Micrométéorite

Laboratoire de physique des 2 infinis - Irène Joliot-Curie (IJCLab)

ORSAY CEDEX

Le Laboratoire de Physique des 2 Infinis Irène Joliot-Curie, ou IJCLab, est un laboratoire issu de la fusion de cinq laboratoires (CSNSM, IMNC, IPNO, LAL et LPT) géographiquement et thématiquement proches les uns des autres sur le campus d’Orsay. IJCLab rassemble environ 700 personnes et son identité est centrée sur le domaine de "la physique des deux infinis" et de leurs applications, avec toute la richesse des thématiques qui constituent cette physique.

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Robert Klapisch, Directeur de la Recherche au Cern de 1981 à 1987, chercheur CNRS à Orsay (CSNSM), physicien nucléaire. Le Synchrocyclotron, construit en 1957, est le premier accélérateur du Cern. "Mon premier contact avec le Cern date de 1957, le Synchrocyclotron venait de démarrer. Jusqu'en 1981, alors chercheur, j'ai vécu ce sentiment extraordinaire de la découverte : être un matin, avec vos coéquipiers, les premiers à connaître ce qui sera plus tard dans tous les manuels ! J'ai ensuite été…

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Robert Klapisch, Directeur de la Recherche au Cern de 1981 à 1987, chercheur CNRS à Orsay (CSNSM)
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Diffusion profondément inélastique à grand transfert d'impulsion (Q2). Courant neutre ep -> e + X dans l'expérience H1 (collisionneur HERA électron proton à DESY, Hambourg). C'est le domaine où les interactions faibles commencent à faire sentir leur effet par rapport à l'interaction électromagnétique. Il n'y avait en 1992 qu'une centaine d'événements de ce type ; une mesure préliminaire de la section efficace et de la fonction de structure en fonction de x pour des Q2 de quelques centaines de…

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Diffusion profondément inélastique à grand transfert d'impulsion (Q2). Courant neutre ep -> e + X da
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Jacques Haïssinski, enseignant chercheur à l'Université Paris-Sud (LAL), physicien des particules. L'Anneau de collision d'Orsay (ACO), en service de 1965 à 1988. "Mon premier contact avec le Cern eut lieu lors d'un cours que j'y ai donné sur les collisions électrons-positrons en 1969. L'impression très forte que j'ai ressentie à cette occasion n'a pas varié avec le temps. Le Cern est toujours pour moi le plus grand laboratoire au monde, par l'importance et la grande diversité des…

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Jacques Haïssinski, enseignant chercheur à l'Université Paris-Sud (LAL), physicien des particules
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Composant d'un accélérateur moderne : cavité supraconductrice en niobium. L'importance de la propreté de surface explique le travail en salle blanche. L'objectif de la recherche est de trouver des procédés de transmutation des déchets radioactifs afin de les éliminer : il s'agit de provoquer la fission des noyaux dangereux dans des réacteurs spécialement conçus afin de les transformer en noyaux de durée de vie beaucoup plus courte et moins radiotoxiques.

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Composant d'un accélérateur moderne : cavité supraconductrice en niobium. L'importance de la propret
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Alain Maroni, ingénieur mécanicien au CNRS à Orsay (IPNO). Guides de lumière en polyméthacrylate de méthyle. "Je construis des détecteurs depuis l'âge de 17 ans. L'idéal pour un physicien serait que les 5000 fils que j'assemble dans une chambre de détection tiennent en l'air tout seuls, sans support autour ! Au Cern, j'ai trouvé ce que j'aime dans mon métier : le dépassement de soi, le défi technologique, jusqu'à devoir réaliser l'impossible. Le Cern est le "top" des accélérateurs mondiaux, un…

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Alain Maroni, ingénieur mécanicien au CNRS à Orsay (IPNO)
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Philippe Dambre, ingénieur accélérateurs au CNRS à Orsay (IPNO). Face arrière d'un des 392 quadrupôles du LHC conçus en France. "Imaginez un courant de 12 000 ampères à faire passer dans la plus petite section possible, à 271,25°C ! C'est ce qui se produit dans les quadrupôles supraconducteurs qui guident et concentrent les faisceaux du LHC dans l'anneau. Grâce à l'expérience et la "culture accélérateurs" de mon laboratoire à Orsay, j'ai participé à la construction de ces cryostats qui forment…

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Philippe Dambre, ingénieur accélérateurs au CNRS à Orsay (IPNO)
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Cynthia Hadjidakis, chercheuse au CNRS à Orsay (IPNO), physicienne des particules. Plan du spectromètre à muons d'Alice au LHC. "Nos détecteurs, des "chambres à muons", traquent la signature de la présence de J/psi, formés de quarks charmés, présents au sein de la matière déconfinée. Ces événements sont très difficiles à observer et exigent excellence et rigueur, tant au Cern qu'à mon laboratoire d'Orsay, où l'on a développé une partie de l'électronique sophistiquée du détecteur."

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Cynthia Hadjidakis, chercheuse au CNRS à Orsay (IPNO), physicienne des particules
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Seconde version grand champ de la caméra miniaturisée POCI (Per-operative compact imager). L'efficacité du traitement chirurgical du cancer impose une localisation précise et une ablation complète des lésions tumorales. L'enjeu pour la médecine nucléaire est d'assister le praticien en lui indiquant au contact de la plaie opératoire la localisation précise en temps réel des marqueurs radioactifs spécifiques du site pathogène recherché. (Réf. CNRS-INFO N°400 Mars 2002).

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Seconde version grand champ de la caméra miniaturisée POCI (Per-operative compact imager). L'efficac
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Tube d'échantillon en T91 de Lisor (Liquid Solid Reaction under Irradiation). Cet appareil, conçu pour l'étude de différents matériaux de structure sous irradiation en contact avec des métaux liquides et sous contrainte mécanique, est contruit dans le cadre du GDR Gédéon (gestion des déchets par des options nouvelles du programme Pace). Le Pace coordonne l'ensemble des recherches du CNRS dans le domaine de la gestion des déchets radioactifs à haute activité et à vie longue.

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Tube d'échantillon en T91 de Lisor (Liquid Solid Reaction under Irradiation). Cet appareil, conçu po
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Micrographie électronique (électrons rétrodiffusés) d'une section polie d'un fragment de micrométéorite collectée dans les champs de glace bleue de Cap Prud'homme (Terre Adélie, Antarctique). La micrométéorite comporte une inclusion réfractaire avec un coeur de spinelle (gris très foncé) contenant des inclusions de pérovskite entourées de minéraux hydratés riches en fer. Ces inclusions réfractaires ont été les premiers minéraux à se former dans la nébuleuse solaire primitive.

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Micrographie électronique (électrons rétrodiffusés) d'une section polie d'un fragment de micrométéor
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Image synthétique (dite image paramétrique) issue de quatre examens TEP/TDM (tomographie par émission de positons couplée à un scanner) au radiotraceur F18-FDG (analogue du glucose), réalisés au cours du suivi d'un patient atteint d'un cancer du poumon, non à petites cellules, traité par chimiothérapie. L'image synthétise les informations issues des quatre examens : avant le traitement, après 12, 23 et 35 semaines de traitement. La récidive mise en évidence après 23 semaines de traitement se…

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Image synthétique (dite image paramétrique) issue de quatre examens TEP/TDM (tomographie par émissio
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Détail de la surface d'une sphérule cosmique (micrométéorite fondue lors de l'entrée atmosphérique) collectée dans les glaces antarctiques de Terre Adélie, observée au microscope électronique à balayage. On observe des cristaux d'olivine (gris foncé) et des cristaux de magnétite en dendrites (gris clair). La matière qui provient de l'espace et qui arrive sur notre planète est constituée pour l'essentiel de micrométéorites, minuscules grains mesurant moins de 1mm de diamètre. Ils proviennent des…

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Détail de la surface d'une sphérule cosmique (micrométéorite fondue lors de l'entrée atmosphérique)
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Section efficace invariante expérimentale de protons en coïncidence avec les projectiles de calcium 40 (40Ca) diffusés inélastiquement sur une cible de 40Ca, représentée dans le plan des vitesses (Vitesse parallèle, Vitesse perpendiculaire). Chaque cône correspond à un détecteur de particules et chaque point est l'extrémité du vecteur vitesse d'un proton. Les régions rouges représentent les grandes sections efficaces et les régions violettes les sections efficaces les plus faibles.

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Section efficace invariante expérimentale de protons en coïncidence avec les projectiles de 40Ca dif

CNRS Images,

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