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Utilisation réservée à l’illustration des travaux de Laïla Nehmé

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© Hubert RAGUET / Mission archéologique de Madâin Sâlih / CNRS Images

Référence

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Bosquet de tamaris, arbres qui poussent à l’état naturel à Madâ’in Sâlih, l’ancienne Hégra des Nabatéens

Bosquet de tamaris, arbres qui poussent à l’état naturel à Madâ’in Sâlih, l’ancienne Hégra des Nabatéens, dans la région d’Al-Ula au nord-ouest de l’Arabie saoudite. Ces arbres offraient un écran contre le vent et étaient utilisés pour protéger les champs de ce dernier. Au pied des arbres, une pompe abandonnée. Hégra, également appelé Madâ’in Sâlih (al-Hijr en arabe), cité nabatéenne la mieux conservée avec Pétra en Jordanie, est le premier site saoudien à avoir été inscrit sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco, en 2008. Depuis 2002, un programme franco-saoudien placé sous l’égide du ministère des Affaires étrangères et de la Saudi Commission for Tourism and National Heritage (remplacée à partir de 2021 par la Commission Royale pour AlUla), explore et fouille le site. (Légende L. Nehmé, CNRS).

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Issues du même reportage : Cité antique nabatéenne de Hégra en Arabie Saoudite

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