Open media modal

Only available for non-commercial distribution

For any commercial distribution contact the executive producer

Les cônes sont des gastéropodes marins présents dans tous les océans et à toutes les profondeurs. Ils représentent l'un des groupes de mollusques les plus abondants dans les fonds abyssaux. Il pourrait y avoir 30000 espèces au total. Ces coquillages produisent, pour attaquer leurs proies, des toxines qui sont de mieux en mieux étudiées au niveau moléculaire pour la diversité des peptides qu'elles contiennent. Ces composés moléculaires ont des propriétés similaires aux neurotoxines, aux…

Video
7770
Venins guérisseurs de l'océan (Les)
Open media modal

Only available for non-commercial distribution

Claire Hellio développe des solutions innovantes bio inspirées, à partir de molécules actives produites par les algues et les microorganismes. Mené au Laboratoire des sciences de l'environnement marin, ce travail de valorisation, à l'interface entre la chimie, la biologie, la biochimie et l'écologie, est notamment réalisé via la plateforme de bioprospection Biodimar, que Claire Hellio dirige. Les applications visent principalement les domaines des cosmétiques (antioxydants et…

Video
7795
Médaille de l'Innovation 2023 : Claire Hellio, chercheuse en biotechnologies marines
Open media modal

Only available for non-commercial distribution

Plus d'un an après sa mise à l'eau, BathyBot vient de s'éveiller au fond de la mer Méditerranée. Plongez aux côtés de ce robot téléopéré depuis la surface, le premier à être installé de façon permanente à 2400 mètres de profondeur pour au moins cinq ans. Accompagné d'un récif artificiel et d'une batterie d'instruments, BathyBot permettra d'étudier la biodiversité, la bioluminescence et les processus biogéochimiques des fonds marins. Imaginé scientifiquement par les équipes de…

Video
7685
BathyBot, le robot des profondeurs
20230108_0002
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0002
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0003
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0003
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0004
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0004
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0005
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0005
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0006
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0006
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0007
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0007
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0008
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0008
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0009
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0009
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0010
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0010
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0011
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0011
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0001
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0001
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20240010_0001
Open media modal

Gorgone "Paramuricea clavata" sur la Katchoff, un plateau situé dans la rade nord de Marseille, à 60 mètres de profondeur. On y rencontre de nombreuses gorgones mais aussi des bancs de poissons. C'est l'un des sites stratégiques de la rade où les scientifiques installent des balises permettant d'enregistrer le passage de poissons marqués à l'aide d'implants acoustiques. Malgré la fréquentation de la zone pour la pêche de loisir, cette gorgone, implantée suffisamment profondément pour ne pas…

Photo
20240010_0001
Gorgone "Paramuricea clavata" à 60 mètres de profondeur, rade nord de Marseille
20230102_0001
Open media modal

Langouste rouge, "Palinurus elephas", juvénile âgée de 11 mois issue de la reproduction contrôlée et élevée à la plateforme de recherches marines Stella Mare. L'espèce, que l'on rencontre principalement en mer Méditerranée et dans le nord-est de l'océan Atlantique, est considérée comme vulnérable sur la liste rouge des espèces menacées de l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN). Forte de plus de 10 ans d’expérience sur la maîtrise de la reproduction d’espèces vulnérables…

Photo
20230102_0001
Langouste rouge juvénile issue de la reproduction contrôlée et élevée à Stella Mare
20230052_0001
Open media modal

Vue d’artiste de protistes eucaryotes qui vivaient dans l’eau de mer il y a 2,1 milliards d’années. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans le gisement gabonais de Moulendé par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une…

Photo
20230052_0001
Protistes eucaryotes qui vivaient dans l’eau de mer il y a 2,1 milliards d’années
20230052_0002
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote encastré dans la roche hôte de schiste noir du gisement gabonais de Moulendé. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes y ont été découverts par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0002
Fossile de protiste eucaryote de 2,1 milliards d'années, gisement de Moulendé, Gabon
20230052_0003
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote encastré dans la roche hôte de schiste noir du gisement gabonais de Moulendé. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes y ont été découverts par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0003
Fossile de protiste eucaryote de 2,1 milliards d'années, gisement de Moulendé, Gabon
20230052_0004
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0004
Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
20230052_0005
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0005
Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
20230052_0006
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0006
Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
Vignette de présentation de l'expo LPPI2022
Open media modal
In 2019, the CNRS launched a partnership with the ACFAS to organise the French edition of La Preuve par l’Image, an annual photo competition first held in Quebec in 2010. For this fourth CNRS edition, researchers were again invited to submit their best scientific images. The competition challenges participants to showcase their research by means of eye-catching, thought-provoking images rather than words.
Exhibition
EXP096727
La Preuve Par l'Image 2022
Open media modal

For any commercial distribution contact the executive producer

Mieux comprendre la physique, la chimie et la biologie des océans, et ainsi mieux prévoir leurs effets sur l'évolution du climat, c'est l'objet du réseau scientifique mondial de flotteurs profileurs Argo. Des plateformes autonomes qui parcourent les profondeurs aquatiques à la rencontre des courants et du petit peuple océanique. Dernier-né de cette flotte, un petit bijou de technologie, le flotteur profileur BGC-Argo (nKe), spécialement équipé pour étudier le plancton. Découverte avec l'équipe…

Video
7761
Sonder les océans
Open media modal

Only available for non-commercial distribution

The biological station at Roscoff in Brittany (northwestern France), which was founded 150 years ago, on 20th August 1872, still serves as a reference for the study of marine life. This is evidenced by a major discovery that made the headlines of the journal Science in late July 2022: scientists have shown that a small crustacean can help algae to reproduce, in the same way as bees pollinate flowers. Let's head to Brittany to take a look behind the scenes of this fascinating research work.

Video
7531
How do baby algae come into being?
Open media modal

Only available for non-commercial distribution

Portrait de Richard Dorrell, médaille de bronze 2022 du CNRS, chargé de recherche à l'Institut de biologie de l'École normale supérieure, spécialiste de l'évolution des microalgues des océans et de leur acquisition de la photosynthèse. Pour Richard Dorrell, l'évolution la plus importante de l'histoire des formes de vie eucaryotes est l'acquisition de chloroplastes par endosymbiose des cellules primitives, pour obtenir les premières microalgues capables de photosynthèse. Il en a ainsi…

Video
7583
Médaille de bronze 2022 : Richard Dorrell, spécialiste de l'évolution des microalgues des océans et de leur acquisition…
Open media modal

Only available for non-commercial distribution

Une équipe de chercheurs embarque chaque année à bord du Marion Dufresne pour étudier des animaux peu connus : le macrozooplancton et le micronecton. Ces organismes de milieu de chaine alimentaire se composent de gélatineux, de crustacés et de poissons. Mais pour les étudier, il faut d'abord les repérer en pleine mer grâce à un instrument acoustique, un écho sondeur. Puis ils sont pêchés, triés par espèces et comptés. En les suivant d'année en année, les scientifiques peuvent mieux comprendre l…

Video
7479
Pêcheurs de zooplanctons et micronectons
20220020_0058
Open media modal

Récupération de l'eau prélevée par un marine snow catcher au large de Toulon, sur le pont du navire océanographique Pourquoi pas ? Elle sera analysée ultérieurement, à bord du navire ou en laboratoire. Le marine snow catcher est un échantillonneur d’eau de grand volume qui collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures pour décantation. Les particules…

Photo
20220020_0058
Récupération de l'eau prélevée par un marine snow catcher
20220020_0069
Open media modal

Mise à l’eau de la BioCam depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Grâce à ses deux caméras intelligentes, cet appareil est capable d’observer la bioluminescence émise par les organismes marins et de les reconstruire en trois dimensions. Il est installé sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec plusieurs autres dispositifs : un sismographe, un spectromètre gamma, le BathyReef (un récif artificiel bio-inspiré) et le rover sous-marin…

Photo
20220020_0069
Mise à l’eau de la BioCam depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0070
Open media modal

Mise à l’eau de la BioCam depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Grâce à ses deux caméras intelligentes, cet appareil est capable d’observer la bioluminescence émise par les organismes marins et de les reconstruire en trois dimensions. Il est installé sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec plusieurs autres dispositifs : un sismographe, un spectromètre gamma, le BathyReef (un récif artificiel bio-inspiré) et le rover sous-marin…

Photo
20220020_0070
Mise à l’eau de la BioCam depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0071
Open media modal

Mise à l’eau de la BioCam depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Grâce à ses deux caméras intelligentes, cet appareil est capable d’observer la bioluminescence émise par les organismes marins et de les reconstruire en trois dimensions. Il est installé sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec plusieurs autres dispositifs : un sismographe, un spectromètre gamma, le BathyReef (un récif artificiel bio-inspiré) et le rover sous-marin…

Photo
20220020_0071
Mise à l’eau de la BioCam depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0074
Open media modal

Un des pilotes et un plongeur sur le pont du sous-marin le Nautile, sur le navire océanographique Pourquoi pas ? Ce dernier restera sur le pont jusqu’à l’immersion du sous-marin. Il appartient à une équipe qui sécurise sa descente et son détachement, tout comme les plongeurs sur le bateau en arrière-plan. Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de…

Photo
20220020_0074
Un pilote et l'équipe de plongeurs qui sécurise la descente et le détachement du Nautile
20220020_0076
Open media modal

Mise à l’eau du Nautile depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Le plongeur sur le pont appartient à l'équipe qui sécurise la descente et le détachement du sous-marin. La patte d’oie (câble bleu et orange) servira à garder le sous-marin dans l’axe du navire durant la mise à l’eau. Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire…

Photo
20220020_0076
Mise à l’eau du Nautile depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0077
Open media modal

Retour en surface du Nautile, un plongeur s’installe sur le pont. Il appartient à une équipe qui va rattacher le sous-marin au navire océanographique Pourquoi pas ? et sécuriser sa récupération. Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon…

Photo
20220020_0077
Retour en surface du Nautile, un plongeur s’installe sur le pont
20220020_0078
Open media modal

Remontée du Nautile sur le navire océanographique Pourquoi pas ? Le plongeur sur le pont appartient à une équipe qui a rattaché le sous-marin au navire océanographique et sécurisé sa récupération. Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon…

Photo
20220020_0078
Remontée du Nautile sur le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0060
Open media modal

Préparation de la mise à l’eau de BathyBot sur le pont du navire océanographique Pourquoi pas ? Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement…

Photo
20220020_0060
Préparation de la mise à l’eau de BathyBot sur le pont du N/O Pourquoi pas ?
20220020_0059
Open media modal

BathyBot dans le BathyDock, sur le pont du navire océanographique Pourquoi pas ? Une fois installé sur le fond marin, le BathyDock reliera le robot à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en…

Photo
20220020_0059
BathyBot dans le BathyDock, sur le pont du N/O Pourquoi pas ?
20220020_0061
Open media modal

Mise à l’eau de BathyBot depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands…

Photo
20220020_0061
Mise à l’eau de BathyBot depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0064
Open media modal

Mise à l’eau de BathyBot depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands…

Photo
20220020_0064
Mise à l’eau de BathyBot depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0080
Open media modal

Surveillance du Nautile depuis le poste de contrôle de ce sous-marin habité sur le navire océanographique Pourquoi pas ? Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon déroulement. Ces équipements comprennent un sismographe, un spectromètre…

Photo
20220020_0080
Surveillance du Nautile depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0081
Open media modal

Surveillance du Nautile depuis le poste de contrôle de ce sous-marin habité sur le navire océanographique Pourquoi pas ? Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon déroulement. Ces équipements comprennent un sismographe, un spectromètre…

Photo
20220020_0081
Surveillance du Nautile depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0079
Open media modal

Remontée du Nautile sur le navire océanographique Pourquoi pas ? Le plongeur sur le pont appartient à une équipe qui a rattaché le sous-marin au navire océanographique et sécurisé sa récupération. Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon…

Photo
20220020_0079
Remontée du Nautile sur le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0083
Open media modal

Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? au large de Toulon. La rosette-CTD, à gauche, est un instrument d’échantillonnage en océanographie permettant d’avoir des profils des conditions hydrologiques au cours du déploiement. Le marine snow catcher est un échantillonneur d’eau de grand volume qui collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le…

Photo
20220020_0083
Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0084
Open media modal

Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? au large de Toulon. Cet échantillonneur d’eau de grand volume collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures pour décantation. Les particules coulent au fond et les 7 litres de la partie inférieure représentent donc le plus grand intérêt. Les 93 litres restants sont…

Photo
20220020_0084
Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0085
Open media modal

Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? au large de Toulon. Cet échantillonneur d’eau de grand volume collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures pour décantation. Les particules coulent au fond et les 7 litres de la partie inférieure représentent donc le plus grand intérêt. Les 93 litres restants sont…

Photo
20220020_0085
Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0086
Open media modal

Récupération d’un marine snow catcher après un prélèvement au large de Toulon, depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Il est déposé sur le pont pour décantation. La rosette-CTD à droite est un autre type d’échantillonneur d’eau. Le marine snow catcher est un échantillonneur d’eau de grand volume qui collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures…

Photo
20220020_0086
Récupération d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0068
Open media modal

Christian Tamburini, Chloé Baumas et Marc Garel, du laboratoire MIO, surveillent la mise à l’eau de BathyBot. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, où il récolte des données…

Photo
20220020_0068
Christian Tamburini, Chloé Baumas et Marc Garel surveillent la mise à l’eau de BathyBot
20220020_0005
Open media modal

Le navire océanographique Pourquoi pas ? au port de Toulon. Le Pourquoi pas ? est un navire de la flotte océanographique opérée par l’Ifremer, utilisé lors de campagnes dans tous les domaines des sciences de l’environnement. Cette image a été réalisée durant la campagne d’installation de plusieurs instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le BathyReef (un récif…

Photo
20220020_0005
Le N/O Pourquoi pas ? au port de Toulon
20220020_0006
Open media modal

BathyBot sur le pont arrière du navire océanographique Pourquoi pas ? avant sa mise à l’eau. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, où il récolte des données environnementales …

Photo
20220020_0006
BathyBot sur le pont arrière du N/O Pourquoi pas ? avant sa mise à l’eau

CNRS Images,

Our work is guided by the way scientists question the world around them and we translate their research into images to help people to understand the world better and to awaken their curiosity and wonderment.