Ces coupes ont été…

Coloration de coupes de cerveaux de souris disposées sur des lames après marquage par immunohistochimie (IHC). Les bains de coloration rose permettent l’apparition d’une contre coloration marquant les noyaux de cellules, facilitent l’identification des aires du cerveau et des zones d’accumulation. Deux autres bains sont effectués : un à forte concentration en alcool déshydrate les coupes, l’autre, composé d’un solvant organique, les clarifie en éliminant les lipides. Ces coupes ont été…

Coloration de coupes de cerveaux de souris disposées sur des lames après marquage par immunohistochimie (IHC). Les bains de coloration rose permettent l’apparition d’une contre coloration marquant les noyaux de cellules, facilitent l’identification des aires du cerveau et des zones d’accumulation. Deux autres bains sont effectués : un à forte concentration en alcool déshydrate les coupes, l’autre, composé d’un solvant organique, les clarifie en éliminant les lipides. Ces coupes ont été…

Coloration de coupes de cerveaux de souris disposées sur des lames après marquage par immunohistochimie (IHC). Les bains de coloration rose permettent l’apparition d’une contre coloration marquant les noyaux de cellules, facilitent l’identification des aires du cerveau et des zones d’accumulation. Deux autres bains sont effectués : un à forte concentration en alcool déshydrate les coupes, l’autre, composé d’un solvant organique, les clarifie en éliminant les lipides. Ces coupes ont été…

Une souris est déposée dans une arène permettant de tester sa mémoire spatiale. Le test est basé sur la capacité des souris à se souvenir de la localisation des objets présents dans l'arène. La première étape consiste à placer la souris dans le dispositif comportant deux objets identiques, afin de se familiariser et d'apprendre leur position. Un pattern visuel rayé permet à la souris de se repérer dans son espace. L'environnement du test ne reçoit pas de lumière directe afin de ne pas stresser…

Une souris explore l’environnement dans un dispositif permettant de tester sa mémoire spatiale. Le test est basé sur la capacité des souris à se souvenir de la localisation des objets présents dans l’arène. La première étape consiste à placer l’individu dans le dispositif comportant deux objets identiques, afin de se familiariser et d’apprendre leur position. Un pattern visuel rayé permet à la souris de se repérer dans son espace. L’environnement du test ne reçoit pas de lumière directe afin de…

Une souris explore l’environnement dans un dispositif permettant de tester sa mémoire spatiale. Le test est basé sur la capacité des souris à se souvenir de la localisation des objets présents dans l’arène. La première étape consiste à placer l’individu dans le dispositif comportant deux objets identiques, afin de se familiariser et d’apprendre leur position. Un pattern visuel rayé permet à la souris de se repérer dans son espace. L’environnement du test ne reçoit pas de lumière directe afin de…

Analyse des déplacements d’une souris dans un dispositif de test de la mémoire spatiale via un logiciel de trajectométrie. Les mouvements et le comportement de l’animal dans le dispositif sont suivis par une caméra et analysés via un logiciel spécifique. Au cours de ce test, la souris est d’abord placée dans le dispositif comportant deux objets identiques, afin de se familiariser et d’apprendre leur position. Un pattern visuel rayé permet à la souris de se repérer dans son espace et l…

Une souris explore le bras ouvert d’un labyrinthe en croix surélevé. Ce test permet d’évaluer le degré d’anxiété des animaux. Il est basé sur la préférence naturelle des rongeurs pour les espaces clos, plus sécurisants, par rapport aux espaces ouverts, plus anxiogènes pour l’animal. Ainsi, moins la souris est anxieuse, plus elle va avoir tendance à explorer les bras ouverts du dispositif. La mesure du temps passé dans les bras ouverts et les bras fermés permet donc de comparer le niveau d…

Une souris en phase exploratoire au centre d’un labyrinthe en croix. Ce test permet d’évaluer le degré d’anxiété des animaux. Il est basé sur la préférence naturelle des rongeurs pour les espaces clos, plus sécurisants, par rapport aux espaces ouverts, plus anxiogènes pour l’animal. Ainsi, moins la souris est anxieuse, plus elle va avoir tendance à explorer les bras ouverts du dispositif. La mesure du temps passé dans les bras ouverts et les bras fermés permet donc de comparer le niveau d…

Une souris en phase exploratoire au centre d’un labyrinthe en croix. Ce test permet d’évaluer le degré d’anxiété des animaux. Il est basé sur la préférence naturelle des rongeurs pour les espaces clos, plus sécurisants, par rapport aux espaces ouverts, plus anxiogènes pour l’animal. Ainsi, moins la souris est anxieuse, plus elle va avoir tendance à explorer les bras ouverts du dispositif. La mesure du temps passé dans les bras ouverts et les bras fermés permet donc de comparer le niveau d…

Une souris en phase exploratoire au centre d’un labyrinthe en croix. Ce test permet d’évaluer le degré d’anxiété des animaux. Il est basé sur la préférence naturelle des rongeurs pour les espaces clos, plus sécurisants, par rapport aux espaces ouverts, plus anxiogènes pour l’animal. Ainsi, moins la souris est anxieuse, plus elle va avoir tendance à explorer les bras ouverts du dispositif. La mesure du temps passé dans les bras ouverts et les bras fermés permet donc de comparer le niveau d…

Une souris explore le bras ouvert d’un labyrinthe en croix surélevé. Ce test permet d’évaluer le degré d’anxiété des animaux. Il est basé sur la préférence naturelle des rongeurs pour les espaces clos, plus sécurisants, par rapport aux espaces ouverts, plus anxiogènes pour l’animal. Ainsi, moins la souris est anxieuse, plus elle va avoir tendance à explorer les bras ouverts du dispositif. La mesure du temps passé dans les bras ouverts et les bras fermés permet donc de comparer le niveau d…

Une souris explore le bras ouvert d’un labyrinthe en croix surélevé. Ce test permet d’évaluer le degré d’anxiété des animaux. Il est basé sur la préférence naturelle des rongeurs pour les espaces clos, plus sécurisants, par rapport aux espaces ouverts, plus anxiogènes pour l’animal. Ainsi, moins la souris est anxieuse, plus elle va avoir tendance à explorer les bras ouverts du dispositif. La mesure du temps passé dans les bras ouverts et les bras fermés permet donc de comparer le niveau d…

Souris déposée dans un labyrinthe de Barnes, en vue de tester sa mémoire spatiale. Le labyrinthe est composé de 20 trous, un seul d’entre eux mène à un refuge. La souris est d’abord placée au milieu du dispositif à l’aide d’un bécher. Rapidement, celle-ci tentera de s’abriter car l’environnement, fortement éclairé, est aversif pour elle. La souris est soumise à plusieurs sessions, où l’on testera sa capacité à retrouver le refuge identifié la première fois. Après l’apprentissage, la position du…

Souris déposée dans un labyrinthe de Barnes, en vue de tester sa mémoire spatiale. Le labyrinthe est composé de 20 trous, un seul d’entre eux mène à un refuge. La souris est d’abord placée au milieu du dispositif à l’aide d’un bécher. Rapidement, celle-ci tentera de s’abriter car l’environnement, fortement éclairé, est aversif pour elle. La souris est soumise à plusieurs sessions, où l’on testera sa capacité à retrouver le refuge identifié la première fois. Après l’apprentissage, la position du…

Souris déposée dans un labyrinthe de Barnes, en vue de tester sa mémoire spatiale. Le labyrinthe est composé de 20 trous, un seul d’entre eux mène à un refuge. La souris est d’abord placée au milieu du dispositif à l’aide d’un bécher. Rapidement, celle-ci tentera de s’abriter car l’environnement, fortement éclairé, est aversif pour elle. La souris est soumise à plusieurs sessions, où l’on testera sa capacité à retrouver le refuge identifié la première fois. Après l’apprentissage, la position du…

Souris en phase exploratoire sur un labyrinthe de Barnes. Le labyrinthe est composé de 20 trous, un seul d’entre eux mène à un refuge. La souris est d’abord placée au milieu du dispositif à l’aide d’un bécher. Rapidement, celle-ci tentera de s’abriter car l’environnement, fortement éclairé, est aversif pour elle. La souris est soumise à plusieurs sessions, où sera testée sa capacité à retrouver le refuge identifié la première fois. Après l’apprentissage, la position du trou de sortie peut être…

Souris en phase exploratoire sur un labyrinthe de Barnes. Le labyrinthe est composé de 20 trous, un seul d’entre eux mène à un refuge. La souris est d’abord placée au milieu du dispositif à l’aide d’un bécher. Rapidement, celle-ci tentera de s’abriter car l’environnement, fortement éclairé, est aversif pour elle. La souris est soumise à plusieurs sessions, où sera testée sa capacité à retrouver le refuge identifié la première fois. Après l’apprentissage, la position du trou de sortie peut être…

Souris en phase exploratoire sur un labyrinthe de Barnes. Le labyrinthe est composé de 20 trous, un seul d’entre eux mène à un refuge. La souris est d’abord placée au milieu du dispositif à l’aide d’un bécher. Rapidement, celle-ci tentera de s’abriter car l’environnement, fortement éclairé, est aversif pour elle. La souris est soumise à plusieurs sessions, où sera testée sa capacité à retrouver le refuge identifié la première fois. Après l’apprentissage, la position du trou de sortie peut être…

Souris en phase exploratoire sur un labyrinthe de Barnes. Le labyrinthe est composé de 20 trous, un seul d’entre eux mène à un refuge. La souris est d’abord placée au milieu du dispositif à l’aide d’un bécher. Rapidement, celle-ci tentera de s’abriter car l’environnement, fortement éclairé, est aversif pour elle. La souris est soumise à plusieurs sessions, où sera testée sa capacité à retrouver le refuge identifié la première fois. Après l’apprentissage, la position du trou de sortie peut être…

Souris en phase exploratoire sur un labyrinthe de Barnes. Le labyrinthe est composé de 20 trous, un seul d’entre eux mène à un refuge. La souris est d’abord placée au milieu du dispositif à l’aide d’un bécher. Rapidement, celle-ci tentera de s’abriter car l’environnement, fortement éclairé, est aversif pour elle. La souris est soumise à plusieurs sessions, où sera testée sa capacité à retrouver le refuge identifié la première fois. Après l’apprentissage, la position du trou de sortie peut être…

Souris en phase exploratoire sur un labyrinthe de Barnes. Le labyrinthe est composé de 20 trous, un seul d’entre eux mène à un refuge. La souris est d’abord placée au milieu du dispositif à l’aide d’un bécher. Rapidement, celle-ci tentera de s’abriter car l’environnement, fortement éclairé, est aversif pour elle. La souris est soumise à plusieurs sessions, où sera testée sa capacité à retrouver le refuge identifié la première fois. Après l’apprentissage, la position du trou de sortie peut être…

Souris en phase exploratoire sur un labyrinthe de Barnes. Le labyrinthe est composé de 20 trous, un seul d’entre eux mène à un refuge. La souris est d’abord placée au milieu du dispositif à l’aide d’un bécher. Rapidement, celle-ci tentera de s’abriter car l’environnement, fortement éclairé, est aversif pour elle. La souris est soumise à plusieurs sessions, où sera testée sa capacité à retrouver le refuge identifié la première fois. Après l’apprentissage, la position du trou de sortie peut être…

Souris en phase exploratoire sur un labyrinthe de Barnes. Le labyrinthe est composé de 20 trous, un seul d’entre eux mène à un refuge. La souris est d’abord placée au milieu du dispositif à l’aide d’un bécher. Rapidement, celle-ci tentera de s’abriter car l’environnement, fortement éclairé, est aversif pour elle. La souris est soumise à plusieurs sessions, où sera testée sa capacité à retrouver le refuge identifié la première fois. Après l’apprentissage, la position du trou de sortie peut être…

Souris en phase exploratoire sur un labyrinthe de Barnes. Le labyrinthe est composé de 20 trous, un seul d’entre eux mène à un refuge. La souris est d’abord placée au milieu du dispositif à l’aide d’un bécher. Rapidement, celle-ci tentera de s’abriter car l’environnement, fortement éclairé, est aversif pour elle. La souris est soumise à plusieurs sessions, où sera testée sa capacité à retrouver le refuge identifié la première fois. Après l’apprentissage, la position du trou de sortie peut être…

Souris en phase exploratoire sur un labyrinthe de Barnes. Le labyrinthe est composé de 20 trous, un seul d’entre eux mène à un refuge. La souris est d’abord placée au milieu du dispositif à l’aide d’un bécher. Rapidement, celle-ci tentera de s’abriter car l’environnement, fortement éclairé, est aversif pour elle. La souris est soumise à plusieurs sessions, où sera testée sa capacité à retrouver le refuge identifié la première fois. Après l’apprentissage, la position du trou de sortie peut être…

Test de reconnaissance sociale chez des souris. La souris testée, dite de référence, est placée au milieu d’un dispositif composé de 3 chambres reliées par des portes. Une souris familière à la souris de référence est placée dans une cage dans une chambre à une extrémité. Une autre, qu’elle ne connaît pas, est placée à l’autre extrémité. Un dispositif de trajectométrie quantifie la fréquence des interactions de la souris en liberté avec chacune des deux souris. Le test est effectué sur des…

Test de reconnaissance sociale chez des souris. La souris testée, dite de référence, est placée au milieu d’un dispositif composé de 3 chambres reliées par des portes. Une souris familière à la souris de référence est placée dans une cage dans une chambre à une extrémité. Une autre, qu’elle ne connaît pas, est placée à l’autre extrémité. Un dispositif de trajectométrie quantifie la fréquence des interactions de la souris en liberté avec chacune des deux souris. Le test est effectué sur des…

Test de reconnaissance sociale chez des souris. La souris testée, dite de référence, est placée au milieu d’un dispositif composé de 3 chambres reliées par des portes. Une souris familière à la souris de référence est placée dans une cage dans une chambre à une extrémité. Une autre, qu’elle ne connaît pas, est placée à l’autre extrémité. Un dispositif de trajectométrie quantifie la fréquence des interactions de la souris en liberté avec chacune des deux souris. Le test est effectué sur des…

Test de reconnaissance sociale chez des souris. La souris testée, dite de référence, est placée au milieu d’un dispositif composé de 3 chambres reliées par des portes. Une souris familière à la souris de référence est placée dans une cage dans une chambre à une extrémité. Une autre, qu’elle ne connaît pas, est placée à l’autre extrémité. Un dispositif de trajectométrie quantifie la fréquence des interactions de la souris en liberté avec chacune des deux souris. Le test est effectué sur des…

Test de reconnaissance sociale chez des souris. La souris testée, dite de référence, est placée au milieu d’un dispositif composé de 3 chambres reliées par des portes. Une souris familière à la souris de référence est placée dans une cage dans une chambre à une extrémité. Une autre, qu’elle ne connaît pas, est placée à l’autre extrémité. Un dispositif de trajectométrie quantifie la fréquence des interactions de la souris en liberté avec chacune des deux souris. Le test est effectué sur des…

Test de reconnaissance sociale chez des souris. La souris testée, dite de référence, est placée au milieu d’un dispositif composé de 3 chambres reliées par des portes. Une souris familière à la souris de référence est placée dans une cage dans une chambre à une extrémité. Une autre, qu’elle ne connaît pas, est placée à l’autre extrémité. Un dispositif de trajectométrie quantifie la fréquence des interactions de la souris en liberté avec chacune des deux souris. Le test est effectué sur des…

Test de reconnaissance sociale chez des souris. La souris testée, dite de référence, est placée au milieu d’un dispositif composé de 3 chambres reliées par des portes. Une souris familière à la souris de référence est placée dans une cage dans une chambre à une extrémité. Une autre, qu’elle ne connaît pas, est placée à l’autre extrémité. Un dispositif de trajectométrie quantifie la fréquence des interactions de la souris en liberté avec chacune des deux souris. Le test est effectué sur des…

Nourrissage d'araignées en vue de tests de socialité. Les araignées sont majoritairement solitaires mais présentent une phase grégaire temporaire au stade juvénile, qui se dissipe lors d'une phase de dispersion. Les chercheurs tentent ainsi d'identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l'émergence de la coopération entre les individus conduisant à la formation de sociétés pérennes. Ils comparent ainsi les comportements d'espèces locales et guyanaises et examinent en particulier l…

Nourrissage d'araignées en vue de tests de socialité. Les araignées sont majoritairement solitaires mais présentent une phase grégaire temporaire au stade juvénile, qui se dissipe lors d'une phase de dispersion. Les chercheurs tentent ainsi d'identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l'émergence de la coopération entre les individus conduisant à la formation de sociétés pérennes. Ils comparent ainsi les comportements d'espèces locales et guyanaises et examinent en particulier l…

Nourrissage d'araignées en vue de tests de socialité. Les araignées sont majoritairement solitaires mais présentent une phase grégaire temporaire au stade juvénile, qui se dissipe lors d'une phase de dispersion. Les chercheurs tentent ainsi d'identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l'émergence de la coopération entre les individus conduisant à la formation de sociétés pérennes. Ils comparent ainsi les comportements d'espèces locales et guyanaises et examinent en particulier l…

Nourrissage d'araignées en vue de tests de socialité. Les araignées sont majoritairement solitaires mais présentent une phase grégaire temporaire au stade juvénile, qui se dissipe lors d'une phase de dispersion. Les chercheurs tentent ainsi d'identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l'émergence de la coopération entre les individus conduisant à la formation de sociétés pérennes. Ils comparent ainsi les comportements d'espèces locales et guyanaises et examinent en particulier l…

Nourrissage d'araignées en vue de tests de socialité. Les araignées sont majoritairement solitaires mais présentent une phase grégaire temporaire au stade juvénile, qui se dissipe lors d'une phase de dispersion. Les chercheurs tentent ainsi d'identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l'émergence de la coopération entre les individus conduisant à la formation de sociétés pérennes. Ils comparent ainsi les comportements d'espèces locales et guyanaises et examinent en particulier l…

Dépôt d’une araignée au stade juvénile dans une arène pour un test de socialité. Elle sera par la suite confrontée à une autre jeune araignée, ce qui permettra d’étudier leurs interactions. Les araignées sont majoritairement solitaires mais présentent une phase grégaire temporaire au stade juvénile, qui se dissipe lors d’une phase de dispersion. Les chercheurs tentent ainsi d’identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l’émergence de la coopération entre les individus conduisant à la…

Araignée de stade juvénile au cours d'un test de socialité. Deux jeunes araignées sont placées dans ce dispositif afin d'étudier leurs interactions. Les araignées sont majoritairement solitaires mais présentent une phase grégaire temporaire au stade juvénile précédant leur dispersion. Les chercheurs tentent ainsi d'identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l'émergence de la coopération entre les individus conduisant à la formation de sociétés pérennes.

Etude des comportements de deux araignées juvéniles au cours d’un test de socialité. Les chercheurs analysent ici leurs interactions et mesurent le temps que les individus passent agrégés. Les araignées sont majoritairement solitaires mais présentent une phase grégaire temporaire au stade juvénile, qui se dissipe lors d’une phase de dispersion. Les chercheurs tentent ainsi d’identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l’émergence de la coopération entre les individus conduisant à la…

Etude des comportements de deux araignées juvéniles au cours d’un test de socialité. Les chercheurs analysent ici leurs interactions et mesurent le temps que les individus passent agrégés. Les araignées sont majoritairement solitaires mais présentent une phase grégaire temporaire au stade juvénile, qui se dissipe lors d’une phase de dispersion. Les chercheurs tentent ainsi d’identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l’émergence de la coopération entre les individus conduisant à la…

Etude du comportement d'une araignée face à un leurre. Ce dispositif permet d'étudier l'influence des composés cuticulaires sur les interactions entre araignées, qui sont majoritairement solitaires. Ces composés pourraient jouer un rôle majeur dans la transition entre la phase grégaire des juvéniles et la phase solitaire des individus plus âgés. Les chercheurs tentent ainsi d'identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l'émergence de la coopération entre les individus conduisant à la…

Etude du comportement d'une araignée face à un leurre. Ce dispositif permet d'étudier l'influence des composés cuticulaires sur les interactions entre araignées, qui sont majoritairement solitaires. Ces composés pourraient jouer un rôle majeur dans la transition entre la phase grégaire des juvéniles et la phase solitaire des individus plus âgés. Les chercheurs tentent ainsi d'identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l'émergence de la coopération entre les individus conduisant à la…

Etude du comportement d'une araignée face à un leurre. Ce dispositif permet d'étudier l'influence des composés cuticulaires sur les interactions entre araignées, qui sont majoritairement solitaires. Ces composés pourraient jouer un rôle majeur dans la transition entre la phase grégaire des juvéniles et la phase solitaire des individus plus âgés. Les chercheurs tentent ainsi d'identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l'émergence de la coopération entre les individus conduisant à la…

Etude du comportement d'une araignée face à un leurre. Ce dispositif permet d'étudier l'influence des composés cuticulaires sur les interactions entre araignées, qui sont majoritairement solitaires. Ces composés pourraient jouer un rôle majeur dans la transition entre la phase grégaire des juvéniles et la phase solitaire des individus plus âgés. Les chercheurs tentent ainsi d'identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l'émergence de la coopération entre les individus conduisant à la…

Nourrissage d'araignées en vue de tests de socialité. Les araignées sont majoritairement solitaires mais présentent une phase grégaire temporaire au stade juvénile, qui se dissipe lors d’une phase de dispersion. Les chercheurs tentent ainsi d’identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l’émergence de la coopération entre les individus conduisant à la formation de sociétés pérennes. Ils comparent ainsi les comportements d’espèces locales et guyanaises et examinent en particulier l…

Nourrissage d'araignées en vue de tests de socialité. Les araignées sont majoritairement solitaires mais présentent une phase grégaire temporaire au stade juvénile, qui se dissipe lors d’une phase de dispersion. Les chercheurs tentent ainsi d’identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l’émergence de la coopération entre les individus conduisant à la formation de sociétés pérennes. Ils comparent ainsi les comportements d’espèces locales et guyanaises et examinent en particulier l…

Humidification d’un vivarium contenant des araignées solitaires locales. Les araignées sont majoritairement solitaires mais présentent une phase grégaire temporaire au stade juvénile, qui se dissipe lors d’une phase de dispersion. Les araignées sont confrontées à différents tests permettant d’analyser leurs interactions. Ces expérimentations permettent ainsi d’identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l’émergence de la coopération entre les individus conduisant à la formation de…

Humidification d’un vivarium contenant des araignées solitaires locales. Les araignées sont majoritairement solitaires mais présentent une phase grégaire temporaire au stade juvénile, qui se dissipe lors d’une phase de dispersion. Les araignées sont confrontées à différents tests permettant d’analyser leurs interactions. Ces expérimentations permettent ainsi d’identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l’émergence de la coopération entre les individus conduisant à la formation de…

Humidification d’un vivarium contenant des araignées solitaires locales. Les araignées sont majoritairement solitaires mais présentent une phase grégaire temporaire au stade juvénile, qui se dissipe lors d’une phase de dispersion. Les araignées sont confrontées à différents tests permettant d’analyser leurs interactions. Ces expérimentations permettent ainsi d’identifier les mécanismes fondamentaux favorisant l’émergence de la coopération entre les individus conduisant à la formation de…

Étude du comportement des fourmis champignonnistes, "Atta laevigata", dans un dispositif expérimental reproduisant leurs parcours sur les pistes jusqu’à la colonie. Les Atta, fourmis d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles", vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldats se servent de leurs puissantes mandibules pour couper les feuilles en…

Étude du comportement des fourmis champignonnistes, "Atta laevigata", dans un dispositif expérimental reproduisant leurs parcours sur les pistes jusqu’à la colonie. Les Atta, fourmis d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles", vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldats se servent de leurs puissantes mandibules pour couper les feuilles en…

Étude du comportement des fourmis champignonnistes, "Atta laevigata", dans un dispositif expérimental reproduisant leurs parcours sur les pistes jusqu’à la colonie. Les Atta, fourmis d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles", vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldats se servent de leurs puissantes mandibules pour couper les feuilles en…

Étude du comportement des fourmis champignonnistes, "Atta laevigata", dans un dispositif expérimental reproduisant leurs parcours sur les pistes jusqu’à la colonie. Les Atta, fourmis d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles", vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldats se servent de leurs puissantes mandibules pour couper les feuilles en…

Étude du comportement des fourmis champignonnistes, "Atta laevigata", dans un dispositif expérimental reproduisant leurs parcours sur les pistes jusqu’à la colonie. Les Atta, fourmis d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles", vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldats se servent de leurs puissantes mandibules pour couper les feuilles en…

Fourmis de l'espèce "Atta laevigata" prélevant et découpant des morceaux de feuille disposées dans un bac afin de nourrir le champignon "Leucoagaricus gongylophoru". Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldates se servent de leurs puissantes mandibules pour couper les…

Fourmis de l'espèce "Atta laevigata" prélevant et découpant des morceaux de feuille disposées dans un bac afin de nourrir le champignon "Leucoagaricus gongylophoru". Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldates se servent de leurs puissantes mandibules pour couper les…

Fourmis de l'espèce "Atta laevigata" prélevant et découpant des morceaux de feuille disposées dans un bac afin de nourrir le champignon "Leucoagaricus gongylophoru". Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldates se servent de leurs puissantes mandibules pour couper les…

Fourmis de l'espèce "Atta laevigata" acheminant des morceaux de feuilles pour nourrir le champignon "Leucoagaricus gongylophorus", dans un dispositif expérimental reproduisant leurs parcours sur les pistes jusqu’à la colonie. Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldats se…

Fourmis de l'espèce "Atta laevigata" acheminant des morceaux de feuilles pour nourrir le champignon "Leucoagaricus gongylophorus". Dans ce dispositif expérimental, elles s’introduisent dans la fourmilière par le biais d’un tube. Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldates se…

Dispositif expérimental reproduisant la structure d’une colonie de fourmis champignonnistes "Atta laevigata". Les bocaux, reliés par des tubes, contiennent les différents espaces de la colonie, du nid creusé au sein du champignon "Leucoagaricus gongylophorus", au dépotoir recueillant les déchets de la fourmilière. Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles…

Dispositif expérimental reproduisant la structure d’une colonie de fourmis champignonnistes "Atta laevigata". Les bocaux, reliés par des tubes, contiennent les différents espaces de la colonie, du nid creusé au sein du champignon "Leucoagaricus gongylophorus", au dépotoir recueillant les déchets de la fourmilière. Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles…

Fourmilière d’’Atta laevigata’ établie au sein du champignon "Leucoagaricus gongylophorus". Les fourmis ‘minors’ réceptionnent les morceaux de feuille acheminés par les ouvrières qui servent à alimenter le champignon. Elles fractionnent ensuite plus finement les morceaux puis cultivent le champignon. Elles y façonnent leur nid en creusant des alvéoles et nourrissent les larves. Les fourmis Atta, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon …

Fourmis de l'espèce "Atta laevigata" prélevant et découpant des morceaux de feuilles pour nourrir le champignon "Leucoagaricus gongylophorus". Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldats se servent de leurs puissantes mandibules pour couper les feuilles en morceaux qui sont…

Fourmis de l'espèce "Atta laevigata" se déplaçant au laboratoire entre leur nid et un bac dans lequel se elles trouvent de la végétation. Ces fourmis prélevent et découpent des morceaux de feuilles pour nourrir le champignon "Leucoagaricus gongylophorus". Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis…

Fourmis de l'espèce "Atta laevigata" prélevant et découpant des morceaux de feuilles pour nourrir le champignon "Leucoagaricus gongylophorus". Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldats se servent de leurs puissantes mandibules pour couper les feuilles en morceaux qui sont…

Fourmis de l'espèce "Atta laevigata" acheminant des morceaux de feuilles pour nourrir le champignon "Leucoagaricus gongylophorus", dans un dispositif expérimental reproduisant leurs parcours sur les pistes jusqu’à la colonie. Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldats se…

Fourmis de l'espèce "Atta laevigata" acheminant des morceaux de feuilles pour nourrir le champignon "Leucoagaricus gongylophorus", dans un dispositif expérimental reproduisant leurs parcours sur les pistes jusqu’à la colonie. Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldats se…

Fourmis de l'espèce "Atta laevigata" acheminant des morceaux de feuilles pour nourrir le champignon "Leucoagaricus gongylophorus", dans un dispositif expérimental reproduisant leurs parcours sur les pistes jusqu’à la colonie. Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldats se…

Fourmis de l'espèce "Atta laevigata" prélevant et découpant des morceaux de feuille disposées dans un bac afin de nourrir le champignon "Leucoagaricus gongylophorus". Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldats se servent de leurs puissantes mandibules pour couper les…

Fourmis de l'espèce "Atta laevigata" prélevant et découpant des morceaux de feuille disposées dans un bac afin de nourrir le champignon "Leucoagaricus gongylophorus". Les Atta, fourmis tropicales d’Amérique du sud, également appelées "fourmis coupeuses de feuilles" vivent en symbiose avec le champignon "Leucoagaricus gongylophorus"qu’elles nourrissent et dont elles se nourrissent à leur tour. Les fourmis dites "majors" ou soldats se servent de leurs puissantes mandibules pour couper les…

Apprentissage visuel discriminatif chez l'abeille testé en réalité virtuelle. Une abeille est fixée et placée sur un compensateur de locomotion constitué d'une boule en polystyrène posée sur un coussin d'air, ce qui permet à l'abeille de la bouger avec le seul mouvement de ses pattes. Ce système est dit en "closed-loop", cela signifie que chaque mouvement de l'abeille, enregistré grâce à deux capteurs de part et d'autres du compensateur, entraîne un mouvement de l'image à l'écran ; ce qui…

Apprentissage visuel discriminatif chez l'abeille testé en réalité virtuelle. Une abeille est fixée et placée sur un compensateur de locomotion constitué d'une boule en polystyrène posée sur un coussin d'air, ce qui permet à l'abeille de la bouger avec le seul mouvement de ses pattes. Ce système est dit en "closed-loop", cela signifie que chaque mouvement de l'abeille, enregistré grâce à deux capteurs de part et d'autres du compensateur, entraîne un mouvement de l'image à l'écran ; ce qui…

Apprentissage visuel discriminatif chez l'abeille testé en réalité virtuelle. Une abeille est fixée et placée sur un compensateur de locomotion constitué d'une boule en polystyrène posée sur un coussin d'air, ce qui permet à l'abeille de la bouger avec le seul mouvement de ses pattes. Ce système est dit en "closed-loop", cela signifie que chaque mouvement de l'abeille, enregistré grâce à deux capteurs de part et d'autres du compensateur, entraîne un mouvement de l'image à l'écran ; ce qui…

Apprentissage visuel discriminatif chez l'abeille testé en réalité virtuelle. Une abeille est fixée et placée sur un compensateur de locomotion constitué d'une boule en polystyrène posée sur un coussin d'air, ce qui permet à l'abeille de la bouger avec le seul mouvement de ses pattes. Ce système est dit en "closed-loop", cela signifie que chaque mouvement de l'abeille, enregistré grâce à deux capteurs de part et d'autres du compensateur, entraîne un mouvement de l'image à l'écran ; ce qui…

Apprentissage visuel discriminatif chez l'abeille testé en réalité virtuelle. Une abeille est fixée et placée sur un compensateur de locomotion constitué d'une boule en polystyrène posée sur un coussin d'air, ce qui permet à l'abeille de la bouger avec le seul mouvement de ses pattes. Ce système est dit en "closed-loop", cela signifie que chaque mouvement de l'abeille, enregistré grâce à deux capteurs de part et d'autres du compensateur, entraîne un mouvement de l'image à l'écran ; ce qui…

Apprentissage visuel discriminatif chez l'abeille testé en réalité virtuelle. Une abeille est fixée et placée sur un compensateur de locomotion constitué d'une boule en polystyrène posée sur un coussin d'air, ce qui permet à l'abeille de la bouger avec le seul mouvement de ses pattes. Ce système est dit en "closed-loop", cela signifie que chaque mouvement de l'abeille, enregistré grâce à deux capteurs de part et d'autres du compensateur, entraîne un mouvement de l'image à l'écran ; ce qui…

Dispositif de conditionnement appétitif chez les abeilles. Le test part du constat qu’au contact d’une solution sucrée au niveau de leurs antennes, les abeilles réagissent en étendant leur proboscis (pièces buccales spécialisées dans la succion). Les chercheurs lui présentent une odeur initialement neutre associée à la solution sucrée, la conduisant à former une association. Une fois cet apprentissage réalisé, elle étendra son proboscis à la seule présentation de l’odeur neutre. L’expérience…

Dispositif de conditionnement appétitif chez les abeilles. Le test part du constat qu’au contact d’une solution sucrée au niveau de leurs antennes, les abeilles réagissent en étendant leur proboscis (pièces buccales spécialisées dans la succion). Les chercheurs lui présentent une odeur initialement neutre associée à la solution sucrée, la conduisant à former une association. Une fois cet apprentissage réalisé, elle étendra son proboscis à la seule présentation de l’odeur neutre. L’expérience…

Dispositif de conditionnement appétitif chez les abeilles. Le test part du constat qu’au contact d’une solution sucrée au niveau de leurs antennes, les abeilles réagissent en étendant leur proboscis (pièces buccales spécialisées dans la succion). Les chercheurs lui présentent une odeur initialement neutre associée à la solution sucrée, la conduisant à former une association. Une fois cet apprentissage réalisé, elle étendra son proboscis à la seule présentation de l’odeur neutre. L’expérience…

Dispositif de conditionnement appétitif chez les abeilles. Le test part du constat qu’au contact d’une solution sucrée au niveau de leurs antennes, les abeilles réagissent en étendant leur proboscis (pièces buccales spécialisées dans la succion). Les chercheurs lui présentent une odeur initialement neutre associée à la solution sucrée, la conduisant à former une association. Une fois cet apprentissage réalisé, elle étendra son proboscis à la seule présentation de l’odeur neutre. L’expérience…

Dispositif de conditionnement appétitif chez les abeilles. Le test part du constat qu’au contact d’une solution sucrée au niveau de leurs antennes, les abeilles réagissent en étendant leur proboscis (pièces buccales spécialisées dans la succion). Les chercheurs lui présentent une odeur initialement neutre associée à la solution sucrée, la conduisant à former une association. Une fois cet apprentissage réalisé, elle étendra son proboscis à la seule présentation de l’odeur neutre. L’expérience…

Dispositif de conditionnement appétitif du réflexe d'extension du proboscis (PER) chez l'abeille. Lorsqu'une solution sucrée est présentée au niveau des antennes de l'abeille, celle-ci étend son proboscis (pièces buccales spécialisées dans la succion). Les chercheurs lui présentent une odeur initialement neutre conjointement à la solution sucrée, ce qui conduit à former une association entre l'odeur et la récompense sucrée. Une fois cet apprentissage réalisé, l'abeille étend son proboscis à la…

Dispositif de conditionnement appétitif du réflexe d'extension du proboscis (PER) chez l'abeille. Lorsqu'une solution sucrée est présentée au niveau des antennes de l'abeille, celle-ci étend son proboscis (pièces buccales spécialisées dans la succion). Les chercheurs lui présentent une odeur initialement neutre conjointement à la solution sucrée, ce qui conduit à former une association entre l'odeur et la récompense sucrée. Ici l'expérimentatrice récompense l'abeille en lui présentant un cure…

Dispositif de conditionnement appétitif du réflexe d'extension du proboscis (PER) chez l'abeille. Lorsqu'une solution sucrée est présentée au niveau des antennes de l'abeille, celle-ci étend son proboscis (pièces buccales spécialisées dans la succion). Les chercheurs lui présentent une odeur initialement neutre conjointement à la solution sucrée, ce qui conduit à former une association entre l'odeur et la récompense sucrée. Ici l'expérimentatrice récompense l'abeille en lui présentant un cure…

Dispositif de conditionnement appétitif chez les abeilles. Le test part du constat qu’au contact d’une solution sucrée au niveau de leurs antennes, les abeilles réagissent en étendant leur proboscis (pièces buccales spécialisées dans la succion). Les chercheurs lui présentent une odeur initialement neutre associée à la solution sucrée, la conduisant à former une association. Une fois cet apprentissage réalisé, elle étendra son proboscis à la seule présentation de l’odeur neutre. L’expérience…

Dispositif de conditionnement appétitif du réflexe d'extension du proboscis (PER) chez l'abeille. Lorsqu'une solution sucrée est présentée au niveau des antennes de l'abeille, celle-ci étend son proboscis (pièces buccales spécialisées dans la succion). Les chercheurs lui présentent une odeur initialement neutre conjointement à la solution sucrée, ce qui conduit à former une association entre l'odeur et la récompense sucrée. Ici l'expérimentatrice récompense l'abeille en lui présentant un cure…

Dispositif de conditionnement appétitif du réflexe d'extension du proboscis (PER) chez l'abeille. On observe ici l’abeille étirant son proboscis en réponse à la stimulation olfactive associée à la récompense sucrée. Lorsqu'une solution sucrée est présentée au niveau des antennes de l'abeille, celle-ci étend son proboscis (pièces buccales spécialisées dans la succion). Les chercheurs lui présentent une odeur initialement neutre conjointement à la solution sucrée, ce qui conduit à former une…

Dispositif de conditionnement appétitif du réflexe d'extension du proboscis (PER) chez l'abeille. Les abeilles sont immobilisées dans des harnais de contention. Seuls les antennes, organes olfactifs, et le proboscis sont libres de mouvement. Lorsqu'une solution sucrée est présentée au niveau des antennes de l'abeille, celle-ci étend son proboscis (pièces buccales spécialisées dans la succion). Les chercheurs lui présentent une odeur initialement neutre conjointement à la solution sucrée, ce qui…

Dispositif de conditionnement appétitif du réflexe d'extension du proboscis (PER) chez l'abeille. L’abeille est placée en face d’un "canon à odeurs", appareil permettant la stimulation olfactive. Lorsqu'une solution sucrée est présentée au niveau des antennes de l'abeille, celle-ci étend son proboscis (pièces buccales spécialisées dans la succion). Les chercheurs lui présentent une odeur initialement neutre conjointement à la solution sucrée, ce qui conduit à former une association entre l…

Dispositif de conditionnement appétitif du réflexe d'extension du proboscis (PER) chez l'abeille. L’abeille est placée en face d’un "canon à odeurs", appareil permettant la stimulation olfactive. Lorsqu'une solution sucrée est présentée au niveau des antennes de l'abeille, celle-ci étend son proboscis (pièces buccales spécialisées dans la succion). Les chercheurs lui présentent une odeur initialement neutre conjointement à la solution sucrée, ce qui conduit à former une association entre l…

Dispositif de conditionnement aversif de la phototaxie chez l’abeille. Ce dispositif est composé de deux compartiments éclairés de manière indépendante par 38 LEDs RGB (rouge, vert, bleu). L’abeille ne perçoit pas la lumière rouge. La phototaxie innée de l’abeille (attirance pour la lumière) est utilisée. L’expérimentation consiste à attirer l’abeille depuis un compartiment rouge (dans l’obscurité pour elle) jusqu’à un compartiment illuminé en bleu ou en vert. Un logiciel d’analyse vidéo permet…

Dispositif de conditionnement aversif de la phototaxie chez l’abeille. Ce dispositif est composé de deux compartiments éclairés de manière indépendante par 38 LEDs RGB (rouge, vert, bleu). L’abeille ne perçoit pas la lumière rouge. La phototaxie innée de l’abeille (attirance pour la lumière) est utilisée. L’expérimentation consiste à attirer l’abeille depuis un compartiment rouge (dans l’obscurité pour elle) jusqu’à un compartiment illuminé en bleu ou en vert. Un logiciel d’analyse vidéo permet…

Dispositif de conditionnement aversif de la phototaxie chez l’abeille. Ce dispositif est composé de deux compartiments éclairés de manière indépendante par 38 LEDs RGB (rouge, vert, bleu). L’abeille ne perçoit pas la lumière rouge. La phototaxie innée de l’abeille (attirance pour la lumière) est utilisée. L’expérimentation consiste à attirer l’abeille depuis un compartiment rouge (dans l’obscurité pour elle) jusqu’à un compartiment illuminé en bleu ou en vert. Un logiciel d’analyse vidéo permet…

Dispositif de conditionnement aversif de la phototaxie chez l’abeille. Ce dispositif est composé de deux compartiments éclairés de manière indépendante par 38 LEDs RGB (rouge, vert, bleu). L’abeille ne perçoit pas la lumière rouge. La phototaxie innée de l’abeille (attirance pour la lumière) est utilisée. L’expérimentation consiste à attirer l’abeille depuis un compartiment rouge (dans l’obscurité pour elle) jusqu’à un compartiment illuminé en bleu ou en vert. Un logiciel d’analyse vidéo permet…

Dispositif de conditionnement aversif de la phototaxie chez l’abeille. Ce dispositif est composé de deux compartiments éclairés de manière indépendante par 38 LEDs RGB (rouge, vert, bleu). L’abeille ne perçoit pas la lumière rouge. La phototaxie innée de l’abeille (attirance pour la lumière) est utilisée. L’expérimentation consiste à attirer l’abeille depuis un compartiment rouge (dans l’obscurité pour elle) jusqu’à un compartiment illuminé en bleu ou en vert. Un logiciel d’analyse vidéo permet…

Dispositif de conditionnement aversif de la phototaxie chez l’abeille. Ce dispositif est composé de deux compartiments éclairés de manière indépendante par 38 LEDs RGB (rouge, vert, bleu). L’abeille ne perçoit pas la lumière rouge. La phototaxie innée de l’abeille (attirance pour la lumière) est utilisée. L’expérimentation consiste à attirer l’abeille depuis un compartiment rouge (dans l’obscurité pour elle) jusqu’à un compartiment illuminé en bleu ou en vert. Un logiciel d’analyse vidéo permet…

Dispositif de conditionnement aversif de la phototaxie chez l’abeille. Ce dispositif est composé de deux compartiments éclairés de manière indépendante par 38 LEDs RGB (rouge, vert, bleu). L’abeille ne perçoit pas la lumière rouge. La phototaxie innée de l’abeille (attirance pour la lumière) est utilisée. L’expérimentation consiste à attirer l’abeille depuis un compartiment rouge (dans l’obscurité pour elle) jusqu’à un compartiment illuminé en bleu ou en vert. Un logiciel d’analyse vidéo permet…

Dispositif de conditionnement aversif de la phototaxie chez l’abeille. Ce dispositif est composé de deux compartiments éclairés de manière indépendante par 38 LEDs RGB (rouge, vert, bleu). L’abeille ne perçoit pas la lumière rouge. La phototaxie innée de l’abeille (attirance pour la lumière) est utilisée. L’expérimentation consiste à attirer l’abeille depuis un compartiment rouge (dans l’obscurité pour elle) jusqu’à un compartiment illuminé en bleu ou en vert. Un logiciel d’analyse vidéo permet…

Dispositif de conditionnement aversif de la phototaxie chez l’abeille. Ce dispositif est composé de deux compartiments éclairés de manière indépendante par 38 LEDs RGB (rouge, vert, bleu). L’abeille ne perçoit pas la lumière rouge. La phototaxie innée de l’abeille (attirance pour la lumière) est utilisée. L’expérimentation consiste à attirer l’abeille depuis un compartiment rouge (dans l’obscurité pour elle) jusqu’à un compartiment illuminé en bleu ou en vert. Un logiciel d’analyse vidéo permet…

Préparation de drosophiles avant de les soumettre à un conditionnement suivi d'un test de mémoire. Pour le conditionnement, les drosophiles sont placées dans un barillet à 6 trous, au nombre de 40 par trou. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique. Elles sont ensuite confrontées à une autre odeur sans recevoir de décharge. Ce cycle peut être répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s…

Préparation de drosophiles avant de les soumettre à un conditionnement suivi d'un test de mémoire. Pour le conditionnement, les drosophiles sont placées dans un barillet à 6 trous, au nombre de 40 par trou. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique. Elles sont ensuite confrontées à une autre odeur sans recevoir de décharge. Ce cycle peut être répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s…

Préparation de drosophiles avant de les soumettre à un conditionnement suivi d'un test de mémoire. Pour le conditionnement, les drosophiles sont placées dans un barillet à 6 trous, au nombre de 40 par trou. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique. Elles sont ensuite confrontées à une autre odeur sans recevoir de décharge. Ce cycle peut être répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s…

Préparation de drosophiles avant de les soumettre à un conditionnement suivi d'un test de mémoire. Pour le conditionnement, les drosophiles sont placées dans un barillet à 6 trous, au nombre de 40 par trou. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique. Elles sont ensuite confrontées à une autre odeur sans recevoir de décharge. Ce cycle peut être répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s…

Préparation de drosophiles avant de les soumettre à un conditionnement suivi d'un test de mémoire. Pour le conditionnement, les drosophiles sont placées dans un barillet à 6 trous, au nombre de 40 par trou. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique. Elles sont ensuite confrontées à une autre odeur sans recevoir de décharge. Ce cycle peut être répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s…

Préparation de drosophiles avant de les soumettre à un conditionnement suivi d'un test de mémoire. Pour le conditionnement, les drosophiles sont placées dans un barillet à 6 trous, au nombre de 40 par trou. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique. Elles sont ensuite confrontées à une autre odeur sans recevoir de décharge. Ce cycle peut être répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s…







Barillet contenant 240 drosophiles soumises à un conditionnement en vue d'un test de mémoire. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique. Elles sont ensuite confrontées à une autre odeur sans recevoir de décharge. Ce cycle peut être répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s’effectue sur un autre dispositif, consiste à les placer entre, d’un côté, la première odeur, et de l’autre…

Préparation de drosophiles avant de les soumettre à un conditionnement suivi d'un test de mémoire. Pour le conditionnement, les drosophiles sont placées dans un barillet à 6 trous, au nombre de 40 par trou. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique. Elles sont ensuite confrontées à une autre odeur sans recevoir de décharge. Ce cycle peut être répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s…

Intégration de barillets contenant des drosophiles dans un dispositif de conditionnement. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique. Elles sont ensuite confrontées à une autre odeur sans recevoir de décharge. Ce cycle peut être répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s’effectue sur un autre dispositif, consiste à les placer entre, d’un côté, la première odeur, et de l’autre la…

Intégration de barillets contenant des drosophiles dans un dispositif de conditionnement. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique. Elles sont ensuite confrontées à une autre odeur sans recevoir de décharge. Ce cycle peut être répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s’effectue sur un autre dispositif, consiste à les placer entre, d’un côté, la première odeur, et de l’autre la…

Intégration de barillets contenant des drosophiles dans un dispositif de conditionnement. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique. Elles sont ensuite confrontées à une autre odeur sans recevoir de décharge. Ce cycle peut être répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s’effectue sur un autre dispositif, consiste à les placer entre, d’un côté, la première odeur, et de l’autre la…

Dispositif de conditionnement de drosophiles, avant un test de mémoire. Trois barillets contenant chacun 240 drosophiles reparties dans 6 tubes sont fixés à ce dispositif. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique. Elles sont ensuite confrontées à une autre odeur sans recevoir de décharge. Ce cycle peut être répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s’effectue sur un autre dispositif,…

Récupération de drosophiles après conditionnement en vue d’un test de mémoire. Pour ce test, les drosophiles sont placées dans un barillet à 6 trous, au nombre de 40 par trous. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique, elles sont ensuite confrontées à une autre odeur, sans recevoir de décharge. Ce cycle est répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s’effectue sur un autre dispositif,…

Récupération de drosophiles après conditionnement en vue d’un test de mémoire. Pour ce test, les drosophiles sont placées dans un barillet à 6, au nombre de 40 par trous. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique, elles sont ensuite confrontées à une autre odeur, sans recevoir de décharge. Ce cycle est répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s’effectue sur un autre dispositif,…

Récupération de drosophiles après conditionnement en vue d’un test de mémoire. Pour ce test, les drosophiles sont placées dans un barillet à 6, au nombre de 40 par trous. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique, elles sont ensuite confrontées à une autre odeur, sans recevoir de décharge. Ce cycle est répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s’effectue sur un autre dispositif,…

Récupération de drosophiles après conditionnement en vue d’un test de mémoire. Pour ce test, les drosophiles sont placées dans un barillet à 6, au nombre de 40 par trous. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique, elles sont ensuite confrontées à une autre odeur, sans recevoir de décharge. Ce cycle est répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase, qui s’effectue sur un autre dispositif,…

Tubes contenant des drosophiles Qui vont être soumises à un conditionnement en vue d'un test de mémoire. Pour ce test, les drosophiles sont placées dans un barillet à 6 trous, au nombre de 40 par trous. Dans un premier temps, elles sont exposées à une odeur associée immédiatement à un choc électrique, elles sont ensuite confrontées à une autre odeur, sans recevoir de décharge. Ce cycle est répété à plusieurs reprises pour solliciter leur mémoire à long terme. La troisième phase consiste à les…

Intégration de drosophiles dans un dispositif de test de l’apprentissage ou de la mémoire. Des mouches préalablement conditionnées ont la possibilité de se diriger, d’un côté, vers une odeur qui, lors du processus de conditionnement était associée à un choc électrique, de l’autre côté vers une odeur qui n’était associée à aucune décharge. Le résultat montre que ces mouches sont 30 à 40 % plus nombreuses à se diriger vers la deuxième odeur, sans décharge associée, que les drosophiles dites…

Intégration de drosophiles dans un dispositif de test de l’apprentissage ou de la mémoire. Des mouches préalablement conditionnées ont la possibilité de se diriger, d’un côté, vers une odeur qui, lors du processus de conditionnement était associée à un choc électrique, de l’autre côté vers une odeur qui n’était associée à aucune décharge. Le résultat montre que ces mouches sont 30 à 40 % plus nombreuses à se diriger vers la deuxième odeur, sans décharge associée, que les drosophiles dites…

Intégration de drosophiles dans un dispositif de test de la mémoire. Des mouches préalablement conditionnées ont la possibilité de se diriger, d’un côté, vers une odeur qui, lors du processus de conditionnement était associée à un choc électrique, de l’autre côté vers une odeur qui n’était associée à aucune décharge. Le résultat montre que ces mouches sont 30 à 40 % plus nombreuses à se diriger vers la deuxième odeur, sans décharge associée, que les drosophiles dites naïves (non conditionnées)…

Test d’apprentissage ou de mémoire sur des drosophiles. Des mouches préalablement conditionnées ont la possibilité de se diriger, d’un côté, vers une odeur qui, lors du processus de conditionnement était associée à un choc électrique, de l’autre côté vers une odeur qui n’était associée à aucune décharge. Le résultat montre que ces mouches sont 30 à 40 % plus nombreuses à se diriger vers la deuxième odeur, sans décharge associée, que les drosophiles dites naïves (non conditionnées). D’autres…

Test d’apprentissage ou de mémoire sur des drosophiles. Des mouches préalablement conditionnées ont la possibilité de se diriger, d’un côté, vers une odeur qui, lors du processus de conditionnement était associée à un choc électrique, de l’autre côté vers une odeur qui n’était associée à aucune décharge. Le résultat montre que ces mouches sont 30 à 40 % plus nombreuses à se diriger vers la deuxième odeur, sans décharge associée, que les drosophiles dites naïves (non conditionnées). Ici, la…

Test d’apprentissage ou de mémoire sur des drosophiles. Des mouches préalablement conditionnées ont la possibilité de se diriger, d’un côté, vers une odeur qui, lors du processus de conditionnement était associée à un choc électrique, de l’autre côté vers une odeur qui n’était associée à aucune décharge. Le résultat montre que ces mouches sont 30 à 40 % plus nombreuses à se diriger vers la deuxième odeur, sans décharge associée, que les drosophiles dites naïves (non conditionnées). Ici, la…

Test d’apprentissage ou de mémoire sur des drosophiles. Des mouches préalablement conditionnées ont la possibilité de se diriger, d’un côté, vers une odeur qui, lors du processus de conditionnement était associée à un choc électrique, de l’autre côté vers une odeur qui n’était associée à aucune décharge. Le résultat montre que ces mouches sont 30 à 40 % plus nombreuses à se diriger vers la deuxième odeur, sans décharge associée, que les drosophiles dites naïves (non conditionnées). Ici, la…

Manipulation du myxomycète, "Physarum polycephalum", communément appelé blob. Parmi les nombreuses caractéristiques de cet organisme unicellulaire, le blob cicatrise en moins de deux minutes et peut réorganiser tout son système veineux en trois heures. Il peut également être cloné s’il est découpé en morceaux d’un millimètre minimum. Sensible à la lumière, il se développe en milieu humide et se nourrit de bactéries et de champignons. Il peut doubler de taille chaque jour. Bien que dépourvu de…

Découpage du myxomycète, "Physarum polycephalum", communément appelé blob. Parmi les nombreuses caractéristiques de cet organisme unicellulaire, le blob cicatrise en moins de deux minutes et peut réorganiser tout son système veineux en trois heures. Il peut également être cloné s’il est découpé en morceaux d’un millimètre minimum. Sensible à la lumière, il se développe en milieu humide et se nourrit de bactéries et de champignons. Il peut doubler de taille chaque jour. Bien que dépourvu de…

Manipulation du myxomycète, "Physarum polycephalum", communément appelé blob, coupé en deux. Parmi les nombreuses caractéristiques de cet organisme unicellulaire, le blob cicatrise en moins de deux minutes et peut réorganiser tout son système veineux en trois heures. Il peut également être cloné s’il est découpé en morceaux d’un millimètre minimum. Sensible à la lumière, il se développe en milieu humide et se nourrit de bactéries et de champignons. Il peut doubler de taille chaque jour. Bien…

Humidification d’une boite de Pétri destinée à accueillir le myxomycète, "Physarum polycephalum", communément appelé blob. Cet organisme unicellulaire se développe en milieu humide et se nourrit de bactéries et de champignons qu’il digère grâce à des substances chimiques. Il peut doubler de taille chaque jour. S’il sèche, il prend la forme de sclérote (forme de conservation hivernale des champignons), et supprime toute la toxicité accumulée. Il suffit alors de quelques gouttes d’eau pour le…

Dépôt du myxomycète, "Physarum polycephalum", communément appelé blob, dans une boîte de Petri humidifiée. Cet organisme unicellulaire se développe en milieu humide et se nourrit de bactéries et de champignons qu’il digère grâce à des substances chimiques. Il peut doubler de taille chaque jour. S’il sèche, il prend la forme de sclérote (forme de conservation hivernale des champignons), et supprime toute la toxicité accumulée. Il suffit alors de quelques gouttes d’eau pour le raviver…

Nourrissage du myxomycète, "Physarum polycephalum", communément appelé blob, avec des flocons d’avoine. Cet organisme unicellulaire se développe en milieu humide et se nourrit de bactéries et de champignons qu’il digère grâce à des substances chimiques. En laboratoire, les chercheurs le nourrissent de flocons d’avoine. S’il est correctement nourri il peut doubler de taille chaque jour et mesurer jusqu’à 10 m2. S’il sèche, il prend la forme de sclérote (forme de conservation hivernale des…

Nourrissage du myxomycète, "Physarum polycephalum", communément appelé blob, avec des flocons d’avoine. Cet organisme unicellulaire se développe en milieu humide et se nourrit de bactéries et de champignons qu’il digère grâce à des substances chimiques. En laboratoire, les chercheurs le nourrissent de flocons d’avoine. S’il est correctement nourri il peut doubler de taille chaque jour et mesurer jusqu’à 10 m2. S’il sèche, il prend la forme de sclérote (forme de conservation hivernale des…

Humidification du myxomycète, "Physarum polycephalum", communément appelé blob, nourri aux flocons d’avoine. Cet organisme unicellulaire se développe en milieu humide et se nourrit de bactéries et de champignons qu’il digère grâce à des substances chimiques. En laboratoire, les chercheurs le nourrissent de flocons d’avoine. Il peut doubler de taille chaque jour. S’il sèche, il prend la forme de sclérote (forme de conservation hivernale des champignons), et supprime toute la toxicité accumulée…

Dépôt du myxomycète, "Physarum polycephalum", communément appelé blob, dans une étuve. Disposé dans des boîtes de Pétri, cet organisme unicellulaire est d’abord nourri et humidifié. Le blob peut doubler de taille chaque jour et se déplace en étendant ses pseudopodes tout en contractant sa membrane avec son réseau veineux. En laboratoire, les chercheurs le placent dans des étuves car il supporte peu la luminosité et a constamment besoin d’humidité. Ceci leur permet également d’observer son…

Observation de neurones de cortex embryonnaire de cerveau de rat en microscopie de fluorescence. Les chercheurs observent les mitochondries (centrales énergétiques des cellules) pour déterminer leur nombre, leur taille et leur distribution dans les différents compartiments neuronaux (dendrites, axones, synapses). Les mitochondries forment un réseau plus ou moins interconnecté. Leurs tailles varient selon les compartiments neuronaux et les contextes physiologiques et pathologiques. Ainsi, dans l…

Observation de neurones de cortex embryonnaire de cerveau de rat en microscopie de fluorescence. Les chercheurs observent les mitochondries (centrales énergétiques des cellules) pour déterminer leur nombre, leur taille et leur distribution dans les différents compartiments neuronaux (dendrites, axones, synapses). Les mitochondries forment un réseau plus ou moins interconnecté. Leurs tailles varient selon les compartiments neuronaux et les contextes physiologiques et pathologiques. Ainsi, dans l…

Observation de neurones de cortex embryonnaire de cerveau de rat en microscopie de fluorescence. Les chercheurs observent les mitochondries (centrales énergétiques des cellules) pour déterminer leur nombre, leur taille et leur distribution dans les différents compartiments neuronaux (dendrites, axones, synapses). Les mitochondries forment un réseau plus ou moins interconnecté. Leurs tailles varient selon les compartiments neuronaux et les contextes physiologiques et pathologiques. Ainsi, dans l…