Virus géants "Mollivirus sibericum" vus en microscopie électronique à balayage

Information génomique et structurale (IGS)

MARSEILLE CEDEX 09

The discovery of the first giant virus in 2003, mimivirus, led to a thematic refocusing of the IGS on the diversity and biology of giant viruses, both ancient and modern (megavirus, pandoravirus, mollivirus, pithovirus and marseillevirus). The core activity of the IGS is now the understanding of the giant virus-host cell biological system, while maintaining exploratory activity in the polar regions (Arctic and Antarctic).

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Carte de microscopie électronique de la fibre génomique de mimivirus, pour la forme compacte contenant l’ADN. La structure est organisée en hélice à 5 brins, l'ADN est en beige sur l'image, protégé par l'enveloppe protéique hélicoïdale composée de deux oxydoréductases (des enzymes). Chaque brin du ruban formant cette hélice est coloré différemment sur l'image. Mimivirus appartient à la famille des "Mimiviridae", des virus géants infectant les amibes. Avec un génome ADN de 1,2 million de paires…

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Carte de microscopie électronique de la fibre génomique de mimivirus, forme compacte
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Carte de microscopie électronique de la fibre génomique de mimivirus, pour la forme relaxée. La structure est organisée en hélice à 5 brins où l'ADN, qui n'est plus visible dans la forme relaxée, est protégé par l'enveloppe protéique hélicoïdale composée de deux oxydoréductases (des enzymes). Chaque brin du ruban formant cette hélice est coloré différemment sur l'image. Mimivirus appartient à la famille des "Mimiviridae", des virus géants infectant les amibes. Avec un génome ADN de 1,2 million…

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Carte de microscopie électronique de la fibre génomique de mimivirus, forme relaxée
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Virus géants "Pithovirus sibericum" vus en microscopie électronique à balayage. Ce type de virus dont la taille et la complexité génétique rivalisent avec les organismes cellulaires pourraient jouer un rôle métabolique majeur dans de nombreux écosystèmes. Les scientifiques ont étudié leur épigénome, c'est-à-dire l’ensemble des modifications épigénétiques de leurs génomes. Ils ont montré que leur ADN porte des marques épigénétiques. Les enzymes responsables, aux histoires évolutives complexes,…

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Virus géants "Pithovirus sibericum" vus en microscopie électronique à balayage
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Virus géants "Mollivirus sibericum" vus en microscopie électronique à balayage. Ce type de virus dont la taille et la complexité génétique rivalisent avec les organismes cellulaires pourraient jouer un rôle métabolique majeur dans de nombreux écosystèmes. Les scientifiques ont étudié leur épigénome, c'est-à-dire l’ensemble des modifications épigénétiques de leurs génomes. Ils ont montré que leur ADN porte des marques épigénétiques. Les enzymes responsables, aux histoires évolutives complexes,…

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Virus géants "Mollivirus sibericum" vus en microscopie électronique à balayage
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Virus géants "Pandoravirus salinus" vus en microscopie électronique à balayage. Ce type de virus dont la taille et la complexité génétique rivalisent avec les organismes cellulaires pourraient jouer un rôle métabolique majeur dans de nombreux écosystèmes. Les scientifiques ont étudié leur épigénome, c'est-à-dire l’ensemble des modifications épigénétiques de leurs génomes. Ils ont montré que leur ADN porte des marques épigénétiques. Les enzymes responsables, aux histoires évolutives complexes,…

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Virus géants "Pandoravirus salinus" vus en microscopie électronique à balayage
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Virus géant "Mimivirus" vu en microscopie électronique à balayage. Ce type de virus dont la taille et la complexité génétique rivalisent avec les organismes cellulaires pourraient jouer un rôle métabolique majeur dans de nombreux écosystèmes. Les scientifiques ont étudié leur épigénome, c'est-à-dire l’ensemble des modifications épigénétiques de leurs génomes. Ils ont montré que leur ADN porte des marques épigénétiques. Les enzymes responsables, aux histoires évolutives complexes, sont parfois…

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Virus géant "Mimivirus" vu en microscopie électronique à balayage
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Virus géants "Pandoravirus salinus" vus en microscopie électronique à balayage. Ce type de virus dont la taille et la complexité génétique rivalisent avec les organismes cellulaires pourraient jouer un rôle métabolique majeur dans de nombreux écosystèmes. Les scientifiques ont étudié leur épigénome, c'est-à-dire l’ensemble des modifications épigénétiques de leurs génomes. Ils ont montré que leur ADN porte des marques épigénétiques. Les enzymes responsables, aux histoires évolutives complexes,…

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Virus géants "Pandoravirus salinus" vus en microscopie électronique à balayage
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Virus géants "Mimivirus" vus en microscopie électronique à balayage. Ce type de virus dont la taille et la complexité génétique rivalisent avec les organismes cellulaires pourraient jouer un rôle métabolique majeur dans de nombreux écosystèmes. Les scientifiques ont étudié leur épigénome, c'est-à-dire l’ensemble des modifications épigénétiques de leurs génomes. Ils ont montré que leur ADN porte des marques épigénétiques. Les enzymes responsables, aux histoires évolutives complexes, sont parfois…

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Virus géants "Mimivirus" vus en microscopie électronique à balayage
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Virus géant "Pithovirus sibericum" vu en microscopie électronique à balayage. Ce type de virus dont la taille et la complexité génétique rivalisent avec les organismes cellulaires pourraient jouer un rôle métabolique majeur dans de nombreux écosystèmes. Les scientifiques ont étudié leur épigénome, c'est-à-dire l’ensemble des modifications épigénétiques de leurs génomes. Ils ont montré que leur ADN porte des marques épigénétiques. Les enzymes responsables, aux histoires évolutives complexes,…

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Virus géant "Pithovirus sibericum" vu en microscopie électronique à balayage
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Virus géant "Mollivirus sibericum" vu en microscopie électronique à balayage. Ce type de virus dont la taille et la complexité génétique rivalisent avec les organismes cellulaires pourraient jouer un rôle métabolique majeur dans de nombreux écosystèmes. Les scientifiques ont étudié leur épigénome, c'est-à-dire l’ensemble des modifications épigénétiques de leurs génomes. Ils ont montré que leur ADN porte des marques épigénétiques. Les enzymes responsables, aux histoires évolutives complexes,…

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Virus géant "Mollivirus sibericum" vu en microscopie électronique à balayage
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Particules virales vues en microscopie électronique à balayage : "Pithovirus sibericum" (en vert), "Mollivirus sibericum" (en rouge), "Pandoravirus salinus" (en bleu) et "Mimivirus" (en violet). Ils appartiennent à différentes familles de virus géants, des virus dont la taille et la complexité génétique rivalisent avec les organismes cellulaires et qui pourraient jouer un rôle métabolique majeur dans de nombreux écosystèmes. Les scientifiques ont étudié leur épigénome, c'est-à-dire l’ensemble…

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Virus géants Pithovirus sibericum, Mollivirus sibericum, Pandoravirus salinus et Mimivirus
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Image améliorée d'une coupe fine de "Pandoravirus quercus", observé en microscopie électronique. Cette souche découverte à Marseille appartient à la famille de virus géants pandoravirus, caractérisés par leur forme en amphore et leur génome géant et atypique. Ils ne partagent que la moitié de leurs gènes codant pour des protéines, ce qui n'est pas la norme dans une même famille. Les nombreux gènes orphelins (sans équivalent chez d'autres organismes) et leur diversité d'un cas à l'autre laissent…

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Coupe fine de "Pandoravirus quercus" observé en microscopie électronique
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Image améliorée et colorisée d'une coupe fine de "Pandoravirus quercus", observé en microscopie électronique. Cette souche découverte à Marseille appartient à la famille de virus géants pandoravirus, caractérisés par leur forme en amphore et leur génome géant et atypique. Ils ne partagent que la moitié de leurs gènes codant pour des protéines, ce qui n'est pas la norme dans une même famille. Les nombreux gènes orphelins (sans équivalent chez d'autres organismes) et leur diversité d'un cas à l…

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Coupe fine de "Pandoravirus quercus" observé en microscopie électronique
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Particules de quatre familles de virus géants, observées en microscopie électronique à balayage. Les plus grandes dimensions vont approximativement de 0,6 micromètre (Mollivirus) à 1,5 micromètre (Pandoravirus). "Mollivirus sibericum" en haut à gauche, représente une famille de virus géant distincte des 3 autres répertoriées auparavant. Il a été découvert dans un échantillon de sol gelé en provenance de Sibérie et daté de 30 000 ans.

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Microscopie électronique à balayage des particules de 4 familles de virus géants
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Coupe du virus géant "Pithovirus sibericum", observé en microscopie électronique à transmission. Les virus géants sont les seuls virus visibles en microscopie optique, du fait d'un diamètre supérieur à 0,5 micromètre. "Pithovirus sibericum", vieux de plus de 30 000 ans (Pléistocène supérieur), mesure 1,5 µm de long pour un diamètre de 0,5 µm. Il a été découvert dans un échantillon de sol gelé en provenance de l'extrême nord-est sibérien. Sa taille et sa forme en amphore rappellent celles de…

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Virus géant "Pithovirus sibericum"
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Image colorisée d'une coupe du virus géant "Pithovirus sibericum", observé en microscopie électronique à transmission. Les virus géants sont les seuls virus visibles en microscopie optique, du fait d'un diamètre supérieur à 0,5 micromètre. "Pithovirus sibericum", vieux de plus de 30 000 ans (Pléistocène supérieur), mesure 1,5 µm de long pour un diamètre de 0,5 µm. Il a été découvert dans un échantillon de sol gelé en provenance de l'extrême nord-est sibérien. Sa taille et sa forme en amphore…

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Virus géant "Pithovirus sibericum"
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Image colorisée d'une coupe du virus géant "Pithovirus sibericum", observé en microscopie électronique à transmission. Les virus géants sont les seuls virus visibles en microscopie optique, du fait d'un diamètre supérieur à 0,5 micromètre. "Pithovirus sibericum", vieux de plus de 30 000 ans (Pléistocène supérieur), mesure 1,5 µm de long pour un diamètre de 0,5 µm. Il a été découvert dans un échantillon de sol gelé en provenance de l'extrême nord-est sibérien. Sa taille et sa forme en amphore…

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Virus géant "Pithovirus sibericum"
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Image retravaillée d'une coupe du virus géant "Pithovirus sibericum", observé en microscopie électronique à transmission. Les virus géants sont les seuls virus visibles en microscopie optique, du fait d'un diamètre supérieur à 0,5 micromètre. "Pithovirus sibericum", vieux de plus de 30 000 ans (Pléistocène supérieur), mesure 1,5 µm de long pour un diamètre de 0,5 µm. Il a été découvert dans un échantillon de sol gelé en provenance de l'extrême nord-est sibérien. Sa taille et sa forme en amphore…

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Virus géant "Pithovirus sibericum"
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Observation en microscopie électronique d'un "Pandoravirus dulcis", un virus géant découvert dans les sédiments d'une mare d'eau douce à Melbourne, en Australie. Le nombre de ses gènes rivalise avec celui de certains microorganismes cellulaires eucaryotes. Le terme "Pandoravirus" évoque à la fois sa forme en amphore et son contenu génétique mystérieux. Ce virus géant n'a quasiment aucun point commun avec les virus géants précédemment découverts. Les Pandoravirus n'ont aucun gène qui leur…

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Observation en microscopie électronique d'un "Pandoravirus dulcis", un virus géant découvert dans le
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Rendu esthétique d'une image de microscopie électronique d'un "Pandoravirus dulcis", un virus géant découvert dans les sédiments d'une mare d'eau douce à Melbourne, en Australie. Le nombre de ses gènes rivalise avec celui de certains microorganismes cellulaires eucaryotes. Le terme "Pandoravirus" évoque à la fois sa forme en amphore et son contenu génétique mystérieux. Ce virus géant n'a quasiment aucun point commun avec les virus géants précédemment découverts. Les Pandoravirus n'ont aucun…

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Rendu esthétique d'une image de microscopie électronique d'un "Pandoravirus dulcis", un virus géant
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Vue agrandie de l'apex, l'extrémité, d'un "Pandoravirus dulcis", observé par microscopie électronique. Ce virus géant a été découvert dans les sédiments d'une mare d'eau douce à Melbourne, en Australie. Le nombre de ses gènes rivalise avec celui de certains microorganismes cellulaires eucaryotes. Le terme "Pandoravirus" évoque à la fois sa forme en amphore et son contenu génétique mystérieux. Ce virus géant n'a quasiment aucun point commun avec les virus géants précédemment découverts. Les…

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Vue agrandie de l'apex, l'extrémité, d'un "Pandoravirus dulcis", observé par microscopie électroniqu
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Rendu esthétique d'une image de microscopie électronique d'un "Pandoravirus salinus", un virus géant découvert dans les sédiments des côtes chiliennes. Le nombre de ses gènes rivalise avec celui de certains microorganismes cellulaires eucaryotes. Le terme "Pandoravirus" évoque à la fois sa forme en amphore et son contenu génétique mystérieux. Seul un infime pourcentage (6%) des protéines codées par les 2 500 gènes de "Pandoravirus salinus" ressemble à des protéines déjà répertoriées dans les…

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Rendu esthétique d'une image de microscopie électronique d'un "Pandoravirus salinus", un virus géant
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Observation en microscopie électronique d'un "Pandoravirus salinus", un virus géant découvert dans les sédiments des côtes chiliennes. Le nombre de ses gènes rivalise avec celui de certains microorganismes cellulaires eucaryotes. Le terme "Pandoravirus" évoque à la fois sa forme en amphore et son contenu génétique mystérieux. Seul un infime pourcentage (6%) des protéines codées par les 2 500 gènes de "Pandoravirus salinus" ressemble à des protéines déjà répertoriées dans les autres virus ou…

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Observation en microscopie électronique d'un "Pandoravirus salinus", un virus géant découvert dans l
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Observation en microscopie électronique d'un "Pandoravirus dulcis", un virus géant découvert dans les sédiments d'une mare d'eau douce à Melbourne, en Australie. Le nombre de ses gènes rivalise avec celui de certains microorganismes cellulaires eucaryotes. Le terme "Pandoravirus" évoque à la fois sa forme en amphore et son contenu génétique mystérieux. Ce virus géant n'a quasiment aucun point commun avec les virus géants précédemment découverts. Les Pandoravirus n'ont aucun gène qui leur…

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Observation en microscopie électronique d'un "Pandoravirus dulcis", un virus géant découvert dans le
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Observation en microscopie électronique d'un "Pandoravirus dulcis", un virus géant découvert dans les sédiments d'une mare d'eau douce à Melbourne, en Australie. Le nombre de ses gènes rivalise avec celui de certains microorganismes cellulaires eucaryotes. Le terme "Pandoravirus" évoque à la fois sa forme en amphore et son contenu génétique mystérieux. Ce virus géant n'a quasiment aucun point commun avec les virus géants précédemment découverts. Les Pandoravirus n'ont aucun gène qui leur…

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Observation en microscopie électronique d'un "Pandoravirus dulcis", un virus géant découvert dans le
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Observation en microscopie électronique d'un "Pandoravirus salinus", un virus géant découvert dans les sédiments des côtes chiliennes. Le nombre de ses gènes rivalise avec celui de certains microorganismes cellulaires eucaryotes. Le terme "Pandoravirus" évoque à la fois sa forme en amphore et son contenu génétique mystérieux. Seul un infime pourcentage (6%) des protéines codées par les 2 500 gènes de "Pandoravirus salinus" ressemble à des protéines déjà répertoriées dans les autres virus ou…

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Observation en microscopie électronique d'un "Pandoravirus salinus", un virus géant découvert dans l
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Image retravaillée de microscopie électronique d'un "Pandoravirus dulcis", un virus géant découvert dans les sédiments d'une mare d'eau douce à Melbourne, en Australie. Le nombre de ses gènes rivalise avec celui de certains microorganismes cellulaires eucaryotes. Le terme "Pandoravirus" évoque à la fois sa forme en amphore et son contenu génétique mystérieux. Ce virus géant n'a quasiment aucun point commun avec les virus géants précédemment découverts. Les Pandoravirus n'ont aucun gène qui leur…

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Image retravaillée de microscopie électronique d'un "Pandoravirus dulcis", un virus géant découvert
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Carte génomique du virus géant ”Pandoravirus salinus” découvert dans les sédiments des côtes chiliennes en 2013. Le nombre de ses gènes rivalise avec celui de certains microorganismes cellulaires eucaryotes. Le terme "Pandoravirus" évoque à la fois sa forme en amphore et son contenu génétique mystérieux. Seul un infime pourcentage (6%) des protéines codées par les 2 500 gènes de "Pandoravirus salinus" ressemble à des protéines déjà répertoriées dans les autres virus ou organismes cellulaires…

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Carte génomique du virus géant ”Pandoravirus salinus”

CNRS Images,

Our work is guided by the way scientists question the world around them and we translate their research into images to help people to understand the world better and to awaken their curiosity and wonderment.