Résumé
Les cérémonies du Sigui, célébrées tous les soixante ans pendant sept années successives par les Dogon de la falaise de Bandiagara au Mali, commémorent la révélation de la parole orale aux hommes ainsi que la mort et les funérailles du premier ancêtre. La troisième année des fêtes a lieu au village de Bongo.
Avant la fête les anciens de Bongo se réunissent ; dans la caverne du Sigui, où les dignitaires du Sigui, les Olubaru, ont fait retraite, les jeunes gens taillent des rhombes qui reproduiront la voix de l'ancêtre ; les anciens rafraîchissent les peintures de l'autel de l'ancêtre-serpent, les hommes peignent les crosses-sièges en rouge ; les quatre grands masques représentant l'ancêtre sont dressés devant la caverne.
Pour la cérémonie toutes les générations d'hommes, en costume de Sigui, sont réunies par rang d'âge le long de l'entrée de la caverne, devant le champ de lignage ; les anciens distribuent la bière de mil communielle ; la danse du Sigui est exécutée autour du champ de lignage par classe d'âge, ponctuée par les tirades en langue secrète du Sigui et les tambours (rythme du chemin, rythme du Sigui).
Avant la fête les anciens de Bongo se réunissent ; dans la caverne du Sigui, où les dignitaires du Sigui, les Olubaru, ont fait retraite, les jeunes gens taillent des rhombes qui reproduiront la voix de l'ancêtre ; les anciens rafraîchissent les peintures de l'autel de l'ancêtre-serpent, les hommes peignent les crosses-sièges en rouge ; les quatre grands masques représentant l'ancêtre sont dressés devant la caverne.
Pour la cérémonie toutes les générations d'hommes, en costume de Sigui, sont réunies par rang d'âge le long de l'entrée de la caverne, devant le champ de lignage ; les anciens distribuent la bière de mil communielle ; la danse du Sigui est exécutée autour du champ de lignage par classe d'âge, ponctuée par les tirades en langue secrète du Sigui et les tambours (rythme du chemin, rythme du Sigui).
