Photo report

Spreading of mercury on Reunion Island

2018

Spreading of mercury on Reunion Island.

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Il s’agit d’étudier sur un an les différentes espèces gazeuses atmosphériques du mercure, des processus d'oxydation-réduction permettant de passer de l'une à l'autre, et de leurs dépôts dans les écosystèmes. Ce programme rassemble des équipes de l'Institut des géosciences de l'environnement (IGE), de Géosciences environnement Toulouse (GET), du Laboratoire de l'atmosphère et des cyclones (LACy) et leurs collaborateurs internationaux

Des chercheurs du CNRS, de l’Université Grenoble Alpes et leurs collaborateurs internationaux ont démontré l’importance de l’absorption du mercure, polluant atmosphérique, par la végétation. Ils estiment que les feuilles des plantes séquestrent chaque année la moitié des émissions anthropiques globales de mercure soit environ 1 000 tonnes. À l’automne, les litières de feuilles ayant séquestrées le mercure le transfèrent aux sols. Cette pompe biologique joue ainsi un rôle…

Des chercheurs du CNRS, de l’Université Grenoble Alpes et leurs collaborateurs internationaux ont démontré l’importance de l’absorption du mercure, polluant atmosphérique, par la végétation. Ils estiment que les feuilles des plantes séquestrent chaque année la moitié des émissions anthropiques globales de mercure soit environ 1 000 tonnes. À l’automne, les litières de feuilles ayant séquestrées le mercure le transfèrent aux sols. Cette pompe biologique joue ainsi un rôle…

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Vue de la couche limite atmosphérique depuis l'observatoire de Physique Atmosphérique de la Réunion (OPAR) du Maïdo, situé à 2200 mètres d'altitude à la Réunion. L'OPAR passe au dessus de cette limite durant la nuit. Il se situe alors en troposphère libre, ce qui entraine une forte variation jour / nuit des concentrations en mercure atmosphérique.

Des chercheurs du CNRS, de l’Université Grenoble Alpes et leurs collaborateurs internationaux ont démontré l’importance de l’absorption du mercure, polluant atmosphérique, par la végétation. Ils estiment que les feuilles des plantes séquestrent chaque année la moitié des émissions anthropiques globales de mercure soit environ 1 000 tonnes. À l’automne, les litières de feuilles ayant séquestrées le mercure le transfèrent aux sols. Cette pompe biologique joue ainsi un rôle…

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Des chercheurs du CNRS, de l’Université Grenoble Alpes et leurs collaborateurs internationaux ont démontré l’importance de l’absorption du mercure, polluant atmosphérique, par la végétation. Ils estiment que les feuilles des plantes séquestrent chaque année la moitié des émissions anthropiques globales de mercure soit environ 1 000 tonnes. À l’automne, les litières de feuilles ayant séquestrées le mercure le transfèrent aux sols. Cette pompe biologique joue ainsi un rôle…

Lavage des porte-filtres utilisés à l'Observatoire de physique atmosphérique de la Réunion (OPAR) du Maïdo, à 2 200 mètres d'altitude, dans les bains acides dédiés à cet effet. Les bains sont stockés sous sorbonne ventilée dans le Laboratoire GéoSciences de la Réunion (LGSR-OSUR) sur le campus universitaire de Moufia. Sur l'île de la Réunion, les équipes de l'Institut des géosciences de l'environnement (IGE), de Géosciences environnement Toulouse (GET), du Laboratoire de l'atmosphère et des…

Des chercheurs du CNRS, de l’Université Grenoble Alpes et leurs collaborateurs internationaux ont démontré l’importance de l’absorption du mercure, polluant atmosphérique, par la végétation. Ils estiment que les feuilles des plantes séquestrent chaque année la moitié des émissions anthropiques globales de mercure soit environ 1 000 tonnes. À l’automne, les litières de feuilles ayant séquestrées le mercure le transfèrent aux sols. Cette pompe biologique joue ainsi un rôle…

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Lavage des porte-filtres utilisés à l'Observatoire de physique atmosphérique de la Réunion (OPAR) du Maïdo, à 2 200 mètres d'altitude, dans les bains acides dédiés à cet effet. Les bains sont stockés sous sorbonne ventilée dans le Laboratoire GéoSciences de la Réunion (LGSR-OSUR) sur le campus universitaire de Moufia. Sur l'île de la Réunion, les équipes de l'Institut des géosciences de l'environnement (IGE), de Géosciences environnement Toulouse (GET), du Laboratoire de l'atmosphère et des…

Des chercheurs du CNRS, de l’Université Grenoble Alpes et leurs collaborateurs internationaux ont démontré l’importance de l’absorption du mercure, polluant atmosphérique, par la végétation. Ils estiment que les feuilles des plantes séquestrent chaque année la moitié des émissions anthropiques globales de mercure soit environ 1 000 tonnes. À l’automne, les litières de feuilles ayant séquestrées le mercure le transfèrent aux sols. Cette pompe biologique joue ainsi un rôle…

Lavage des porte-filtres utilisés à l'Observatoire de physique atmosphérique de la Réunion (OPAR) du Maïdo, à 2 200 mètres d'altitude, dans les bains acides dédiés à cet effet. Les bains sont stockés sous sorbonne ventilée dans le Laboratoire GéoSciences de la Réunion (LGSR-OSUR) sur le campus universitaire de Moufia. Sur l'île de la Réunion, les équipes de l'Institut des géosciences de l'environnement (IGE), de Géosciences environnement Toulouse (GET), du Laboratoire de l'atmosphère et des…

Préparation de bains de lavage acide pour le nettoyage des porte-filtres utilisés à l'observatoire de physique atmosphérique de la Réunion (OPAR), au Maïdo, à 2 200 mètres d'altitude. Les bains sont stockés sous sorbonne ventilée dans le Laboratoire GéoSciences de la Réunion (LGSR-OSUR) sur le campus universitaire de Moufia. Sur l'île de la Réunion, les équipes de l'Institut des géosciences de l'environnement (IGE), de Géosciences environnement Toulouse (GET), du Laboratoire de l'atmosphère et…

Des chercheurs du CNRS, de l’Université Grenoble Alpes et leurs collaborateurs internationaux ont démontré l’importance de l’absorption du mercure, polluant atmosphérique, par la végétation. Ils estiment que les feuilles des plantes séquestrent chaque année la moitié des émissions anthropiques globales de mercure soit environ 1 000 tonnes. À l’automne, les litières de feuilles ayant séquestrées le mercure le transfèrent aux sols. Cette pompe biologique joue ainsi un rôle…

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Des chercheurs du CNRS, de l’Université Grenoble Alpes et leurs collaborateurs internationaux ont démontré l’importance de l’absorption du mercure, polluant atmosphérique, par la végétation. Ils estiment que les feuilles des plantes séquestrent chaque année la moitié des émissions anthropiques globales de mercure soit environ 1 000 tonnes. À l’automne, les litières de feuilles ayant séquestrées le mercure le transfèrent aux sols. Cette pompe biologique joue ainsi un rôle…

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Chemical analysis
Earth's atmosphere
Filter
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Man
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Pollutant
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