Retour au reportage Retour au reportage

Utilisation réservée à l’illustration des travaux de Laïla Nehmé

20190004_0037

© Hubert RAGUET / Mission archéologique de Madâin Sâlih / CNRS Images

Référence

20190004_0037

Laïla Nehmé (dont on ne voit que l'ombre) qui observe des inscriptions sur le site de Hégra, en Arabie saoudite

La co-responsable française des fouilles archéologiques, Laïla Nehmé, directrice de recherches au CNRS, observe (on ne voit que son ombre) des inscriptions sur une paroi du Jabal Ithlib, le massif rocheux le plus haut et le plus découpé du site de Hégra, dans la région d’Al-Ula, en Arabie saoudite. Ce secteur, qui concentre le plus grand nombre de monuments à caractère religieux du site, était principalement consacré aux réunions des confréries religieuses nabatéennes. Hégra, également appelé Madâ’in Sâlih (al-Hijr en arabe), cité nabatéenne la mieux conservée avec Pétra en Jordanie, est le premier site saoudien à avoir été inscrit sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco, en 2008. Depuis 2002, un programme franco-saoudien placé sous l’égide du ministère des Affaires étrangères et de la Saudi Commission for Tourism and National Heritage (remplacée à partir de 2021 par la Commission Royale pour AlUla), explore et fouille le site. (Légende L. Nehmé, CNRS).

Référent(s) scientifique(s)

Délégation(s)

Thématiques scientifiques

Issues du même reportage : Cité antique nabatéenne de Hégra en Arabie Saoudite

CNRS Images,

Nous mettons en images les recherches scientifiques pour contribuer à une meilleure compréhension du monde, éveiller la curiosité et susciter l'émerveillement de tous.