Centre d'études biologiques de Chizé (CEBC)

L'île de Golem Grad, d'une superficie de 18 hectares, est située au milieu du lac Prespa, en Macédoine. Cette île est une énigme pour les zoologues. Son écosystème abrite des phénomènes uniques au monde : les couleuvres ont des couleurs inédites et un grand nombre de tortues sont homosexuelles. Située dans un parc national à 800 m d'altitude, son écosystème est préservé. Depuis trois ans, des scientifiques se retrouvent sur l'île pour essayer d'en comprendre les particularités.

Réalisateur lors du tournage du film "Golem Grad, l'île aux reptiles". L'île de Golem Grad, d'une superficie de 18 hectares, est située au milieu du lac Prespa, en Macédoine. Cette île est une énigme pour les zoologues. Son écosystème abrite des phénomènes uniques au monde. Située dans un parc national à 800 m d'altitude, son écosystème est préservé. Depuis trois ans, des scientifiques se retrouvent sur l'île pour essayer d'en comprendre les particularités.

L'île de Golem Grad, d'une superficie de 18 hectares, est située au milieu du lac Prespa, en Macédoine. Cette île est une énigme pour les zoologues. Son écosystème abrite des phénomènes uniques au monde : les couleuvres ont des couleurs inédites et un grand nombre de tortues sont homosexuelles. Située dans un parc national à 800 m d'altitude, son écosystème est préservé. Depuis trois ans, des scientifiques se retrouvent sur l'île pour essayer d'en comprendre les particularités.

Couple de perdrix grises, "Perdix perdix". Les effets sur la santé des perdrix nourries à partir de céréales issues de l’agriculture conventionnelle ou de l’agriculture biologique ont été étudiés en conditions naturelles. Les résultats montrent qu’en moins de 10 semaines, le comportement, l’immunologie et la physiologie des individus consommant des aliments issus de l’agriculture conventionnelle se dégradent fortement.

Baguage d'une mouette tridactyle du Spitzberg, en Norvège, pratiqué dans le cadre d'une programme de recherche sur les adaptations de cette espèce aux changements climatiques de l'Arctique. Le suivi télémétrique de cette espèce par enregistreurs d'activité permet de mettre en évidence les variations du budget-temps que les mouettes allouent à la recherche de nourriture en fonction des conditions de l'environnement.

Une orque, près de l'île Unimak, en Alaska. La photo-identification, photographie de l'aileron, permet d'étudier le comportement de prédation des orques sur les baleines grises lors de la migration de ces dernières entre le golfe de Californie et la mer de Béring.

Juvénile d'otarie antarctique, "Arctocephalus gazella", restant seul sur la colonie de reproduction pendant que sa mère s'alimente en mer, à la Pointe Suzanne, Kerguelen, au sud de l'océan Indien. Les schémas d'approvisionnement des petits se caractérisent par l'alternance de séjours en mer de la mère pour pêcher, 5 à 10 jours, pendant lesquels les petits jeûnent et de brefs séjours à terre, 1 à 2 jours, pendant lesquels les petits sont allaités.

Manchot papou adulte, base chilienne de O'Higgins. Péninsule antarctique.

Deux poussins de manchot papou. Base chilienne de O'Higgins, péninsule antarctique. La population mondiale de manchot papou est d'environ 298 000 individus. Il niche en petites colonies. Par rapport aux autres espèces de manchots, il a l'aire de répartition la plus vaste avec des populations installées en zone subantarctique aussi bien qu'en zone antarctique.

Albatros à sourcils noirs observé par des ornithologues à bord du Polarstern dans le détroit de Drake au cours du trajet aller-retour Terre de Feu/Péninsule antarctique lors de la Mission Drake 2006. Depuis environ 30 ans, l'équipe du CEBC opère un suivi de l'abondance des oiseaux et mammifères marins dans les eaux antarctiques françaises notamment à partir de comptages réalisés depuis des navires. L'objectif de cette campagne d'observation à bord du Polarstern est de tester un nouveau…

Manchot papou. Colonie d'environ 400 couples installée sur la base de O'Higgins en Péninsule antarctique. La population mondiale de manchot papou est d'environ 298 000 individus. Il niche en petites colonies. Par rapport aux autres espèces de manchots, il a l'aire de répartition la plus vaste avec des populations installées en zone subantarctique aussi bien qu'en zone antarctique.

Albatros à sourcils noirs observé par des ornithologues à bord du Polarstern dans le détroit de Drake au cours du trajet aller-retour Terre de Feu/Péninsule antarctique lors de la Mission Drake 2006. Depuis environ 30 ans, l'équipe du CEBC opère un suivi de l'abondance des oiseaux et mammifères marins dans les eaux antarctiques françaises notamment à partir de comptages réalisés depuis des navires. L'objectif de cette campagne d'observation à bord du Polarstern est de tester un nouveau…

Manchot papou adulte et son poussin sur son nid de pierre. Base chilienne de O'Higgins, péninsule antarctique. On voit dans le nid un oeuf non éclos qui montre que cette espèce de manchot peut élever deux poussins comme ses cousins manchots Adélie et manchots à jugulaire.

Colonie de Manchots de Magellan. Isla Magdalena, dans le Détroit de Magellan, Chili.

Manchot papou adulte et son jeune poussin sur le nid. Les poussins de l'arrière plan plus âgés se déplacent dans la colonie en attendant leur parent parti en mer à la recherche de nourriture. Base chilienne de O'Higgins, péninsule antarctique.

Albatros à sourcils noirs observé par des ornithologues à bord du Polarstern dans le détroit de Drake au cours du trajet aller-retour Terre de Feu/Péninsule antarctique lors de la Mission Drake 2006. Depuis environ 30 ans, l'équipe du CEBC opère un suivi de l'abondance des oiseaux et mammifères marins dans les eaux antarctiques françaises notamment à partir de comptages réalisés depuis des navires. L'objectif de cette campagne d'observation à bord du Polarstern est de tester un nouveau…

Manchot papou adulte, base chilienne de O'Higgins. Péninsule antarctique.

Manchot papou adulte et son jeune poussin sur son nid de pierre. Base chilienne de O'Higgins, péninsule antarctique. La population mondiale de manchot papou est d'environ 298 000 individus. Il niche en petites colonies. Par rapport aux autres espèces de manchots, il a l'aire de répartition la plus vaste avec des populations installées en zone subantarctique aussi bien qu'en zone antarctique.

Manchot papou adulte nourrissant son poussin. Base chilienne de O'Higgins, péninsule antarctique. La population de manchots papou qui vit en antarctique, et notamment en Péninsule, vit sur des ressources en crustacés pélagiques (krill). Elle est caractérisée par une extrême variabilité interannuelle en rapport avec les variétés d'abondance à long terme du krill.

Manchot de Magellan dans le terrier dans lequel il fait son nid. Isla Magdalena, dans le Détroit de Magellan, Chili.

Manchot papou adulte, base chilienne de O'Higgins. Péninsule antarctique.

Deux jeunes mâles d'éléphant de mer s'affrontent devant une colonie de manchots royaux à Ratmanoff, Kerguelen, au sud de l'océan Indien. Ces mammifères se déplacent sur de grandes distances et permettent d'échantillonner en continu l'océan au cours de leurs plongées profondes.

Colonie de Manchots de Magellan. Isla Magdalena, dans le Détroit de Magellan, Chili.

Manchot papou adulte et son jeune poussin sur son nid de pierre. Base chilienne de O'Higgins, péninsule antarctique. La population mondiale de manchot papou est d'environ 298 000 individus. Il niche en petites colonies. Par rapport aux autres espèces de manchots, il a l'aire de répartition la plus vaste avec des populations installées en zone subantarctique aussi bien qu'en zone antarctique.

Colonie de Manchots de Magellan. Isla Magdalena, dans le Détroit de Magellan, Chili.

Manchot papou adulte, base chilienne de O'Higgins. Péninsule antarctique.

Damier du cap observé par des ornithologues à bord du Polarstern dans le détroit de Drake au cours du trajet aller-retour Terre de Feu/Péninsule antarctique lors de la Mission Drake 2006. Depuis environ 30 ans, l'équipe du CEBC opère un suivi de l'abondance des oiseaux et mammifères marins dans les eaux antarctiques françaises notamment à partir de comptages réalisés depuis des navires. L'objectif de cette campagne d'observation à bord du Polarstern est de tester un nouveau protocole de…

Pose d'une balise Argos sur un manchot royal à Crozet. L'utilisation de la télémétrie permet de révéler les formidables plongées des manchots qui traquent poissons, calmars et krill à plusieurs centaines de mètres sous la surface de l'océan Austral.

Capture d'un chevreuil au filet. Etude de la dynamique des populations. Février 1998, Forêt de Chizé (Réserve Nationale de Faune Sauvage). (Réf. Le Journal du CNRS Mai 1998).

Capture de chevreuils : sabot de contention de chevreuil. Etude de la dynamique des populations. Février 1998, Forêt de Chizé (Réserve Nationale de Faune Sauvage). (Réf. Le Journal du CNRS Mai 1998).

Chevreuil dans la Forêt de Chizé (Réserve Nationale de Faune Sauvage). Elevage du Centre d'Etudes Biologiques de Chizé (CNRS). Février 1998. (Réf. Le Journal du CNRS Mai 1998).

Capture de chevreuils : rabatteurs de chevreuils. Etude de la dynamique des populations. Février 1998, Forêt de Chizé (Réserve Nationale de Faune Sauvage). (Réf. Le Journal du CNRS Mai 1998).

Chevreuil dans la Forêt de Chizé (Réserve Nationale de Faune Sauvage). Elevage du Centre d'Etudes Biologiques de Chizé (CNRS). Février 1998. (Réf. Le Journal du CNRS Mai 1998).

Capture de chevreuils : échographie sur les femelles identifiées de la réserve. Les recherches ont montré que la reproduction du chevreuil est très particulière : la femelle n'ovule qu'une fois par an, en été, et le développement de l'embryon est bloqué pendant 5 mois, juste avant son implantation dans l'utérus. Cette "diapause" permet au faon de naître vers la fin mai, au moment où la végétation est la plus abondante. Etude de la dynamique des populations. Février 1998, Forêt de Chizé (Réserve…

Capture de chevreuils : relâché des chevreuils marqués en fin de capture. Etude de la dynamique des populations. Février 1998, Forêt de Chizé (Réserve Nationale de Faune Sauvage). (Réf. Le Journal du CNRS Mai 1998).

Chevreuil dans la Forêt de Chizé (Réserve Nationale de Faune Sauvage). Elevage du Centre d'Etudes Biologiques de Chizé (CNRS). Février 1998. (Réf. Le Journal du CNRS Mai 1998).

Capture de chevreuils : pesée d'un chevreuil dans un sabot de contention. Etude de la dynamique des populations. Février 1998, Forêt de Chizé (Réserve Nationale de Faune Sauvage). (Réf. Le Journal du CNRS Mai 1998).

Capture d'un chevreuil et remise en place du filet. Etude de la dynamique des populations. Février 1998, Forêt de Chizé (Réserve Nationale de Faune Sauvage). (Réf. Le Journal du CNRS Mai 1998).

Capture de chevreuils : marquage d'un chevreuil par boucle d'oreille numérotée. Etude de la dynamique des populations. Février 1998, Forêt de Chizé (Réserve Nationale de Faune Sauvage). (Réf. Le Journal du CNRS Mai 1998).