Scientists to the rescue of coral

Un bâtiment sur ponton dans le lagon de Tetamanu, atoll de Fakarava, archipel des Tuamotu, Polynésie française.

Sclératiniaires aussi appelés coraux calcaires, "Leptopsammia pruvoti", à 20 m de profondeur, près de la pointe de Palazzu située dans la réserve naturelle de Scandola en Corse. Les sclératiniaires sont peu répandus dans les eaux tempérées. Ils vivent le plus souvent au-delà de 20 m de profondeur.

Surface d'un corail "Galaxea sp" sur la pente externe de Wallis, dans les îles Wallis-et-Futuna. On distingue les corallites, les squelettes calcaires en forme de coupes sécrétés par les polypes de ce corail. Le CRIOBE est l’un des plus éminents laboratoires français pour l’étude des écosystèmes coralliens. Il développe une recherche pluridisciplinaire – à la croisée de l’écologie, la génétique et la chimie – axée sur les récifs coralliens de demain.

Coraux scléractiniaires blanchis durant l’épisode El Niño de 2015-2016 sur la pente externe de Moorea, en Polynésie française. Ce phénomène climatique saisonnier, qui a été particulièrement intense durant ces deux années, se caractérise par un réchauffement de l'eau dans une partie du Pacifique Sud. L'augmentation de la température est un facteur de stress pour le corail : elle entraine l'expulsion de l'algue avec laquelle il vit en symbiose et qui lui apporte oxygène et nutriments. Cette algue…

Surface d'un corail "Platygyra sp" sur la pente externe de Wallis, dans les îles Wallis-et-Futuna. On distingue les corallites, les squelettes calcaires en forme de coupes sécrétés par les polypes de ce corail. Le CRIOBE est l’un des plus éminents laboratoires français pour l’étude des écosystèmes coralliens. Il développe une recherche pluridisciplinaire – à la croisée de l’écologie, la génétique et la chimie – axée sur les récifs coralliens de demain.

Corail "Desmophyllum pertusum" dans un aquarium de recherche du laboratoire LECOB, à l'Observatoire Océanologique de Banyuls. Ce corail, anciennement "Lophelia pertusa", est l'espèce principale constructrice de récifs en mer Méditerranée. Les récifs d'eau froide de ce type accueillent une riche biodiversité dans les milieux profonds mais ils sont sensibles au changement climatique. Des scientifiques ont étudié en laboratoire l'impact des changements de température sur ces coraux méditerranéens…

Relevé des signatures sonores d’un récif corallien dans le lagon de Moorea, en Polynésie française. Durant 4 mois, des scientifiques ont suivi l'activité sonore des récifs sur la pente externe de l'île, à l'aide d'hydrophones répartis dans des aires marines protégées (AMP) et des zones non protégées. Ils ont ainsi pu démontrer qu’un récif avec un fort recouvrement corallien possède une activité sonore plus grande qu’un récif dégradé, et que le paysage acoustique est plus varié sur les sites…

Corail fouet ou corail noir de la famille des "Antipathaires", probablement du genre "Cirripates", à Vairao, Tahiti. Ce corail profond a été photographié à 100 m de profondeur.

Corail scléractiniaire du genre "Leptoseris", à Arue, Tahiti. Ce corail dur a été photographié à 70 m de profondeur. Il s'agit d'un corail profond.

Premier système de pépinière de coraux utilisé au CRIOBE à Moorea, en Polynésie française, pour élever des coraux. Il est constitué d’une support fixe sur lequel sont attachés les fragments coralliens, afin de les maintenir à 1m au dessus du sol. Un couvercle permet de protéger les boutures des prédateurs et d’améliorer le pourcentage de survie dans la pépinière. L’élevage des coraux dans des pépinières permet de suivre les performances des individus et des génotypes coralliens dans différents…

Surface de la pente externe récifale de Moorea, en Polynésie française, après une forte mortalité corallienne induite par une période de températures anormalement chaudes. L'augmentation de la température est un facteur de stress pour le corail : elle entraine l'expulsion de l'algue avec laquelle il vit en symbiose et qui lui apporte oxygène et nutriments. Cette algue étant aussi responsable de sa couleur, le corail blanchit. Le phénomène est réversible si la température de l’eau diminue mais,…

Coraux blanchis sur la pente externe de Moorea, en Polynésie française. Les pentes externes récifales s’éclaircissent parfois lorsque les eaux sont trop chaudes. Stressé par l'augmentation de la température, le corail expulse en effet l'algue avec laquelle il vit en symbiose et qui lui apporte oxygène et nutriments. Cette algue étant aussi responsable de sa couleur, le corail blanchit. Ce phénomène est réversible si la température de l’eau diminue mais, si elle reste élevée trop longtemps, il…

Coraux scléractiniaires blanchis durant l’épisode El Niño de 2018-2019 sur la pente externe de Moorea, en Polynésie française. Ce phénomène climatique saisonnier se caractérise par un réchauffement de l'eau dans une partie du Pacifique Sud. L'augmentation de la température est un facteur de stress pour le corail : elle entraine l'expulsion de l'algue avec laquelle il vit en symbiose et qui lui apporte oxygène et nutriments. Cette algue étant aussi responsable de sa couleur, le corail blanchit…

Surface d'un corail "Acanthastrea echinata" sur la pente externe de Wallis, dans les îles Wallis-et-Futuna. Le squelette calcaire de ce corail est couvert de micro-structures colorées. Le CRIOBE est l’un des plus éminents laboratoires français pour l’étude des écosystèmes coralliens. Il développe une recherche pluridisciplinaire – à la croisée de l’écologie, la génétique et la chimie – axée sur les récifs coralliens de demain.

Coraux scléractiniaires blanchis durant l’épisode El Niño de 2018-2019 sur la pente externe de Moorea, en Polynésie française. Ce phénomène climatique saisonnier se caractérise par un réchauffement de l'eau dans une partie du Pacifique Sud. L'augmentation de la température est un facteur de stress pour le corail : elle entraine l'expulsion de l'algue avec laquelle il vit en symbiose et qui lui apporte oxygène et nutriments. Cette algue étant aussi responsable de sa couleur, le corail blanchit…

Surface d'un corail "Lobophyllia hemprichii" sur la pente externe de Wallis, dans les îles Wallis-et-Futuna. Les corallites (les squelettes calcaires en forme de coupes sécrétés par les polypes) géantes de ce corail mesurent plus de 5 cm de large. Le CRIOBE est l’un des plus éminents laboratoires français pour l’étude des écosystèmes coralliens. Il développe une recherche pluridisciplinaire – à la croisée de l’écologie, la génétique et la chimie – axée sur les récifs coralliens de demain.

Pose de micros enregistreurs en plongée sous-marine à Moorea, Polynésie française. Les enregistrements sonores permettent au CRIOBE d'étudier l'évolution de la communication acoustique au sein de la famille très diversifiée des "Holocentridae", un groupe de poissons marins. Différents types de données sont combinées (acoustique, morphologie, histologie, écologie, éthologie et phylogénie de ces animaux). Le site de Moorea du CRIOBE possède de nombreux moyens à la mer : une Station d’écologie…

Paramétrage du sonar multifaisceaux Ping DSP depuis le laboratoire sec de la barge scientifique Nohu-Criobe, lors de la cartographie de la baie d'Opunohu, à Moorea, en Polynésie française. La barge est un laboratoire mobile dédié à l’étude de l’écosystème récifal constitué d’une plateforme de recherche équipée de technologies de pointe. Cet outil innovant peut être déployé temporairement au sein du récif corallien dans le cadre de projets nécessitant d’expérimenter directement sur le terrain…

Photographie d'un récif corallien à Tongatapu, Tonga, dans l'océan Pacifique, pour réaliser un modèle 3D. Lors de la campagne photographique, les scientifiques prennent 4 000 photos d’une zone de 100 m2. A partir de ces clichés et grâce à la technique de la photogrammétrie, ils créent une reconstitution 3D de cette partie du récif. Le modèle est utilisé pour calculer la rugosité, la profondeur moyenne du récif et sa variance, afin d’estimer notamment la complexité du récif. A terme, la…

Ponte du corail "Acropora cytherea", une nuit d'octobre 2015 à Moorea, en Polynésie française. "Acropora cytherea" est un corail hermaphrodite : durant la ponte, il émet des milliers d'agrégats contenant de manière compactée des ovocytes et, au centre, des spermatozoïdes. Ces émissions de gamètes lui permettent de se reproduire de manière sexuée. Au bout de 30 à 40 minutes, les agrégats se cassent, libérant les gamètes mâles et femelles qui dérivent jusqu'à trouver un partenaire génétiquement…

Emission d'un agrégat contenu dans un polype du corail "Accropora pulsera", lors de la nuit de ponte. "Accropora pulsera" est un corail hermaphrodite : durant la ponte, il émet des milliers d'agrégats contenant de manière compactée des ovocytes et, au centre, des spermatozoïdes. Ces émissions de gamètes lui permettent de se reproduire de manière sexuée. Au bout de 30 à 40 minutes, les agrégats se cassent, libérant les gamètes mâles et femelles qui dérivent jusqu'à trouver un partenaire…

Recrue corallienne "Favia fragrum" observée sous lumière bleue. Le recrutement est le processus par lequel les jeunes larves de corail se fixent sur le récif et deviennent une partie de la population adulte. Ces larves sont issues des gamètes émis par les coraux au moment de la ponte et dispersés dans l’eau. La lumière bleue stimule la fluorescence verte des protéines des coraux et permet la détection de recrues de coraux de 1 mm de diamètre. Cette technique facilite la détermination du taux de…

Observation in situ de la ponte des coraux sur le récif barrière de Piha'ena, à Moorea, en Polynésie française, depuis la barge scientifique Nohu-Criobe. Ce laboratoire mobile, dont c'est le premier déploiement, a permis à l'équipe du Criobe de réaliser une semaine de terrain. La barge est un laboratoire mobile dédié à l’étude de l’écosystème récifal constitué d’une plateforme de recherche équipée de technologies de pointe. Cet outil innovant peut être déployé temporairement au sein du récif…

Station météorologique connectée de la barge scientifique Nohu-Criobe, qui permet l'enregistrement des données environnementales pendant les missions sur le terrain. La barge est un laboratoire mobile dédié à l’étude de l’écosystème récifal constitué d’une plateforme de recherche équipée de technologies de pointe. Cet outil innovant peut être déployé temporairement au sein du récif corallien dans le cadre de projets nécessitant d’expérimenter directement sur le terrain avec des outils de…

Séquences de tests de la barge scientifique Nohu-Criobe, réalisées par les chantiers navals Nautisport Industrie (NSI) afin d'obtenir le permis de navigation. La barge est un laboratoire mobile dédié à l’étude de l’écosystème récifal constitué d’une plateforme de recherche équipée de technologies de pointe. Cet outil innovant peut être déployé temporairement au sein du récif corallien dans le cadre de projets nécessitant d’expérimenter directement sur le terrain avec des outils de laboratoire…

Suivi en direct de l'acquisition de données depuis la timonerie de la barge scientifique Nohu-Criobe, lors de la cartographie de la baie d'Opunohu, à Moorea, en Polynésie française, avec le sonar multifaisceaux Ping DSP. La barge est un laboratoire mobile dédié à l’étude de l’écosystème récifal constitué d’une plateforme de recherche équipée de technologies de pointe. Cet outil innovant peut être déployé temporairement au sein du récif corallien dans le cadre de projets nécessitant d…

Arrivée de la barge scientifique Nohu-Criobe dans la baie d'Opunohu, à Moorea, en Polynésie française, après sa sortie des chantiers navals Nautisport Industrie (NSI). La barge est un laboratoire mobile dédié à l’étude de l’écosystème récifal constitué d’une plateforme de recherche équipée de technologies de pointe. Cet outil innovant peut être déployé temporairement au sein du récif corallien dans le cadre de projets nécessitant d’expérimenter directement sur le terrain avec des outils de…

Prélèvement d’eau de mer à proximité de macro-algues "Turbinaria ornata", dans le lagon de Moorea, Polynésie française, dans le but d’extraire in situ des molécules chimiques relarguées par ces algues. Une cloche placée au-dessus des algues limite la diffusion de l’eau, tandis qu’un plongeur réalise le prélèvement en passant l’eau, à l’aide d’une seringue, au travers d’une cartouche SPE (solid-phase extraction) pour que les molécules chimiques y soient directement captées. Cette expérience vise…

Paysage sous-marin de l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon : abondance d'alcyonaires, "Gersemia rubiformis" et "Alcyonium digitatum", et au centre une éponge digitée, "Haliclona sp" qui sert de support à des ophiures, "Ophiopholis aculeata". Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Plongeur scientifique photographiant des alcyonaires, corail mou, sous la banquise aux abords de la base Dumont d'Urville, en Terre Adélie. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme REVOLTA (Ressources écologiques et valorisation par un observatoire à long terme en Terre Adélie). Ce programme consiste à étudier la faune et la flore de l'Antarctique, milieu qui ne subit que des variations naturelles. Cet observatoire est un préalable à la mise en place d'aires marines…

Polypes d'alcyonaire ou corail mou, "Clavularia frankliniana", aux abords de la base Dumont d'Urville, en Terre Adélie, Antarctique. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme REVOLTA (Ressources écologiques et valorisation par un observatoire à long terme en Terre Adélie). Ce programme consiste à étudier la faune et la flore de l'Antarctique, milieu qui ne subit que des variations naturelles. Cet observatoire est un préalable à la mise en place d'aires marines protégées.

Détail de polypes d'alcyonaire ou corail mou, "Alcyonium antarcticum", aux abords de la base Dumont d'Urville, en Terre Adélie, Antarctique. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme REVOLTA (Ressources écologiques et valorisation par un observatoire à long terme en Terre Adélie). Ce programme consiste à étudier la faune et la flore de l'Antarctique, milieu qui ne subit que des variations naturelles. Cet observatoire est un préalable à la mise en place d'aires marines…

Corail du genre Fungia, côte sud de l’île de Tutuila dans les Samoa américaines.

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Pycnogonide, "Achelia sp.", dévorant des polypes d'alcyonaire, aux abords de la base Dumont d'Urville, en Terre Adélie, Antarctique. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme REVOLTA (Ressources écologiques et valorisation par un observatoire à long terme en Terre Adélie). Ce programme consiste à étudier la faune et la flore de l'Antarctique, milieu qui ne subit que des variations naturelles. Cet observatoire est un préalable à la mise en place d'aires marines protégées.

Corail du genre Fungia, sous un champ d’algues Halimeda, côte sud de l’île de Tutuila dans les Samoa américaines.

Alcyonaire, corail mou, "Alcyonium antarcticum", aux abords de la base Dumont d'Urville, en Terre Adélie, Antarctique. Un pycnogonide dévore un des polypes. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme REVOLTA (Ressources écologiques et valorisation par un observatoire à long terme en Terre Adélie). Ce programme consiste à étudier la faune et la flore de l'Antarctique, milieu qui ne subit que des variations naturelles. Cet observatoire est un préalable à la mise en place d'aires…

Corail branchu et algues Halimeda dans la baie de Fagafue, île de Tutuila dans les Samoa américaines.

Débris coralliens trouvés lors d’un prélèvement effectué dans le cadre d'une plongée à 7 m, sur la côte ouest au fond de la baie de Pago-Pago, dans les Samoa américaines. Les îles du Pacifique sont particulièrement touchées par les tsunamis et les cyclones tropicaux qui deviennent de plus en plus fréquents. Le ressac consécutif à ces catastrophes naturelles provoque une hausse brutale des eaux qui transporte des sédiments terrestres jusqu'à la mer et les dépose dans les zones peu profondes. L…

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Coupe d'un polype du corail, "Stylophora pistillata", observée en microscopie confocale à fluorescence. C'est un animal colonial présentant deux couches de cellules (ici avec plusieurs replis), un ectoderme et un endoderme séparés par une matrice. Dans la partie ectodermique (deux couches au centre), les cellules de corail sont marquées au niveau des noyaux au DAPI (bleu) et le reste du signal est de l'autofluorescence essentiellement verte, à l'exception des petits anneaux jaunes sur la…

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Coraux branchus par petits fonds, sur la pente externe de la côte sud de l’île de Tutuila dans les Samoa américaines.

Coraux fossiles sur une plage des îles Glorieuses, dans les îles Éparses de l'océan Indien. Les îles Éparses regroupent cinq îles et ilots sous souveraineté française : Europa, Bassas da India, Juan de Nova, les Glorieuses et Tromelin. Cet ensemble constitue l'un des districts de la Préfecture des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF). Il est au carrefour d'importants enjeux économiques, stratégiques et scientifiques. Un programme de recherche a été lancé en 2011, afin de mieux…

Plongeur injectant une solution de cobalt, dans une enceinte d'incubation où se trouve du corail madrépore, dans le lagon de Nouvelle-Calédonie, dans l'océan Pacifique. Le but est d'en mesurer l'impact éventuel sur son métabolisme. Le cobalt est abondamment rejeté dans le lagon par l'industrie minière. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du projet de recherche IBANOE dont l'objectif est d'identifier de nouveaux indicateurs des apports anthropiques (nutriments, métaux lourds) et du…

Plongeur et colonie de coraux madrépore "acropora", dans le lagon de Nouvelle-Calédonie, dans l'océan Pacifique. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du projet de recherche IBANOE dont l'objectif est d'identifier de nouveaux indicateurs des apports anthropiques (nutriments, métaux lourds) et du fonctionnement trophique du lagon sud-ouest de Nouvelle-Calédonie. In fine, il s'agit d'appréhender l'intensité et l'étendue spatiale des apports anthropiques de Nouvelle-Calédonie et du…

Quatre espèces différentes de gorgones et le corail "Astroides calycularis", dans le détroit de Gilbraltar, au large de Ceuta, en Espagne. Les tombants coralligènes sont d'une richesse exceptionnelle, dominés par de nombreuses espèces de cnidaires.

Récif corallien dans les Petites Antilles, dans la mer des Caraïbes en juin 2011. Cette image a été réalisée dans le cadre d'une mission d'échantillonnage d'oursins, "Meoma ventricosa".

Corail "cerveau de Neptune", dans les Petites Antilles, dans la mer des Caraïbes en juin 2011. Cette image a été réalisée dans le cadre d'une mission d'échantillonnage d'oursins, "Meoma ventricosa".

Polype du corail jaune solitaire, "Leptosammia pruvoti", au large de Marseille.

Coralligène de Méditerranée, au large de Cassis, dans les Bouches-du-Rhône.

Corail, dans les Petites Antilles, dans la mer des Caraïbes en juin 2011. Cette image a été réalisée dans le cadre d'une mission d'échantillonnage d'oursins, "Meoma ventricosa".

Corail jaune solitaire, "Leptosammia pruvoti" et éponge "Phorbas tenacior", au large de Marseille.

"Gorgonia flabellum", un cnidaire connu pour son réseau maillé, dans un secteur à forte densité. Cette gorgone cohabite avec d'autres espèces de cnidaires dont "Plexaurella sp". Cette espèce a été étudiée dans le cadre du projet MorpHydroGo, qui consiste à analyser certaines espèces de gorgones de la région des Antilles Françaises, afin de comprendre le lien entre le stress hydrodynamique et la forme spatiale des colonies. L'objectif est de mieux comprendre le rôle de certains traits…

Corail cerveau, "Diploria strigosa", au dessin caractéristique. Cette espèce a été observée dans le cadre du projet MorpHydroGo, qui consiste à analyser certaines espèces de gorgones de la région des Antilles Françaises, afin de comprendre le lien entre le stress hydrodynamique et la forme spatiale des colonies. L'objectif est de mieux comprendre le rôle de certains traits morphologiques dans la croissance, l'alimentation, voire la dispersion des coraux.

Pocillopora damicornis coral polyp (confocal microscopy, x10). In green, the symbiotic Dinoflagellates. In yellow, the green fluorescent proteins. In red, the mitochondria.

Mediterranean coralline algae which strongly respond to OA.

"Gorgonia flabellum", un cnidaire connu pour son réseau maillé. Cette espèce a été étudiée dans le cadre du projet MorpHydroGo, qui consiste à analyser certaines espèces de gorgones de la région des Antilles Françaises, afin de comprendre le lien entre le stress hydrodynamique et la forme spatiale des colonies. L'objectif est de mieux comprendre le rôle de certains traits morphologiques dans la croissance, l'alimentation, voire la dispersion des coraux.

Corail noir, antipathaire et plongeur, dans le lagon sud de Nouvelle-Calédonie, dans l'océan Pacifique. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du projet de recherche IBANOE dont l'objectif est d'identifier de nouveaux indicateurs des apports anthropiques (nutriments, métaux lourds) et du fonctionnement trophique du lagon sud-ouest de Nouvelle-Calédonie. In fine, il s'agit d'appréhender l'intensité et l'étendue spatiale des apports anthropiques de Nouvelle-Calédonie et du Vanuatu. Le…

Détail d'un corail madrépore, dans le lagon sud de Nouvelle-Calédonie, dans l'océan Pacifique. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du projet de recherche IBANOE dont l'objectif est d'identifier de nouveaux indicateurs des apports anthropiques (nutriments, métaux lourds) et du fonctionnement trophique du lagon sud-ouest de Nouvelle-Calédonie. In fine, il s'agit d'appréhender l'intensité et l'étendue spatiale des apports anthropiques de Nouvelle-Calédonie et du Vanuatu. Le projet…

Coraux madrépores, certainement "Acropora hyacinthus", dans le lagon sud de Nouvelle-Calédonie, dans l'océan Pacifique. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du projet de recherche IBANOE dont l'objectif est d'identifier de nouveaux indicateurs des apports anthropiques (nutriments, métaux lourds) et du fonctionnement trophique du lagon sud-ouest de Nouvelle-Calédonie. In fine, il s'agit d'appréhender l'intensité et l'étendue spatiale des apports anthropiques de Nouvelle-Calédonie et…

Coraux branchus aux pieds desquels on trouve le pétoncle "Comptopallium radula", dans le lagon sud de Nouvelle-Calédonie, dans l'océan Pacifique. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du projet de recherche IBANOE dont l'objectif est d'identifier de nouveaux indicateurs des apports anthropiques (nutriments, métaux lourds) et du fonctionnement trophique du lagon sud-ouest de Nouvelle-Calédonie. In fine, il s'agit d'appréhender l'intensité et l'étendue spatiale des apports anthropiques…

Sonde multi-paramètres positionnée dans le corail, non loin d'une zone d'expérimentation, dans le lagon sud de Nouvelle-Calédonie, dans l'océan Pacifique. Elle permet de connaître les conditions environnementales voisines du chantier. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du projet de recherche IBANOE dont l'objectif est d'identifier de nouveaux indicateurs des apports anthropiques (nutriments, métaux lourds) et du fonctionnement trophique du lagon sud-ouest de Nouvelle-Calédonie. In…

Vue du CRIOBE, Centre de Recherches Insulaires et Observatoire de l'Environnement, situé dans la vallée d'Opunohu à Moorea (Polynésie française). Depuis sa création en 1971, le CRIOBE est devenu un acteur scientifique reconnu dans le monde entier. Les recherches concernent essentiellement l'écosystème corallien polynésien mais aussi le milieu terrestre.

Gobie se dissimulant par homochromie, sur un corail fouet, "cirrhipathes", dans le lagon sud de Nouvelle-Calédonie, dans l'océan Pacifique. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du projet de recherche IBANOE dont l'objectif est d'identifier de nouveaux indicateurs des apports anthropiques (nutriments, métaux lourds) et du fonctionnement trophique du lagon sud-ouest de Nouvelle-Calédonie. In fine, il s'agit d'appréhender l'intensité et l'étendue spatiale des apports anthropiques de…

Paysage corallien, colonie de corail de feu, "Millepora sp.", Fakarava, archipel des Tuamotu, Polynésie française. Les coraux constructeurs de récifs vivent en symbiose avec une algue unicellulaire qui grâce à la photosynthèse leur procure la majeure partie de leur énergie. Cette dernière est majoritairement dédiée à la synthèse d'un squelette calcaire qui est le fondement de la formation récifale. Ces coraux ont une croissance lente, vivent dans les eaux chaudes et limpides des régions…

Un poisson-faucon, "Paracirrhites arcatus", posé sur le corail, "Pocillopora endouxy", dans lequel il vit. Moorea, Polynésie française.

Mortalité partielle (zone blanche) d'un corail, "Pocillopora sp.", lagon de Fakarava de nuit, archipel des Tuamotu en Polynésie française.

Colonie massive de corail "Porites sp." disloquée et retournée suite au passage du cyclone Oli en février 2010. Moorea, Polynésie française. Les coraux constructeurs de récifs vivent en symbiose avec une algue unicellulaire qui grâce à la photosynthèse leur procure la majeure partie de leur énergie. Cette dernière est majoritairement dédiée à la synthèse d'un squelette calcaire qui est le fondement de la formation récifale. Ces coraux ont une croissance lente, vivent dans les eaux chaudes et…

Le haut des coraux, "Pocillopora spp." émerge parfois lors des marées les plus basses. Atoll de Fakarava, archipel des Tuamotu, Polynésie française.

Corail "Pocillopora sp." en gros plan, atoll de Fakarava de nuit, archipel des Tuamotu en Polynésie française.

Un bâtiment sur un ponton dans le lagon de Tetamanu, atoll de Fakarava, archipel des Tuamotu, Polynésie française.

Détail des bras des polypes d'un corail, "Acropora sp.". Fakarava de nuit, archipel des Tuamotu, Polynésie française.

La faible profondeur du lagon laisse entrevoir de nombreuses structures coralliennes. Atoll de Tetiaroa, archipel de la Société, Polynésie française.

Paysage corallien, Fakarava, archipel des Tuamotu, Polynésie française. Les coraux constructeurs de récifs vivent en symbiose avec une algue unicellulaire qui grâce à la photosynthèse leur procure la majeure partie de leur énergie. Cette dernière est majoritairement dédiée à la synthèse d'un squelette calcaire qui est le fondement de la formation récifale. Ces coraux ont une croissance lente, vivent dans les eaux chaudes et limpides des régions tropicales, et dépendent d'un environnement…

Détail de la structure squelettique d'un corail champignon, "Fungia sp.", lagon de Moorea, Polynésie française.

Paysage corallien, Fakarava, archipel des Tuamotu, Polynésie française. Les coraux constructeurs de récifs vivent en symbiose avec une algue unicellulaire qui grâce à la photosynthèse leur procure la majeure partie de leur énergie. Cette dernière est majoritairement dédiée à la synthèse d'un squelette calcaire qui est le fondement de la formation récifale. Ces coraux ont une croissance lente, vivent dans les eaux chaudes et limpides des régions tropicales, et dépendent d'un environnement…

Mortalité partielle d'une colonie de corail "Pocillopora meandrina", Fakarava, archipel des Tuamotu, Polynésie française. Les coraux constructeurs de récifs vivent en symbiose avec une algue unicellulaire qui grâce à la photosynthèse leur procure la majeure partie de leur énergie. Cette dernière est majoritairement dédiée à la synthèse d'un squelette calcaire qui est le fondement de la formation récifale. Ces coraux ont une croissance lente, vivent dans les eaux chaudes et limpides des régions…

Un crabe, "Trapezia serenei", défend le corail dans lequel il vit. Fakarava, de nuit, archipel des Tuamotu, Polynésie française.

Un banc de perches à raies bleues, "Lutjanus kasmira", se plaque au corail pour éviter le courant. Atoll de Fakarava, archipel des Tuamotu, Polynésie française.

Un banc de perches à raies bleues, "Lutjanus kasmira", se plaque au corail pour éviter le courant. Atoll de Fakarava, archipel des Tuamotu, Polynésie française.

Corail rouge, "Corallium rubrum", à 25 m de profondeur, près de l'île de Riou, au large de Marseille. Le corail rouge fait partie du décor des tombants et des grottes de Méditerranée. Ici, les polypes du corail rouge déploient chacun leurs 8 tentacules. Contrairement aux coraux tropicaux, sa couleur rouge n'est pas due à des algues symbiotiques mais à la présence de pigments caroténoïdes.

Détail d'une terrasse récifale fossile montrant des colonies coralliennes en position de vie sur l'île d'Europa, appartenant à l'ensemble des îles Eparses situé dans l'océan Indien. Cette terrasse s'est développée lorsque le niveau marin était plus élevé que le niveau actuel. L'objectif est de reconstituer les variations du niveau de la mer pour déterminer la dynamique des calottes polaires et l'évolution du système climatique au cours du Quaternaire. La datation de certains coraux fossiles…

Bioérosion du substrat récifal par les oursins, Moorea, Polynésie française. Les coraux constructeurs de récifs vivent en symbiose avec une algue unicellulaire qui grâce à la photosynthèse leur procure la majeure partie de leur énergie. Cette dernière est majoritairement dédiée à la synthèse d'un squelette calcaire qui est le fondement de la formation récifale. Ces coraux ont une croissance lente, vivent dans les eaux chaudes et limpides des régions tropicales, et dépendent d'un environnement…

"Alcyonium glomeratum", corail mou de la sous-classe des octocoralliaires qui déploie ses polypes blancs pour se nourrir. Il est observé dans la baie de Morlaix, Finistère.