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Léonard de Vinci disait à ses élèves : « Va prendre tes leçons dans la nature, c'est là qu'est ton futur ! ». Les cônes sont des mollusques présents dans tous les océans. Une de leurs particularités est la production d'un venin qui paralyse leurs proies. Cette substance intéresse les chercheurs car elle ouvre la voie à de nouvelles applications thérapeutiques, notamment dans le domaine des anti-douleurs plus efficaces.

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Venins guérisseurs de l'océan (Les)
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Claire Hellio développe des solutions innovantes bio inspirées, à partir de molécules actives produites par les algues et les microorganismes. Mené au Laboratoire des sciences de l'environnement marin, ce travail de valorisation, à l'interface entre la chimie, la biologie, la biochimie et l'écologie, est notamment réalisé via la plateforme de bioprospection Biodimar, que Claire Hellio dirige. Les applications visent principalement les domaines des cosmétiques (antioxydants et…

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Médaille de l'Innovation 2023 : Claire Hellio, chercheuse en biotechnologies marines
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Plus d'un an après sa mise à l'eau, BathyBot vient de s'éveiller au fond de la mer Méditerranée. Plongez aux côtés de ce robot téléopéré depuis la surface, le premier à être installé de façon permanente à 2400 mètres de profondeur pour au moins cinq ans. Accompagné d'un récif artificiel et d'une batterie d'instruments, BathyBot permettra d'étudier la biodiversité, la bioluminescence et les processus biogéochimiques des fonds marins. Imaginé…

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BathyBot, le robot des profondeurs
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Gorgone "Paramuricea clavata" sur la Katchoff, un plateau situé dans la rade nord de Marseille, à 60 mètres de profondeur. On y rencontre de nombreuses gorgones mais aussi des bancs de poissons. C'est l'un des sites stratégiques de la rade où les scientifiques installent des balises permettant d'enregistrer le passage de poissons marqués à l'aide d'implants acoustiques. Malgré la fréquentation de la zone pour la pêche de loisir, cette gorgone, implantée suffisamment profondément pour ne pas…

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Gorgone "Paramuricea clavata" à 60 mètres de profondeur, rade nord de Marseille
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Langouste rouge, "Palinurus elephas", juvénile âgée de 11 mois issue de la reproduction contrôlée et élevée à la plateforme de recherches marines Stella Mare. L'espèce, que l'on rencontre principalement en mer Méditerranée et dans le nord-est de l'océan Atlantique, est considérée comme vulnérable sur la liste rouge des espèces menacées de l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN). Forte de plus de 10 ans d’expérience sur la maîtrise de la reproduction d’espèces vulnérables…

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Langouste rouge juvénile issue de la reproduction contrôlée et élevée à Stella Mare
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Vue d’artiste de protistes eucaryotes qui vivaient dans l’eau de mer il y a 2,1 milliards d’années. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans le gisement gabonais de Moulendé par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une…

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Protistes eucaryotes qui vivaient dans l’eau de mer il y a 2,1 milliards d’années
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Fossile de protiste eucaryote encastré dans la roche hôte de schiste noir du gisement gabonais de Moulendé. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes y ont été découverts par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote de 2,1 milliards d'années, gisement de Moulendé, Gabon
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Fossile de protiste eucaryote encastré dans la roche hôte de schiste noir du gisement gabonais de Moulendé. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes y ont été découverts par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote de 2,1 milliards d'années, gisement de Moulendé, Gabon
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Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
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Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
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Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
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Mieux comprendre la physique, la chimie et la biologie des océans, et ainsi mieux prévoir leurs effets sur l'évolution du climat, c'est l'objet du réseau scientifique mondial de flotteurs profileurs Argo. Des plateformes autonomes qui parcourent les profondeurs aquatiques à la rencontre des courants et du petit peuple océanique. Dernier-né de cette flotte, un petit bijou de technologie, le flotteur profileur BGC-Argo (nKe), spécialement équipé pour étudier le plancton. Découverte avec l'équipe…

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Sonder les océans
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Fondée il y a tout juste 150 ans, le 20 août 1872, la Station biologique de Roscoff fait toujours référence pour l'étude de la vie marine. Pour preuve, cette découverte majeure publiée fin juillet à la une de la revue Science : les scientifiques ont montré qu'un petit crustacé, l'idotée, pouvait aider à la reproduction des algues, à l'image des abeilles qui pollinisent les fleurs. Cap sur la Bretagne pour découvrir les coulisses de ces travaux fascinants.

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Algues : comment font-elles des bébés ?
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Portrait de Richard Dorrell, médaille de bronze 2022 du CNRS, chargé de recherche à l'Institut de biologie de l'École normale supérieure, spécialiste de l'évolution des microalgues des océans et de leur acquisition de la photosynthèse. Pour Richard Dorrell, l'évolution la plus importante de l'histoire des formes de vie eucaryotes est l'acquisition de chloroplastes par endosymbiose des cellules primitives, pour obtenir les premières microalgues capables de photosynthèse. Il en a…

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Médaille de bronze 2022 : Richard Dorrell, génétique des microalgues
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Une équipe de chercheurs embarque chaque année à bord du Marion Dufresne pour étudier des animaux peu connus : le macrozooplancton et le micronecton. Ces organismes de milieu de chaine alimentaire se composent de gélatineux, de crustacés et de poissons. Mais pour les étudier, il faut d'abord les repérer en pleine mer grâce à un instrument acoustique, un écho sondeur. Puis ils sont pêchés, triés par espèces et comptés. En les suivant d'année en année, les scientifiques peuvent mieux comprendre l…

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Pêcheurs de zooplanctons et micronectons
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Partie inférieure d’un marine snow catcher ouvert sur le pont du navire océanographique Pourquoi pas ? au large de Toulon. Après décantation, les particules présentes dans l’échantillon prélevé sont récupérées dans le fond du dispositif dans une sorte d'assiette. Cet échantillonneur d’eau de grand volume collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures pour…

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Partie inférieure d’un marine snow catcher ouvert
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Récupération de l'eau prélevée par un marine snow catcher au large de Toulon, sur le pont du navire océanographique Pourquoi pas ? Elle sera analysée ultérieurement, à bord du navire ou en laboratoire. Le marine snow catcher est un échantillonneur d’eau de grand volume qui collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures pour décantation. Les particules…

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Récupération de l'eau prélevée par un marine snow catcher
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Mise à l’eau de la BioCam depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Grâce à ses deux caméras intelligentes, cet appareil est capable d’observer la bioluminescence émise par les organismes marins et de les reconstruire en trois dimensions. Il est installé sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec plusieurs autres dispositifs : un sismographe, un spectromètre gamma, le BathyReef (un récif artificiel bio-inspiré) et le rover sous-marin…

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Mise à l’eau de la BioCam depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau de la BioCam depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Grâce à ses deux caméras intelligentes, cet appareil est capable d’observer la bioluminescence émise par les organismes marins et de les reconstruire en trois dimensions. Il est installé sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec plusieurs autres dispositifs : un sismographe, un spectromètre gamma, le BathyReef (un récif artificiel bio-inspiré) et le rover sous-marin…

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Mise à l’eau de la BioCam depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau de la BioCam depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Grâce à ses deux caméras intelligentes, cet appareil est capable d’observer la bioluminescence émise par les organismes marins et de les reconstruire en trois dimensions. Il est installé sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec plusieurs autres dispositifs : un sismographe, un spectromètre gamma, le BathyReef (un récif artificiel bio-inspiré) et le rover sous-marin…

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Mise à l’eau de la BioCam depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Un des pilotes et un plongeur sur le pont du sous-marin le Nautile, sur le navire océanographique Pourquoi pas ? Ce dernier restera sur le pont jusqu’à l’immersion du sous-marin. Il appartient à une équipe qui sécurise sa descente et son détachement, tout comme les plongeurs sur le bateau en arrière-plan. Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de…

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Un pilote et l'équipe de plongeurs qui sécurise la descente et le détachement du Nautile
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Mise à l’eau du Nautile depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Le plongeur sur le pont appartient à l'équipe qui sécurise la descente et le détachement du sous-marin. La patte d’oie (câble bleu et orange) servira à garder le sous-marin dans l’axe du navire durant la mise à l’eau. Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire…

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Mise à l’eau du Nautile depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Retour en surface du Nautile, un plongeur s’installe sur le pont. Il appartient à une équipe qui va rattacher le sous-marin au navire océanographique Pourquoi pas ? et sécuriser sa récupération. Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon…

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Retour en surface du Nautile, un plongeur s’installe sur le pont
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Remontée du Nautile sur le navire océanographique Pourquoi pas ? Le plongeur sur le pont appartient à une équipe qui a rattaché le sous-marin au navire océanographique et sécurisé sa récupération. Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon…

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Remontée du Nautile sur le N/O Pourquoi pas ?
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Préparation de la mise à l’eau de BathyBot sur le pont du navire océanographique Pourquoi pas ? Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement…

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Préparation de la mise à l’eau de BathyBot sur le pont du N/O Pourquoi pas ?
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BathyBot dans le BathyDock, sur le pont du navire océanographique Pourquoi pas ? Une fois installé sur le fond marin, le BathyDock reliera le robot à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en…

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BathyBot dans le BathyDock, sur le pont du N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau de BathyBot depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands…

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Mise à l’eau de BathyBot depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau de BathyBot depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands…

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Mise à l’eau de BathyBot depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Surveillance du Nautile depuis le poste de contrôle de ce sous-marin habité sur le navire océanographique Pourquoi pas ? Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon déroulement. Ces équipements comprennent un sismographe, un spectromètre…

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Surveillance du Nautile depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Surveillance du Nautile depuis le poste de contrôle de ce sous-marin habité sur le navire océanographique Pourquoi pas ? Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon déroulement. Ces équipements comprennent un sismographe, un spectromètre…

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Surveillance du Nautile depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Remontée du Nautile sur le navire océanographique Pourquoi pas ? Le plongeur sur le pont appartient à une équipe qui a rattaché le sous-marin au navire océanographique et sécurisé sa récupération. Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon…

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Remontée du Nautile sur le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? au large de Toulon. La rosette-CTD, à gauche, est un instrument d’échantillonnage en océanographie permettant d’avoir des profils des conditions hydrologiques au cours du déploiement. Le marine snow catcher est un échantillonneur d’eau de grand volume qui collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le…

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Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? au large de Toulon. Cet échantillonneur d’eau de grand volume collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures pour décantation. Les particules coulent au fond et les 7 litres de la partie inférieure représentent donc le plus grand intérêt. Les 93 litres restants sont…

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Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? au large de Toulon. Cet échantillonneur d’eau de grand volume collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures pour décantation. Les particules coulent au fond et les 7 litres de la partie inférieure représentent donc le plus grand intérêt. Les 93 litres restants sont…

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Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Récupération d’un marine snow catcher après un prélèvement au large de Toulon, depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Il est déposé sur le pont pour décantation. La rosette-CTD à droite est un autre type d’échantillonneur d’eau. Le marine snow catcher est un échantillonneur d’eau de grand volume qui collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures…

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Récupération d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Christian Tamburini, Chloé Baumas et Marc Garel, du laboratoire MIO, surveillent la mise à l’eau de BathyBot. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, où il récolte des données…

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Christian Tamburini, Chloé Baumas et Marc Garel surveillent la mise à l’eau de BathyBot
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Le navire océanographique Pourquoi pas ? au port de Toulon. Le Pourquoi pas ? est un navire de la flotte océanographique opérée par l’Ifremer, utilisé lors de campagnes dans tous les domaines des sciences de l’environnement. Cette image a été réalisée durant la campagne d’installation de plusieurs instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le BathyReef (un récif…

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Le N/O Pourquoi pas ? au port de Toulon

CNRS Images,

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