Résumé
Ils tentent de subvenir à leurs besoins par des activités nouvelles (pasteur, guide de caravanes, manoeuvre sur un chantier préhistorique...) mais seul le ravitaillement organisé par l'administration leur permet de survivre. La chasse à l'addax (gueimara) à laquelle tout Némadi doit participer une fois dans sa vie n'a plus lieu depuis longtemps et le fusil n'est plus qu'un accessoire de danse, comme en témoigne une danse d'hommes lors d'une fête au campement. Le tichtar (viande séchée) se prépare avec de la chèvre à la place de chameau.
Le retour des Némadi à leur ancienne existence paraît compromis par le changement écologique de leur cadre de vie.