Dossier

À l’écoute de la Terre et des planètes

Découvrez les appareils d’analyse, les techniques de mesure et les instruments d’observation qui permettent d’étudier les processus géologiques et environnementaux, sur la Terre et au-delà.

Changement de caméra sur le télescope Iris (Initiation à la recherche en astronomie pour les scolaires) à l’Observatoire de Haute-Provence (Provence-Alpes-Côte d’Azur).
Changement de caméra sur le télescope Iris (Initiation à la recherche en astronomie pour les scolaires) à l’Observatoire de Haute-Provence (Provence-Alpes-Côte d’Azur).

© Cyril Frésillon / LAM / CNRS Images

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À l’occasion de l’année des géosciences, venez découvrir un robot qui analyse les pierres martiennes « in situ », un avion instrumenté pour étudier les orages et un ULM pour mesurer les nuages, un spectromètre de masse pour dater les carottes de glace, un détecteur à muons pour voir l’intérieur des volcans ou un dispositif de réalité virtuelle pour observer la surface des planètes du système solaire. Mais aussi des hydrophones, des sonars, des stations sismiques, des gravimètres, des courantomètres et bien plus encore.  

20210137_0007
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Durant l’été austral, en Antarctique, le soleil ne se couche jamais. Il descend simplement à l'horizon, projetant une lueur rouge-doré sur l'océan glacé. Cette photo a été prise à bord du navire de recherche sud-africain, le SA Agulhas II. Les scientifiques procédaient alors à des échantillonnages océanographiques dans l’inhospitalière et méconnue mer de Weddell. Ici, deux des marins du brise-glace déploient le CTD (Conductivity Temperature Depth), une sonde mesurant la température et la…

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Coucher de sonde
20160080_0085
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Analyse par chromatographie en phase gazeuse et spectrométrie de masse, de la composition en biomarqueurs moléculaires et polluants organiques d'extraits de sédiments issus d’une carotte prélevée dans une chambre à sable. Dans cet équipement d'assainissement situé sous le quai de la Madeleine, à Orléans, 7 millions de m³ d'eaux usées et pluviales en provenance du nord de l'agglomération sont prétraitées chaque année, avant leur transfert vers les stations d'épuration. Ce bassin conique,…

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Analyse par chromatographie et spectrométrie de sédiments prélevés dans une chambre à sable
20230008_0003
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Pas d'utilisation commerciale

Perseverance, l’astromobile (rover) de la NASA, dans le cratère Jezero, sur Mars, où il s’est posé en 2021. Cet ancien lac, qui était rempli d’eau il y a 3,5 milliards d'années, pourrait avoir préservé des traces de forme de vie. Afin de vérifier cette hypothèse, le robot collecte des échantillons de sol qui seront rapportés sur Terre en 2031 pour être soumis à des analyses plus précises. Pour ce faire, il emporte sept instruments scientifiques, parmi lesquels SuperCam qui est chargé de…

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L'astromobile (rover) Perseverance dans le cratère Jezero, sur Mars
20220119_0013
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Attention image soumise à restrictions nous contacter

Le trajectographe à muons face au volcan Snaefellsjökull, en Islande. Ce détecteur de muons est constitué de trois plans de détection assemblés sur une structure métallique et protégés ici par des housses. Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'innovation du CNRS 2022 à l'origine de la start-up Muodim, et l'équipe de muographie de l’Institut de physique des 2 infinis de Lyon (IP2I-Lyon) cherchent à imager le Snaefellsjökull, un volcan immortalisé par Jules Verne dans "Voyage au centre de…

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Le trajectographe à muons face au volcan Snaefellsjökull, Islande
20210056_0005
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Mise à l’eau d’une bathysonde rosette, lors de la campagne SWINGS. Cette couronne de bouteilles échantillonneurs Niskin est utilisée pour prélever l’eau à différents niveaux de profondeur. Les bouteilles sont descendues ouvertes et refermées aux profondeurs souhaitées, grâce au câble électroporteur qui relie la rosette au navire. Les prélèvements sont ensuite alloués aux différentes équipes scientifiques, pour mesurer les éléments chimiques, les microorganismes, etc. qu’ils contiennent. La…

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Mise à l’eau d'une bathysonde rosette, lors de la campagne SWINGS
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Pour toute exploitation commerciale contacter le producteur délégué

Mieux comprendre la physique, la chimie et la biologie des océans, et ainsi mieux prévoir leurs effets sur l'évolution du climat, c'est l'objet du réseau scientifique mondial de flotteurs profileurs Argo. Des plateformes autonomes qui parcourent les profondeurs aquatiques à la rencontre des courants et du petit peuple océanique. Dernier-né de cette flotte, un petit bijou de technologie, le flotteur profileur BGC-Argo (nKe), spécialement équipé pour étudier le plancton. Découverte avec l'équipe…

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Sonder les océans
20220020_0069
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Mise à l’eau de la BioCam depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Grâce à ses deux caméras intelligentes, cet appareil est capable d’observer la bioluminescence émise par les organismes marins et de les reconstruire en trois dimensions. Il est installé sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec plusieurs autres dispositifs : un sismographe, un spectromètre gamma, le BathyReef (un récif artificiel bio-inspiré) et le rover sous-marin…

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Mise à l’eau de la BioCam depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0063
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Mise à l’eau de BathyBot. Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le…

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Mise à l’eau de BathyBot
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Test en bassin du rover sous-marin benthique BathyBot. Des essais sont réalisés à quelques mètres de profondeur avant de le déployer sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon. Ce robot d’exploration téléopéré via Internet est dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il sera installé en permanence sur le site d'EMSO-LO où il récoltera des données…

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Test en bassin du rover sous-marin benthique BathyBot
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Test en bassin du rover sous-marin benthique BathyBot. Des essais sont réalisés à quelques mètres de profondeur avant de le déployer sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon. Il sera installé avec le BathyDock (à gauche), une structure qui le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée, à droite) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Ce robot d’exploration téléopéré via Internet est dédié au suivi sur le long terme…

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Test en bassin de BathyBot, du BathyDock et de la boîte de jonction scientifique
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Intérieur de BathyReef durant un test en bassin. Le récif artificiel bioinspiré BathyReef est un colonisateur en béton dont la forme s’inspire des ascidies, un animal vivant dans les fonds marins. Il est testé à quelques mètres de profondeur avant de le déployer sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec le rover sous-marin benthique BathyBot. Ce robot suivra sur plusieurs années l’environnement, la biodiversité et les potentiels impacts…

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Test en bassin de BathyReef
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Uniquement disponible pour exploitation non commerciale

Plus d'un an après sa mise à l'eau, BathyBot vient de s'éveiller au fond de la mer Méditerranée. Plongez aux côtés de ce robot téléopéré depuis la surface, le premier à être installé de façon permanente à 2400 mètres de profondeur pour au moins cinq ans. Accompagné d'un récif artificiel et d'une batterie d'instruments, BathyBot permettra d'étudier la biodiversité, la bioluminescence et les processus biogéochimiques des fonds marins. Imaginé…

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BathyBot, le robot des profondeurs
20230065_0002
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Déploiement du Nœud de connexion 1 du Laboratoire sous-marin Provence Méditerranée (LSPM) avec un navire câblier d'Orange Marine. Cette infrastructure installée par 2 450 mètres de profondeur, à 40 kilomètres au sud de Toulon, rassemble des instruments pour étudier les neutrinos et l’environnement marin. Il s’agit d’une infrastructure sous-marine câblée organisée autour d’une série de nœuds de connexion et de systèmes intelligents qui alimentent plusieurs instruments scientifiques et en…

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Déploiement du Nœud de connexion 1 du Laboratoire sous-marin Provence Méditerranée (LSPM)
20230012_0018
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Premier essai en mer du prototype du profileur VVP (Vertical Velocity Profiler) destiné à mesurer les courants marins verticaux. Il a été mis à l'eau dans la rade de Marseille, dans la mer Méditerranée, par l'Antédon II, un navire de la flotte océanographique française. Deux plongeurs accompagnent le prototype et réalisent la couverture photo et vidéo afin de documenter son comportement in situ. Le VVP a été imaginé et fabriqué par l'Institut méditerranéen d'océanologie (MIO). Cette image a été…

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Une invention au service de l'étude des courants marins
20170007_0055
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Scientifiques danois mettant à l'eau un courantomètre, à la base de Daneborg, au Groenland. Cet appareil mesure les mouvements des courants marins, la physique de l'eau, ainsi que les mouvements des masses d'eau à l'interface entre le sédiment et l'eau. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC, dont le but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes benthiques arctiques et notamment le renouvellement des populations de bivalves, en étudiant les retards à la…

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Scientifiques danois mettant à l'eau un courantomètre, au Groenland
20140001_0061
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Courantomètre et sonde de mesure de l'oxygène dissous, installés dans le lagon de Nouvelle Calédonie, dans l'océan Pacifique. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du projet de recherche IBANOE dont l'objectif est d'identifier de nouveaux indicateurs des apports anthropiques (nutriments, métaux lourds) et du fonctionnement trophique du lagon sud-ouest de Nouvelle-Calédonie. In fine, il s'agit d'appréhender l'intensité et l'étendue spatiale des apports anthropiques de Nouvelle…

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Courantomètre et sonde de mesure de l'oxygène, dans le lagon de Nouvelle-Calédonie
20170126_0017
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Préparation du mouillage de courantomètres, dans le laboratoire situé à Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

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Préparation du mouillage de courantomètres
20160071_0083
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Châssis supportant des hydrophones, installé aux abords de la base Dumont d'Urville, en Terre Adélie. Ces appareils permettent d'enregistrer le paysage sonore : bruits de la glace, de la faune... Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme REVOLTA (Ressources écologiques et valorisation par un observatoire à long terme en Terre Adélie). Ce programme consiste à étudier la faune et la flore de l'Antarctique, milieu qui ne subit que des variations naturelles. Cet observatoire est…

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Châssis supportant des hydrophones, installé en Terre Adélie
20230021_0011
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Déploiement d’un courantomètre de type ADCP lander depuis le navire océanographique L'Atalante, pour mesurer les courants de fond aux alentours de la faille Nord Alfeo, dans le cadre de la campagne FocusX3. Le comportement de cette faille située sous la Méditerranée est peu connu sur le long terme mais les scientifiques surveillent en continu son activité à l’aide d’un câble de fibre optique. Installé sur le fond marin, il traverse la faille en quatre points. L’état de contrainte du câble, qui…

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Déploiement d’un courantomètre de type ADCP lander durant la campagne FocusX3
20230021_0009
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Mise à l’eau d’une station géodésique ou balise acoustique "Canopus" depuis le navire océanographique L'Atalante. Elle est installée sur la faille Nord Alfeo durant la campagne FocusX3. Le comportement de cette faille située sous la Méditerranée est peu connu sur le long terme mais les scientifiques surveillent en continu son activité à l’aide d’un câble de fibre optique. Installé sur le fond marin, il traverse la faille en quatre points. L’état de contrainte du câble, qui s’étire à certains…

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Mise à l’eau d’une station géodésique de type "Canopus" durant la campagne FocusX3
20230021_0004
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Stations géodésiques ou balises acoustiques "Canopus" sur le navire océanographique L'Atalante, prêtes à être déployées le long de la faille Nord Alfeo, durant la campagne FocusX3. Le comportement de cette faille située sous la Méditerranée est peu connu sur le long terme mais les scientifiques surveillent en continu son activité à l’aide d’un câble de fibre optique. Installé sur le fond marin, il traverse la faille en quatre points. L’état de contrainte du câble, qui s’étire à certains…

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Stations géodésiques de type "Canopus" sur L'Atalante, durant la campagne FocusX3
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Annie Souriau, sismologue au laboratoire Dynamique terrestre et planétaire de Toulouse, répond aux questions concernant les moyens de prévention contre les séismes. Depuis le temps que les hommes regardent la Terre trembler, ont-ils appris à anticiper ses soubressauts ? Dans certaines régions sismiques, les scientifiques ont observé que la composition chimique des eaux de source changeait avant la survenue d'un tremblement de Terre. Pourquoi ne pas utiliser ce phénomène pour prévoir…

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Peut-on prévoir un séisme ?
20240002_0017
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Installation de capteurs de température à différents endroits au bord du lac d’Eklutna, à 70 km au nord-est de la ville d’Anchorage, en Alaska. Ces capteurs vont permettre de connaître l’état du pergélisol sur les montagnes tout autour du lac et son évolution. Le pergélisol est un sol perpétuellement gelé où les roches et sédiments sont agglomérés par de la glace. Avec le changement climatique et l'augmentation des températures, il dégèle, se gorge d'eau, ce qui peut provoquer des glissements…

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Installation de capteurs de température à différents endroits au bord du lac d’Eklutna, en Alaska
20240002_0021
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Vérification de la sonde d'un des capteurs de température placés à différents endroits au bord du lac d’Eklutna, à 70 km au nord-est de la ville d’Anchorage, en Alaska. Les capteurs permettront de mesurer les températures pendant un an et de construire ensuite un modèle du pergélisol à cet endroit. En combinant ce modèle aux données météorologiques, les scientifiques pourront comprendre l'état du pergélisol et anticiper un potentiel glissement de terrain. Le pergélisol est un sol…

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Vérification de la sonde d'un des capteurs de température placés au bord du lac d’Eklutna en Alaska
20170113_0001
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Carte présentant l'évaluation des dégâts de l’ouragan Irma, dans la région de la baie de Saint-Jean, à Saint-Barthélémy (Antilles françaises), dérivée de l'imagerie Pléiades acquise le 8 septembre 2017. Les bâtiments moyennement et fortement affectés sont représentés (points rouge et orange), ainsi que les dégâts sur le réseau routier et les infrastructures aéroportuaires. Le 6 septembre 2017, l'ouragan Irma, une puissante tempête de catégorie 5, a commencé à frapper les Caraïbes, en…

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Carte de l'évaluation des dégâts de l’ouragan Irma dans la baie de Saint-Jean à Saint-Barthélémy
20160021_0065
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Mise à l'eau d'un catamaran transportant un sismographe par petits fonds, sur le pont arrière du navire Alis de l’IRD (Institut de recherche pour le développement). Les îles du Pacifique sont particulièrement touchées par les tsunamis et les cyclones tropicaux qui deviennent de plus en plus fréquents. Le ressac consécutif à ces catastrophes naturelles provoque une hausse brutale des eaux qui transporte des sédiments terrestres jusqu'à la mer et les dépose dans les zones peu profondes. L'analyse…

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Mise à l'eau d'un catamaran transportant un sismographe, Samoa américaines
20010001_1063
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Enregistrement sismologique d'un séisme de magnitude 4,7 dans la région de Menton (Alpes Maritimes) sur deux stations du réseau TGRS (traces du bas). Les deux figures du haut représentent les spectres observés et modélisés de ce séisme (bleu, rouge) et d'un séisme plus petit (vert) utilisé comme fonction de Green empirique.

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Enregistrement sismologique d'un séisme de magnitude 4,7 dans la région de Menton (Alpes Maritimes)
20210142_0004
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Préparation d'un drone lors de l'étude d'un glissement de terrain qui s'est produit en 2018 dans le cirque de Fremri-Grjótárdalur, au nord de l'Islande. Le glissement a été repéré grâce à la télédétection. Les prises de vue par drone permettront de réaliser un modèle numérique du terrain utilisé pour mesurer les molards présents dans les dépôts et ainsi caractériser la topographie du glissement de terrain. Les molards sont des cônes de débris présents dans les dépôts des glissements de terrain,…

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20210142_0004
Préparation d'un drone pour réaliser un relevé de glissement de terrain
20140001_0533
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Shelter de sismologie, à 1 km de la base Concordia, en Antarctique. Ce shelter permet l'accès à la cave sismologique et aux sismomètres installés à 15 m sous la surface. Ces équipements correspondent à une station sismologique large-bande de type "observatoire". Cette station sismologique fait partie du programme de sismologie à Concordia, Sismordia, qui a 2 objectifs : le fonctionnement d'une station sismologique large-bande proche de la base et le déploiement de stations autonomes…

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Shelter de sismologie, à 1 km de la base Concordia en Antarctique
20140001_0516
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Vérifications détaillées de la station CAS01 à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base. Elles ne sont accessibles qu'en été. Le but est de contribuer…

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Vérifications détaillées de la station CAS01 à 5 km de la base Concordia, en Antarctique
20140001_0503
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Station sismologique autonome CAS03 déneigée, à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base. Elles ne sont accessibles qu'en été. Le but est de…

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20140001_0503
Station sismologique autonome CAS03 déneigée, à 5 km de la base Concordia en Antarctique
20150001_0929
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Surveillance des données enregistrées par la station sismologique de la base Concordia, en Antarctique. Sur le graphique, les perturbations sont liées à l'activité de la base : les véhicules logistiques et l'arrivée du raid de ravitaillement. Il s'agit de l'une des deux seules stations sismologiques de l'intérieur du continent, ce qui rend les données enregistrées particulièrement importantes. Ces données sont mises à disposition gratuitement pour toute la communauté scientifique. Cette station…

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Surveillance des données d'une cave sismologique en Antarctique
20220067_0001
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Mesure de la pesanteur dans un site souterrain naturel sur le plateau du Larzac, en Occitanie, à l’aide d’un gravimètre relatif. La pesanteur résulte des forces exercées sur un corps par l’attraction de la masse terrestre. Les gravimètres relatifs ne mesurent pas une valeur absolue mais la différence du champ de pesanteur entre deux points, ce qui permet de cartographier la différence de pesanteur par rapport à un point de référence (ici la surface) au cours du temps. Cet instrument appartient…

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20220067_0001
Mesures gravimétriques souterraines avec un gravimètre relatif du Gmob, Larzac
20220067_0004
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Antenne GNSS sur un trépied à Djibouti. Le parc Résif-GPSMob met à disposition de la communauté scientifique des instruments GNSS (des systèmes de positionnement par satellites) mobiles pour des campagnes de mesures géodésiques sur de courtes périodes. Depuis sa création en 1990, il permet de réaliser chaque année une quinzaine de campagnes dont les données sont mises à disposition des scientifiques. Ce parc de capteurs mobiles est l'une des composantes de l'infrastructure de recherche Résif…

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Point de mesure GNSS temporaire durant une campagne de mesures géodésiques à Djibouti
20220067_0005
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Gravimètre supraconducteur du Résif, hébergé par l’Ecole et observatoire des sciences de la Terre de Strasbourg. Les gravimètres permettent de quantifier la composante verticale de la pesanteur. Celui-ci fournit la contribution française aux mesures continues des variations temporelles du champ de pesanteur terrestre. Ces mesures permettent d’étudier des phénomènes géophysiques, depuis les modes propres de la Terre (les vibrations du Globe terrestre hors des séismes) jusqu’au mouvement du pôle…

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Gravimètre supraconducteur de l'observatoire gravimétrique de Strasbourg
20220067_0007
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Station sismologique REYF implantée sur la montagne du Rey, dans les Pyrénées-Atlantiques, à 770 m d’altitude. Au premier plan, le local technique qui protège le matériel d'acquisition et de transmission des données et les panneaux solaires alimentant la station. En amont, le puits sismique qui contient le capteur installé à 5 m de profondeur. Cette station est intégrée au Réseau large bande permanent (RLBP) dédié à l’observation sismologique permanente en France métropolitaine. Les stations…

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Station sismologique REYF de la montagne du Rey, Pyrénées-Atlantiques
20220067_0009
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Réception de 250 capteurs sismiques (sismomètres) à Sveagruva, un fjord de l’archipel norvégien du Svalbard, dans le cadre du projet Icewaveguide. Les capteurs seront déployés afin d’écouter les vibrations naturelles de la banquise éphémère (qui ne se forme que quelques mois par an dans ce fjord) et en déduire ses caractéristiques mécaniques (épaisseur, solidité, etc.). Le projet Icewaveguide cherche à mieux évaluer la qualité de la glace polaire. Alors que le changement climatique entraîne la…

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Réception de stations sismologiques mobiles du projet Icewaveguide, à Sveagruva, Svalbard
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Jean-Pierre Valet, paléomagnéticien à l'Institut de Physique du Globe de Paris, explique comment nous protège le champ magnétique englobant la Terre. D'où vient-il ? Comment varie-t-il ? Si les boussoles avaient existé il y a 800 000 ans, leurs aiguilles auraient indiqué... le sud ! Depuis que le champ magnétique terrestre existe, il s'est inversé à de nombreuses reprises. Comment les scientifiques ont-ils fait pour découvrir le renversant passé magnétique de notre planète ?…

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Terre peut-elle perdre le nord ? (La)
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Jacques Malavieille, géologue au laboratoire Géosciences de Montpellier, aborde la question des processus qui conduisent à la disparition totale de chaînes de montagnes. Il y a un peu plus de 300 millions d'années, au coeur de ce qui deviendra la France, s'élevait une impressionnante chaîne de montagnes aux reliefs semblables à ceux de l'Himalaya. Elle a aujourd'hui complètement disparu. Les scientifiques connaissent des dizaines d'anciennes montagnes qui ont ainsi…

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Comment les montagnes disparaissent-elles ?
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Jacques Malavieille, géologue au laboratoire Géosciences de Montpellier, explique les processus qui conduisent à la formation des montagnes. Les Alpes comme l'Himalaya n'ont pas toujours été là. Comment ces chaînes de montagnes sont-elles apparues ? Comment ont-elles grandi ? Sur Mars, certains reliefs dépassent 20 kilomètres alors que sur Terre les chaînes de montagnes ne dépassent pas 9000 mètres. Pourquoi ?

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Comment naissent les montagnes ?
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Alain Prinzhofer, géochimiste à l'Institut de Physique du Globe de Paris, explique pourquoi le prix des matières premières augmente de façon plus importante que le baril de pétrole. Comment expliquer par exemple que le cuivre ou l'hélium soient devenus si chers ? Aurions-nous déjà épuisé toutes les ressources de notre planète ? Peut-on espèrer découvrir de nouvelles mines et de nouveaux gisements ?

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Quels trésors recèlent encore les sous-sols de la planète ?
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Dans la grande famille des volcans, il y a les gris et les rouges. Il y a ceux qui explosent et ceux qui produisent des coulées de laves fluides. Mais ces différences sont-elles significatives pour les scientifiques ? Sylvie Vergniolle, volcanologue à l'Institut de Physique du Globe de Paris, nous présentent les points communs entre le Fuji-Yama au Japon, la Soufrière en Guadeloupe et la Montagne Pelée en Martinique. Par ailleurs, elle explique en quoi le piton de la Fournaise de l…

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Tous les volcans se ressemblent-ils ?
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Immenses coulées de laves incandescentes, fragments de magma projetés à plusieurs dizaines de kilomètres dans l'atmosphère, les éruptions volcaniques sont toujours très spectaculaires. Mais à quoi sont-elles dues ? De la cocotte minute au verre de bière en passant par le pot de miel, Sylvie Vergniolle, volcanologue à l'Institut de Physique du Globe de Paris, nous concocte un petit assortiment de métaphores culinaires pour mieux nous faire comprendre la cuisine interne des volcans.

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Comment un volcan fonctionne-t-il ?
20230070_0002
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Attention image soumise à restrictions nous contacter

Déplacement du trajectographe à muons partiellement démonté, dans le parc national du Snaefellsjökull, en Islande, par les scientifiques et des rangers du parc. Il est déplacé de Vatnselllir, où il récolte des données depuis un an, vers un site plus proche du sommet du volcan Snaefellsjökull. Le détecteur de muons permet aux scientifiques d'imager ce volcan immortalisé par Jules Verne dans "Voyage au centre de la Terre". La muographie est une technique innovante d’imagerie révélant l’intérieur…

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Déplacement du trajectographe à muons sur le site de Vatnselllir, parc national du Snaefellsjökull, Islande
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Film réservé à la consultation

En Islande, l'équipe de muographie de l'Institut des 2 Infinis de Lyon (IP2I - Lyon) installe un détecteur à muons afin d'imager le volcan Snaefellsjökull. Jacques Marteau, physicien des particules lauréat de la médaille de l'innovation du CNRS 2022, présente ce procédé innovant qui permet d'obtenir une image de l'intérieur des structures traversées, comme avec les rayons X en imagerie médicale. La muographie devrait permettre de vérifier l'existence d'un système hydrothermal actif au sein du…

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Dans les entrailles du Snaefellsjökull
20210118_0009
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Cartographie de la baie d'Opunohu, à Moorea, en Polynésie française, avec le sonar multifaisceaux Ping DSP de la barge scientifique Nohu-Criobe. La barge est un laboratoire mobile dédié à l’étude de l’écosystème récifal constitué d’une plateforme de recherche équipée de technologies de pointe. Cet outil innovant peut être déployé temporairement au sein du récif corallien dans le cadre de projets nécessitant d’expérimenter directement sur le terrain avec des outils de laboratoire. Ses quatre…

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20210118_0009
Sonar multifaisceaux Ping DSP de la barge scientifique Nohu-Criobe
20210118_0004
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Séquences de tests de la barge scientifique Nohu-Criobe, réalisées par les chantiers navals Nautisport Industrie (NSI) afin d'obtenir le permis de navigation. La barge est un laboratoire mobile dédié à l’étude de l’écosystème récifal constitué d’une plateforme de recherche équipée de technologies de pointe. Cet outil innovant peut être déployé temporairement au sein du récif corallien dans le cadre de projets nécessitant d’expérimenter directement sur le terrain avec des outils de laboratoire…

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Test de la barge scientifique Nohu-Criobe par les chantiers navals NSI
20240005_0001
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Préparation d’un sondeur de sous-sol sur la berge du lac Gemeri, dans la dépression de l’Afar, en Éthiopie. Relié à un bateau pneumatique, il sillonnera le lac pour imager les structures géologiques du fond grâce à la méthode de sismique par réflexion. L’Afrique tropicale a connu de 14 000 à 6 000 ans une période humide, le Sahara vert, suivie par une aridification progressive qui aboutit au Sahara actuel. Pendant le Sahara vert, des évènements arides ou hyperarides se mettent aussi en place en…

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Préparation d’un sondeur de sous-sol sur la berge du lac Gemeri, Éthiopie
20230112_0037
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Acquisition de profils sismiques dans le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Le détecteur sismique sillonne le lac en envoyant des ondes acoustiques dans le sous-sol, qui se réfléchissent à mesure qu’elles rencontrent les différentes couches de sédiments. Leur temps de propagation renseigne sur la structure géologique du fond. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations…

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Acquisition de profils sismiques dans le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
20150001_1089
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Cibles utilisées pour scanner le paysage avec un laser lidar, au cours d’une mission en Chine pour l’étude de la faille de Fuyun, en 2012. Elles sont placées le long d'une faille avec en arrière-plan la chaîne de l'Altaï, en Mongolie. La faille de Fuyun est l’endroit où a eu lieu le séisme de magnitude 8 du 11 août 1831. Cette région relativement aride a permis une bonne conservation des traces de rupture de ce séisme. Le lidar sert à acquérir des modèles numériques de terrain de haute…

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Cibles pour scanner le paysage avec un laser lidar lors d'une étude de la faille de Fuyun en Chine
20190022_0022
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Tirs de LarserScan effectués sur un dépôt d'avalanche, dans la vallée de l'Arc, en Haute-Maurienne, Savoie. Cet instrument de télédétection permet la réalisation de modèles numériques de terrain en trois dimensions d'une très grande précision. Dans ce secteur particulièrement exposé au risque d'avalanche, des scientifiques du CNRS et d'Irstea effectuent relevés et prélèvements sur des dépôts, là où les écoulements terminent leur course. Leur objectif est de modéliser les coulées pour comprendre…

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Tirs de LarserScan sur un dépôt d'avalanche, dans la vallée de l'Arc, en Haute-Maurienne
20080001_0678
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Carte des reliefs du nord de la Patagonie (Argentine) en fausses couleurs : en noir les surfaces plates, en rouge, les pentes moyenne proche de 20°, et en jaune, les pentes les plus raides, supérieures à 40°. Les petits cercles rouges au centre sont des volcans. On reconnaît aussi la morphologie caractéristique de la grosse "langue" noire (en haut à l'horizontal) qui correspond à l'empreinte topographique laissée par d'anciens glaciers. L'image couvre une surface de 225 km x 225 km et le nord…

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Carte des reliefs du nord de la Patagonie (Argentine) en fausses couleurs
20210079_0009
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Champ de glace Ha-Iltzuk situé en Colombie-Britannique, au Canada. Il s'agit d'une représentation en fausse couleur des données acquises depuis le satellite Terra, grâce à la caméra multi-spectrales ASTER. Les glaciers fondent à cause du réchauffement climatique mais les données sur ce phénomène restaient jusqu'ici incomplètes. Une équipe internationale a livré en 2021 l’analyse la plus précise de l’évolution de tous les glaciers du monde. S’appuyant sur des observations satellites, cette étude…

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Champ de glace Ha-Iltzuk en Colombie-Britannique, Canada, vu par une caméra du satellite Terra
20210079_0002
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Glacier Kronebreen, situé sur l'île norvégienne Spitzberg, en 2008. Les données ont été acquises via le satellite Terra, grâce à la caméra multi-spectrales ASTER. Les glaciers fondent à cause du réchauffement climatique mais les données sur ce phénomène restaient jusqu'ici incomplètes. Une équipe internationale a livré en 2021 l’analyse la plus précise de l’évolution de tous les glaciers du monde. S’appuyant sur des observations satellites, cette étude montre que presque tous les glaciers du…

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Glacier Kronebreen, Spitzberg, vu par une caméra du satellite Terra en 2008
20180070_0059
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Sismomètre sur le glacier d'Argentière, dans le massif du Mont-Blanc. Il fait partie d'un réseau de cent capteurs sismiques que les scientifiques du projet RESOLVE doivent mettre en place à la surface du glacier, complétant ceux installés dans la roche de ses galeries souterraines. Ils doivent être positionnés selon un maillage déterminé, avec une distance inter-capteurs de cinquante mètres, selon des positions GPS précises, et sont ensuite calibrés. Chaque nœud du réseau est composé d'un…

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Sismomètre sur le glacier d'Argentière, dans le massif du Mont-Blanc
20180070_0025
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Sismomètres rangés dans leur sac de transport, sur le glacier d'Argentière, dans le massif du Mont-Blanc. Ils font partie d'un réseau de cent capteurs sismiques que les scientifiques du projet RESOLVE doivent mettre en place à la surface du glacier, complétant ceux installés dans la roche de ses galeries souterraines. Ils doivent être positionnés selon un maillage déterminé, avec une distance inter-capteurs de cinquante mètres, selon des positions GPS précises, et sont ensuite calibrés. Chaque…

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Sismomètres rangés dans leur sac de transport, sur le glacier d'Argentière
20180070_0043
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Contrôle d'un sismomètre placé à l'intérieur d'un trou creusé dans la neige, sur le glacier d'Argentière, dans le massif du Mont-Blanc. Il fait partie d'un réseau de cent capteurs sismiques que les scientifiques du projet RESOLVE doivent mettre en place à la surface du glacier, complétant ceux installés dans la roche de ses galeries souterraines. Ils doivent être positionnés selon un maillage déterminé, avec une distance inter-capteurs de cinquante mètres, selon des positions GPS précises, et…

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Contrôle d'un sismomètre placé à l'intérieur d'un trou dans la neige, sur le glacier d'Argentière
20180070_0014
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Sismomètre dans son support fixé dans la roche d'une des galeries souterraines du glacier d'Argentière, dans le massif du Mont-Blanc. Il fait partie d'un ensemble de douze sismomètres installés par les scientifiques du projet RESOLVE dans les galeries du glacier, dans le but de mettre ce dernier sur écoute, depuis sa base jusqu'à sa surface. Ces capteurs sismiques peuvent détecter et mesurer l'ouverture ou la fermeture de crevasses, les écoulements provoqués par la fonte de l'eau, ou encore le…

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Sismomètre posé dans la roche d'une galerie du glacier d'Argentière
20180070_0062
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GPS différentiel permettant de mesurer une position à la surface du globe avec une précision de l'ordre du millimètre. Il est utilisé ici par les scientifiques du projet RESOLVE pour mesurer précisément la position de tous les capteurs déployés en surface du glacier d'Argentière dans le massif du Mont-Blanc. Un réseau de cent sismomètres est mis en place à la surface du glacier, complétant ceux installés dans la roche de ses galeries souterraines. Ils doivent être positionnés selon un maillage…

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GPS différentiel mesurant précisément la position des capteurs déployés sur le glacier d'Argentière
20180035_0099
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Opération de carottage sur le glacier du Mera Peak, situé dans le parc national du Makalu-Barun, dans le massif de l'Everest, au Népal. En mesurant la hauteur et la densité de la neige accumulée sur un an, les glaciologues du programme PRESHINE (Pressions sur la ressource en eau et en sol dans l’Himalaya népalais) peuvent calculer le bilan de masse du glacier. Cette équipe effectue des relevés, prélèvements et observations scientifiques sur trois glaciers des parcs nationaux du Makalu-Barun et…

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Opération de carottage sur le glacier du Mera Peak, dans le massif de l'Everest, au Népal
20150001_0899
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Prélèvement d'une carotte de glace lors des tests du prototype de la sonde expérimentale Mini-Subglacior, sur la base Concordia, en Antarctique. La sonde Subglacior permettra, en une seule saison sur le terrain (2 à 3 mois), d'explorer la glace jusqu'à 3 km de profondeur pour obtenir des enregistrements climatiques des dernières 1,5 millions d'années, les plus anciens à partir de glace naturelle. Les chercheurs pourront ainsi vérifier qu'une transition climatique s'est bien produite il y a…

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Test du prototype de la sonde expérimentale Mini-Subglacior
20200008_0032
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Visite de contrôle d’un prototype de balise automatique qui permet de suivre en continu la fonte sur la langue de la Mer de Glace, dans le massif du Mont-Blanc, Haute-Savoie, lors d’une mission périodique de relevé de l’ensemble des balises implantées dans le glacier. Ces mesures s’insèrent dans le cadre du Service National d’Observation GLACIOCLIM qui s’attache depuis de nombreuses années à documenter de manière pérenne l’évolution des glaciers en lien avec l’évolution du climat (en France,…

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Prototype de balise automatique, dans le massif du Mont-Blanc
20200008_0016
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Mesures Lidar pour cartographier la partie basse du glacier d’Argentière, dans le massif du Mont-Blanc, Haute-Savoie. En arrière plan, de droite à gauche, les sommets de l’aiguille Verte, des Droites, des Courtes et du Triolet. Ces mesures sont conduites ici par un scientifique de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) Grenoble avec le LaserScan acquis dans le cadre du Labex Observatoire des sciences de l’univers de Grenoble (OSUG). Elles…

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Mesures Lidar pour cartographier la partie basse du Glacier d’Argentière
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Uniquement disponible pour exploitation non commerciale

Dans les Vosges, un laboratoire en plein air a été implanté dans le cadre du projet CRITEX, qui étudie la Zone Critique de la Terre. Cet espace mince et superficiel, compris entre la basse atmosphère et la roche-mère, concentre toute la vie terrestre. Une équipe de chercheurs pluridisciplinaires tente de mieux comprendre les effets du changement climatique et des activités anthropiques sur l'avenir de notre planète.

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6394
Zone critique sous haute surveillance
20170058_0007
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Étude et stockage d'échantillons de sols provenant de la Zone Critique, partie la plus superficielle du globe, entre la basse atmosphère et les roches. Ces derniers ont été prélevés sur le site de l'Observatoire Hydro-Géochimique de l’Environnement (OHGE), situé au sein du bassin Versant du Strengbach, dans le massif vosgien. L'OHGE est intégré au programme CRITEX (Parc d’équipements innovants pour l’étude spatiale et temporelle de la Zone Critique des bassins versants), lancé en 2012. CRITEX…

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20170058_0007
Étude et stockage d'échantillons de sols provenant de la Zone Critique
20220012_0045
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Sortie du four d’échantillons de tourbe de la tourbière de la Guette, dans le Cher. Après séchage, ils ont été chauffés à 550 °C pendant 4 heures pour faire disparaître la matière organique. La différence de masse avant et après calcination permet de connaître la concentration en carbone de la tourbe. Les tourbières sont des zones humides dont le sol est un dépôt de tourbe. La matière végétale s’y décompose lentement et le carbone s’accumule dans le sol. Cependant, elles sont dégradées par les…

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20220012_0045
Calcination de tourbe pour connaître sa concentration en carbone
20220012_0089
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Echantillons d’eau de la tourbière de la Guette, dans le Cher, dont des scientifiques mesurent la concentration en silicium (un oligo-élément) dans le cadre du suivi géochimique des eaux de la tourbière. Elle est déduite à partir d’une analyse colorimétrique. Un réactif est ajouté pour former un précipité jaune, avant de mesurer l’absorbance de la solution (sa capacité à absorber la lumière) dans les longueurs d’onde du jaune (200-700 nm). L’eau de la Guette étant naturellement jaune à cause de…

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20220012_0089
Mesure du silicium de l’eau de la tourbière de la Guette, via une analyse colorimétrique
20220012_0088
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Ajout d’un réactif dans un échantillon d’eau de la tourbière de la Guette, dans le Cher, pour former un précipité jaune. Une analyse colorimétrique mesure l’absorbance de la solution (sa capacité à absorber la lumière) dans les longueurs d’onde du jaune (200-700 nm). Les résultats permettront de calculer la concentration du prélèvement en silicium (un oligo-élément), l’un des indicateurs du suivi géochimique des eaux de la tourbière. Les tourbières sont des puits de carbone mais, dégradées par…

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Mesure du silicium de l’eau de la tourbière de la Guette, via une analyse colorimétrique
20220012_0079
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Prélèvement d’eau dans la tourbière la Guette, dans le Cher, à l’aide d’une pompe péristaltique (pompe à tuyau). La composition des échantillons est analysée dans le cadre du suivi géochimique des eaux de la tourbière. Les tourbières sont des zones humides dont le sol est un dépôt de tourbe. La matière végétale s’y décompose lentement et le carbone s’accumule dans le sol. Cependant, elles sont dégradées par les changements climatiques et les activités humaines et commencent à émettre du dioxyde…

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20220012_0079
Prélèvement dans le cadre du suivi géochimique des eaux de la tourbière de la tourbière de la Guette
20170058_0060
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Mesure de résistivité électrique dans le sol et le sous sol du bassin versant du Stengbach, dans le massif vosgien. La résistivitéd'un matériau correspond à sa capacité à conduire plus ou moins bien le courant électrique. Ces mesures sont effectuées au sein de l'Observatoire Hydro-Géochimique de l’Environnement (OHGE). Les chercheurs y étudient les réponses du milieu naturel face aux perturbations naturelles et anthropiques telles que la pollution atmosphérique, l’exploitation forestière ou…

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Mesure de résistivité électrique dans le sol et le sous sol du bassin versant du Stengbach
20170058_0058
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Relevé des données d'un gravimètre, à l'Observatoire Hydro-Géochimique de l’Environnement (OHGE), au sein du bassin versant du Strengbach, dans le massif vosgien. Le gravimètre permet de mesurer la pesanteur terrestre. La gravité est modifiée par la redistribution des masses d'eau souterraine. Ainsi, plus il y a d'eau plus la gravité est importante. En relevant régulièrement ces données, les scientifiques pourront connaître les évolutions des stocks d'eau dans le sol. Les chercheurs de l'OHGE…

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Relevé des données d'un gravimètre, au sein du bassin versant du Strengbach
20210103_0078
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Décomposition des phases de traitement d’un échantillon de granite prélevé au col du Lautaret, dans les Alpes françaises, pour préparer la mesure de sa concentration en nucléides cosmogéniques. Cette méthode de datation absolue est utilisée pour déterminer la durée d’exposition d’une roche aux rayonnements cosmiques. Les nucléides cosmogéniques sont des isotopes produits par réactions nucléaires lorsqu'une roche est exposée aux rayons cosmiques et qui s'accumulent donc à partir du moment où la…

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20210103_0078
Phases de traitement d’un échantillon de granite pour préparer une analyse isotopique
20210103_0068
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Cathodes contenant des échantillons qui seront mesurés à l'aide du spectromètre de masse par accélérateur ASTER (à l’arrière-plan). Cet instrument mesure des rapports isotopiques (rapports des nombres d'atomes de deux isotopes dans un même échantillon) à partir desquels on peut calculer les concentrations en nucléides cosmogéniques des roches dont sont issus ces échantillons. C'est une méthode de datation absolue utilisée pour déterminer la durée d’exposition d’une roche aux rayonnements…

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Cathodes contenant des échantillons qui seront mesurés par le SMA ASTER
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Gabriel Gohau, historien au laboratoire REHSEIS de Paris, raconte comment nos ancêtres se représentaient notre planète, ses océans, son ciel et ses volcans. D'Aristote, quatre siècle avant JC, à Léonard de Vinci, au 15ème siècle, la Terre n'a quasiment pas bougé dans les esprits. Il était impensable qu'elle soit ailleurs qu'au centre du monde. Quelles sont les découvertes qui ont fait évoluer les certitudes ?

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3346
Terre au centre du monde (La)
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Alors que l'on trouve de grands volcans relativement jeunes sur Vénus, ceux de Mars sont très vieux. La Terre compte, elle aussi, de nombreux volcans à sa surface mais sa grande originalité, par rapport à ses deux voisines directes, est la tectonique des plaques. Pourquoi Mars et Vénus sont elles géologiquement si différentes ? Comment expliquer que le champ magnétique de la planète rouge se soit rapidement éteint ? Quelles conséquences cela a-t-il eu sur son évolution ? …

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3365
Pourquoi Mars et Vénus sont-elles si différentes de la Terre ?
20190021_0016
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Installation de la caméra infrarouge HDR (High Dynamic Range : à très haute dynamique) développée par David Darson, sur le télescope T1m de la Station de Planétologie des Pyrénées à l'Observatoire du Pic du Midi. L'objectif est de réaliser des images du Système solaire avec cette caméra nouvelle génération, en partenariat avec l'astronome François Colas, responsable du télescope. Elle utilise une évolution de la technologie HDR qui fait apparaître les zones de faible et de forte luminosité, non…

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Caméra infrarouge HDR installée sur le télescope T1m de la Station de Planétologie des Pyrénées
20200014_0008
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Observation des premières images de Jupiter recueillies par une caméra infrarouge HDR (High Dynamic Range : à très haute dynamique), dans la salle de contrôle de la Station de Planétologie des Pyrénées à l’Observatoire du Pic du Midi. Cette caméra nouvelle génération est développée par David Darson qui la teste en partenariat avec François Colas, astronome responsable du télescope T1m. Elle exploite une évolution de la technologie HDR qui fait apparaître les zones de faible et de forte…

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Observation des premières images de Jupiter recueillies par une caméra infrarouge HDR
20210127_0005
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Susan Conway, géomorphologue planétaire lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2020, trie les images acquises dans la salle "missions spatiales" au sein du Laboratoire de planétologie et géodynamique (LPG). Dans cette salle, des acquisitions d’images de Mars par la caméra CaSSIS (embarquée sur la sonde orbitale Trace Gas Orbiter) sont planifiées. Pour faire cette planification, elle travaille avec les agences spatiales Européenne (ESA) et Américaine (NASA) ainsi qu’avec des ingénieurs et…

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Susan Conway, médaille de bronze du CNRS 2020, dans la salle "missions spatiales"
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Kelly Pasquon, post doctorante au sein du Laboratoire de planétologie et géodynamique (LPG), se déplace sur la surface martienne dans le "cave 3D". Cette technologie permet une expérience d’immersion grâce à quatre vidéoprojecteurs 3D et des lunettes adaptées. En utilisant une manette de jeu vidéo elle peut survoler des environnements construits avec de réelles images martiennes. Elle travaille avec Susan Conway, géomorphologue planétaire lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2020, sur un…

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Expérience d'immersion sur la surface martienne
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Le nouveau véhicule mobile de la NASA 'Perseverance' se posera le 18 février 2021 sur Mars dans le cratère Jazero. Il y a 3,5 milliards d'années, cet ancien lac était rempli d'eau. Ce site pourrait avoir préservé des traces fossiles d'une forme de vie. La mission principale de 'Perseverance' est de collecter des échantillons qui seront rapportés sur Terre en 2031 pour être soumis à des analyses plus précises. Pour se faire, le rover emporte…

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Supercam, des yeux et des oreilles sur Mars
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Comment reconnaître les nuages qui pourraient être à l'origine d'orages violents ou d'inondations ? Venez en Ardèche, suivre les scientifiques qui chassent les nuages dangereux à l'aide d'un lidar, instrument de pointe pour aider à comprendre leur formation, et permettre d'anticiper les épisodes météorologiques intenses. Les trois premiers kilomètres de l'atmosphère sont difficiles à cartographier. Pourtant, les nuages de cette zone sont ceux qui déterminent les épisodes de…

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Comprendre les nuages
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Cet été 2022, les rues de Paris se transforment en laboratoire pour comprendre et limiter un phénomène redouté par les citadins : l'îlot de chaleur, causé par des matériaux qui emmagasinent l'énergie du soleil la journée et la restituent pendant la nuit. Découvrez les recherches menées dans le cadre du projet "Paname 2022" sur la qualité de l'air et le climat urbain.

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Ilots de chaleur : quel climat pour demain ?
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Découvrez les études derrière les chiffres du 6ème rapport du GIEC et les travaux de recherches de scientifiques qui contribuent à comprendre l'évolution du climat ainsi que son impact. Au printemps dernier, la France s'est couverte d'un fin voile orange, charrié par les vents sahariens : des poussières de sable. Le phénomène est donc banal sous les latitudes européennes. Ce qui l'est moins, c'est l'effet de ces poussières sur le climat. Un effet pas facile à mesurer, vu l…

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Déserts : Grains de sable dans la machine
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Découvrez les études derrière les chiffres du 6ème rapport du GIEC et les travaux de recherches de scientifiques qui contribuent à comprendre l'évolution du climat ainsi que son impact. Les océans absorbent 90% de la chaleur dégagée par nos émissions de gaz à effet de serre. Résultat : ils se réchauffent, se dilatent et grignotent les côtes – au rythme de 3,5 mm par an. Comment mesurer ce discret phénomène et donc prévoir son évolution ? À La Rochelle, une…

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Quand la mer monte
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Découvrez les études derrière les chiffres du 6ème rapport du GIEC et les travaux de recherches de scientifiques qui contribuent à comprendre l'évolution du climat ainsi que son impact. La hausse des températures et la répartition des sécheresses menacent la production viticole de la France – la deuxième au monde après celle de l'Italie. Comment la vigne supporte-t-elle ce climat plus aride ? Quels cépages privilégier ? Pour répondre à ces questions et identifier…

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Quel vin demain ?
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Découvrez les études derrière les chiffres du 6ème rapport du GIEC et les travaux de recherches de scientifiques qui contribuent à comprendre l'évolution du climat ainsi que son impact. Ce troisième épisode permet de découvrir comment simuler le climat de 2050 et les périodes de sécheresse qui seront plus fréquentes et plus longues. A Lusignan, près de Poitiers, des chercheurs en agronomie ont conçu une serre mobile high-tech avec suivi par drone et images 3D. Là…

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Sécheresse : le futur est dans le pré
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Découvrez les études derrière les chiffres du 6ème rapport du GIEC et les travaux de recherches de scientifiques qui contribuent à comprendre l'évolution du climat ainsi que son impact. Ce cinquième épisode permet de découvrir l'importance des zones humides. Elles ne couvrent que 3% de la surface du globe mais captent un tiers du carbone piégé dans les sols. Comment réagissent-elles à l'évolution des températures ? Pour le savoir, des…

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Tourbières : Pièges à carbone
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Découvrez les études derrière les chiffres du 6ème rapport du GIEC et les travaux de recherches de scientifiques qui contribuent à comprendre l'évolution du climat ainsi que son impact. Ce premier épisode permet de découvrir le travail mené par des membres du LSCE (Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement) sur le site de Traînou en France. Ces scientifiques procèdent à la collecte d'échantillons d'air grâce à des ballons…

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Gaz à effet de serre : prenons de la hauteur
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Découvrez les études derrière les chiffres du 6ème rapport du GIEC et les travaux de recherches de scientifiques qui contribuent à comprendre l'évolution du climat ainsi que son impact. Ce deuxième épisode permet de découvrir le travail de scientifiques de l'Institut des Géosciences de Grenoble qui étudient la réaction des glaciers au changement climatique. En régions montagneuses et en régions polaires, des glaciologues comme Fanny…

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Glaciers, les sentinelles du climat
20220012_0010
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Maintenance d’une station Eddy-covariance installée sur la tourbière de la Guette, dans le Cher. Elle mesure la vitesse et la direction du vent et sa concentration en gaz, afin d’estimer les flux de dioxyde de carbone et de méthane émis par la tourbière. Les tourbières sont des zones humides dont le sol est un dépôt de tourbe. La matière végétale s’y décompose lentement et le carbone s’accumule dans le sol. Cependant, elles sont dégradées par les changements climatiques et les activités…

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Maintenance d’une station Eddy-covariance sur la tourbière de la Guette
20220012_0036
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Découpage d’une carotte de tourbe prélevée sur la tourbière de la Guette, dans le Cher. Elle est découpée en sections de 5 à 10 cm qui seront conditionnées dans des feuilles d’aluminium pour éviter leur contamination. Des carottages sont effectués tous les 5 ans pour suivre l'évolution du stock de carbone du sol au cours du temps. Les tourbières sont des zones humides dont le sol est un dépôt de tourbe. La matière végétale s’y décompose lentement et le carbone s’accumule dans le sol. Cependant,…

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Carottage sur la tourbière de la Guette pour suivre l'évolution du stock de carbone
20230097_0002
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Scientifiques au travail sur la plateforme scientifique de la tourbière de Frasne, dans le Doubs, lors d’une campagne interdisciplinaire d’étude du devenir des gaz à effet de serre (GES). Ils cherchent à mieux comprendre les mécanismes hydrologiques, biogéochimiques et écologiques qui contrôlent les sources, la production et les transferts de GES dans les tourbières. Dans ces zones humides, la matière organique se décompose mal et s'accumule sous forme de tourbe. Le carbone est alors stocké…

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Scientifiques sur la plateforme de la tourbière de Frasne, Doubs
20230097_0031
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Carottage de tourbe lors d’une campagne interdisciplinaire d’étude du devenir des gaz à effet de serre (GES) dans la tourbière de Frasne, dans le Doubs. Etudier la diversité des microorganismes à différentes profondeurs de la tourbe permet de comprendre la dynamique du carbone (production, recyclage) par niveau. Des mesures isotopiques du carbone de la tourbe et des lipides des microorganismes éclaireront les processus biogéochimiques. La campagne vise à mieux comprendre les mécanismes…

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Carottage de tourbe, campagne interdisciplinaire d’étude du devenir des GES dans la tourbière de Frasne, Doubs
20230097_0019
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Prélèvements et filtration d'eau interstitielle, contenue dans la tourbe, dans un piézomètre (à droite) de la tourbière de Frasne, dans le Doubs, et mesure in situ de sa concentration de méthane (à gauche), lors d’une campagne interdisciplinaire d’étude du devenir des gaz à effet de serre (GES). Les scientifiques cherchent à mieux comprendre les mécanismes hydrologiques, biogéochimiques et écologiques qui contrôlent les sources, la production et les transferts de GES dans les tourbières. Dans…

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Prélèvements et filtration d'eau interstitielle, et mesure de sa concentration de méthane, tourbière de Frasne, Doubs
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Installation d’un échantillon d’eau de la tourbière de la Guette, dans le Cher, dans un spectromètre UV-visible. Un réactif a préalablement été ajouté pour former un précipité jaune. L'analyse colorimétrique mesure l’absorbance de la solution (sa capacité à absorber la lumière) dans les longueurs d’onde du jaune (200-700 nm). Les résultats permettront de calculer la concentration du prélèvement en silicium (un oligo-élément), l’un des indicateurs du suivi géochimique des eaux de la tourbière…

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Mesure du silicium de l’eau de la tourbière de la Guette, via une analyse colorimétrique
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Sphérule, une micrométéorite fondue de la collection Concordia. Elle a été collectée dans les régions centrales antarctiques, à proximité de la station franco-italienne Concordia (Dôme C). Les micrométéorites sont des poussières interplanétaires provenant de comètes ou d’astéroïdes. Ce sont des particules de quelques dixièmes à centièmes de millimètres qui ont traversé l’atmosphère et atteint la surface de la Terre. Pour collecter et analyser ces micrométéorites, six expéditions ont eu lieu au…

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Sphérule, une micrométéorite fondue de la collection Concordia
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Lidar ALiAS installé sur un ULM à l'aérodrome d'Aubenas en Ardèche au cours de la campagne de terrain LEMON. Un lidar est un instrument qui permet de faire de la détection à distance. Il est équipé d'un laser qui émet un faisceau de lumière qui va interagir avec les molécules de l'air, les aérosols et les nuages. Une partie de l'énergie de ce faisceau revient vers le télescope du lidar en contenant des informations sur la composition de l'atmosphère. Les scientifiques cherchent ainsi à mieux…

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Lidar ALiAS installé sur un ULM à l'aérodrome d'Aubenas au cours de la campagne de terrain LEMON
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Ballon sonde lâché dans l’atmosphère pour un radiosondage à l'aérodrome d'Aubenas en Ardèche. Gonflé à l'hélium, il monte à plus de 20 000 mètres d'altitude puis explose. Pendant la montée et la descente sous parachute, la sonde qui est accrochée au ballon acquiert la température, l'humidité et la pression de l'atmosphère. Ces données sont comparées à celle des lidars utilisés en parallèle. Les scientifiques cherchent à mieux comprendre la formation des nuages. Durant cette campagne, ils s…

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Ballon sonde lâché dans l’atmosphère pour un radiosondage à l'aérodrome d'Aubenas en Ardèche
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Vol d'un ULM en Ardèche, embarquant un piège à gouttelettes d'eau de nuages et une sonde de mesure de leur taille (visible sous la main gauche du pilote). Les nuages sont constitués de gouttelettes d'eau en suspension, qui sont capturées par un piège embarqué sur un ULM. En vol, les gouttelettes s'impactent sur des peignes puis ruissellent par gravité dans une rigole qui récupère l'eau dans un flacon. Chaque gouttelette de nuage se forme par condensation de l'eau sur un aérosol, une particule…

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Vol d'un ULM en Ardèche, embarquant un piège à gouttelettes d'eau de nuages et une sonde de mesure

CNRS Images,

Nous mettons en images les recherches scientifiques pour contribuer à une meilleure compréhension du monde, éveiller la curiosité et susciter l'émerveillement de tous.