Echantillonneurs passifs de mercure atmosphérique gazeux et cloche équipée d'un porte-filtre

Echantillonneurs passifs de mercure atmosphérique gazeux (PAS, à gauche) et cloche équipée d'un porte-filtre avec un filtre-membrane échangeur de cations, à l'entrée de la ligne de prélèvement de l'analyseur de mercure gazeux (à droite) sur le toit de l'Observatoire de physique atmosphérique de la Réunion (OPAR) à 2 200 mètres d'altitude. Sur l'île de la Réunion, les équipes de l'Institut des géosciences de l'environnement (IGE), de Géosciences environnement Toulouse (GET), du Laboratoire de l'atmosphère et des cyclones (LACy) et leurs collaborateurs internationaux ont mis en œuvre un programme d'étude sur un an des différentes espèces gazeuses atmosphériques du mercure, des processus d'oxydation-réduction permettant de passer de l'une à l'autre, et de leurs dépôts dans les écosystèmes.