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Utilisation réservée à l’illustration des travaux de Laïla Nehmé

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© Hubert Raguet / Mission archéologique de Madâin Sâlih / CNRS Images

Référence

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"Triclinium" hypèthre (sans toiture) mis au jour au pied des niches Ith23 à Ith25, à l’intérieur du Jabal Ithlib, sur le site de Hégra

"Triclinium" hypèthre (sans toiture) mis au jour au pied des niches Ith23 à Ith25, à l’intérieur du Jabal Ithlib, le massif, le plus haut et le plus découpé du site de Hégra, dans la région d’Al-Ula, au nord-ouest de l’Arabie saoudite. Ce secteur, le plus protégé des regards, était principalement consacré aux réunions des confréries religieuses nabatéennes. La banquette de gauche a été restaurée. Les visiteurs passaient d’abord par un bassin destiné aux ablutions (non visible) avant de se diriger vers les niches et de redescendre vers les banquettes pour y prendre un repas avec d’autres convives. Cette installation a été datée du Ier siècle apr. J.-C. Hégra, également appelé Madâ’in Sâlih (al-Hijr en arabe), cité nabatéenne la mieux conservée avec Pétra en Jordanie, est le premier site saoudien à avoir été inscrit sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco, en 2008. Depuis 2002, un programme franco-saoudien placé sous l’égide du ministère des Affaires étrangères et de la Saudi Commission for Tourism and National Heritage (remplacée à partir de 2021 par la Commission Royale pour AlUla), explore et fouille le site. (Légende L. Nehmé, CNRS).

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Issues du même reportage : Cité antique nabatéenne de Hégra en Arabie Saoudite

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