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Vue au microscope électronique à balayage (MEB) de la surface d'un verre métallique contenant du nickel (Ni), après une attaque par de l'hydroxyde de potassium (KOH). On observe une trace de résine (résidu du procédé de fabrication) avec un précipité de nickel dans la tache sombre. L'utilisation de ce verre métallique est envisagée pour remplacer le platine (rare et cher) comme matériau d'électrode pour la production d'hydrogène par électrolyse de l'eau. Cette image a été obtenue lors de recherches sur la modulation mécanique de l'activité chimique des surfaces (projet MCADAMS) de verres métalliques. Ces recherches sont soutenues par la Cellule Énergie du CNRS dans le cadre de son appel à projets exploratoires premier soutien (PEPS) dans le domaine de l'énergie.
