Actualité scientifique

Les trésors du patrimoine archéologique africain

Le 5 mai prochain, à l'occasion de la Journée du patrimoine mondial africain, embarquez pour un voyage extraordinaire avec les scientifiques qui fouillent sans relâche ce continent pour en découvrir toutes les merveilles encore cachées et tenter de mieux comprendre notre histoire.

Gravures rupestres datées du 2ᵉ millénaire avant J.-C. (massif du Dakka, au sud-ouest de la République de Djibouti)..
Gravures rupestres datées du 2ᵉ millénaire avant J.-C. (massif du Dakka, au sud-ouest de la République de Djibouti)..

© Jessie Cauliez / Traces / PSPCA / CNRS Images

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Berceau des plus anciennes cultures du monde, l’Afrique est riche d’un incroyable patrimoine dont l’essentiel nous reste sans doute encore à découvrir. Aux quatre coins du continent, les scientifiques travaillent d’arrache-pied sur des sites extraordinaires pour en percer les secrets, qu’il s’agisse de momies, de peintures rupestres ou encore de stèles intrigantes. Pour ce faire, ils font de plus en plus appel à des techniques surprenantes, comme la chimie. Le but : découvrir, comprendre et, surtout, protéger ce patrimoine inestimable.

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Entrée de l'église de Gabriel Rufael au sud-est de Lalibela, en Ethiopie. La ville abrite un site chrétien creusé dans la roche des hauts plateaux. Cet immense complexe est constitué de onze églises monumentales imbriquées dans un réseau de galeries, de tranchées et de salles souterraines. Le site, qui aurait été fondé au début de XIIIe siècle, est toujours fréquenté par les fidèles aujourd’hui. Il a été classé au patrimoine mondial de l’Unesco en 1978. Depuis 2009, une équipe de scientifiques…

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Entrée de l'église rupestre de Gabriel Rufael, Lalibela, Ethiopie
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Découvertes en 1902, les ruines de Loropéni représentent les seuls témoins d'une activité de fortification dans la région du Lobi, au Burkina Faso. Afin de percer les secrets qui entourent cet ensemble archéologique, une équipe internationale de chercheurs a été formée en 2015. Au croisement de plusieurs disciplines (archéologie, anthropologie...) et de différentes méthodes de recherche (photogrammétrie, enquête de terrain, fouilles..), elle tente de faire la lumière sur l'histoire de ce site.

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Cité oubliée de Loropéni (La)
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Une équipe de recherche franco-éthiopienne tente de comprendre le passé complexe de Lalibela, l'un des plus importants sites chrétiens d'Afrique, situé en Éthiopie. L'objectif de cette coopération est de déterminer les étapes successives de creusement des onze églises du site afin d'étudier l'histoire de Lalibela sur le temps long. En parallèle des fouilles archéologiques, un programme de numérisation est en cours. Des ingénieurs travaillent sur la modélisation 3D…

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Cité creusée dans la roche (La)
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Eglise de Marie (Maryam), l'une des onze églises du site de Lalibela, en Ethiopie, attribuée au roi Lalibela au début du 13e siècle. Ce site chrétien creusé dans la roche des hauts-plateaux est constitué de onze églises monumentales imbriquées dans un réseau de galeries, de tranchées et de salles souterraines. Il est toujours fréquenté par les fidèles. Au cours du XXe siècle, plusieurs projets de conservation y ont été entrepris par des acteurs locaux, nationaux et internationaux. C'est l’un…

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Eglise de Marie (Maryam), Lalibela, Ethiopie
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Bas-relief d'un dignitaire religieux proclamant l'évangile dans l'église de Golgotha, au nord-ouest de Lalibela, en Ethiopie. La ville abrite un site chrétien creusé dans la roche des hauts plateaux. Cet immense complexe est constitué de onze églises monumentales imbriquées dans un réseau de galeries, de tranchées et de salles souterraines. Le site, qui aurait été fondé au début de XIIIe siècle, est toujours fréquenté par les fidèles aujourd’hui. Il a été classé au patrimoine mondial de l…

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Bas-relief d'un dignitaire religieux, église rupestre de Golgotha, Lalibela, Ethiopie
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Vide bordant l'église de Gabriel Rufael au sud-est de Lalibela, en Ethiopie. La ville abrite un site chrétien creusé dans la roche des hauts plateaux. Cet immense complexe est constitué de onze églises monumentales imbriquées dans un réseau de galeries, de tranchées et de salles souterraines. Le site, qui aurait été fondé au début de XIIIe siècle, est toujours fréquenté par les fidèles aujourd’hui. Il a été classé au patrimoine mondial de l’Unesco en 1978. Depuis 2009, une équipe de…

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Vide bordant l'église rupestre de Gabriel Rufael, Lalibela, Ethiopie
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Moines entrant dans l’église d'Abba Libanos au sud-est de Lalibela, en Ethiopie. La ville abrite un site chrétien creusé dans la roche des hauts plateaux. Cet immense complexe est constitué de onze églises monumentales imbriquées dans un réseau de galeries, de tranchées et de salles souterraines. Le site, qui aurait été fondé au début de XIIIe siècle, est toujours fréquenté par les fidèles aujourd’hui. Il a été classé au patrimoine mondial de l’Unesco en 1978. Depuis 2009, une équipe de…

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Moines entrant dans l’église rupestre d'Abba Libanos, Lalibela, Ethiopie
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Image 3D de l'église d'Amanuel au sud-est de Lalibela, en Ethiopie, réalisée par Archeovision. La ville abrite un site chrétien creusé dans la roche des hauts plateaux. Cet immense complexe est constitué de onze églises monumentales imbriquées dans un réseau de galeries, de tranchées et de salles souterraines. Le site, qui aurait été fondé au début de XIIIe siècle, est toujours fréquenté par les fidèles aujourd’hui. Il a été classé au patrimoine mondial de l’Unesco en 1978. Depuis 2009, une…

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Image 3D de l'église d'Amanuel située à Lalibela, Ethiopie, réalisée par Archeovision
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Orthoimage des bas-reliefs dans l'église de Golgotha, au nord-ouest de Lalibela, en Ethiopie, réalisée par Archeovision. La ville abrite un site chrétien creusé dans la roche des hauts plateaux. Cet immense complexe est constitué de onze églises monumentales imbriquées dans un réseau de galeries, de tranchées et de salles souterraines. Le site, qui aurait été fondé au début de XIIIe siècle, est toujours fréquenté par les fidèles aujourd’hui. Il a été classé au patrimoine mondial de l’Unesco en…

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Orthoimage des bas-reliefs dans l'église de Golgotha, Lalibela, Ethiopie, par Archeovision
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Relevés et mesures sur des blocs de basalte en vue de datations archéomagnétiques sur le site archéologique d’Hedaito Le Dora, dans le bassin du lac Abhé, en République de Djibouti. Ces blocs constituent un aménagement ancien (1er millénaire avant l’ère commune) de type foyers à pierres chauffantes. Le site d’Hedaito Le Dora livre les témoins d’un habitat affilié à des éleveurs de bovins et de caprins. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans,…

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Relevés et mesures sur des blocs de basalte en vue de datations archéomagnétiques, Hedaito Le Dora, Djibouti
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Relevés sur la nécropole d’Antakari 3, dans le bassin du lac Abhé, en République de Djibouti. Cette nécropole datée du 3ème millénaire avant l’ère commune est affiliée aux premiers éleveurs de la Corne de l’Afrique. Les scientifiques enregistrent la position stratigraphique des défunts et des aménagements et offrandes ayant accompagné leur sépulture, afin de restituer l’histoire de l’usage du cimetière. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans…

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Relevés sur la nécropole d’Antakari 3, bassin du lac Abhé, Djibouti
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Dans le sud-ouest Zimbabwe, le massif des Matopos regorge de grottes ornées de peintures rupestres. Depuis 2017, une équipe franco-zimbabwéenne de spécialistes de l'art pariétal s'associe à des archéologues pour tenter de dater ces oeuvres préhistoriques et d'identifier les techniques picturales employées : c'est le projet MATOBART. Pour cela, ils analysent les outils, cordes et vestiges de parois découverts dans la grotte de Pomongwe, l'une…

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Sur les traces des premiers peintres d'Afrique
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Massif des Matobo, au sud-ouest du Zimbabwe. Les masses granitiques creusées par le temps constituent l'un des plus importants foyers d'art rupestre dans le monde. La région est inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco, au titre de paysages culturels. Dans l'abri de Pomongwe, une campagne de relevés, de fouilles et d'analyses de mobilier archéologique a pour but dater ces œuvres. Séquencer les peintures dans le temps permettrait de savoir si leur diversité stylistique et technique reflète des…

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Massif des Matobo, au sud-ouest du Zimbabwe
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Enregistrement photographique d'un sol archéologique dégagé lors de la fouille menée dans l'abri de Pomongwe, dans les Matobo, au Zimbabwe, avant son "démontage" (enlèvement des vestiges mis au jour) pour poursuivre la fouille sur les niveaux inférieurs. Ce site préhistorique présente de très nombreuses peintures rupestres dans des styles, techniques et couleurs variés. L'objectif des fouilles est de réaliser une chronologie des phases d'occupation du site, puis de lier les peintures sur paroi…

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Enregistrement photographique d'un sol archéologique avant son démontage, dans l'abri de Pomongwe
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Scènes, peut-être issues de décors successifs, représentant notamment une girafe entourée de personnages humains marchant, dans l'abri de Silozwane dans les Matobo, au Zimbabwe. Contrairement à l'iconographie paléolithique d'Europe, l'art rupestre d'Afrique australe laisse une grande place à la figure humaine. À côté de la grande faune (girafes, antilopes, éléphants), files de chasseurs à la course, groupes mixtes marchant et scènes de campement témoignent d'un système de représentation…

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Peinture de girafe entourée de personnages humains marchant dans l'abri de Silozwane, au Zimbabwe
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Peinture bichrome représentant une figure humaine marchant dans l'abri de Pomongwe dans les Matobo, au Zimbabwe. Cet abri préhistorique pourrait être orné de plusieurs milliers de représentations de chasseurs et de grands herbivores dans des styles, techniques et couleurs variés. Les motifs sont très abîmés et n'apparaissent parfois qu'en comparant les relevés avec des photographies traitées en laboratoire pour en faire ressortir les couleurs. L'objectif de ce travail est de démêler les…

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Peinture bichrome représentant une figure humaine marchant dans l'abri de Pomongwe, au Zimbabwe
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Tri de pigments découverts au cours de précédentes fouilles de l’abri de Pomongwe dans les Matobo, au Zimbabwe, et conservés au musée des sciences humaines du Zimbabwe à Harare. Ce site préhistorique présente de très nombreuses peintures rupestres de styles et techniques variés, dans un éventail de couleurs allant du blanc au noir en passant par toute la gamme des jaunes, orange et rouges. Une campagne actuelle de relevés, de fouilles et d'analyses de mobilier archéologique au musée vise à…

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Tri des pigments découverts dans l'abri de Pomongwe, au musée des sciences humaines du Zimbabwe
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Gravures rupestres datées du 2ème millénaire avant l’ère commune sur le massif du Dakka, au sud-ouest de la République de Djibouti. Elles illustrent l’univers symbolique des premiers éleveurs de la Corne de l’Afrique et le commerce caravanier. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité qui a entraîné d’importantes modifications environnementales. Dans la Corne de l’Afrique, cette période coïncide avec l’adoption par les…

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Gravures rupestres du 2ème millénaire avant JC, massif du Dakka, Djibouti
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Paysage de Konso, dans le rift éthiopien principal, sur lequel a été développé un espace d’agriculture en terrasses. Le Grand Rift africain s'étend de la mer Rouge à l'Afrique australe sur 4 000 kilomètres, à la croisée de plusieurs pays (Ethiopie, Rwanda, Tanzanie, Kenya). Cet espace géologique constitué d’une série de failles et de volcans a été façonné pendant des millions d’années par les phénomènes géophysiques en interaction constante avec le climat (mouvements de la croûte terrestre,…

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Paysage de Konso avec un espace d'agriculture en terrasses, Ethiopie, Grand Rift africain
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Depuis le début du projet européen HornEast, les historiens et archéologues ne cessent de découvrir des stèles funéraires musulmanes dans la région du Tigrè Oriental, en Éthiopie ; bouleversant les connaissances historiques alors admises. Ces nouvelles sources semblent indiquer une présence longue et étendue de l'islam dans une région qui était pourtant un des sièges de l'autorité chrétienne au Moyen Âge. La découverte de ces cimetières soulève de nouveaux questionnements chez…

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Stèles oubliées d'Éthiopie (Les)
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Ce film raconte l'histoire de la découverte, en Egypte, des premiers fours de fusion du verre de grandes dimensions datés du début de l'époque romaine. Marie-Dominique Nenna, spécialiste du verre antique, après avoir mené des recherches dans les archives et les bibliothèques, a prospecté différents sites dans la région du Wadi Natrun (Zafik, Bir Hooker, Beni Salama, Taposiris, Marea...) sur les ateliers primaires. Des fouilles ont été…

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Oasis du verre (L')
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C'est à une enquête minutieuse que se livrent des chercheurs pour analyser des momies coptes datant d'il y a 1 500 ans et issues de la nécropole égyptienne d'Antinoé. Leur spécialité : la tribologie, science du frottement et de l'usure. Grâce à l'analyse de la peau et des cheveux de ces momies ainsi qu'à celle des dorures et des traces de textile, ils tentent de mieux comprendre les techniques d'embaumement et d'application des feuilles d'or. Et dégager, pourquoi pas, des pistes pour d…

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Science se frotte aux momies dorées (La)
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Linteau de chapelle funéraire, gravé de quatre lignes de textes présentant la propriétaire, Dame Adatalabe. Cette femme faisait partie de la haute société de Sedeinga et était issue d'une illustre lignée comprenant un prince royal, membre de la famille régnante de Méroé. Il a été trouvé lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III,…

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Linteau de chapelle funéraire, gravé de quatre lignes de textes présentant la propriétaire
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Montant de chapelle funéraire, gravée de la figure de Maât, déesse égyptienne de l'ordre, de l'équité et de la justice, datant du IIe siècle apr.J.-C. Il s'agit de la première représentation de cette déesse avec des traits africains. Ce vestige a été trouvé lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également…

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Montant de chapelle funéraire, gravée de la figure de la déesse Maât
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Photo aérienne du secteur de la nécropole du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également une grande nécropole, rassemblant des sépultures datant des royaumes de Napata et de Méroé (VIIe siècle av. J.-C. / IVe siècle apr. J.-C.), une civilisation mêlant traditions locales et influences égyptiennes. Ces découvertes permettent…

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Photo aérienne du secteur de la nécropole du site archéologique de Sedeinga, au nord du Soudan
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Stèle funéraire gravée au nom de la Dame Maliwarase, femme de la haute société de Sedeinga, et sur laquelle les liens de parenté de cette dernière sont détaillés. Elle a été trouvée lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également une grande nécropole, rassemblant des sépultures datant des royaumes de Napata…

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Stèle funéraire gravée au nom de la Dame Maliwarase, femme de la haute société de Sedeinga
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Stèle funéraire datant du IIe siècle apr. J.-C. et gravée au nom de la Dame Ataqelula, femme de la haute société de Sedeinga, et sur laquelle les liens de parenté de cette dernière sont détaillés. Elle a été trouvée lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également une grande nécropole, rassemblant des…

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Stèle funéraire datant du IIe siècle apr. J.-C. et gravée au nom de la Dame Ataqelula
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Céramologues répertoriant des tessons de poteries en céramique trouvés lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan, afin de les classer par période et région d'origine. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également une grande nécropole, rassemblant des sépultures datant des royaumes de Napata et de Méroé (VIIe siècle av. J.-C. / IVe siècle apr. J.-C…

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Céramologues répertoriant des tessons de poteries en céramique
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Découverte d'un pyramidion lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également une grande nécropole, rassemblant des sépultures datant des royaumes de Napata et de Méroé (VIIe siècle av. J.-C. / IVe siècle apr. J.-C.), une civilisation mêlant traditions locales et influences égyptiennes. Ces découvertes…

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Découverte d'un pyramidion lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga
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Découverte d'une stèle funéraire de grès décorée datant du IIe siècle apr. J.-C. et gravée au nom de la Dame Ataqelula, femme de la haute société de Sedeinga, et sur laquelle les liens de parenté de cette dernière sont détaillés. Elle a été trouvée lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également une grande…

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Découverte d'une stèle funéraire datant du IIe siècle apr. J.-C. et gravée au nom de la Dame Ataqelula
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Dégagement d'une pyramide lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également une grande nécropole, rassemblant des sépultures datant des royaumes de Napata et de Méroé (VIIe siècle av. J.-C. / IVe siècle apr. J.-C.), une civilisation mêlant traditions locales et influences égyptiennes. Ces découvertes…

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Dégagement d'une pyramide lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga
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Découverte d'une stèle gravée lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également une grande nécropole, rassemblant des sépultures datant des royaumes de Napata et de Méroé (VIIe siècle av. J.-C. / IVe siècle apr. J.-C.), une civilisation mêlant traditions locales et influences égyptiennes. Ces découvertes…

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Découverte d'une stèle gravée lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga
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Découverte d'une stèle égyptienne gravée au nom d'Amenhotep III lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également une grande nécropole, rassemblant des sépultures datant des royaumes de Napata et de Méroé (VIIe siècle av. J.-C. / IVe siècle apr. J.-C.), une civilisation mêlant traditions locales et influences…

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Découverte d'une stèle égyptienne gravée au nom d'Amenhotep III
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Découverte d'une stèle funéraire gravée au nom de la Dame Maliwarase, femme de la haute société de Sedeinga, et sur laquelle les liens de parenté de cette dernière sont détaillés. Elle a été trouvée lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également une grande nécropole, rassemblant des sépultures datant des…

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Découverte d'une stèle funéraire gravée au nom de la Dame Maliwarase
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Pyramides découvertes lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également une grande nécropole, rassemblant des sépultures datant des royaumes de Napata et de Méroé (VIIe siècle av. J.-C. / IVe siècle apr. J.-C.), une civilisation mêlant traditions locales et influences égyptiennes. Ces découvertes permettent…

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Pyramides découvertes lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga
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Pyramide à coupole interne découverte lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Selon les archéologues, cette forme d'architecture avec une structure interne de forme circulaire reliée aux quatre coins de l'édifice pourrait résulter de la superposition de tumuli traditionnels et de pyramides. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, le site de Sedeinga accueille…

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Pyramide à coupole interne découverte lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga
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Dessinatrice effectuant le relevé d'une pyramide découverte lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également une grande nécropole, rassemblant des sépultures datant des royaumes de Napata et de Méroé (VIIe siècle av. J.-C. / IVe siècle apr. J.-C.), une civilisation mêlant traditions locales et influences…

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Dessinatrice effectuant le relevé d'une pyramide découverte lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga
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Pyramides découvertes lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également une grande nécropole, rassemblant des sépultures datant des royaumes de Napata et de Méroé (VIIe siècle av. J.-C. / IVe siècle apr. J.-C.), une civilisation mêlant traditions locales et influences égyptiennes. Ces découvertes permettent…

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Pyramides découvertes lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga
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Photo aérienne du secteur de la nécropole du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d'Amenhotep III, ce site accueille également une grande nécropole, rassemblant des sépultures datant des royaumes de Napata et de Méroé (VIIe siècle av. J.-C. / IVe siècle apr. J.-C.), une civilisation mêlant traditions locales et influences égyptiennes. Ces découvertes permettent…

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Photo aérienne du secteur de la nécropole du site archéologique de Sedeinga, au nord du Soudan
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Table d'offrande de Malitabelito datant du début du IIIème siècle, trouvée lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga, situé sur la rive ouest du Nil, au nord du Soudan. La croix de vie égyptienne (aussi appelée croix Ankh) sculptée dessus possède une branche inférieure et deux branches latérales de formes triangulaires qui sont propres au style méroïtique. Elle est encadrée par les représentations gravées de deux divinités, dont le dieu funéraire Anubis à tête de chacal, maître des…

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Table d'offrande de Malitabelito trouvée lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga
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Zoom sur un stèle funéraire datant du IIe siècle apr. J.-C. et gravée au nom de la Dame Ataqelula, femme de la haute société de Sedeinga, et sur laquelle les liens de parenté de cette dernière sont détaillés. Les lignes de couleur bleutée ont été analysées chimiquement et identifiées comme étant du bleu égyptien, un pigment obtenu en mélangeant du cuivre et du silicate de calcium, très utilisé dans l'Egypte antique. La stèle a été trouvée lors de la fouille du site archéologique de Sedeinga,…

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Zoom sur un stèle funéraire datant du IIe siècle apr. J.-C. et gravée au nom de la Dame Ataqelula
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Des monnaies d'époque ptolémaïques ont été retrouvées sur le site de Marea en Egypte puis étudiées dans l'entrepôt de Shallalat à Alexandrie. Grâce à l'archéologie expérimentale, les chercheurs tentent de découvrir les techniques de fabrication et les méthodes de frappe en recréant un atelier monétaire, dans la plateforme des arts du feu à Melle (Deux-Sèvres). L'objectif est de recréer, à partir de monnaies de bronze (en particulier la monnaie de Ptolémée aux deux aigles…

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Aigles d'Alexandrie (Les)
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Etude d'écriture découverte dans le secteur sud (STO) du Ramesseum et provenant du contexte de l'école du temple, où les élèves étaient sans doute des enfants de fonctionnaires du temple et de notables, époque ramesside. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Etude d'écriture découverte dans le secteur sud (STO) du Ramesseum et provenant du contexte de l'éco
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Ramesseum, arrière du portique nord-ouest de la seconde cour, vu depuis le toit de la salle hypostyle. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, arrière du portique nord-ouest de la seconde cour, vu depuis le toit de la salle hypostyl
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Ramesseum, salle hypostyle. Détail de deux chapiteaux de la travée centrale, après nettoyage. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, salle hypostyle. Détail de deux chapiteaux de la travée centrale, après nettoyage. Nommé
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Ramesseum, point de vue sur le temple à l'entrée du site et sur les piliers osiriaques de Ramsès II ayant un aspect momiforme. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, point de vue sur le temple à l'entrée du site et sur les piliers osiriaques de Ramsès II
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Ramesseum, détail de l'architrave et des chapiteaux papyriformes sud, après nettoyage. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, détail de l'architrave et des chapiteaux papyriformes sud, après nettoyage. Nommé "Temple
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Ramesseum, fragment de cartonnage de momie. Toiles encollées, stuquées et peintes. Troisième Période Intermédiaire. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, fragment de cartonnage de momie. Toiles encollées, stuquées et peintes. Troisième Période
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Ramesseum, seconde cour, détail du portique nord-est avec les piliers osiriaques de Ramsès II sous un aspect momiforme. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, seconde cour, détail du portique nord-est avec les piliers osiriaques de Ramsès II sous u
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Ramesseum, secteur SHP, travaux de restauration sur l'une des parois de la grande salle hypostyle du temple. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, secteur SHP, travaux de restauration sur l'une des parois de la grande salle hypostyle du
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Ramesseum, acheminement de blocs de grès pour la restauration du mur périmétral sud-ouest du temple. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, acheminement de blocs de grès pour la restauration du mur périmétral sud-ouest du temple.
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Ramesseum, secteur SCR. La porte latérale restaurée, donnant accès au bas-côté sud de la grande salle hypostyle. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, secteur SCR. La porte latérale restaurée, donnant accès au bas-côté sud de la grande sall
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Ramesseum, secteur STH. Découverte d'une inhumation de surface, datant de la Troisième Période Intermédiaire. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, secteur STH. Découverte d'une inhumation de surface, datant de la Troisième Période Inter
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Ramesseum, détail d'un des magasins voûtés du Ramesseum du secteur nord-ouest, identifiés comme étant les celliers du temple. Leurs voûtes fragilisées par l'érosion vont être confortées grâce au mécénat. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, détail d'un des magasins voûtés du Ramesseum du secteur nord-ouest, identifiés comme étan
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Ramesseum, salle hypostyle. Colonnes papyriformes de la travée centrale après nettoyage. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, salle hypostyle. Colonnes papyriformes de la travée centrale après nettoyage. Nommé "Temp
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Ramesseum, secteur STO. Classement de tessons peints provenant d'installations artisanales (XVIIIe dynastie). Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, secteur STO. Classement de tessons peints provenant d'installations artisanales (XVIIIe d
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Ramesseum, secteur STO. Vestiges d'installations artisanales datant du Nouvel Empire (XVIIIe dynastie). Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, secteur STO. Vestiges d'installations artisanales datant du Nouvel Empire (XVIIIe dynasti
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Ramesseum, le temple vu du sud, avec au premier plan les cuisines, et à droite l'école. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, le temple vu du sud, avec au premier plan les cuisines, et à droite l'école. Nommé "Templ
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Ramesseum, seconde cour du temple. Portique nord-est et statue fragmentaire du "Jeune Memnon" placée au sud de la rampe d'accès centrale au temple. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, seconde cour du temple. Portique nord-est et statue fragmentaire du "Jeune Memnon" placée
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Ramesseum, seconde cour du temple. Le portique nord-est avec les statues osiriaques, et le colosse de Ramsès II effondré vu du sud. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, seconde cour du temple. Le portique nord-est avec les statues osiriaques, et le colosse d
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Ramesseum, première cour. Fragment de la statue colossale de Touy, mère de Ramsès II. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, première cour. Fragment de la statue colossale de Touy, mère de Ramsès II. Nommé "Temple
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Ramesseum, déplacement de blocs pour leur présentation sur des banquettes. L'utilisation d'une grue sur le chantier de fouilles étant proscrite, les blocs de pierre sont déplacés à la manière antique, mais non sur des rondins de bois, sur des tubes de métal. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, déplacement de blocs pour leur présentation sur des banquettes. L'utilisation d'une grue
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Ramesseum, installation de banquettes dans la première cour du temple pour la présentation de blocs décorés. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum, installation de banquettes dans la première cour du temple pour la présentation de blocs
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Ramesseum vu du nord-est, avec les piliers osiriaques de Ramsès II sous un aspect momiforme. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ramesseum vu du nord-est, avec les piliers osiriaques de Ramsès II sous un aspect momiforme. Nommé "
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Des magasins voûtés en terre crue sur le site du Ramesseum, dans le secteur nord-ouest. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Des magasins voûtés en terre crue sur le site du Ramesseum, dans le secteur nord-ouest. Nommé "Temp
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Accès à la première cour du temple du Ramesseum, présentation de bas-reliefs illustrant la bataille de Qadech qui eut lieu au début du XIIIe siècle avant J.-C. et provenant du temple. Nouvel Empire (XIXe dynastie) : XIIIe siècle avant notre ère. Le Ramesseum, nommé "Temple de millions d'années" car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Accès à la première cour du temple du Ramesseum, présentation de bas-reliefs illustrant la bataille
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Ostracon (tesson) copte provenant du cavalier (amas) de déblais, côté sud. Secteur sud du Ramesseum (APS). Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Ostracon (tesson) copte provenant du cavalier (amas) de déblais, côté sud. Secteur sud du Ramesseum
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Ramesseum, allée processionnelle nord. Installations funéraires tardives de la Troisième Période Intermédiaire. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) à Thèbes (Egypte), sur la rive occidentale du Nil.

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Ramesseum, allée processionnelle nord. Installations funéraires tardives de la Troisième Période Int
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Etude d'écriture découverte dans le secteur sud (STO) du Ramesseum et provenant du contexte de l'école du temple, où les élèves étaient sans doute des enfants de fonctionnaires du temple et de notables, époque ramesside. Nommé "Temple de millions d'années", car le culte funéraire du roi y était assuré pour l'éternité, le Ramesseum a été construit par Ramsès II (1279 à 1212 av. J.-C.) sur la rive occidentale du Nil à Thèbes (Egypte).

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Etude d'écriture découverte dans le secteur sud (STO) du Ramesseum et provenant du contexte de l'éco
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Traces de dents humaines sur un fragment de côte d’Alcelaphini ("Parmularius sp."), un bovidé d’un genre éteint, mis au jour dans la grotte des Rhinocéros à Casablanca, au Maroc. Ce site acheuléen daté de 700 000 ans, au début du Pléistocène moyen, abrite les plus anciens vestiges fossiles d’animaux consommés en grotte par des hommes sur le continent africain. Trente-sept ossements d’herbivores portent des stries, des impacts de percussion et des traces de dents humaines qui mettent en évidence…

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Traces de dents humaines sur un os d’Alcelaphini datant du Pléistocène moyen
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Fragment de côte d’Alcelaphini ("Parmularius sp.") présentant des traces de dents humaines et des marques de boucherie antérieures. Cet os de bovidé d’un genre éteint a été mis au jour dans la grotte des Rhinocéros à Casablanca, au Maroc, un site acheuléen daté de 700 000 ans, au début du Pléistocène moyen. Il abrite les plus anciens vestiges fossiles d’animaux consommés en grotte par des hommes sur le continent africain. Trente-sept ossements d’herbivores portent des stries, des impacts de…

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Os d’Alcelaphini datant du Pléistocène moyen avec des marques de dents et de boucherie

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