Reportage à la station des Nouragues en Guyane

Pour leur inventaire des espèces, les chercheurs du programme Amazonie tentent d'identifier les espèces d'arbres depuis le sol avec des jumelles. Saut Pararé, Guyane.

La fraction d'eau de broméliacée "Catopsis berteroniana", d'abord pré-filtrée sur le terrain, a été ensuite passée sur des filtres en papier en laboratoire. La coloration verte des filtres indique la présence de microalgues. Ces filtres seront pliés et conditionnés dans des tubes numérotés, puis congelés. Les microorganismes présents sur les filtres seront identifiés par des techniques de biologie moléculaire. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques …

Méthode Winkler : chaque enceinte de coton correspond à un échantillon de litière mis à déposer. Au fur et à mesure que la litière s'assèche au cours des 48h de dépôt, les organismes du sol (arthropodes) migrent vers le bas en réponse à l'assèchement de leur milieu, et finissent par tomber dans un gobelet partiellement rempli d'éthanol. Après 48h d'extraction, les gobelets contenant les organismes extraits de la litière sont récoltés. L'objectif est d'améliorer la connaissance de la…

Combrétacée, site de Saut Pararé, Station des Nouragues en Guyane. "Combretum rotundifolium" est une liane héliophile qui croît généralement le long des rivières. Son nom créole est "peigne singe rouge" c'est à dire peigne du singe hurleur, en raison de sa forme de brosse et de sa couleur. Cette plante fait partie de la pharmacopée traditionnelle des Amérindiens de Guyane.

Le Hocco alector "Crax alector" est un gros oiseau de la taille d'une dinde dont les populations souffrent d'une forte pression de chasse, partout où la forêt est facilement accessible. Station des Nouragues, Guyane.

Nid de termites arboricoles (probablement de "Cylindrotermes" ou "Microcerotermes"), station des Nouragues, Guyane. Les rubans servent à marquer les sites à visiter de nouveau. Le rose fluorescent est la couleur qui se voit le mieux en forêt. Il est donc plus facile de retrouver ces endroits où doivent être renouvelés des observations, des expériences ou des prélèvements. Un numéro de code est souvent ajouté au ruban pour identifier avec certitude l'endroit.

Les fruits du palmier comou "Oenocarpus bacaba" attirent de nombreuses espèces d'oiseaux, comme le toucanet koulik "Selenidera culik", qui contribuent à la dispersion de ses graines. Station des Nouragues, Guyane.

Forêt tropicale guyanaise prise d'un hélicoptère. Sous une apparente monotonie, cette vue de la canopée est trompeuse dans la mesure où la diversité des arbres est extrême. C'est ainsi que sur un hectare de forêt guyanaise croissent entre 160 et 220 espèces d'arbres.

Extraction de l'eau retenue au centre de la rosette formée par les feuilles de la broméliacée "Aechmea aquilega", dans le but d'échantillonner la faune et les microorganismes aquatiques. Les chercheurs utilisent des pipettes automatiques pour aspirer l'eau et son contenu. La couleur verte de l'eau dénote la présence de microalgues. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de…

Vue de l'inselberg des Nouragues depuis le camp juste après la pluie. L'eau de pluie ruisselle en cascade le long des parois. Cette colline granitique, apparue après plusieurs millions d'années d'érosion, culmine à plus de 400 mètres au-dessus du site inselberg, l'un des deux sites de la station des Nouragues en Guyane.

Larve de libellule (en bas à gauche), et quelques larves de moustiques extraites de poches d'eau formées par les feuilles de broméliacées épiphytes de la forêt des Nouragues (Guyane). On distingue également des vers oligochètes (rouges). L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes épiphytes formant des réservoirs d'eau de…

Détermination d'une plante extraite d'un herbier après séchage. Saut Pararé, Guyane.

Femelle de scorpion du genre "Tityus". A la naissance, les bébés scorpions montent sur le dos de leur mère où ils resteront quelques jours, jusqu'à leur première mue après laquelle ils se disperseront. Station des Nouragues, Guyane.

DZ (zone d'atterrissage de l'hélicoptère) de la station des Nouragues en Guyane. Le site inselberg de la station des Nouragues ne peut être actuellement ravitaillé que par hélicoptère.

Capteur sur la tour Guyaflux consacrée à l'étude du fonctionnement de l'écosystème forestier amazonien, station scientifique de Paracou en Guyane.

Les fourmis "Allomerus decemarticulatus" de Guyane qui habitent exclusivement dans la plante "Hirtella physophora", construisent un piège pour capturer des insectes qui sont ensuite consommés. L'association entre cette fourmi et la plante est un mutualisme : la plante fournit un logement aux fourmis sous la forme de poches situées à la base des feuilles et les fourmis protègent en contrepartie leur plante hôte contre les insectes herbivores. Station des Nouragues, Guyane.

Fourmis "Atta" coupeuses de feuilles, Saut Pararé, Guyane.

Rayons de soleil tombant sur un carbet du site Inselberg de la station des Nouragues, Guyane. Dans la forêt, la lumière constitue un facteur limitant primordial puisque seul deux pour cent de l'énergie lumineuse arrive au sol.

Mesure à l'aide d'un pied à coulisse des traits végétatifs de broméliacées épiphytes ("Catopsis berteroniana" formant des réservoirs). Les mesures portent sur la hauteur et l'envergure de la plante, son diamètre à la base, la taille et l'épaisseur des feuilles. Les feuilles sont également comptées et leur disposition (verticale/horizontale) estimée visuellement. Station des Nouragues (site Inselberg), Guyane.

Nid de fourmis du genre "Azteca", station des Nouragues, Guyane.

Nid en terre de guêpes du genre "Polybia singularis", il est particulièrement résistant. Station des Nouragues, Guyane.

Chez le singe atèle ou singe araignée "Ateles paniscus", les groupes sociaux ne sont pas fixés dans le temps et ne sont pas systématiquement constitués de mâles et de femelles. Les individus peuvent se grouper momentanément et se scinder en plus petits groupes suivant les disponibilités alimentaires. Station des Nouragues, Guyane.

Pluie sur les carbets du site Inselberg de la station des Nouragues, Guyane. La longueur de ces habitations sans murs permet l'hébergement de trois ou quatre personnes et leur largeur est calculée pour l'accrochage d'un hamac et d'une moustiquaire.

Examen des critères d'identification des spécimens préparés sur la base des clés de détermination et des herbiers de référence. Infrustescence de "Candolleodendron brachystachyum" (Fabaceae). Herbier de Guyane à Cayenne.

Chercheur mettant des appâts sur la base d'un arbre, station des Nouragues, Guyane. Ces appâts (miettes de thon et miel) sont trouvés par des fourmis éclaireuses, qui descendent régulièrement pour renforcer des marquages territoriaux. Elles remontent pour recruter des congénères qui vont aussi redescendre vers l'appât. Les chercheurs vérifient dans un second temps en montant dans la cime, que l'espèce qui est descendue vers l'appât (espèce visiteuse) correspond à une grosse colonie présente en…

Examen des critères d'identification des spécimens préparés sur la base des clés de détermination et des herbiers de référence. Feuilles de "Candolleodendron brachystachyum" (Fabaceae). Herbier de Guyane à Cayenne.

La fraction d'eau de broméliacée "Catopsis berteroniana", d'abord pré-filtrée sur le terrain, est passée sur des filtres en papier en laboratoire. Les microorganismes seront récupérés sur le filtre, l'eau sera recueillie dans le compartiment inférieur. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes épiphytes formant des…

"Jardin de fourmis" avec des inflorescences de "Peperomia macrostachya" et également "Philodendron deflexum" ("Araceae"). Les fourmis récoltent les graines et les plantent dans leur nid, en se développant, les plantes forment un jardin suspendu appelé "jardin de fourmis". Ce jardin est dans un chablis et il est habité par deux espèces de fourmis "Camponotus femoratus" et "Crematogaster levior" qui vivent en parabiose : association particulière entre deux espèces de fourmis qui cohabitent…

Dans les parcelles permanentes d'inventaire des arbres, chaque arbre dont le tronc dépasse 10 cm est inventorié avec un numéro marqué sur une pancarte blanche. Le point exact de mesure du diamètre est marqué d'une bande de peinture rouge. Saut Pararé, Guyane.

Les feuilles de la broméliacée "Catopsis berteroniana" sont recouvertes d'une poudre cireuse blanche hydrophobe permettant de capturer de l'eau, mais aussi des insectes qui tomberont dans le réservoir pour s'y décomposer et fournir ainsi de l'azote à la plante. La cire est ici prélevée pour analyse de sa composition chimique au laboratoire. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la…

La grenouille à tapirer, "Dendrobates tinctorius", Station des Nouragues, Guyane. Ses couleurs vives sont dites aposématique (qui avertit qu'il n'est pas profitable de l'attaquer)s car elles avertissent un éventuel prédateur que cette grenouille sécrète des toxines assurant sa défense. Les Amérindiens utilisaient cette grenouille pour colorer en rouge ou jaune les plumes des perroquets amazones de couleur verte qu'ils gardaient comme animal de compagnie.

"Pitfall trap" : ce piège est destiné à capturer des insectes du sol, pour en estimer la diversité. Il s'agit d'un simple gobelet enfoncé dans le sol, et rempli d'eau savonneuse pour supprimer la tension superficielle de l'eau.

Filtration d'un échantillon d'eau issu d'une broméliacée "Aechmea aquilega" dans le but de séparer les microorganismes (taille inférieure à 150 microns) des macroorganismes. La couleur verte de l'eau dénote la présence de microalgues en forte densité. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes épiphytes formant des…

Mâle de "Gonatodes humeralis". Ces petits lézards sont assez communs mais discrets. En forêt, on les observe généralement sur les contreforts d'arbres ou sur les troncs et souches couchés au sol.

Tour Guyaflux, sur la station scientifique de Paracou, en Guyane, en forêt littorale. Ce dispositif de recherche INRA et CIRAD est géré par l'UMR Ecofog. Les données issues des stations de terrain et diverses placettes d'études en Guyane sont intégrées, à l'instar de celles des Nouragues, dans le réseau international Rainfor.

Station des Nouragues, vue aérienne du site de Saut Pararé, Guyane.

Les larves d'insectes aquatiques prélevées dans les broméliacées à réservoirs sont pré-triées au laboratoire. Les puits permettent de les séparer par groupes morphologiques. L'identification plus fine se fera au laboratoire, sous une loupe binoculaire. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes épiphytes formant des…

Extraction de l'eau retenue au centre de la rosette formée par les feuilles de la broméliacée "Aechmea aquilega", dans le but d'échantillonner la faune et les microorganismes aquatiques. Les chercheurs utilisent des pipettes automatiques pour aspirer l'eau et son contenu. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes…

Récolte des gobelets contenant les organismes extraits de la litière par la méthode Winkler (dispositif permettant d'extraire les arthropodes vivant dans la litière). L'objectif est d'améliorer la connaissance de la biodiversité des fourmis de litière des Nouragues (Guyane), et de mieux comprendre la composition et le fonctionnement des assemblages d'espèces de la litière. Station des Nouragues, Guyane.

Recherche de caractères botaniques utiles pour l'identification des plantes. Saut Pararé, Guyane.

Fleur d'une plante de sous-bois du genre "Drymonia". Station des Nouragues, Guyane.

Vue de la crique Cascade sur laquelle a été construit le barrage de la microturbine. Les eaux cristallines de cette crique sont légèrement colorées par les tanins et l'acide humique issus de la décomposition de la végétation et drainées par le lessivage des sols lors des pluies.

"Eleutherodactylus chiastonotus", Saut Pararé, Guyane.

Etiquetage des prélèvements. Les numéros des broméliacées prélevées sont reportés sur les tubes contenant les microorganismes et sur les tubes contenant les macroorganismes issus des réservoirs d'eau. Les macroorganismes seront identifiés sous une loupe binoculaire. L'identification des microorganismes (notamment bactéries et champignons) fera appel, en plus de la microscopie, à des analyses ADN. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et…

Un des pylônes du dispositif permanent d'accès à la canopée COPAS sur le site de Saut Pararé, en Guyane. Le dispositif se compose de trois tours de 45 mètres de hauteur, espacées d'environ 180 m les unes des autres et reliées entre elles par des câbles permettant à un scientifique de se déplacer en 3 dimensions dans la canopée. II s’étend, au cœur de la réserve naturelle des Nouragues, sur une superficie de plus de 1,5 hectare de forêt. Les mâts peuvent également être appareillés de capteurs et…

Chercheur traversant un tronc mort dans la forêt. Station des Nouragues, Guyane.

Coq de roche mâle, "Rupicola rupicola", site Inselberg, station des Nouragues, Guyane. En période de reproduction les mâles se regroupent sur certaines zones de forêts basses où ils débarrassent des arènes d'environ un mètre carré de toutes feuilles mortes. Ils paradent en compétition sur ces arènes choisies pour leur ensoleillement à courte distance les unes des autres. Cette aire de parade est appelée lek. Les femelles, de couleur beaucoup plus discrète, sont en périphérie du lek où elles…

Extraction de l'eau retenue au centre de la rosette formée par les feuilles de la broméliacée "Catopsis berteroniana", dans le but d'échantillonner la faune et les microorganismes aquatiques. Les chercheurs utilisent des pipettes automatiques pour aspirer l'eau et son contenu. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes…

La fraction d'eau de broméliacée "Catopsis berteroniana", d'abord pré-filtrée sur le terrain, va être passée sur des filtres en papier en laboratoire. Les microorganismes seront récupérés sur le filtre, l'eau sera recueillie dans le compartiment inférieur. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes épiphytes formant des…

Forêt guyanaise vue depuis la tour Guyaflux consacrée à l'étude du fonctionnement de l'écosystème forestier amazonien, station scientifique de Paracou en Guyane.

Capteur sur la tour Guyaflux consacrée à l'étude du fonctionnement de l'écosystème forestier amazonien, station scientifique de Paracou en Guyane.

Sur l'inselberg, les buissons de "Clusia" colonisent toutes les zones où le sol, notamment issu de la dégradation de cyanobactéries (responsable de la couleur noire), a pu s'accumuler. Ailleurs, des plantes de moindre taille comme les broméliacées du genre "Pitcairnia" constituent des coussins qui s'étalent sur le granit.

Ficus étrangleur encore jeune à Saint Georges de l'Oyapock, en Guyane. L'arbre qui est au milieu va mourir de cet étouffement.

Pluie sur le site inselberg de la station des Nouragues, Guyane. Ces habitations sans murs sont appelées carbets. Leur longueur permet l'hébergement de deux ou trois personnes et leur largeur est calculée pour l'accrochage d'un hamac et d'une moustiquaire.

Punaise appartenant à la famille des "Reduviidae", dont la première paire de pattes avant a évolué en pinces préhensiles, comme chez les mantes religieuses. Station des Nouragues, Guyane.

L'araignée squelette "Ephebopus murinus" est une mygale qui a la particularité de faire un terrier, dont l'entrée est protégée par un auvent, constitué de feuille mortes collées avec la soie qu'elle produit. Station des Nouragues, Guyane.

Tour Guyaflux, sur la station scientifique de Paracou, en Guyane, en forêt littorale. Ce dispositif de recherche INRA et CIRAD est géré par l'UMR Ecofog. Les données issues des stations de terrain et diverses placettes d'études en Guyane sont intégrées, à l'instar de celles des Nouragues, dans le réseau international Rainfor.

Les demoiselles, ici du genre "Mecistogaster" sont de délicates libellules très communes en forêt guyanaise. Station des Nouragues, Guyane.

Mise en tube des organismes de litière collectés à l'aide de la méthode Winkler (dispositif permettant d'extraire les arthropodes vivant dans la litière). L'objectif est d'améliorer la connaissance de la biodiversité des fourmis de litière des Nouragues (Guyane), et de mieux comprendre la composition et le fonctionnement des assemblages d'espèces de la litière. Station des Nouragues, Guyane.

Chez la plupart des arbres, la compétition pour la lumière est cruciale. Une des adaptations pour croître haut tout en restant stable est le développement des contreforts qui réduisent le risque de chute. Station des Nouragues, Guyane.

Capteur sur la tour Guyaflux consacrée à l'étude du fonctionnement de l'écosystème forestier amazonien, station scientifique de Paracou en Guyane.

La leptodactyle de Myers "Leptodactylus myersi" est une grenouille terrestre exclusivement inféodée aux inselbergs. Station des Nouragues, Guyane.

Plante de la famille des broméliacées, dont un certain nombre d'espèces poussent sur les branches à la recherche d'une lumière suffisante. Station des Nouragues en Guyane. Certaines plantes épiphytes forment des réservoirs qui, en retenant les eaux de pluies et de condensation, permettent le développement de petits animaux aquatiques et de communautés de macroinvertébrés. Des réseaux trophiques s'organisent alors, ainsi que des interactions comportementales entre la plante et ses hôtes,…

Prélèvement de fourmis "Allomerus decemarticulatus" sur un plant d'"Hirtella physophora". Les fourmis "Allomerus decemarticulatus" de Guyane habitent exclusivement dans la plante "Hirtella physophora" où elles construisent un piège pour capturer des insectes qui sont ensuite consommés. L'association entre cette fourmi et la plante est un mutualisme. Station des Nouragues, Guyane.

Papillons du genre "Heliconius", Saut Pararé, Guyane.

Vérification de la microturbine par le personnel de la station des Nouragues, Guyane. La fourniture en énergie, si possible renouvelable et non polluante puisque la station est située au coeur de la réserve naturelle des Nouragues, est absolument cruciale.

Oeufs de chrysope (névroptère) avec leurs filaments posés sur une feuille. Station des Nouragues, Guyane.

Nettoyage d'un tesson d'une urne funéraire Aristé découvert lors d'une fouille archéologique préventive sur la commune de Saint-Georges de l'Oyapock en Guyane. Le nettoyage se fait au batonnet avec un mélange d'éthanol et d'eau pour enlever les sédiments et révéler le décor. Ce tesson a été trouvé sur le chantier du pont transfrontalier entre le Brésil et la Guyane, dans un puits funéraire d'une nécropole Aristé ayant fonctionné entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

Grand Urubu en vol "Cathartes melambrotus", station des Nouragues, Guyane. Ces oiseaux ont la particularité d'être dotés d'un excellent flair, leur permettant de trouver les cadavres dont ils se nourrissent, sous le couvert de la canopée.

Discussions entre scientifiques au camp Inselberg, station des Nouragues, Guyane.

Palmier comou "Oenocarpus bacaba" en fruits, site Inselberg, station des Nouragues, Guyane. Les fruits de cette espèce sont fortement convoités par de nombreuses espèces, y compris l'homme qui les consomme sous forme de jus.

Graines d'une plante épiphyte "Peperomia macrostachya", qui se développe dans les "jardins de fourmis". Les fourmis récoltent les graines et les plantent dans leur nid. En se développant, les plantes forment un jardin suspendu appelé "jardin de fourmis". Station des Nouragues, Guyane.

Station des Nouragues, site de Saut Pararé en Guyane, carbet laboratoire situé au dessus de la rivière Arataye.

Ouvriers et soldats de termite du genre "Nasutitermes". Les soldats ont une tête piriforme qui leur permet de projeter une sécrétion défensive collante et irritante sur leurs ennemis, en général des fourmis. Station des Nouragues, Guyane.

Carbet, site de Saut Pararé de la station des Nouragues, en Guyane.

L'Inselberg des Nouragues en Guyane est colonisé, sur ses pentes les moins raides, par une végétation basse particulièrement adaptée aux conditions de température et d'ensoleillement extrêmes qui règnent sur ce dôme granitique. La couleur noire du granite est due à un biofilm principalement constitué de cyanobactéries.

Récolte et tamisage de la litière foliaire en vue de l'application de la méthode Winkler : dispositif qui permet d'extraire les arthropodes (myriapodes, insectes, arachnides,...) vivant dans la litière, lesquels sont souvent minuscules, cryptiques et peu mobiles. L'objectif est d'améliorer la connaissance de la biodiversité des fourmis de litière des Nouragues (Guyane), et de mieux comprendre la composition et le fonctionnement des assemblages d'espèces de la litière. Station des Nouragues,…

Une chercheuse de la réserve naturelle des Nouragues marque le numéro de l'arbre sur la branche qui vient d'être collectée par le grimpeur. Chaque arbre est numéroté et positionné dans les parcelles d'inventaire. Saut Pararé, Guyane.

Arbre à Saint Georges de l'Oyapock, en Guyane.

Phasme, Guyane.

Pour leur inventaire des espèces, les chercheurs du programme Amazonie tentent de retrouver les arbres à identifier dans les parcelles permanentes d'inventaire. Ici la marque de peinture rouge correspond au point exact de la mesure du diamètre de l'arbre. Saut Pararé, Guyane.

"Catopsis berteroniana", la lanterne de la jungle ("Bromeliaceae"). Cette broméliacée épiphyte carnivore capture les insectes qui glissent sur la surface cireuse des feuilles. Ceux-ci tombent dans le réservoir d'eau formé au centre des feuilles et se décomposent pour fournir de l'azote à la plante. Des insectes aquatiques, des vers, et divers microorganismes aquatiques vivent dans le réservoir, participant à la décomposition des cadavres d'insectes terrestres capturés. Station des Nouragues …

Mygale de Leblond, "Theraphosa blondi", Saut Pararé, Guyane.

Prise de vue vidéo des interactions entre termites à nids arboricoles, dont une galerie parcourant le tronc a été ouverte, et fourmis. Station des Nouragues, Guyane.

Les larves d'insectes aquatiques prélevées dans les broméliacées à réservoirs sont pré-triées au laboratoire. Les puits permettent de les séparer par groupes morphologiques. L'identification plus fine se fera au laboratoire, sous une loupe binoculaire. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes épiphytes formant des…

Papillons du genre "Heliconius", Saut Pararé, Guyane.

Liane, Station des Nouragues, Guyane. Les lianes sont encore assez peu étudiées alors qu'elles constituent un élément important de la forêt tropicale, notamment en assurant un haubanage des arbres géants de la forêt. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, elles ne pendent pas des arbres mais croissent à partir du sol.

Fourmis, station des Nouragues en Guyane, probablement "Wasmannia auropunctata" (Myrmicinae), qui est une espèce envahissante notamment en Nouvelle-Calédonie et aux Galapagos.

Des sondes (bleu et jaune) enregistrent en continu la température de l'eau au centre du réservoir formé par les feuilles de "Catopsis berteroniana". Les cycles de température permettront d'interpréter les cycles de développement des insectes aquatiques qui vivent dans le réservoir. Les rubans orange servent à marquer les plantes. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de…

Les fourmis "Allomerus decemarticulatus" de Guyane, qui habitent exclusivement dans la plante "Hirtella physophora", construisent un piège pour capturer des insectes consommés ensuite. L'association entre cette fourmi et la plante est un mutualisme : la plante fournit un logement aux fourmis sous la forme de poches situées à la base des feuilles et les fourmis la protègent en contrepartie contre les insectes herbivores. Station des Nouragues, Guyane.

Dessous de feuilles de palmier patawa "Oenocarpus batawa", station des Nouragues, Guyane. Ces palmiers forestiers peuvent atteindre de grandes tailles et leur feuillage fait partie intégrante de la canopée.

Chercheur mettant des appâts sur la base d'un arbre, station des Nouragues, Guyane. Ces appâts (miettes de thon et miel) sont trouvés par des fourmis éclaireuses qui descendent régulièrement pour renforcer des marquages territoriaux. Elles remontent pour recruter des congénères qui vont aussi descendre vers l'appât. Les chercheurs vérifient dans un second temps, en montant dans la cime, que l'espèce qui est descendue vers l'appât (espèce visiteuse) correspond à une grosse colonie présente en…

Le carbet cuisine du site inselberg de la station des Nouragues, Guyane. Au premier étage se situe la salle de restauration et la cuisine, dessous sont stockées les denrées alimentaires.

Récolte d'un échantillon d'eau issu d'une broméliacée "Aechmea aquilega" dans le but de séparer les microorganismes (taille inférieure à 150 microns) des macroorganismes. La couleur verte de l'eau dénote la présence de microalgues en forte densité. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes épiphytes formant des…

Serpent Grage grand-carreau, "Lachesis muta", Saut Pararé, Guyane.

Ces coléoptères de la famille des "Passalidae" sont communs sous les écorces des arbres morts. Ils ont la particularité de nourrir leurs larves et de communiquer entre eux à l'aide de stridulations. Station des Nouragues, Guyane.

Filtration des échantillons d'eau extraits des broméliacées dans le but de séparer les microorganismes (taille inférieure à 150 microns) des macroorganismes aquatiques, puis fixation des échantillons. Les macroorganismes sont conservés dans de l'alcool, les microorganismes sont fixés au lugol et au formol. Une partie sera ramenée vivante au laboratoire pour être mise en culture. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress,…

"Jardin de fourmis" dans un chablis, habité par deux espèces de fourmis "Camponotus femoratus" et "Crematogaster levior" vivant en parabiose : association particulière entre deux espèces de fourmis qui cohabitent pacifiquement et se partagent le nid en élevant cependant leur couvain séparément. La plante épiphyte, "Peperomia macrostachya", dont les fourmis récoltent les graines et les plantent dans leur nid, se développe formant un jardin suspendu appelé "jardin de fourmis". Station des…

Echantillons végétaux conservés en vue de leur montage en planches d'herbiers. Herbier de Guyane à Cayenne.

Enregistrement de différentes mesures dans le cadre d'un recensement des interactions entre plantes et fourmis. Station des Nouragues, Guyane.

Punaise appartenant à la famille des Reduviidae, dont la première paire de pattes avant a évolué en pinces préhensiles, comme chez les mantes religieuses. Station des Nouragues, Guyane.

Carbet du camp Inselberg, station des Nouragues, Guyane. Les couchages (hamacs et moustiquaires) sont suspendus aux traverses en bois.

Echantillons conservés en vue de leur montage (planches d'herbiers). Herbier de Guyane à Cayenne.

Sous-bois de la forêt tropicale, station des Nouragues en Guyane. La chimie des substances naturelles s'intéresse à la grande biodiversité guyanaise.

Feuilles extraites d'un herbier après séchage. Saut Pararé, Guyane.

La grenouille à tapirer, "Dendrobates tinctorius", Station des Nouragues, Guyane. Ses couleurs vives sont dites aposématique (qui avertit qu'il n'est pas profitable de l'attaquer)s car elles avertissent un éventuel prédateur que cette grenouille sécrète des toxines assurant sa défense. Les Amérindiens utilisaient cette grenouille pour colorer en rouge ou jaune les plumes des perroquets amazones de couleur verte qu'ils gardaient comme animal de compagnie.

Sous-bois de la forêt tropicale, station des Nouragues en Guyane. La chimie des substances naturelles s'intéresse à la grande biodiversité guyanaise.

La densité des arbres dont le diamètre est supérieur à dix centimètres se situe entre 400 à 600 individus à l'hectare. Sur cet hectare de forêt tropicale en Guyane, on dénombre entre 160 et 220 espèces d'arbres différentes.

Arbre à Saint Georges de l'Oyapock, en Guyane.

"Jardin de fourmis" dans un chablis, habité par deux espèces de fourmis "Camponotus femoratus" et "Crematogaster levior" vivant en parabiose : association particulière entre deux espèces de fourmis qui cohabitent pacifiquement et se partagent le nid en élevant cependant leur couvain séparément. La plante épiphyte, "Peperomia macrostachya", dont les fourmis récoltent les graines et les plantent dans leur nid, se développe formant un jardin suspendu appelé "jardin de fourmis". Station des…

Pour leur inventaire des espèces végétales, les chercheurs du programme Amazonie vont directement récolter les feuilles dans les arbres à identifier, sur le site de Saut Pararé en Guyane. Il y a jusqu'à 200 espèces d'arbres différents dans un hectare de forêt.

Pour l'inventaire des espèces végétales réalisé lors du programme Amazonie, des feuilles à identifier sont récoltées dans les arbres, sur le site de Saut Pararé en Guyane. Il y a jusqu'à 200 espèces d'arbres différents dans un hectare de forêt.

Chercheurs observant des arbres dans lesquels résident des colonies de fourmis, station des Nouragues, Guyane. En mettant des appâts (miettes de thon et miel) sur la base des arbres, des fourmis éclaireuses, descendant régulièrement pour renforcer des marquages territoriaux, remontent pour recruter des congénères qui vont aussi descendre vers l'appât. Les chercheurs vérifient dans un second temps, en montant dans la cime, que l'espèce qui est descendue vers l'appât (espèce visiteuse) correspond…

Technique fiable mais néanmoins dangereuse pour saisir un scorpion. Il s'agit du genre "Tityus" dont le venin est considéré comme très puissant. Station des Nouragues, Guyane.

Chercheur photographiant des fourmis "Azteca" exploitant les exsudats sucrés d'un arbre, le "Cecropia" ou "bois canon", station des Nouragues, Guyane. Cette espèce de fourmi vit fréquemment en symbiose avec le Cecropia qui possède de petites cavités, dans lesquelles elles s'installent, et qui leur fournit aussi de la nourriture. En échange les fourmis protègent l'arbre contre toute agression, en particulier des fourmis "Atta" défoliatrices.

Fleur de fruit de la passion "Passiflora coccinea", Station des Nouragues, Guyane.

Les coqs de roche "Rupicola rupicola" sont capables d'effectuer des trajets de plusieurs kilomètres pour venir consommer les fruits de palmier comou "Oenocarpus bacaba" dont les graines en germination sont souvent observées sous les nids. Site Inselberg, station des Nouragues, Guyane

Dessous de la feuille du palmier, "Astrocaryum sciophilum", station des Nouragues, Guyane. La présence de ce palmier de sous-bois à croissance très lente est un bon indice de l'ancienneté de la forêt qui l'entoure.

Le carbet cuisine et la pièce à vivre du site inselberg de la station des Nouragues, Guyane. Au premier étage se situe la salle de restauration et la cuisine, dessous sont stockées les denrées alimentaires.

Station météorologique automatique du site inselberg du camp des Nouragues en Guyane. Les stations météorologiques sont très rares en Guyane, c'est pourquoi le relevé de ces données sur le long terme est crucial pour toutes les études effectuées sur la station.

Forêt guyanaise vue depuis la tour Guyaflux consacrée à l'étude du fonctionnement de l'écosystème forestier amazonien, station scientifique de Paracou en Guyane.

Photographie d'un échantillon de plante qui sera ensuite mis en herbier. Saut Pararé, Guyane.

Toile d'araignée, station des Nouragues, Guyane.

Ouvriers et soldats de termites du genre "Nasutitermes". Les soldats ont une tête piriforme qui leur permet de projeter une sécrétion défensive collante et irritante sur leurs ennemis, en général des fourmis. Station des Nouragues, Guyane.

Fourmis "Atta" coupeuses de feuilles, Saut Pararé, Guyane.

Ouvriers et soldats de termites du genre "Nasutitermes". Les soldats ont une tête piriforme qui leur permet de projeter une sécrétion défensive collante et irritante sur leurs ennemis, en général des fourmis. Station des Nouragues, Guyane.

Combrétacée, site de Saut Pararé, Station des Nouragues en Guyane. "Combretum rotundifolium" est une liane héliophile qui croît généralement le long des rivières. Son nom créole est "peigne singe rouge" c'est à dire peigne du singe hurleur, en raison de sa forme de brosse et de sa couleur. Cette plante fait partie de la pharmacopée traditionnelle des Amérindiens de Guyane.

Pour leur inventaire des espèces végétales, les chercheurs du programme Amazonie vont directement récolter les feuilles dans les arbres à identifier, sur le site de Saut Pararé en Guyane. Il y a jusqu'à 200 espèces d'arbres différents dans un hectare de forêt.

Ces coléoptères de la famille des "Passalidae" sont communs sous les écorces des arbres morts. Ils ont la particularité de nourrir leurs larves et de communiquer entre eux à l'aide de stridulations. Station des Nouragues, Guyane.

Pour leur inventaire des espèces, les chercheurs du programme Amazonie vont directement récolter les feuilles dans les arbres à identifier, sur le site de Saut Pararé en Guyane. Il y a jusqu'à 200 espèces d'arbres différents dans un hectare de forêt.

Détail de la tête d'un mâle de "Gonatodes humeralis". Ces petits lézards sont assez communs mais discrets. En forêt, on les observe généralement sur les contreforts d'arbres ou sur les troncs et souches couchés au sol.

Récolte systématique de carrés de litière dont est extraite la faune, en particulier des fourmis. Les fourmis sont aussi récoltées dans le sol, sur le tronc et dans la cime des arbres afin d'étudier la distribution spatiale des espèces. Station des Nouragues, Guyane.

Liane, Station des Nouragues, Guyane. Les lianes sont encore assez peu étudiées alors qu'elles constituent un élément important de la forêt tropicale, notamment en assurant un haubanage des arbres géants de la forêt. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, elles ne pendent pas des arbres mais croissent à partir du sol.

Fourmi du genre "Odontomachus" en Guyane.

Crapaud de Leschenault, "Bufo guttatus" camp de Saut Pararé, Guyane française.

Extraction de l'eau retenue au centre de la rosette formée par les feuilles de la broméliacée "Aechmea aquilega", dans le but d'échantillonner la faune et les microorganismes aquatiques. Les chercheurs utilisent des pipettes automatiques pour aspirer l'eau et son contenu. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes…

Application de la méthode Winkler : chaque enceinte de coton correspond à un échantillon de litière mis à déposer pendant 48h. Ce qui permet ensuite d'extraire les arthropodes (myriapodes, insectes, arachnides,...) vivant dans la litière. Ce dispositif a été mis en place pour permettre d'améliorer la connaissance de la biodiversité des fourmis de litière des Nouragues (Guyane), et de mieux comprendre la composition et le fonctionnement des assemblages d'espèces de la litière. Station des…

"Helicops angulatus" photographié dans un nid de "Hyla boans". Crique Nouragues à l'embouchure de l'Arataye, Guyane.

Fourmi "Odontomachus hastatus" (Ponerinae) mandibules ouvertes. Elle est souvent associée à l'hémi-épiphyte "Philodendron insigne". Station des Nouragues en Guyane.

Ficus étrangleur encore jeune à Saint Georges de l'Oyapock, en Guyane. L'arbre qui est au milieu va mourir de cet étouffement.

Amblypyge, ordre des Arthropodes, prédateurs faisant partie de la classe des arachnides. Saut Pararé, Guyane.

Le matin au camp inselberg des Nouragues en Guyane. Le lever de soleil favorise la condensation de la vapeur d'eau qui monte au dessus de la forêt tropicale.

Filtration d'un échantillon d'eau extraite des broméliacées à réservoir dans le but de séparer les microorganismes (taille inférieure à 150 microns) des macroorganismes. La couleur verte de l'eau dénote la présence de microalgues en forte densité. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes épiphytes formant des réservoirs…

Les macroinvertébrés (larves d'insectes, vers, crustacés) prélevés dans l'eau des broméliacées à réservoirs sont mis dans des tubes numérotés sur le terrain, et fixés à l'alcool à 70%. Ils seront triés et identifiés au laboratoire, sous une loupe binoculaire. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes épiphytes formant…

Vérification par le personnel du site inselberg, du barrage alimentant en eau la microturbine fournissant le camp en énergie. Station des Nouragues, Guyane.

Echantillons conservés en vue de leur montage (planches d'herbiers). Herbier de Guyane à Cayenne.

Taon capturé par des fourmis "Allomerus decemarticulatus" de Guyane qui habitent exclusivement dans la plante "Hirtella physophora". Ces fourmis construisent des pièges pour capturer des insectes et ensuite les consommer. L'association entre cette fourmi et la plante est un mutualisme : la plante fournit un logement aux fourmis sous la forme de poches situées à la base des feuilles et les fourmis la protègent en contrepartie contre les insectes herbivores. Station des Nouragues, Guyane.

Inspection du contenu en eau d'une broméliacée à réservoir "Catopsis berteroniana". L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes épiphytes formant des réservoirs d'eau de pluie. Station des Nouragues (site Inselberg), Guyane.

Vue de l'inselberg des Nouragues depuis le carbet cuisine du camp. Station des Nouragues, Guyane.

Nid de guêpes, probablement de "Polybia bistriata" sur un Clusia. Station des Nouragues, Guyane.

Dans la salle des collections, les spécimens d'herbiers sont conservés dans des armoires mobiles de type "compactus" et classés par famille / genre / espèce pour en faciliter la recherche. Herbier de Guyane à Cayenne.

Mygale de Leblond, "Theraphosa blondi", Saut Pararé, Guyane.

Le matériel archéologique découvert sur les sites précolombiens en Guyane est d'une grande diversité typologique et morphologique. Il témoigne d'une occupation continue du territoire amazonien, et de l'existence de cultures matérielles riches et diversifiées.

Fleur de "Pachira aquatica" (Malvacée) en Guyane. C'est un arbre d'une dizaine de mètres de haut poussant préférenciellement au bord des rivières où il trouve des conditions d'ensoleillement et d'humidité favorables à son maintien. Ses fruits ressemblant aux cabosses de cacaoyer contiennent des graines comestibles.

Enregistrement du chant d'une rainette mâle "Hypsiboas boans", Saut Pararé, Guyane. Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Le singe atèle ou singe araignée "Ateles paniscus" est principalement un consommateur de fruits et joue donc un rôle important dans la dispersion des graines d'arbres de canopée. Station des Nouragues, Guyane.

Scène de travail au camp Inselberg de la station des Nouragues en Guyane.

Extraction de l'eau retenue au centre de la rosette formée par les feuilles de la broméliacée "Catopsis berteroniana", dans le but d'échantillonner la faune et les microorganismes aquatiques. Les chercheurs utilisent des pipettes automatiques pour aspirer l'eau et son contenu. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes…

Anémomètre sur la tour Guyaflux consacrée à l'étude du fonctionnement de l'écosystème forestier amazonien, station scientifique de Paracou en Guyane.

Lianes, Station des Nouragues, Guyane. Bien que peu connues et peu étudiées, les lianes représentent une part importante de la biomasse végétale et jouent un rôle déterminant dans la structuration de la forêt. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, elles ne pendent pas des arbres mais croissent à partir du sol.

Station des Nouragues, vue aérienne du site de Saut Pararé, Guyane.

Les organismes récoltés à l'aide de la méthode Winkler (dispositif permettant d'extraire les arthropodes vivant dans la litière) sont mis en tubes avec le code de l'échantillon pour un tri et une identification ultérieurs en laboratoire à l'aide d'une loupe binoculaire. L'objectif est d'améliorer la connaissance de la biodiversité des fourmis de litière des Nouragues (Guyane), et de mieux comprendre la composition et le fonctionnement des assemblages d'espèces de la litière. Station des…

Soldat de termite du genre "Nasutitermes". Les soldats ont une tête piriforme qui leur permet de projeter une sécrétion défensive collante et irritante sur leurs ennemis, en général des fourmis. Station des Nouragues, Guyane.

Des sondes (bleu et jaune) enregistrent en continu la température de l'eau au centre du réservoir formé par les feuilles de la broméliacée "Catopsis berteroniana". Les cycles de température permettront d'interpréter les cycles de développement des insectes aquatiques qui vivent dans le réservoir. Les rubans orange servent à marquer les plantes. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la…

Palmier à Saint Georges de l'Oyapock, en Guyane.

Inventaire des termites nichant dans le sol, station des Nouragues, Guyane.

Vue de l'inselberg des Nouragues depuis le camp, par temps ensoleillé. La couleur noire du granite est due à un biofilm principalement constitué de cyanobactéries. Cette colline granitique, apparue après plusieurs millions d'années d'érosion, culmine à plus de 400 mètres au-dessus du site inselberg, l'un des deux sites de la station des Nouragues en Guyane.

Le cahier de terrain permet de tenir trace de l'ensemble des manipulations, dispositifs, codes et relevés effectués sur site. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes épiphytes formant des réservoirs d'eau de pluie. Station des Nouragues (site Inselberg), Guyane.

Fourmi "Odontomachus hastatus" (Ponerinae) mandibules fermées. Elle est souvent associée à l'hémi-épiphyte "Philodendron insigne". Station des Nouragues en Guyane.

Cette broméliacée en fleurs "Vriesea elegans" est particulièrement commune dans les forêts d'altitude où le brouillard est fréquent. Station des Nouragues, Guyane.

Vue sur la forêt, du haut de l'Inselberg des Nouragues, en Guyane.

Dessous de la feuille du palmier "Astrocaryum sciophilum", station des Nouragues, Guyane. La présence de ce palmier de sous-bois à croissance très lente est un bon indice de l'ancienneté de la forêt qui l'entoure.

Deux chercheurs filtrent de l'eau extraite des broméliacées, dans le but de séparer les microorganismes (taille inférieure à 150 microns) des macroorganismes aquatiques, puis fixent des échantillons (au premier plan). Les macroorganismes sont conservés dans de l'alcool, les microorganismes sont fixés au lugol et au formol. Une partie sera ramenée vivante au laboratoire pour être mise en culture. Au second plan, deux opérateurs commencent à prélever une autre plante. L'objectif est d'évaluer l…

Inspection de pavés de sol afin d'inventorier les fourmis qui nichent dans cet horizon de la forêt, station des Nouragues, Guyane.

Piège à fosse rempli d'eau et de détergent, ce dernier est utilisé pour diminuer la tension superficielle de l'eau. Ce piège capture les insectes courant à la surface du sol, en particulier des fourmis. Station des Nouragues, Guyane.

Taon capturé par des fourmis "Allomerus decemarticulatus" de Guyane qui habitent exclusivement dans la plante "Hirtella physophora". Ces fourmis construisent des pièges pour capturer des insectes et ensuite les consommer. L'association entre cette fourmi et la plante est un mutualisme : la plante fournit un logement aux fourmis sous la forme de poches situées à la base des feuilles et les fourmis protègent en contrepartie leur plante hôte contre les insectes herbivores. Station des Nouragues,…

Chez le singe atèle ou singe araignée "Ateles paniscus", les groupes sociaux ne sont pas fixés dans le temps et ne sont pas systématiquement constitués de mâles et de femelles. Les individus peuvent se grouper momentanément et se scinder en plus petits groupes suivant les disponibilités alimentaires. Station des Nouragues, Guyane.

Carbet, site de Saut Pararé de la station des Nouragues, en Guyane.

L'inselberg des Nouragues en Guyane est colonisé, sur ses pentes les moins raides, par une végétation basse particulièrement adaptée aux conditions de température et d'ensoleillement extrêmes qui règnent sur ce dôme granitique. La couleur noire du granite est due à un biofilm principalement constitué de cyanobactéries.

Pour leur inventaire des espèces, les chercheurs du programme Amazonie tentent d'identifier les espèces d'arbres depuis le sol avec des jumelles. Ici la marque de peinture rouge correspond au point exact de la mesure du diamètre de l'arbre. Saut Pararé, Guyane.

Le singe atèle "Ateles paniscus" est également appelé singe araignée en raison de sa queue préhensile qui constitue un véritable cinquième membre. Le singe atèle est une espèce protégée car particulièrement sensible à la chasse en raison d'un taux de reproduction bas.

Organismes de la litière extraits à l'aide de la méthode Winkler (dispositif permettant d'extraire les arthropodes vivant dans la litière). L'objectif est d'améliorer la connaissance de la biodiversité des fourmis de litière des Nouragues (Guyane), et de mieux comprendre la composition et le fonctionnement des assemblages d'espèces de la litière. Station des Nouragues, Guyane.

Une chercheuse de la réserve naturelle des Nouragues marque le numéro de l'arbre sur la branche qui vient d'être collectée par le grimpeur. Chaque arbre est numéroté et positionné dans les parcelles d'inventaire. Saut Pararé, Guyane.

Mise en herbier de feuilles d'arbre à encens "Burseraceae", Saut Pararé, Guyane.

Forêt guyanaise vue depuis la tour Guyaflux consacrée à l'étude du fonctionnement de l'écosystème forestier amazonien, station scientifique de Paracou en Guyane.

Identification des spécimens d'herbiers. Observation à la loupe binoculaire des critères d'identification des spécimens préparés sur la base des clés de détermination et des herbiers de référence. Feuilles de "Candolleodendron brachystachyum" (Fabaceae). Herbier de Guyane à Cayenne.

Pour l'inventaire des espèces végétales réalisé lors du programme Amazonie, des feuilles à identifier sont récoltées dans les arbres, sur le site de Saut Pararé en Guyane. Il y a jusqu'à 200 espèces d'arbres différents dans un hectare de forêt.

Les échantillons de plantes collectés sur le terrain sont montés en herbier le soir même au camp, puis pressés et séchés au four à herbier. Saut Pararé, Guyane.

"Bufo marinus", le plus gros crapaud du monde, Saut Pararé, Guyane.

Recherche de caractères botaniques utiles pour l'identification des plantes. Saut Pararé, Guyane.

Femelle de "Gonatodes humeralis". Ces petits lézards sont assez communs mais discrets. En forêt, on les observe généralement sur les contreforts d'arbres ou sur les troncs et souches couchés au sol.

Carbet, station des Nouragues en Guyane. La quantité d'énergie qu'il est possible d'obtenir en site isolé et en forêt conditionne très fortement le développement des stations de terrain.

Carbet du camp Inselberg, station des Nouragues, Guyane. Les couchages (hamacs et moustiquaires) sont suspendus aux traverses en bois.

Pour leur inventaire des espèces, les chercheurs du programme Amazonie vont directement récolter les feuilles dans les arbres à identifier, sur le site de Saut Pararé en Guyane. Il y a jusqu'à 200 espèces d'arbres différents dans un hectare de forêt.

Termites du genre "Nasutitermes". Les soldats ont une tête piriforme qui leur permet de projeter une sécrétion défensive collante et irritante sur leurs ennemis, en général des fourmis. Au centre de l'image se trouve une nymphe reconnaissable à ses fourreaux alaires qui se développent au cours de mues successives. La nymphe se transforme ensuite en imago ailé qui quitte le nid pour fonder une nouvelle colonie. Les autres individus sont des ouvriers et des soldats. Station des Nouragues, Guyane.

Femelle de singe atèle ou singe araignée "Ateles paniscus" et son petit. Le singe atèle est une espèce protégée car particulièrement sensible à la chasse en raison d'un taux de reproduction bas. En effet, une femelle n'a qu'un petit tous les quatre ans. Station des Nouragues, Guyane.

Graines d'une plante épiphyte "Peperomia macrostachya", qui se développe dans les "jardins de fourmis". Les fourmis récoltent les graines et les plantent dans leur nid. En se développant, les plantes forment un jardin suspendu appelé "jardin de fourmis". Station des Nouragues, Guyane.

Les feuilles de la broméliacée "Catopsis berteroniana" sont recouvertes d'une poudre cireuse blanche hydrophobe. Lorsqu'une goutte d'eau est déposée sur la feuille, elle est immédiatement dirigée vers la base, donc vers le réservoir de la plante. Ceci permet à la broméliacée de capter l'eau de pluie et de condensation pour maintenir son réservoir en eau. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique)…

Recherche de caractères botaniques utiles pour l'identification des plantes. Saut Pararé, Guyane.

"Jardin de fourmis" dans un chablis, habité par deux espèces de fourmis "Camponotus femoratus" et "Crematogaster levior" vivant en parabiose : association particulière entre deux espèces de fourmis qui cohabitent pacifiquement et se partagent le nid en élevant cependant leur couvain séparément. La plante épiphyte, "Peperomia macrostachya", dont les fourmis récoltent les graines et les plantent dans leur nid, se développe formant un jardin suspendu appelé "jardin de fourmis". Station des…

Nid de termites arboricoles (probablement de "Cylindrotermes" ou "Microcerotermes"), station des Nouragues, Guyane. Les rubans servent à marquer les sites à visiter de nouveau. Le rose fluorescent est la couleur qui se voit le mieux en forêt. Il est donc plus facile de retrouver ces endroits où doivent être renouvelés des observations, des expériences ou des prélèvements. Un numéro de code est souvent ajouté au ruban pour identifier avec certitude l'endroit.

Une grosse fourmi "Cephalotes atratus" et au premier plan trois petites "Crematogaster". Station des Nouragues, Guyane.

Nettoyage d'un tesson d'une urne funéraire Aristé découvert lors d'une fouille archéologique préventive sur la commune de Saint-Georges de l'Oyapock en Guyane. Le nettoyage se fait au pinceau avec un mélange d'éthanol et d'eau. Ce tesson a été trouvé sur le chantier du pont transfrontalier entre le Brésil et la Guyane, dans un puits funéraire d'une nécropole Aristé ayant fonctionné entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

Vue de la forêt tropicale depuis la zone d'atterrissage d'hélicoptère du site inselberg. Après la pluie, monte de la forêt un brouillard plus ou moins dense. Station des Nouragues en Guyane.

Pour leur inventaire des espèces, les chercheurs du programme Amazonie vont directement récolter les feuilles dans les arbres à identifier, sur le site de Saut Pararé en Guyane. Il y a jusqu'à 200 espèces d'arbres différents dans un hectare de forêt.

Punaise de la famille des "Réduviidae". Station des Nouragues, Guyane.

Capteur sur la tour Guyaflux consacrée à l'étude du fonctionnement de l'écosystème forestier amazonien, station scientifique de Paracou en Guyane.

Extraction de l'eau retenue au centre de la rosette formée par les feuilles de la broméliacée "Aechmea aquilega", dans le but d'échantillonner la faune et les microorganismes aquatiques. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et comportementales (stress, communication chimique) sur la dynamique de communautés aquatiques simples hébergées par des plantes épiphytes formant des réservoirs d'eau de pluie. Station des Nouragues (site Inselberg),…

Départ d'une rotation d'hélicoptère, depuis la drop zone (zone d'atterrissage) de la station des Nouragues en Guyane. Le site Inselberg de la station des Nouragues ne peut être actuellement ravitaillé que par hélicoptère.

Mesure de la hauteur d'un plant d'"Hirtella physophora" dans le cadre d'un recensement des interactions entre plantes et fourmis. La mesure de la hauteur, en association avec d'autres paramètres (diamètre, nombre de feuilles, etc.) permet de caractériser les plantes. Les fourmis "Allomerus decemarticulatus" de Guyane habitent exclusivement dans la plante "Hirtella physophora" où elles construisent un piège pour capturer des insectes qui sont ensuite consommés. L'association entre cette fourmi…

Etude des caractéristiques du chant d'un mâle de la rainette "Hypsiboas boans", Saut Pararé, Guyane. Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Recherche de caractères botaniques utiles pour l'identification des plantes. Saut Pararé, Guyane.

Vue de l'inselberg des Nouragues depuis le camp juste après la pluie. L'eau de pluie ruisselle en cascade le long des parois. La couleur noire du granite est due à un biofilm principalement constitué de cyanobactéries. Cette colline granitique, apparue après plusieurs millions d'années d'érosion, culmine à plus de 400 mètres au-dessus d'un des deux sites (site inselberg) de la station des Nouragues en Guyane.

Serpent Grage grand-carreau, "Lachesis muta", Saut Pararé, Guyane.

Un des pylônes du dispositif permanent d'accès à la canopée COPAS sur le site de Saut Pararé, en Guyane. Le dispositif se compose de trois tours de 45 mètres de hauteur, espacées d'environ 180 m les unes des autres et reliées entre elles par des câbles permettant à un scientifique de se déplacer en 3 dimensions dans la canopée. II s’étend, au cœur de la réserve naturelle des Nouragues, sur une superficie de plus de 1,5 hectare de forêt. Les mâts peuvent également être appareillés de capteurs et…

Pour leur inventaire des espèces, les chercheurs du programme Amazonie vont directement récolter les feuilles dans les arbres à identifier, sur le site de Saut Pararé en Guyane. Il y a jusqu'à 200 espèces d'arbres différents dans un hectare de forêt.

Observation au microscope de feuilles de la broméliacée "Catopsis berteroniana" recouvertes d'une poudre cireuse blanche hydrophobe. Lorsqu'une goutte d'eau est déposée sur la feuille, celle-ci est immédiatement dirigée vers la base des feuilles, donc vers le réservoir de la plante. Ceci permet à la broméliacée de capter l'eau de pluie et de condensation, et de maintenir son réservoir en eau. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et…

Observation au microscope de feuilles de la broméliacée "Catopsis berteroniana" recouvertes d'une poudre cireuse blanche hydrophobe. Lorsqu'une goutte d'eau est déposée sur la feuille, celle-ci est immédiatement dirigée vers la base des feuilles, donc vers le réservoir de la plante. Ceci permet à la broméliacée de capter l'eau de pluie et de condensation, et de maintenir son réservoir en eau. L'objectif est d'évaluer l'importance respective des interactions trophiques (prédation) et…

Pour leur inventaire des espèces, les chercheurs du programme Amazonie vont directement récolter les feuilles dans les arbres à identifier, sur le site de Saut Pararé en Guyane. Il y a jusqu'à 200 espèces d'arbres différents dans un hectare de forêt.

Préparation d'appâts, constitués d'un mélange de thon et de miel, destinés à récolter les fourmis fourrageant à différentes hauteurs le long du tronc et des branches des arbres tropicaux, hauts de 30 à 40 mètres. Station des Nouragues, Guyane.

Un nid avec des œufs d'"Hypsiboas boans", Saut Pararé, Guyane. Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Pour leur inventaire des espèces végétales, les chercheurs du programme Amazonie vont directement récolter les feuilles dans les arbres à identifier, sur le site de Saut Pararé en Guyane. Il y a jusqu'à 200 espèces d'arbres différents dans un hectare de forêt.

Inspection de pavés de sol afin d'inventorier les fourmis qui nichent dans cet horizon de la forêt, station des Nouragues, Guyane.

Mise en herbier de feuilles d'arbre à encens "Burseraceae", Saut Pararé, Guyane.

Remise en connexion des tessons d'une urne funéraire Aristé découverts lors d'une fouille archéologique préventive sur la commune de Saint-Georges de l'Oyapock en Guyane, sur le chantier du pont transfrontalier entre le Brésil et la Guyane. Ces tessons ont été trouvés dans un puits funéraire d'une nécropole Aristé ayant fonctionné entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

Vente de poisson à Saint-Georges-de-l'Oyapock, Guyane.

Ponte d"Hypsiboas boans", Saut Pararé, Guyane. Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Tétards d'"Hypsiboas boans" Saut Pararé, Guyane. Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Saint-Georges-de-l'Oyapock, Guyane, dans la brume matinale.

Crique, Saut Pararé, Guyane, lieu propice à la confection d'un nid par la rainette "Hypsiboas boans". Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Grand banc cérémoniel palikur, en forme de caïman, village Espérance, Saint-Georges de l'Oyapock, Guyane française.

Travaux sur le tronçon français de la route d'accès au pont transfrontalier sur le fleuve Oyapock entre la Guyane française et le Brésil. Pour connaître et comprendre l'impact d'un tel projet, un observatoire "Hommes / Milieux" (OHM) a été créé par le CNRS. Cet observatoire a pour objectifs d'étudier la région de ce fleuve frontalier du point de vue environnemental et économique, d'évaluer les changements que la présence du pont entraînera pour les hommes et la nature et enfin de modéliser les…

Des femmes Palikur se reposent au milieu des plants de manioc de leur abattis, St Georges de l'Oyapock, Guyane.

Canot à pagaies sur la crique Gabare, côté français du fleuve Oyapock, Guyane. C'est avec ces petites embarcations que l'on se rend aux abattis, parcelles familiales où l'on cultive du manioc, des bananes ou autres produits de l'alimentation traditionnelle.

Détail de la partie supérieure (tête et col) d'un vase funéraire Aristé anthropomorphe, restauré et découvert lors d'une fouille archéologique préventive sur la commune de Saint-Georges de l'Oyapock en Guyane. Témoin de la richesse des cultures matérielles précolombiennes, il a été trouvé sur le chantier du pont transfrontalier entre le Brésil et la Guyane dans un puits funéraire d'une nécropole Aristé ayant fonctionné entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

Ponte d"Hypsiboas boans", Saut Pararé, Guyane. Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Mesure de la taille et de la profondeur d'un nid d'"Hypsiboas boans", petite rainette arboricole abondante en Amazonie. Le nid est creusé par le couple quand le mâle est accroché sur la femelle pour fertiliser ses œufs. Le chant de cette rainette est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle. Saut Pararé, Guyane.

Un tronc mort à demi-calciné domine une jeune parcelle agricole palikur en Guyane française.

Petite crique en sous-bois dans la forêt tropicale, Guyane française.

Ponton sur le fleuve Oyapock qui sépare la Guyane française de l'état brésilien d'Amapá. C'est une frontière entre la France et le Brésil, entre l'Europe et le Mercosur. Une frontière entre deux mondes... et pourtant un espace de vie partagé depuis bien longtemps.

Un Amérindien Palikur explique à deux chercheurs les vertus d'une plante médicinale. Forêt tropicale, Guyane française.

Tétards d'"Hypsiboas boans", Saut Pararé, Guyane. Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Canot sur une plage du fleuve Oyapock, Guyane. Ces embarcations permettent aux riverains de se déplacer le long des berges et d'une rive à l'autre, côté français et côté brésilien. La construction du pont transfrontalier, qui enjambera le fleuve entre la commune française de Saint-Georges et celle d'Oiapoque au Brésil, pourrait modifier ces habitudes.

Petite crique en sous-bois dans la forêt tropicale, Guyane française.

Des Amérindiens Palikur parcourent un abattis nouvellement brûlé vers Saint-Georges de l'Oyapock. Ici, s'étendra bientôt un champ de manioc. Agriculture itinérante sur brûlis en Guyane française.

Troncs calcinés jonchant une jeune parcelle agricole palikur en Guyane française. Les souches en place seront le point de départ de la régénération de la forêt.

Rive française du fleuve Oyapock : travaux du futur pont transfrontalier entre l'Amapá (Brésil) et la Guyane. Pour connaître et comprendre l'impact d'un tel projet, un observatoire "Hommes / Milieux" (OHM) a été créé par le CNRS. Cet observatoire a pour objectifs d'étudier la région de ce fleuve frontalier du point de vue environnemental et économique, d'évaluer les changements que la présence du pont entraînera pour les hommes et la nature et enfin de modéliser les données recueillies.

Nid et couple d'"Hypsiboas boans", Saut Pararé, Guyane. Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Détail d'un plat à anses Aristé avec décor anthropomorphe découvert lors d'une fouille archéologique préventive sur la commune de Saint-Georges de l'Oyapock en Guyane, sur le chantier du pont transfrontalier entre le Brésil et la Guyane. Les tessons de ce plat ont été trouvés dans un puits funéraire d'une nécropole Aristé ayant fonctionné entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

Infrutescence du palmier lianescent "Desmoncus", forêt tropicale, Guyane française.

Remontage d'un plat à anses Aristé avec décor anthropomorphe découvert lors d'une fouille archéologique préventive sur la commune de Saint-Georges de l'Oyapock en Guyane, sur le chantier du pont transfrontalier entre le Brésil et la Guyane. Les tessons de ce plat ont été trouvés dans un puits funéraire d'une nécropole Aristé ayant fonctionné entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

Ce vase funéraire anthropomorphe Aristé restauré a été découvert lors d'une fouille archéologique préventive sur la commune de Saint-Georges de l'Oyapock en Guyane. Témoin de la richesse des cultures matérielles précolombiennes, il a été trouvé sur le chantier du pont transfrontalier entre le Brésil et la Guyane dans un puits funéraire d'une nécropole Aristé ayant fonctionné entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

Morceaux d'un vase funéraire Aristé, anthropomorphe, découvert lors d'une fouille archéologique préventive sur la commune de Saint-Georges de l'Oyapock en Guyane en Guyane. Témoin de la richesse des cultures matérielles précolombiennes, ce vase a été trouvé sur le chantier du pont transfrontalier entre le Brésil et la Guyane dans un puits funéraire d'une nécropole Aristé ayant fonctionné entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

Rive brésilienne du fleuve Oyapock : travaux du futur pont transfrontalier entre l'Amapá (Brésil) et la Guyane française. Pour connaître et comprendre l'impact d'un tel projet, un observatoire "Hommes / Milieux" (OHM) a été créé par le CNRS. Cet observatoire a pour objectifs d'étudier la région de ce fleuve frontalier du point de vue environnemental et économique, d'évaluer les changements que la présence du pont entraînera pour les hommes et la nature et enfin de modéliser les données…

Un Amérindien Palikur explique à deux chercheurs les vertus d'une plante médicinale, la "canne congo". Forêt tropicale, Guyane française.

Discussion avec Roger Labonté, en bout de table, chef coutumier des Amérindiens Palikur du village Espérance, Saint-Georges de l'Oyapock, Guyane française.

Crique, Saut Pararé, Guyane, lieu propice à la confection d'un nid par la rainette "Hypsiboas boans". Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Tessons d'urnes funéraires Aristé, en cours de reconstitution, découverts lors d'une fouille archéologique préventive sur la commune de Saint-Georges de l'Oyapock en Guyane, sur le chantier du pont transfrontalier entre le Brésil et la Guyane. Ils ont été trouvés dans un puits funéraire d'une nécropole Aristé ayant fonctionné entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

Petite crique en sous-bois dans la forêt tropicale, Guyane française.

Mâle "Hypsiboas boans" Saut Pararé, Guyane. Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Trois chercheurs dans une embarcation sur le bas Oyapock, fleuve frontalier entre le Brésil et la Guyane française.

Tessons décorés nettoyés d'une urne funéraire Aristé, découverts lors d'une fouille archéologique préventive sur la commune de Saint-Georges de l'Oyapock en Guyane, sur le chantier du pont transfrontalier entre le Brésil et la Guyane. Ils ont été trouvés dans un puits funéraire d'une nécropole Aristé qui a fonctionné entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

L'abattis collectif de l'association agricole palikur, Guyane française.

Village spontané récent sur les rives du fleuve Oyapock, Guyane.

Tronçon français de la route d'accès au pont transfrontalier sur le fleuve Oyapock entre la Guyane française et le Brésil. Pour connaître et comprendre l'impact d'un tel projet, un observatoire "Hommes / Milieux" (OHM) a été créé par le CNRS. Cet observatoire a pour objectifs d'étudier la région de ce fleuve frontalier du point de vue environnemental et économique, d'évaluer les changements que la présence du pont entraînera pour les hommes et la nature et enfin de modéliser les données…

Jeune repousse de palmier dans une parcelle agricole palikur récemment brûlée, Guyane française.

Roger Labonté, chef coutumier des Amérindiens Palikur du village Espérance, Saint-Georges de l'Oyapock, Guyane française.

L'abattis collectif de l'association agricole palikur, Guyane française vers Saint-Georges de l'Oyapock.

Plantule de bois-canon au milieu d'une souche calcinée dans une parcelle agricole palikur en Guyane française.

Nettoyage d'un tesson d'une urne funéraire Aristé découvert lors d'une fouille archéologique préventive sur la commune de Saint-Georges de l'Oyapock en Guyane. Le nettoyage se fait au batonnet avec un mélange d'éthanol et d'eau pour enlever les sédiments et révéler le décor. Ce tesson a été trouvé sur le chantier du pont transfrontalier entre le Brésil et la Guyane, dans un puits funéraire d'une nécropole Aristé ayant fonctionné entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

Le fleuve Oyapock, coulant entre la Guyane française et le Brésil, sur lequel sera construit un pont transfrontalier. Pour connaître et comprendre l'impact d'un tel projet, un observatoire "Hommes / Milieux" (OHM) a été créé par le CNRS. Cet observatoire a pour objectifs d'étudier la région de ce fleuve frontalier du point de vue environnemental et économique, d'évaluer les changements que la présence du pont entraînera pour les hommes et la nature et enfin de modéliser les données recueillies.

Plat ovale Aristé en cours de remontage. Ces tessons ont été découverts lors d'une fouille archéologique préventive sur la commune de Saint-Georges de l'Oyapock en Guyane, sur le chantier du pont transfrontalier entre le Brésil et la Guyane, dans un puits funéraire d'une nécropole Aristé ayant fonctionné entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

Couple d'"Hypsiboas boans", Saut Pararé, Guyane. Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Boutures de manioc en attente de plantation sur une parcelle agricole palikur en Guyane française.

Nettoyage d'un tesson d'une urne funéraire Aristé découvert lors d'une fouille archéologique préventive sur la commune de Saint-Georges de l'Oyapock en Guyane. Le nettoyage se fait au pinceau avec un mélange d'éthanol et d'eau pour enlever les sédiments et révéler la polychromie du décor. Ce tesson a été trouvé sur le chantier du pont transfrontalier entre le Brésil et la Guyane, dans un puits funéraire d'une nécropole Aristé ayant fonctionné entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

Tronçon français de la route d'accès au pont transfrontalier sur le fleuve Oyapock entre la Guyane française et le Brésil. Pour connaître et comprendre l'impact d'un tel projet, un observatoire "Hommes / Milieux" (OHM) a été créé par le CNRS. Cet observatoire a pour objectifs d'étudier la région de ce fleuve frontalier du point de vue environnemental et économique, d'évaluer les changements que la présence du pont entraînera pour les hommes et la nature et enfin de modéliser les données…

Des Amérindiens Palikur, en Guyane française, examinent la pousse de leur manioc dans une parcelle récemment plantée.

Un Amérindien Palikur ouvre au sabre le fruit du palmier tuluri "Manicaria saccifera "dont l'eau est comestible. Forêt tropicale, Guyane française.

Les troncs calcinés qui jonchent la jeune parcelle agricole palikur serviront de bois de feu pour les femmes Palikur en Guyane française.

Au Saut Maripa, sur la rive brésilienne du fleuve Oyapock (fleuve frontalier entre le Brésil et la Guyane) : déchargement de pirogues.

Recherche des connexions pour le remontage d'un plat ovale Aristé découvert lors d'une fouille archéologique préventive sur la commune de Saint-Georges de l'Oyapock en Guyane, sur le chantier du pont transfrontalier entre le Brésil et la Guyane. Les tessons ont été trouvés dans un puits funéraire d'une nécropole Aristé ayant fonctionné entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

Les chercheurs de l'OHM (observatoire Hommes/Milieux) observent les travaux du futur pont transfrontalier entre l'Amapá (Brésil) et la Guyane française. Cet observatoire a été créé par le CNRS pour connaître et comprendre l'impact d'un tel projet. Il a pour objectifs d'étudier la région de ce fleuve frontalier du point de vue environnemental et économique, d'évaluer les changements que la présence du pont entraînera pour les hommes et la nature et enfin de modéliser les données recueillies.

Saut Maripa, sur le fleuve Oyapock (fleuve frontalier entre le Brésil et la Guyane) : des Brésiliens transportent un compresseur, utilisé dans les travaux d'orpaillage.

Drageons de bananier en attente de plantation sur une parcelle agricole palikur en Guyane française.

Tête de caïman d'un grand banc cérémoniel palikur, village Espérance, Saint-Georges de l'Oyapock, Guyane française.

Enregistrement du chant d'une rainette mâle "Hypsiboas boans", Saut Pararé, Guyane. Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Bol en céramique de type Koriabo, découvert lors de l'opération de fouilles préventives par l'Afan-Inrap, liée à la construction du barrage de Petit-Saut sur le fleuve Sinnamary, Guyane. Le complexe Koriabo ou Horizon Koriabo est un ensemble culturel archéologique qui s'est développé en Amazonie septentrionale entre le Xe et le XIVe siècle de notre ère.

Rive française du fleuve Oyapock : travaux du futur pont transfrontalier entre l'état brésilien d'Amapá et la Guyane. Pour connaître et comprendre l'impact d'un tel projet, un observatoire "Hommes / Milieux" (OHM) a été créé par le CNRS. Cet observatoire a pour objectifs d'étudier la région de ce fleuve frontalier du point de vue environnemental et économique, d'évaluer les changements que la présence du pont entraînera pour les hommes et la nature et enfin de modéliser les données recueillies.

Mâle chanteur "Hypsiboas boans", Saut Pararé, Guyane. Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Couffin en céramique du complexe Aristé, lieu-dit trou Delft, rivière Ouanary, Guyane. Le complexe Aristé s'est développé dans les collines de Ouanary à l'est de la Guyane, et sur le littoral d'Amapá (Brésil). Il débuta vers 350 de notre ère, connut deux intrusions culturelles, et s'acheva vers 1750.

Lever de soleil sur le fleuve Oyapock, Guyane.

Couple d'"Hypsiboas boans", Saut Pararé, Guyane. Cette petite rainette arboricole est abondante en Amazonie, son chant est étudié pour comprendre comment la femelle sélectionne le mâle.

Ancien abri de chasse provisoire palikur dans la forêt tropicale, Guyane française.

Tronçon français de la route d'accès au pont transfrontalier sur le fleuve Oyapock entre la Guyane française et le Brésil. Pour connaître et comprendre l'impact d'un tel projet, un observatoire "Hommes / Milieux" (OHM) a été créé par le CNRS. Cet observatoire a pour objectifs d'étudier la région de ce fleuve frontalier du point de vue environnemental et économique, d'évaluer les changements que la présence du pont entraînera pour les hommes et la nature et enfin de modéliser les données…