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Reine de la fourmi noire des jardins, "Lasius niger", et les premières ouvrières produites lors de la fondation de la colonie. La reine, spécialisée de naissance dans la ponte des œufs, a pour caractéristique de ne pas s’occuper des autres tâches nécessaires au bon fonctionnement de la colonie, puisque les ouvrières s’en chargent. Les scientifiques ont découvert qu'elle n'est pas intrinsèquement spécialisée dans la production d'œufs, mais que ce comportement est contrôlé par la présence des…

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Reine fourmi noire des jardins et les premières ouvrières produites lors de la fondation de la colonie
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Reine de la fourmi noire des jardins, "Lasius niger", s'occupant de son couvain (œufs, larves et cocons). La reine, spécialisée de naissance dans la ponte des œufs, a pour caractéristique de ne pas s’occuper des autres tâches nécessaires au bon fonctionnement de la colonie, puisque les ouvrières s’en chargent. Les scientifiques ont découvert qu'elle n'est pas intrinsèquement spécialisée dans la production d'œufs, mais que ce comportement est contrôlé par la présence des fourmis ouvrières…

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Reine fourmi noire des jardins s'occupant de son couvain
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Uniquement disponible pour exploitation non commerciale

La réalité virtuelle se met au service de la science. La cathédrale Notre-Dame de Paris a été entièrement numérisée par les chercheurs du CNRS, qui peuvent désormais s'immerger dans le double virtuel de l'édifice. A la Cité de l'architecture et du patrimoine, à Paris, grâce au Téléport conçu par Dassault Systèmes, les scientifiques accèdent à des matériaux désormais détruits ou à des parties inaccessibles de la cathédrale.

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Notre-Dame de Paris et son double virtuel
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Jeune macaque japonais, "Macaca fuscata", découvrant l'usage d'une pierre, un comportement culturel fascinant, dans le parc à singes d'Arashiyama, à Kyoto, au Japon. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe (nettoyage des patates douces à l'eau de mer, jeux de pierres, agglutinement pour se protéger de la météo, habituation à la tolérance humaine, etc.), transmises de génération en génération. Des scientifiques…

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Jeune macaque japonais découvrant l'usage d'une pierre dans le parc à singes d'Arashiyama, Kyoto, Japon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Dans le centre de l'île de Honshu, au Japon, la température peut descendre jusqu’à -20 °C en hiver. Pour supporter ce froid glacial, les macaques japonais de Jigokudani ont pris l'habitude de se baigner dans les sources d’eau chaude naturelles qui ont fait la célébrité de ce lieu. Sur les deux cents singes que compte cette population, seule une quarantaine ont toutefois ce privilège. Lorsqu'un individu n'appartenant pas à cette caste dominante tente d’entrer dans les bassins, comme ce macaque…

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Les bains de la discorde
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Cheminées hydrothermales du lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti, lors d’une mission de prélèvement de carottes sédimentaires. Le climat y est désertique chaud avec une forte activité hydrothermale. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les températures et les…

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Cheminées hydrothermales du lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Transport héliporté par l’armée française des équipements pour réaliser des carottages sédimentaires et des profils sismiques sur le lac Abhé, dans ce territoire isolé et extrêmement difficile d’accès dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous…

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Transport héliporté d'équipement pour sonder le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Flamants roses et cheminées hydrothermales du lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti, lors d’une mission de prélèvement de carottes sédimentaires. Le climat de la dépression de l’Afar est désertique chaud avec une forte activité hydrothermale. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui…

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Flamants roses et cheminées hydrothermales du lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Plateforme de carottage sur le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Cette barge équipée d’un portique et d’un carottier est fixée au fond du lac à 10 km du rivage, où la topographie profonde semble idéale pour réaliser une longue carotte sédimentaire. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des…

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Plateforme de carottage installée sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Caravane de dromadaires ralliant l’Éthiopie à Djibouti, en passant par le secteur du lac Abhé, dans la dépression de l’Afar. Ces marchands afars transportent à dos de dromadaires du café et du tabac. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les températures et les précipitations passées en…

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Caravane de dromadaires ralliant l’Éthiopie à Djibouti, dépression de l’Afar
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Acheminement d’une plateforme de carottage sur les eaux du lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Cette barge de 4 mètres sur 4, équipée d’un portique et d’un carottier, sera fixée au fond du lac à 10 km du rivage. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les…

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Acheminement d’une plateforme de carottage sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Camion 4x4 de l’armée française transportant des équipements qui permettront de sonder le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti, lors d’une mission de prélèvement de carottes sédimentaires. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les températures et les…

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Camion 4x4 transportant des équipements pour sonder le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Un hélicoptère de l’armée française dépose sur le bord du lac Abhé des équipements pour réaliser des carottages sédimentaires et des profils sismiques, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Des sables mouvants empêchent toute approche par voie terrestre. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments…

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Transport héliporté d'équipement pour sonder le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Un hélicoptère de l’armée française dépose sur le bord du lac Abhé des équipements pour réaliser des carottages sédimentaires et des profils sismiques, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Des sables mouvants empêchent toute approche par voie terrestre. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments…

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Transport héliporté d'équipement pour sonder le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Plateforme de carottage sur le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Cette barge équipée d’un portique et d’un carottier est fixée au fond du lac à 10 km du rivage, où la topographie profonde semble idéale pour réaliser une longue carotte sédimentaire. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des…

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Plateforme de carottage installée sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Carottage sur le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Durant cette opération délicate, les scientifiques extraient des carottes dans des sédiments plus ou moins épais et durs, sans perdre les premières perforations, pour obtenir une séquence sédimentaire continue. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des…

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Carottage sur une plateforme installée sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Sédiment prélevé à 14 m de profondeur au sein du lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les températures et les précipitations passées en lien avec le processus de mousson. Ainsi la couleur du sédiment photographié indique…

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Sédiment prélevé à 14 m de profondeur au sein du lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Orage et tempête de sable sur le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti, lors d’une mission de prélèvement de carottes sédimentaires. Les équipes ont dû adapter leur manipulation pour maintenir des conditions d’exploration sécurisées. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous…

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Orage et tempête de sable sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Recensement des sections de carottes sédimentaires prélevées dans le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Il est impossible de prélever une carotte de plus de 10 mètres. Les scientifiques répètent donc l’opération jusqu’à atteindre le niveau souhaité. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des…

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Recensement des sections de carottes sédimentaires prélevées dans le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Transport héliporté par l’armée française des équipements pour réaliser des carottages sédimentaires et des profils sismiques sur le lac Abhé, dans ce territoire isolé et extrêmement difficile d’accès dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous…

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Transport héliporté d'équipement pour sonder le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Installation d’un marteau pour transpercer les sols profonds sur une plateforme de carottage installée sur le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les températures et les précipitations passées en lien avec le processus…

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Manutention sur une plateforme de carottage sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Carottage sur le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Durant cette opération délicate, les scientifiques extraient des carottes dans des sédiments plus ou moins épais et durs, sans perdre les premières perforations, pour obtenir une séquence sédimentaire continue. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des…

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Carottage sur une plateforme installée sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Relevage des ancres d’une plateforme de carottage installée sur le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti, pour préparer sa récupération en fin de mission. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les températures et les précipitations passées en lien avec le…

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Relevage des ancres d'une plateforme de carottage avant sa récupération, lac Abhé, Djibouti
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Carottes prélevées dans le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Extraites par tronçons de 3 mètres couvrant 16 mètres de long, ce sont les plus longues carottes sédimentaires jamais extraites d’un lac encore en eau dans la Corne de l’Afrique. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui…

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Carottes prélevées dans le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Récupération d’une plateforme de carottage installée sur le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Scientifiques et militaires harnachent la plateforme, en partie démontée, avant son extraction des eaux par un hélicoptère de l’armée française. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui…

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Harnachement d'une plateforme de carottage avant sa récupération, lac Abhé, Djibouti
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Récupération d’une plateforme de carottage à la fin d’une mission sur le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. La plateforme, en partie démontée, est extraite des eaux par un hélicoptère de l’armée française. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les…

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Récupération d’une plateforme de carottage sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Fin de journée sur une plateforme de carottage installée sur les eaux du lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Les scientifiques rentrent par bateau à leur campement situé à 10 kilomètres sur le rivage. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les températures et…

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Plateforme de carottage installée sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Acheminement d’une plateforme de carottage sur les eaux du lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Elle est installée à une 10 km du rivage, où la topographie profonde du lac semble idéale pour réaliser une longue carotte sédimentaire. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous…

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Acheminement d’une plateforme de carottage sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Acheminement d’une plateforme de carottage sur les eaux du lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Elle est installée à une 10 km du rivage, où la topographie profonde du lac semble idéale pour réaliser une longue carotte sédimentaire. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous…

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Acheminement d’une plateforme de carottage sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Coucher de soleil depuis le rivage du lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti, lors d’une mission de prélèvement de carottes sédimentaires. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les températures et les précipitations passées en lien avec le processus de mousson…

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Coucher de soleil sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Acquisition de profils sismiques dans le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Le détecteur sismique sillonne le lac en envoyant des ondes acoustiques dans le sous-sol, qui se réfléchissent à mesure qu’elles rencontrent les différentes couches de sédiments. Leur temps de propagation renseigne sur la structure géologique du fond. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations…

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Acquisition de profils sismiques dans le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Prospection géomorphologique sur le site paléontologique d’Anabo Koma, dans la région du Gobaad, en République de Djibouti. Les scientifiques cherchent les témoins de la présence passée du lac Abhé (stromatolithes, canyon, diatomites, etc.), dans un paysage aujourd’hui semi-désertique, là où il y a plus d’un million d’années une faune humide évoluait dans des environnements de marécages, comme des éléphants dont le site livre les fossiles. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période…

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Prospection géomorphologique sur le site paléontologique d’Anabo Koma, Gobaad, Djibouti
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Dent fossilisée d’hippopotame sur le site à faunes fossiles de Barogali dans le bassin du Gobaad, en République de Djibouti. Ce type de vestiges indique la présence d’une faune humide (éléphants, hippopotames, crocodiles, etc.) qui vivait dans des environnements de type marécage sur ce site daté entre 1,6 et 1,3 million d’années. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité qui a entraîné d’importantes modifications…

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Dent fossilisée d’hippopotame, site à faunes fossiles de Barogali, bassin du Gobaad, Djibouti
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Fouilles sur le site archéologie d’Hara Idé 3, dans le bassin du Gobaad, en République de Djibouti. Ces niveaux livrent des vestiges osseux humains affiliés aux chasseurs-cueilleurs et datés aux environs de 14 000 ans avant l’ère commune. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité qui a entraîné d’importantes modifications environnementales. Dans la Corne de l’Afrique, cette période coïncide avec l’adoption par les humains,…

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Fouilles sur le site archéologie d’Hara Idé 3, bassin du Gobaad, Djibouti
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Outils d’obsidienne déposés auprès d’un défunt de la nécropole d’Antakari 3, dans le bassin du lac Abhé, en République de Djibouti. Cette nécropole datée du 3ème millénaire avant l’ère commune est affiliée aux premiers éleveurs de la Corne de l’Afrique. Les individus y sont inhumés dans des fosses avec des offrandes, comme cet ensemble composé d’une lame, d’un racloir, d’un grattoir et d’un perçoir, des outils de chasse et de pêche. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très…

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Outils d’obsidienne, offrande funéraire de la nécropole d’Antakari 3, Djibouti
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Gravures rupestres datées du 2ème millénaire avant l’ère commune sur le massif du Dakka, au sud-ouest de la République de Djibouti. Elles illustrent l’univers symbolique des premiers éleveurs de la Corne de l’Afrique et le commerce caravanier. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité qui a entraîné d’importantes modifications environnementales. Dans la Corne de l’Afrique, cette période coïncide avec l’adoption par les…

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Gravures rupestres du 2ème millénaire avant JC, massif du Dakka, Djibouti
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Relevés sur la nécropole d’Antakari 3, dans le bassin du lac Abhé, en République de Djibouti. Cette nécropole datée du 3ème millénaire avant l’ère commune est affiliée aux premiers éleveurs de la Corne de l’Afrique. Les scientifiques enregistrent la position stratigraphique des défunts et des aménagements et offrandes ayant accompagné leur sépulture, afin de restituer l’histoire de l’usage du cimetière. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans…

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Relevés sur la nécropole d’Antakari 3, bassin du lac Abhé, Djibouti
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Nécropole d’Antakari 3, dans le bassin du lac Abhé, en République de Djibouti. Cette nécropole datée du 3ème millénaire avant l’ère commune est affiliée aux premiers éleveurs de la Corne de l’Afrique. Aux côtés des défunts, de petits foyers de combustion à pierres chauffantes livrent des ossements brûlés de poisson du lac et témoignent de gestes funéraires comme l’organisation de possibles repas au moment des funérailles. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à…

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Possible foyer d'un repas funéraire aux côté de défunts de la nécropole d’Antakari 3, Djibouti
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Macaque japonais, "Macaca fuscata", se reposant paisiblement sur une route du parc national de Yakushima, au Japon. Les macaques n'y sont pas chassés et ils sont habitués au passage des voitures. Même le klaxon ne fait rien, il faut rouler doucement, certains ne se déplaçant qu'au contact du pare-chocs. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe, transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient…

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Macaque japonais sur une route du parc national de Yakushima, Japon

CNRS Images,

Nous mettons en images les recherches scientifiques pour contribuer à une meilleure compréhension du monde, éveiller la curiosité et susciter l'émerveillement de tous.