Résumé
Sakpata est une des principales divinités du panthéon des "vodoun" au Bénin (pays appelé Dahomey à l'époque du tournage, en 1958). L'initiation au culte des vodoun donne lieu à une longue réclusion dans un "couvent" où les jeunes néophytes ayizo apprennent les danses chantées propres à leur divinité.
La première partie du film montre la danse qui s'exécute pour remercier quelqu'un d'un don.
La prise de vue s'est faite à l'aide d'une caméra à ressort s'arrêtant au bout de trente secondes, tandis que la prise de son sur magnétophone a été continue ; le montage a été réalisé (pour la première partie uniquement) à partir non point de l'image mais du son. L'architecture temporelle de la musique est ainsi respectée de même que celle de la danse, enchaînant plusieurs figures, et ce en dépit des noirs remplaçant les images manquantes.
La seconde partie du film montre les danses qu'exécutent les néophytes à la fin de leur réclusion lorsque, pour marquer leur première sortie du couvent, elles se rendent en cortège au marigot pour y prendre un bain, en secret, et en revenir profondément transformées.
La première partie du film montre la danse qui s'exécute pour remercier quelqu'un d'un don.
La prise de vue s'est faite à l'aide d'une caméra à ressort s'arrêtant au bout de trente secondes, tandis que la prise de son sur magnétophone a été continue ; le montage a été réalisé (pour la première partie uniquement) à partir non point de l'image mais du son. L'architecture temporelle de la musique est ainsi respectée de même que celle de la danse, enchaînant plusieurs figures, et ce en dépit des noirs remplaçant les images manquantes.
La seconde partie du film montre les danses qu'exécutent les néophytes à la fin de leur réclusion lorsque, pour marquer leur première sortie du couvent, elles se rendent en cortège au marigot pour y prendre un bain, en secret, et en revenir profondément transformées.
