Année de production
2021
© Frédéric MALIGNE / LAPLACE / CNRS Images
20210158_0030
Des outils de calcul des champs et des routines d'optimisation (à l'écran) permettent de prévoir les performances d'un transformateur intercellules . Ils permettent aussi d'identifier les matériaux, les formes et les dimensions qui optimisent son volume, sa masse, ses pertes ou de choisir le compromis entre plusieurs de ces critères. Mais la physique correspondante est complexe et ne peut être que partiellement décrite dans les modèles ; la validation expérimentale sur prototype à l'échelle 1 (dans les mains du chercheur) reste donc une étape incontournable. L'association de cellules de commutation en parallèle est un moyen assez classique d'augmenter le courant et donc la puissance disponible. Ici, l'originalité est l'utilisation d'un transformateur intercellules qui permet de coupler magnétiquement ces cellules. Grâce à ce couplage, les ondulations de courant et les pertes sont plus faibles, et le rendement est plus élevé. Ces dispositifs sont particulièrement bien adaptés pour les sources basse tension fort courant, qui sont appelées à se généraliser dans un contexte de transition énergétique, faisant la part belle à l'énergie électrique.
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2021
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