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Centre d'études biologiques de Chizé (CEBC)

VILLIERS EN BOIS

La vocation première du Centre d’Études Biologiques de Chizé (CEBC) est de comprendre comment les espèces s’adaptent – ou disparaissent – face aux changements naturels, ou induits par l’usage que fait l’homme de la nature.

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Poussins de manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", rassemblés en crèches et survolés par un skua pendant une tempête de neige, à la station Dumont d'Urville, en Antarctique. En raison de l'extension inhabituelle de la banquise au large de la Terre-Adélie depuis plusieurs années, la mortalité est très élevée chez les manchots Adélie qui se reproduisent dans l'archipel de Pointe-Géologie. Ils sont contraints de parcourir plusieurs dizaines à plusieurs centaines de km pour atteindre la mer libre…

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Poussins de manchots Adélie pendant une tempête de neige
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Cadavre d'un poussin de manchot Adélie, "Pygoscelis adeliae", dévoré par un skua en Antarctique. En raison de l'extension inhabituelle de la banquise au large de la Terre-Adélie depuis plusieurs années, la mortalité est très élevée chez les manchots Adélie qui se reproduisent dans l'archipel de Pointe-Géologie. Ils sont contraints de parcourir plusieurs dizaines à plusieurs centaines de km pour atteindre la mer libre et trouver à manger pour leurs poussins. Pendant les absences inhabituellement…

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Cadavre d'un poussin de manchot Adélie
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Cadavre d'un poussin de manchot Adélie, "Pygoscelis adeliae", dévoré par un skua en Antarctique. En raison de l'extension inhabituelle de la banquise au large de la Terre-Adélie depuis plusieurs années, la mortalité est très élevée chez les manchots Adélie qui se reproduisent dans l'archipel de Pointe-Géologie. Ils sont contraints de parcourir plusieurs dizaines à plusieurs centaines de km pour atteindre la mer libre et trouver à manger pour leurs poussins. Pendant les absences inhabituellement…

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Cadavre d'un poussin de manchot Adélie
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Poussins de manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", rassemblés en crèches pendant une tempête de neige en Antarctique. En raison de l'extension inhabituelle de la banquise au large de la Terre-Adélie depuis plusieurs années, la mortalité est très élevée chez les manchots Adélie qui se reproduisent dans l'archipel de Pointe-Géologie. Ils sont contraints de parcourir plusieurs dizaines à plusieurs centaines de km pour atteindre la mer libre et trouver à manger pour leurs poussins. Pendant les…

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Poussins de manchots Adélie pendant une tempête de neige
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Poussins de manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", rassemblés en crèches pendant une tempête de neige en Antarctique. En raison de l'extension inhabituelle de la banquise au large de la Terre-Adélie depuis plusieurs années, la mortalité est très élevée chez les manchots Adélie qui se reproduisent dans l'archipel de Pointe-Géologie. Ils sont contraints de parcourir plusieurs dizaines à plusieurs centaines de km pour atteindre la mer libre et trouver à manger pour leurs poussins. Pendant les…

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Poussins de manchots Adélie pendant une tempête de neige
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Manchot Adélie, "Pygoscelis adeliae", en Antarctique. En raison de l'extension inhabituelle de la banquise au large de la Terre-Adélie depuis plusieurs années, la mortalité est très élevée chez les manchots Adélie qui se reproduisent dans l'archipel de Pointe-Géologie. Ils sont contraints de parcourir plusieurs dizaines à plusieurs centaines de km pour atteindre la mer libre et trouver à manger pour leurs poussins. Pendant les absences inhabituellement longues de leurs parents, les poussins…

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Manchot Adélie en Antarctique
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Manchot Adélie, "Pygoscelis adeliae", en Antarctique. En raison de l'extension inhabituelle de la banquise au large de la Terre-Adélie depuis plusieurs années, la mortalité est très élevée chez les manchots Adélie qui se reproduisent dans l'archipel de Pointe-Géologie. Ils sont contraints de parcourir plusieurs dizaines à plusieurs centaines de km pour atteindre la mer libre et trouver à manger pour leurs poussins. Pendant les absences inhabituellement longues de leurs parents, les poussins…

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Manchot Adélie en Antarctique
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Prise de sang sur un poussin de manchot Adélie, "Pygoscelis adeliae", à la station Dumont d'Urville en Antarctique. Elle permettra d'analyser l'ADN, le sexe, les télomères, les contaminants et les isotopes. Un suivi des manchots Adélie de la station est assuré sur terre et en mer dans le cadre du programme l'AMMER. Pour ce suivi, les manchots sont également pesés, mesurés et marqués. Les manchots Adélie sont de bons bioindicateurs des changements climatiques. Ils sont représentatifs de l…

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Prise de sang sur un poussin de manchot Adélie
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Pesée d'un poussin de manchot Adélie, "Pygoscelis adeliae", avant son envol, à la station Dumont d'Urville en Antarctique. Les chercheurs assurent un suivi régulier des poussins : ils sont pesés, mesurés, marqués et une prise de sang est effectuée. Les manchots Adélie sont de bons bioindicateurs des changements climatiques. Ils sont représentatifs de l'écosystème antarctique et sensibles aux conditions de la glace. Dans le cadre du programme l'AMMER, différentes mesures et observations sont…

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Suivi de poussins de manchots Adélie
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Pose d'une marque temporaire sur un poussin de manchot Adélie, "Pygoscelis adeliae", pour pouvoir le reconnaître et suivre son comportement dans la colonie, à la station Dumont d'Urville en Antarctique. Dans le cadre de ce suivi, les poussins sont pesés, mesurés, marqués et une prise de sang est effectuée. Les manchots Adélie sont de bons bioindicateurs des changements climatiques. Ils sont représentatifs de l'écosystème antarctique et sensibles aux conditions de la glace. Dans le cadre du…

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Pose d'une marque temporaire sur un poussin de manchot Adélie
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Pose d'un appareil enregistreur de l'activité sous-marine sur un manchot Adélie, à la station Dumont d'Urville en Antarctique. Cet appareil va permettre de collecter des informations sur les zones prospectées et l'effort de recherche alimentaire selon une approche dite de "bio-logging". Les manchots Adélie sont de bons bioindicateurs des changements climatiques. Ils sont représentatifs de l'écosystème antarctique et sensibles aux conditions de la glace. Dans le cadre du programme l'AMMER,…

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Pose d'un appareil enregistreur sur un manchot Adélie
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Capture de manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", afin de mesurer leur état de croissance à l'approche de l'hiver, à la station Dumont d'Urville, en Antarctique. En raison de l'extension inhabituelle de la banquise au large de la Terre-Adélie depuis plusieurs années, la mortalité est très élevée chez les manchots Adélie qui se reproduisent dans l'archipel de Pointe-Géologie. Ils sont contraints de parcourir plusieurs dizaines à plusieurs centaines de km pour atteindre la mer libre et trouver à…

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Capture de manchots Adélie
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Suivi de poussins de manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", avant leur envol, à la station Dumont d'Urville en Antarctique. Dans le cadre de ce suivi, les poussins sont pesés, mesurés, marqués et une prise de sang est effectuée. Les manchots Adélie sont de bons bioindicateurs des changements climatiques. Ils sont représentatifs de l'écosystème antarctique et sensibles aux conditions de la glace. Dans le cadre du programme l'AMMER, différentes mesures et observations sont effectuées sur terre et…

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Suivi de poussins de manchots Adélie
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Capture de poussins de manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", à la station Dumont d'Urville en Antarctique. Un suivi de ces poussins est assuré avant leur envol : prise de sang, mesures, pesée, marquage... Les manchots Adélie sont de bons bioindicateurs des changements climatiques. Ils sont représentatifs de l'écosystème antarctique et sensibles aux conditions de la glace. Dans le cadre du programme l'AMMER, différentes mesures et observations sont effectuées sur terre et en mer via des…

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Capture de poussins de manchots Adélie
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Enregistreurs de données utilisés pour le suivi des manchots Adélie à terre et en mer, à la station Dumont d'Urville en Antarctique, dans le cadre du programme l'AMMER. De gauche à droite, on trouve : une micro caméra numérique capable d'enregistrer 4h de vidéo sous-marine, un GPS, un accéléromètre 3D. Cet accéléromètre enregistre des données 50 fois par seconde pour capter des mouvements très rapides tels que des captures de proies ainsi que la pression (la profondeur) et la température. Les…

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Enregistreurs de données pour le suivi des manchots Adélie
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Ornithologue assurant le suivi des colonies de manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", de la station Dumont d'Urville, en Antarctique. Il essaie de voir sir les individus équipés d'appareils enregistreurs sont de retour sur le nid, de déterminer le stade de la reproduction et le succès reproducteur à ce stade. Les manchots Adélie sont de bons bioindicateurs des changements climatiques. Ils sont représentatifs de l'écosystème antarctique et sensibles aux conditions de la glace. Dans le cadre du…

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Ornithologue observant des manchots Adélie
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Ornithologue observant des manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", à la station Dumont d'Urville, en Antarctique. Ces manchots sont équipés de GPS, d'enregistreurs de profondeur et d'accéléromètres pour suivre leur parcours. En raison de l'extension inhabituelle de la banquise au large de la Terre-Adélie depuis plusieurs années, la mortalité est très élevée chez les manchots Adélie qui se reproduisent dans l'archipel de Pointe-Géologie. Ils sont contraints de parcourir plusieurs dizaines à…

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Ornithologue observant des manchots Adélie
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Ornithologue assurant le suivi des colonies de manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", de la station Dumont d'Urville, en Antarctique. Il note la présence ou l'absence des oiseaux, des nids pour lesquels un suivi est assuré. Les manchots Adélie sont de bons bioindicateurs des changements climatiques. Ils sont représentatifs de l'écosystème antarctique et sensibles aux conditions de la glace. Dans le cadre du programme l'AMMER, différentes mesures et observations sont effectuées sur terre et en…

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Ornithologue observant des manchots Adélie
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Perdrix grise, "Perdix perdix". Les effets sur la santé des perdrix nourries à partir de céréales issues de l’agriculture conventionnelle ou de l’agriculture biologique ont été étudiés en conditions naturelles. Les résultats montrent qu’en moins de 10 semaines, le comportement, l’immunologie et la physiologie des individus consommant des aliments issus de l’agriculture conventionnelle se dégradent fortement.

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Perdrix grise, "Perdix perdix"
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Alouette des champs, dans la Zone Atelier Plaine et Val de Sèvre, au sud de Niort, en Nouvelle-Aquitaine. Cette espèce a vu ses effectifs diminuer d'un tiers en moins de vingt ans dans cette zone. Cette observation s'inscrit dans le constat tiré de deux études de suivi des oiseaux, l'une menée à l'échelle nationale, l'autre plus localement : les oiseaux des campagnes françaises disparaissent de manière très rapide. En moyenne leurs populations se sont réduites d'un tiers en quinze ans. Cette…

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Alouette des champs, dans la Zone Atelier Plaine et Val de Sèvre, au sud de Niort, en Nouvelle-Aquitaine
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Vue de la Zone Atelier Plaine et Val de Sèvre, au sud de Niort, en Nouvelle-Aquitaine. Cette zone est une plaine céréalière qui bénéficie, pour moitié de sa superficie, du statut de Zone NATURA 2000, désigné pour la biodiversité remarquable des espèces d'oiseaux. Elle est étudiée depuis 1994, et sa superficie est de 450 km², comprenant environ 450 exploitations agricoles et 13 000 parcelles agricoles. Une étude de suivi de ses oiseaux, couplée à une seconde à l'échelle nationale a mené à un…

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Vue de la Zone Atelier Plaine et Val de Sèvre, au sud de Niort, en Nouvelle-Aquitaine
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Traces éphémères d’un manchot royal, "Aptenodytes patagonicus" sur le sable noir d’une plage volcanique de l’île Marion. Cette île de l'archipel sud-africain du Prince-Edouard est une réserve naturelle depuis 1995. Elle abrite une station de recherche et une station météorologique. Les scientifiques y étudient son écosystème fragile, longtemps menacé par l’activité humaine.

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Traces d’un manchot royal, "Aptenodytes patagonicus" sur le sable noir d’une plage de l’île Marion
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Couple de manchots royaux, "Aptenodytes patagonicus", sur une plage de l’île Marion. Cette île de l'archipel sud-africain du Prince-Edouard est une réserve naturelle depuis 1995. Elle abrite une station de recherche et une station météorologique. Les scientifiques y étudient son écosystème fragile, longtemps menacé par l’activité humaine.

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Couple de manchots royaux, "Aptenodytes patagonicus", sur une plage de l'île Marion
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Sommet du plastron d'un manchot royal, "Aptenodytes patagonicus", de l'île Marion. Cette île de l'archipel sud-africain du Prince-Edouard est une réserve naturelle depuis 1995. Elle abrite une station de recherche et une station météorologique. Les scientifiques y étudient son écosystème fragile, longtemps menacé par l’activité humaine.

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Sommet du plastron d'un manchot royal, "Aptenodytes patagonicus", de l'île Marion
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Pattes d'un manchot papou, "Pygoscelis papua", dont la couleur contraste avec le sable noir d'une plage volcanique de l’île Marion. Cette île de l'archipel sud-africain du Prince-Edouard est une réserve naturelle depuis 1995. Elle abrite une station de recherche et une station météorologique. Les scientifiques y étudient son écosystème fragile, longtemps menacé par l’activité humaine.

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Pattes d'un manchot papou, "Pygoscelis papua", sur le sable noir d'une plage de l’île Marion
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Eléphant de mer, "Mirounga leonina", collant sa tête contre les pattes arrières d'un de ces congénères. Cette île de l'archipel sud-africain du Prince-Edouard est une réserve naturelle depuis 1995. Elle abrite une station de recherche et une station météorologique. Les scientifiques y étudient son écosystème fragile, longtemps menacé par l’activité humaine.

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Eléphant de mer, "Mirounga leonina", collant sa tête contre l'un de ces congénères, sur l'île Marion
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Colonie de manchots royaux, "Aptenodytes patagonicus", sur une plage de sable noir volcanique de l’île Marion. Cette île de l'archipel sud-africain du Prince-Edouard est une réserve naturelle depuis 1995. Elle abrite une station de recherche et une station météorologique. Les scientifiques y étudient son écosystème fragile, longtemps menacé par l’activité humaine.

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Colonie de manchots royaux, "Aptenodytes patagonicus", sur une plage de sable noir de l'île Marion
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Femelle d’éléphant de mer, "Mirounga leonina", se baignant au milieu des algues macrocystes, sur l’île Marion. Cette île de l'archipel sud-africain du Prince-Edouard est une réserve naturelle depuis 1995. Elle abrite une station de recherche et une station météorologique. Les scientifiques y étudient son écosystème fragile, longtemps menacé par l’activité humaine.

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Femelle d’éléphant de mer, "Mirounga leonina", se baignant sur l’île Marion
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Les bâtiments modulaires de la nouvelle station de recherche de l'île Marion, connectés les uns aux autres par des couloirs transparents. Cette île de l'archipel sud-africain du Prince-Edouard est une réserve naturelle depuis 1995. Elle abrite une station de recherche et une station météorologique. Les scientifiques y étudient son écosystème fragile, longtemps menacé par l’activité humaine.

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Bâtiments modulaires de la nouvelle station de recherche de l'île Marion
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Caméra surveillant un poussin d’albatros hurleur, "Diomedea exulans", sur son nid surélevé au milieu des souilles, une couche d’eau recouverte d’une épaisseur de végétation. Le nid est identifié par un drapeau rouge en premier plan. Ce type de caméra a servi notamment à mettre en évidence la prédation de ces poussins par des pétrels géants subantarctiques et les dommages causés par les souris introduites dans l'île Marion. Cette île de l'archipel sud-africain du Prince-Edouard est une réserve…

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Caméra surveillant un poussin d’albatros hurleur, "Diomedea exulans", sur son nid, sur l'île Marion
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Débarquement de matériel par hélicoptère "double-pale" russe à la nouvelle station de recherche de l’île Marion, depuis le navire ravitailleur sud-africain Aghulas I. Cette île de l'archipel sud-africain du Prince-Edouard est une réserve naturelle depuis 1995. Elle abrite une station de recherche et une station météorologique. Les scientifiques y étudient son écosystème fragile, longtemps menacé par l’activité humaine.

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Débarquement de matériel par hélicoptère à la station de recherche de l'île Marion
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Adulte de Labbe brun, "Stercorarius antarcticus lonnbergi", en poste sur une vieille lampe de l’ancienne station de recherche désaffectée de l'île Marion. Cette île de l'archipel sud-africain du Prince-Edouard est une réserve naturelle depuis 1995. Elle abrite une station de recherche et une station météorologique. Les scientifiques y étudient son écosystème fragile, longtemps menacé par l’activité humaine.

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Adulte de Labbe brun, "Stercorarius antarcticus lonnbergi" sur l'île Marion

CNRS Images,

Nous mettons en images les recherches scientifiques pour contribuer à une meilleure compréhension du monde, éveiller la curiosité et susciter l'émerveillement de tous.