Scientific news

International mobilisation for the ocean

The knowledge on the ocean’s dire state is clear. Still, we’re not listening. To motivate widespread momentum for the ocean, we need to awaken new depths.

Medusa in the vicinity of the Dumont d'Urville base, in Terre Adélie
Medusa in the vicinity of the Dumont d'Urville base, in Terre Adélie

© Erwan AMICE / LEMAR / CNRS Images

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We are in critical time as the world is seeking to address the many of the deep-rooted problems of our societies and which will require major structural transformations and common shared solutions that are anchored in the 17 Sustainable Development Goals of the United Nations.

An international mobilisation is necessary because the ocean covers 70 percent of the Earth’s surface. Ocean is the planet's largest biosphere, and is home to up to 80 percent of all life in the world. It generates 50 percent of the oxygen we need, absorbs 25 percent of all carbon dioxide emissions and captures 90 percent of the additional heat generated from those emissions. It is not just ‘the lungs of the planet’ but also its largest carbon sink - a vital buffer against the impacts of climate change.

Read our feature on plastic pollution in the oceans, one of the greatest environmental tragedies of recent decades. Explore other ocean-related issues (biodiversity, climate change...) thanks to a selection of photo and video reports that we have made for you.

CNRS Images folders and scientific news

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Plongeur scientifique collectant des oursins violets, "Paracentrotus lividus", en mer Méditerranée. Pendant la période de ponte, une équipe de la plateforme Stella mare plonge toutes les deux semaines afin de répertorier et de prélever des oursins. Stella mare effectue un suivi des populations naturelles et analyse leur cycle de reproduction afin de maîtriser l’espèce dans le cadre d’une gestion durable des ressources. Les populations de la région ont en effet été fortement impactées par les…

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Plongeur scientifique collectant des oursins violets, "Paracentrotus lividus"
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Test du premier photomètre solaire automatique en opération sur le navire océanographique Marion Dufresne. Cet instrument mesure les propriétés optiques des aérosols sur la colonne atmosphérique durant les campagnes océanographiques. L'objectif est d'améliorer nos connaissances des aérosols dans les régions de l'océan Austral sillonnées par le Marion Dufresne, peu de mesures atmosphériques de ce type ayant été faites jusque-là dans cette zone. Dans le cadre du Marion Dufresne Atmospheric…

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A l’abordage : quand la photométrie solaire automatique s’invite sur le Marion Dufresne
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Vue d’artiste de protistes eucaryotes qui vivaient dans l’eau de mer il y a 2,1 milliards d’années. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans le gisement gabonais de Moulendé par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une…

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Protistes eucaryotes qui vivaient dans l’eau de mer il y a 2,1 milliards d’années
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Squelette de radiolaire "Dictyocorne profunda" d'une taille de 100 microns, prélevé en mars 2021 à 250 m de profondeur au large de la Rade de Villefranche-sur-Mer, à Point C. Ce spécimen est vivant, et ses pseudopodes "rayonnants" sont peuplés d’algues symbiotiques. Les radiolaires sont des organismes microscopiques unicellulaires du domaine des eucaryotes mesurant en général un à deux dixièmes de millimètres. Ils peuvent être trouvés dans la pénombre de la zone mésopélagique, entre la surface …

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Squelette de radiolaire "Dictyocorne profunda" prélevé au large de la Rade de Villefranche-sur-Mer
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Gorgone rouge, "Paramuricea clavata", en train de mourir, à l’instar de 90 % des individus entre 10 m et 30 m de profondeur dans le Parc national des Calanques, en Provence-Alpes-Côte d'Azur. L’urgence climatique ne concerne pas uniquement les milieux terrestres. La canicule marine de l'été 2022 a été la plus longue et la plus intense jamais enregistrée, avec un différentiel de 4 à 5 °C au-dessus de la normale. Les forêts terrestres, proies de méga-feux, ne sont pas les seules victimes du…

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Quand la canicule brûle aussi nos forêts sous-marines
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Gorgone "Paramuricea clavata" sur la Katchoff, un plateau situé dans la rade nord de Marseille, à 60 mètres de profondeur. On y rencontre de nombreuses gorgones mais aussi des bancs de poissons. C'est l'un des sites stratégiques de la rade où les scientifiques installent des balises permettant d'enregistrer le passage de poissons marqués à l'aide d'implants acoustiques. Malgré la fréquentation de la zone pour la pêche de loisir, cette gorgone, implantée suffisamment profondément pour ne pas…

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Gorgone "Paramuricea clavata" à 60 mètres de profondeur, rade nord de Marseille
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Plateforme mobile de mesures atmosphériques Pegasus à bord du navire océanographique le Pourquoi pas ? en vue du volcan Stromboli, pendant la campagne PEACETIME. Le phytoplancton marin, en piégeant le dioxyde de carbone atmosphérique, est un des acteurs majeurs du cycle du carbone. En mer Méditerranée, son développement est fortement modulé par les importants dépôts de particules atmosphériques, qu’elles soient sahariennes ou volcaniques, comme on le voit dans cette image montrant le panache du…

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Une plateforme de mesures atmosphériques qui navigue en Méditerranée
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"Daturella striatura", un cilié tintinnide de 200 microns trouvé dans un échantillon prélevé entre 275 et 225 m de profondeur, dans la zone mésopélagique de la mer Méditerranée, à 1 km de la Cap de Nice. Cet organisme unicellulaire planctonique est imagé vivant dans sa coquille, ou lorica, couvert de particules détritiques (une roche sédimentaire). La zone mésopélagique, située entre 200 et 400 m de profondeur, est une zone de pénombre entre la couche illuminée de surface et l'obscurité totale…

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La profondeur de la mer
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Echantillon de zooplancton attendant d'être identifié. Il vient d'être prélevé au large de Toulon grâce à un filet à plancton, depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Le plancton bioluminescent est trié sur le navire, en fonction de la famille ou du groupe auquel il est susceptible d’appartenir. Il sera ramené en laboratoire pour étudier le mécanisme de bioluminescence chez les organismes marins. Ces organismes sont prélevés au lever ou au coucher du soleil car ils effectuent des…

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Echantillon de zooplancton prélevé au large de Toulon
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Mise à l’eau du Nautile depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Un plongeur appartenant à l'équipe qui sécurise la descente et le détachement du sous-marin restera sur le pont jusqu'à l'immersion. La lift-line porte le sous-marin lors de la mise à l’eau tandis que la patte d’oie (câble bleu et orange) garde le sous-marin dans l’axe du navire. Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d…

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Mise à l’eau du Nautile depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Préparation de la mise à l’eau de BathyBot sur le pont du navire océanographique Pourquoi pas ? Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement…

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Préparation de la mise à l’eau de BathyBot sur le pont du N/O Pourquoi pas ?
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Pont avant du navire océanographique Pourquoi pas ? Ce navire de la flotte océanographique opérée par l’Ifremer est utilisé lors de campagnes dans tous les domaines des sciences de l’environnement. Cette image a été réalisée durant la campagne d’installation de plusieurs instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le BathyReef (un récif artificiel bio-inspiré) et le…

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Pont avant du N/O Pourquoi pas ?
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BathyBot sur le pont arrière du navire océanographique Pourquoi pas ? avant sa mise à l’eau. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, où il récolte des données environnementales …

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BathyBot sur le pont arrière du N/O Pourquoi pas ? avant sa mise à l’eau
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Mise à l’eau de la boîte de jonction scientifique (BJS) depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Au premier plan, BathyReef, un récif artificiel bio-inspiré pour étudier les écosystèmes des milieux profonds, attend sa mise à l’eau. La BJS est une boîte connectée à haut débit qui alimente et permet de surveiller les instruments qui y sont connectés. Elle est installée sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur, au large de Toulon, avec un sismographe, un…

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Mise à l’eau de la boîte de jonction scientifique depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau de BathyBot. Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le…

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Mise à l’eau de BathyBot
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Relevé des signatures sonores d’un récif corallien dans le lagon de Moorea, en Polynésie française. Durant 4 mois, des scientifiques ont suivi l'activité sonore des récifs sur la pente externe de l'île, à l'aide d'hydrophones répartis dans des aires marines protégées (AMP) et des zones non protégées. Ils ont ainsi pu démontrer qu’un récif avec un fort recouvrement corallien possède une activité sonore plus grande qu’un récif dégradé, et que le paysage acoustique est plus varié sur les sites…

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Relevé des signatures sonores d’un récif corallien, lagon de Moorea
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Nuisance sonore au-dessus d’un poisson-clown, "Amphiprion chrysopterus", et de son hôte l’anémone de mer, "Heteractis magnifica", dans le lagon de Moorea, en Polynésie française. Le bruit des moteurs provoque chez le poisson-clown des modifications comportementales et des changements hormonaux qui peuvent perdurer après le passage des bateaux. Ils ont ainsi plus tendance à se cacher dans leurs anémones au détriment de la recherche de nourriture. Ils deviennent également plus agressifs, et…

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Nuisance sonore au-dessus d’un poisson-clown, "Amphiprion chrysopterus", Moorea
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Mise à l’eau d’une des embarcations de la plateforme Stella mare dans le port de Saint-Florent, en Corse, lors d’une sortie en mer pour répertorier et collecter des oursins violets, "Paracentrotus lividus". Stella mare effectue un suivi des populations naturelles d'oursins et analyse leur cycle de reproduction afin de maîtriser l’espèce dans le cadre d’une gestion durable des ressources. Les populations de la région ont en effet été fortement impactées par les activités humaines et notamment la…

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Mise à l'eau d’un zodiac de Stella mare à Saint-Florent, Corse, pour collecter des oursins
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Plongeur scientifique s'apprêtant à collecter des oursins violets, "Paracentrotus lividus", au nord du port corse de Saint-Florent. La plateforme Stella mare effectue un suivi des populations naturelles d'oursins et analyse leur cycle de reproduction afin de maîtriser l’espèce dans le cadre d’une gestion durable des ressources. Les populations de la région ont en effet été fortement impactées par les activités humaines et notamment la pression de la pêche. La maîtrise de la reproduction et du…

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Plongeur scientifique de Stella mare s’apprêtant à collecter des oursins, Corse
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Observation in situ de la ponte des coraux sur le récif barrière de Piha'ena, à Moorea, en Polynésie française, depuis la barge scientifique Nohu-Criobe. Ce laboratoire mobile, dont c'est le premier déploiement, a permis à l'équipe du Criobe de réaliser une semaine de terrain. La barge est un laboratoire mobile dédié à l’étude de l’écosystème récifal constitué d’une plateforme de recherche équipée de technologies de pointe. Cet outil innovant peut être déployé temporairement au sein du récif…

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Observation in situ de la ponte des coraux grâce à la barge scientifique Nohu-Criobe, Moorea
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Cartographie de la baie d'Opunohu, à Moorea, en Polynésie française, avec le sonar multifaisceaux Ping DSP de la barge scientifique Nohu-Criobe. La barge est un laboratoire mobile dédié à l’étude de l’écosystème récifal constitué d’une plateforme de recherche équipée de technologies de pointe. Cet outil innovant peut être déployé temporairement au sein du récif corallien dans le cadre de projets nécessitant d’expérimenter directement sur le terrain avec des outils de laboratoire. Ses quatre…

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Sonar multifaisceaux Ping DSP de la barge scientifique Nohu-Criobe
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Le Marion Dufresne durant une tempête australe. Cette image a été réalisée dans le cadre de l’expédition océanographique SWINGS dans l’océan Austral. Son objectif est de mieux comprendre la séquestration du CO2 atmosphérique dans l'océan, en particulier la manière dont des éléments chimiques essentiels à ce stockage sont apportés, transportés et transformés par les océans. Elle s’inscrit dans le programme mondial Geotraces pour la construction d’un atlas chimique des océans. Trois programmes…

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Le Marion Dufresne durant une tempête australe, lors de la campagne SWINGS
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Le Marion Dufresne lors du départ de la campagne SWINGS. On observe une masse d’eau superficielle due aux fortes pluies tropicales de la veille. La couche turbide en surface crée une forte différence de couleur. Cette image a été réalisée dans le cadre de l’expédition océanographique SWINGS dans l’océan Austral. Son objectif est de mieux comprendre la séquestration du CO2 atmosphérique dans l'océan, en particulier la manière dont des éléments chimiques essentiels à ce stockage sont apportés,…

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Le Marion Dufresne lors du départ de la campagne SWINGS
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"Euphysetta lucani", un "Phaeodaria" de la famille des "Medusettidae", collecté le 28 septembre 2018 dans l'océan Atlantique (15.21°W, 42.97°N), lors de la campagne Atlantic Meridional Transect - AMT28. Il fait partie des "Rhizaria" des animaux microscopiques unicellulaires, qui, comme les diatomées, utilisent le silicium dissous pour construire un squelette de silice. Alors que les diatomées sont des algues et dérivent dans les couches de surface de l’océan, les "Rhizaria" sont hétérotrophes…

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"Euphysetta lucani", un "Phaeodaria" collecté le 28 septembre 2018 dans l'océan Atlantique
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Arrivée du Marion Dufresne sur l’île australienne Heard-et-MacDonald durant un ouragan, afin de mesurer l’effet d’île pour la campagne SWINGS. Cette île est située au sud du plateau de Kerguelen, une zone peu étudiée. Dans les eaux entourant certaines îles de l’océan Austral, les nutriments issus de la dissolution des sédiments (fer, zinc, nickel, etc.) fertilisent le phytoplancton, entraînant la formation de panaches de chlorophylle. Ce phénomène est provoqué par toutes les îles, le panache…

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Ile Heard-et-MacDonald, Australie, durant un ouragan, lors de la campagne SWINGS
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"Acanthodesmia vinculata", un "Nassellaria" de la famille des "Triospyridae", collecté le 16 octobre 2018 dans l'océan Atlantique (25.06°W et 20.38°S), lors de la campagne Atlantic Meridional Transect - AMT28. Il fait partie des "Rhizaria" des animaux microscopiques unicellulaires, qui, comme les diatomées, utilisent le silicium dissous pour construire un squelette de silice. Alors que les diatomées sont des algues et dérivent dans les couches de surface de l’océan, les "Rhizaria" sont…

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"Acanthodesmia vinculata" un "Nassellaria" collecté le 16 octobre 2018 dans l'océan Atlantique
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Préparation de filtres d'échantillons marins, rapportés de la campagne TONGA, pour analyser leur activité diazotrophique. La diazotrophie fait référence à la fixation biologique de l'azote atmosphérique par divers micro-organismes diazotrophes. Les échantillons d’eau de mer rapportés de la campagne TONGA ont été prélevés à différentes profondeurs. Ils sont filtrés, puis les filtres sont ensuite pliés et placés dans de mini-capsules en étain via une presse. Les échantillons seront ensuite…

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Analyses chimiques de la fixation biologique de l'azote sur des échantillons marins, rapportés de la campagne TONGA
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Prélèvement d’eau de mer à proximité de macro-algues "Turbinaria ornata", dans le lagon de Moorea, Polynésie française, dans le but d’extraire in situ des molécules chimiques relarguées par ces algues. Une cloche placée au-dessus des algues limite la diffusion de l’eau, tandis qu’un plongeur réalise le prélèvement en passant l’eau, à l’aide d’une seringue, au travers d’une cartouche SPE (solid-phase extraction) pour que les molécules chimiques y soient directement captées. Cette expérience vise…

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Prélèvement d’eau de mer à proximité de macro-algues "Turbinaria ornata", à Moorea
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Arrivée de la barge scientifique Nohu-Criobe dans la baie d'Opunohu, à Moorea, en Polynésie française, après sa sortie des chantiers navals Nautisport Industrie (NSI). La barge est un laboratoire mobile dédié à l’étude de l’écosystème récifal constitué d’une plateforme de recherche équipée de technologies de pointe. Cet outil innovant peut être déployé temporairement au sein du récif corallien dans le cadre de projets nécessitant d’expérimenter directement sur le terrain avec des outils de…

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Barge scientifique Nohu-Criobe dans la baie d'Opunohu, Moorea, Polynésie française
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Remontée d'un plongeur par un trou creusé dans la banquise au fond du fjord Young Sund, au Groenland. Ce trou permet d'aller relever un capteur fixé sur une ligne l’année précédente. Les formes du contour sont créés par la tarière lors du forage. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes benthiques arctiques, et notamment le renouvellement des populations de bivalves, en étudiant les retards à la…

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Remontée d'un plongeur par un trou creusé dans la banquise au fond du fjord Young Sund, au Groenland

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Our work is guided by the way scientists question the world around them and we translate their research into images to help people to understand the world better and to awaken their curiosity and wonderment.