Actualité scientifique

Pariscience lance sa 18ᵉ édition

Fort d’un programme plus alléchant que jamais, le Festival international du film scientifique revient pour une 18ᵉ édition ouverte au public du 27 au 31 octobre.

Une coquille Saint-Jacques (Pecten maximus) sur un fond de maërl, en rade de Brest. La fermeture brutale de ses valves émet un bruit caractéristique dont l’étude pourrait apporter de précieuses informations sur son comportement.

Une coquille Saint-Jacques (Pecten maximus) sur un fond de maërl, en rade de Brest. La fermeture brutale de ses valves émet un bruit caractéristique dont l’étude pourrait apporter de précieuses informations sur son comportement.

© Erwan Amice / LEMAR / CNRS Photothèque

Entendons-nous : ici sans doute plus encore qu’ailleurs, nous sommes loin de penser que la science, c’est du cinéma. Pour autant, nous savons bien combien la mise en images des savoirs peut être féconde pour informer, transmettre, alerter, émerveiller.

Et par bonheur, c’est aussi la conviction du festival Pariscience, dont la 18^e édition s’ouvre au grand public à compter du jeudi 27 octobre à l’Institut de physique du globe de Paris (IPGP), au Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) ainsi que dans une salle virtuelle accessible à tous sur l’ensemble du territoire. Pour les amoureux de sciences et d’images, c’est Noël avant l’heure : des dizaines d’œuvres et de films, sept compétitions internationales, quatorze prix dotés, des rencontres avec des professionnels de la science et de l’audiovisuel, des séances et soirées spéciales… et une multitude de thématiques scientifiques ! Difficile d’imaginer que rien, dans ce programme pléthorique et exigeant, ne vous conduise à passer les portes d’une des salles…

Et parce que nous ne sommes pas en reste, vous pourrez y découvrir quatre films auxquels nous avons participé :

Le Peuple des airs (le 28 octobre à 17h15 dans l’amphithéâtre Verniquet du MNHN),
L’Abominable mystère des fleurs (le 29 octobre à 10h, au même endroit),
L’Odyssée de la coquille Saint-Jacques (le 29 octobre à 17h15 au même endroit), et
La grotte Cosquer, un chef-d’œuvre en sursis » (le 30 octobre à 10h30 dans l’auditorium de la Grande galerie de l’évolution).

Nous vous invitons à venir nombreux, les yeux grands ouverts, prêts à faire le plein de savoir et d’images à couper le souffle !

En prélude, découvrez ici des images faites par Erwan Amice, plongeur et photographe scientifique, sur la sentinelle de l’océan qu’est la coquille Saint-Jacques et sur les recherches au Laboratoire des sciences de l’environnement marin (LEMAR).

Erwan Amice

Voir la galerie photo d’Erwan Amice

Mise à l'eau d'un plongeur scientifique au bord de morceaux de banquise dérivante, dans le fjord Young Sund, au Groenland. Il est à la recherche d'algues se développant sur la glace et qui pourraient entrer dans le régime alimentaire de la faune benthique. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes benthiques arctiques, et notamment le renouvellement des populations de bivalves, en étudiant les retards à la…

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Coquille de Saint Jacques, "Pecten maximus" sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

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Dispositif de prise de sons, pour enregistrer les bruits de la faune, au large de Belle-Île-en-Mer. Le trépied (jaune), supporte un hydrophone composé d'un ou plusieurs micros, une batterie et un enregistreur. Il peut être plongé dans l'eau pendant plusieurs semaines. Des plages horaires d'enregistrement peuvent être programmées en fonction des périodes que les scientifiques souhaitent écouter, l'activité n'étant pas forcément la même le jour ou la nuit, par exemple. Ce recueil de données est…

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Envol d'une coquille Saint-Jacques, "Pecten maximus", fuyant devant un prédateur (Manche).

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Coquille de Saint-Jacques "Pecten maximus" sur l'île de Groix, au large de la Bretagne, dans l'Océan Atlantique.

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Coquille Saint-Jacques, "Pecten maximus", et crépidules, "Crepidula fornicata", fixées sur la valve supérieure. Rade de Brest, Bretagne, océan Atlantique.

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Coquille Saint-Jacques, "Pecten maximus". Détail de stries permettant d'observer, en bordure, les yeux de ce mollusque. Rade de Brest, Bretagne, océan Atlantique.

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Coquille Saint-Jacques, "Pecten Maximus", sur un fond de maërl, en rade de Brest. La fermeture brutale des valves des coquilles Saint-Jacques émet un bruit caractéristique dont l'étude pourrait apporter de précieuses informations sur le comportement des coquilles et leur réaction aux conditions du milieu dans lequel elles évoluent.

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Coquille Saint-Jacques, "Pecten maximus". Ce mollusque bivalve possède un système sensitif olfactif très développé qui lui permet de détecter l'un de ses prédateurs, l'étoile de mer. Rade de Brest, Bretagne, océan Atlantique.

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Mesure de la taille d'une coquille Saint-Jacques, "Pecten maximus", en fonction de son âge. L'étude de la coquille de ce mollusque permet de montrer son rôle d'indicateur biologique de l'environnement. Rade de Brest, Bretagne, océan Atlantique.

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Coquille Saint-Jacques, "Pecten Maximus", Ce mollusque bivalve possède un système sensitif olfactif très développé qui lui permet de détecter l'un de ses prédateurs, l'étoile de mer. Rade de Brest, Bretagne, océan Atlantique.

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Coquille Saint-Jacques, "Pecten Maximus", Ce mollusque bivalve possède un système sensitif olfactif très développé qui lui permet de détecter l'un de ses prédateurs, l'étoile de mer. Rade de Brest, Bretagne, océan Atlantique.

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Coquille Saint-Jacques, "Pecten maximus", se déplaçant sur les fonds marins, en Bretagne nord. Sa croissance irrégulière, marquée par des stries, dépend des conditions du milieu.

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Comptage des stries d'une coquille Saint-Jacques, grâce à une loupe binoculaire, une caméra numérique et un logiciel de mesure, pour évaluer son âge. L'étude de la coquille de ce mollusque permet de montrer son rôle d'indicateur biologique de l'environnement.

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Coquille Saint-Jacques, "Pecten maximus", pêchée au large de la Bretagne, en océan Atlantique. L'étude de la coquille de ce mollusque permet de montrer son rôle d'indicateur biologique de l'environnement.

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Coquilles Saint-Jacques, "Pecten maximus", pêchées à la drague en rade de Brest (Bretagne, océan Atlantique).

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Comptage du nombre de stries de croissance d'une coquille Saint-Jacques, "Pecten maximus", grâce à un éclairage rasant et une loupe binoculaire. L'étude de ce mollusque permet de montrer son rôle d'indicateur biologique de l'environnement.

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Vidange d'une drague scientifique sur le pont du navire de façade "Côtes d'Aquitaine", en rade de Brest, en Bretagne, océan Atlantique. Prélèvement de coquilles Saint-Jacques, "Pecten maximus", et de crépidules, "Crepidula fornicata". L'étude de la coquille de ces mollusques permet de montrer leur rôle d'indicateurs biologiques de l'environnement.

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Erwane Amice et Laurent Chauvaud, plongeurs photographes au CNRS partent à la découverte des fonds marins dans la base Antarctique française de Dumont d'Urville. Ils photographient la faune et la flore polaires sous-marines qui contrairement à la surface sont très riches. Ils étudient plus particulièrement le pétoncle : la datation sur les marques à la surface de la coquille, les contenus chimiques de la coquille qui servent de traceurs permettant d'avoir des…

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Sur les glaces flottantes de l’archipel du Svalbard, cette femelle morse de l’Arctique se laisse porter par le courant. Dans cette région où les températures augmentent deux fois plus vite que dans le reste du monde, le morse fait face à la fonte de son habitat. Au recul de la banquise, se sont ajoutées les pollutions marine et sonore, directement et indirectement liées aux activités humaines. Ces perturbations affectent le benthos, composé de petits organismes animaux et végétaux vivant dans…

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La débâcle tardive de la banquise n’a pas facilité la mission des chercheurs. Le photographe situé à quinze mètres de profondeur parvient à les capturer au fond du fjord Young Sund à l’est du Groenland. Sous un mètre et demi de neige et une croûte glacée de près de deux mètres, ils prélèvent des spécimens de bivalves ou lamellibranches. Retard de développement, anomalie de croissance : ces petits mollusques à coques sont témoins des dérèglements climatiques qui bouleversent les écosystèmes…

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Hydrophone enregistreur autonome, installé sur le fond marin de la baie de Saint-Pierre, l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Il permet d'enregistrer l'environnement acoustique et les bruits des animaux. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

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Paysage benthique commun dans l'archipel de Saint Pierre et Miquelon : oursins verts, "Strongylocentrotus droenbachiensis" sur une roche recouverte par une algue calcaire encroûtante et une étoile de mer, "Asterias rubens". Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

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Champs d'algues laminaires à trous, agar criblé, "Agarum cribrosum", dans la Passe à Henry, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. C'est l'une des rares Laminariacées à résister au broutage des oursins verts. Elle synthétise des substances chimiques qui la rendent non comestible pour ceux-ci. Sa fronde (lame) criblée de trous est un phénomène unique chez les algues. Ces trous augmenteraient la turbulence de l'eau contre la surface de la fronde et amélioreraient ainsi les échanges…

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Plongeur scientifique prélevant des "verrues" d'algue calcaire, dans la Passe à Henry, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Certaines algues rouges déposent des cristaux de carbonate de calcium dans la paroi de leurs cellules et deviennent dures comme de la roche. Le carbonate de calcium est un sous-produit de la photosynthèse. Ces algues calcaires se présentent comme de petits arbustes rigides (Corallina) ou, plus fréquemment, sous forme d'une croûte rose appliquée contre la roche ou…

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Dahlia de mer, "Urticina felina", des anémones plumeuses "Metridium senile" ou œillets de mer, et des moules géantes "Modiolus modiolus", sur une roche de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Le dahlia de mer, une anémone très colorée et souvent de grande taille, vit fermement fixée aux rochers, surtout sur les parties abritées et verticales, sur les tombants, un peu plus bas que la limite de la basse mer et jusqu'à plusieurs dizaines de mètres de profondeur. C…

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Anémones plumeuses, "Metridium senile" et bouquet d'hydrozoaires, "Tubularia crocea", à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

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Forêt d'algues, "Alaria esculenta", au niveau de la Basse du Colombier, à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

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Ange des mers, "Clione limacina", un gastéropode pélagique sans coquille, au corps transparent, dans la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Celui-ci est de forme conique, surmonté d'une tête globuleuse. Le pied de l'ange des mers s'est transformé en une paire de parapodes, organes natatoires en forme d'ailes ou de nageoires assurant son déplacement. Il se nourrit de zooplancton tel que le gastéropode thécosome "Limacina helicina", sa proie favorite. Cette image a…

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Deux bivalves, "Arctica islandica", prélevés au large de l'île de Miquelon, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Ce mollusque a une espérance de vie très longue. L'âge d'un spécimen pêché en Islande a été estimé à 500 ans par sclérochronologie (décompte du nombre de stries de croissance sur sa coquille). L'objectif est d'en faire un modèle pour essayer de reconstituer les climats du passé. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans le cadre des missions du laboratoire…

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Lunatie de l'Atlantique, "Euspira heros", sur le fond, au niveau de l'isthme de Miquelon, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Ce gastéropode affectionne les fonds de sable ou de vase où il s'enfonce grâce à son pied musculeux, à la recherche d'autres mollusques (moules, myes, coques), dans lesquels il perce des trous ronds à l'aide de sa radula (langue), avant de se nourrir des parties molles. Au fond, un plongeur prélevant des tissus de mollusque bivalve "Arctica islandica", en vue de…

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Couple de mouettes tridactyles, "Rissa tridactyla", nichant dans les falaises du Grand Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

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Le N/O Antea, au large de Saint-Pierre-et-Miquelon, est un catamaran de 35 m qui opère en océan Atlantique et Indien. Il est basé en France. Il réalise des missions en océanographie physique (câble électroporteur, ADCP de coque), en biologie (chalutage, sondeur 4 fréquences, capteurs scanmar). Il est aussi utilisé en tant que navire support pour des missions de plongée (étude de la biodiversité). Cette image a été réalisée lors du programme Matisse à Saint-Pierre-et-Miquelon, dans le cadre des…

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Deux scientifiques pèchent du plancton dans le fjord Young Sund, au pied de Basalt Island, au Groenland. Pour identifier les espèces de plancton en fonction de la saison, il est important de faire des collectes régulières. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes benthiques arctiques, et notamment le renouvellement des populations de bivalves, en étudiant les retards à la métamorphose de ces derniers.

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Renard polaire, "Vulpes lagopus", adulte avec son pelage d'hiver, aux abords de la station de Daneborg, au Groenland. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC.

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Plongeur scientifique observant la formation d’une brinicle, appelée aussi doigt glacé de la mort, dans le fjord Young Sund, au Groenland. La brinicle est une stalactite de glace qui se forme en hiver au moment de la constitution de la banquise lorsqu’une précipitation de saumure se déverse dans la mer et gèle, parfois sur plusieurs mètres. La fragilité de la stalactite rend ce phénomène éphémère difficile à observer. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC.

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Creusement d'un trou dans la banquise à l’aide d’une tarière, dans le fjord Young Sund, au Groenland. Après avoir déblayé la neige et foré le contour du trou, ils cassent la glace à l’aide d’une scie ou d’une tronçonneuse. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes benthiques arctiques, et notamment le renouvellement des populations de bivalves, en étudiant les retards à la métamorphose de ces derniers.

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Plongeur scientifique sous un chaos de glace dans le fjord Young Sund, au pied de Basalt Island, au Groenland. Lors de la formation de la banquise, le gel et la destruction successifs de la glace ont provoqué la création de multiples plaques figées les unes dans les autres. La ligne de vie que l’on voit descendre du trou creusé dans la banquise relie la surface et le fond. Elle permet aux plongeurs, descendus pour prélever des sédiments et des bivalves, de s’orienter. Cette image a été réalisée…

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Vue aérienne du nord-est du Groenland (entre Constable Point et Zackenberg) à la fin de l'hiver. Dans les zones les plus aux nord, la fonte de la calotte glaciaire n'a pas encore débuté. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes benthiques arctiques, et notamment le renouvellement des populations de bivalves, en étudiant les retards à la métamorphose de ces derniers.

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Mesures de la salinité de l'eau de mer influencée par l'eau douce des différents cours d'eau, dans la rade de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

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Crabe commun, "Cancer irroratus", sur le fond marin, à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Il est facilement reconnaissable à sa carapace aplatie, bordée de dents sur sa face antérieure et ses fortes pinces, qu'il brandit de façon menaçante à la moindre provocation. C'est un prédateur actif et un détritivore se nourrissant volontiers de charogne. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire…

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Anémones plumeuses "Metridium senile" ou œillets de mer, sur une roche, à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette roche est également couverte d'algues encroûtantes calcaires et d'oursins. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

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A la fin de l’été au Groenland (entre Constable Point et Zackenberg), la neige ne se maintient plus qu’à de très hautes altitudes, tandis que les cours d’eau créés par la fonte de la calotte, dont on voit les lits en partie inférieure, ont accéléré l’érosion des sols. Cette photographie illustre le réchauffement climatique et la fonte de la calotte groenlandaise. Elle a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC.

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Zone côtière du Groenland (entre Constable Point et Zackenberg), durant l’été. Les cours d’eau alimentés par la fonte des neiges et des glaciers charrient les sédiments issus de l’érosion. L’eau douce riche en alluvions donne à la côte une coloration brune particulière en se déversant dans la mer. Parce qu’il masque la clarté de l’eau, ce phénomène impacte la production de végétaux marins et perturbe la chaîne alimentaire. Cette photographie illustre les conséquences du réchauffement climatique…

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Au milieu des panaches d’alluvions, un bateau longe la côte à proximité de Constable Point, au sud-est du Groenland. Les cours d’eau alimentés par la fonte des neiges et des glaciers charrient les sédiments issus de l’érosion des terres. L’eau douce riche en alluvions donne à la côte une coloration brune particulière en se déversant dans la mer. Parce qu’il masque la clarté de l’eau, ce phénomène impacte la production de végétaux marins et perturbe la chaîne alimentaire. Cette photographie…

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Deux icebergs sur un haut-fond, à l’embouchure du fjord Young Sund, aux abords de la station de Daneborg, au Groenland. Les icebergs générés durant l’été dérivent près de la côte et s’accumulent à l’embouchure du fjord. Dans cette zone abritée du vent, ils fondent très rapidement. Les bandes de glace vive d’un bleu translucide (au second plan) ont été créées sur le glacier d’origine par la compression de la neige compactée. Horizontales lors de leur formation, ces couches de glace sont aujourd…

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Bateau d'une équipe scientifique dans une baie au sud de la station de Daneborg, au Groenland. Cette sortie avait pour but d’échantillonner les glaciers des fjords voisins du Young Sund, qui sont encore très peu connus et quasiment pas hydrographiés. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC, dont le but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes benthiques arctiques et notamment le renouvellement des populations de bivalves, en étudiant les retards à la…

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Echantillon collecté dans le fjord Young Sund, au Groenland. Au retour de la collecte, dans la station de Daneborg, chaque filet fait l’objet d’un inventaire précis des espèces collectées. Cet échantillon comprend des bivalves "Musculus discors" (individus bruns) et "Hiatella arctica" (individus blancs). Les scientifiques recherchent le bivalve qui se prêtera le mieux à une analyse sclérochronologique, une technique d'étude des cernes de croissance utilisée pour étudier le changement climatique…

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Morse de l'Atlantique, "Odobenus rosmarus", à Sand Island, à l'entrée du fjord Young Sund, au Groenland. Le morse occupe une place importante dans la culture de nombreux peuples autochtones de l'Arctique, qui le chassèrent pour sa viande, sa graisse, sa peau, ses défenses et ses os. Aux XIXe et XXe siècles, le morse fut l'objet d'une très forte exploitation commerciale de sa graisse et de l'ivoire de ses défenses, faisant diminuer rapidement ses effectifs. Depuis, sa population mondiale a de…

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Scientifique observant au microscope binoculaire un échantillon collecté dans le fjord Young Sund, au Groenland. De retour à la station de Daneborg, chaque filet fait l’objet d’un inventaire précis des espèces collectées. Le bivalve "hiatella" semble être un bon candidat pour la sclérochronologie, une technique d'étude des cernes de croissance utilisée pour étudier le changement climatique Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC, dont le but est de quantifier les effets…

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Scientifique forant un iceberg à l’aide d’une broche à glace pour y fixer un hydrophone, à l’embouchure du fjord Young Sund, aux abords de la station de Daneborg, au Groenland. L’appareil permet d’enregistrer les bruits émis par l’iceberg durant la fonte. La bouée orange (au premier plan) assure l’hydrophone afin d’éviter qu’il ne coule en cas de fonte de la glace ou de rupture de l’installation. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC, dont le but est de quantifier les…

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Plongeur prenant des photos le long de la falaise de glace d'un iceberg immergé mesurant plus de 100 m, aux abords de la base Dumont d'Urville. L'effet "balle de golf" est dû aux courants marins. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme REVOLTA (Ressources écologiques et valorisation par un observatoire à long terme en Terre Adélie). Ce programme consiste à étudier la faune et la flore de l'Antarctique, milieu qui ne subit que des variations naturelles. Cet observatoire est…

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Détail d'un iceberg, tout près de la base Dumont d'Urville, en Terre Adélie. Sa partie immergée est bien visible. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme REVOLTA (Ressources écologiques et valorisation par un observatoire à long terme en Terre Adélie). Ce programme consiste à étudier la faune et la flore de l'Antarctique, milieu qui ne subit que des variations naturelles. Cet observatoire est un préalable à la mise en place d'aires marines protégées.

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Anémones plumeuses "Metridium senile" ou œillets de mer, sur une roche, à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette roche est également couverte d'algues encroûtantes calcaires et d'oursins. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

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Navire polaire Astrolabe à quai dans le port d'Hobart (Australie, Tasmanie). Embarquement du personnel à destination de la base française Dumont d'Urville.

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Buccin polaire, "Neobuccinum eatoni", au large de la base Dumont d'Urville, Terre Adélie, Antarctique.

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Jeune phoque de Weddell, "Leptonychotes weddellii", en Terre Adélie, Antarctique.

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Mesure de la taille d'un pétoncle austral, "Adamussium colbecki", prélevé au large de la Terre Adélie (Antarctique). Le pétoncle austral est un bivalve qui "enregistre" les caractéristiques de son environnement au cours de sa croissance. En mesurant précisément la croissance de ces animaux au cours de leur vie et en déchiffrant le message chimique contenu dans leur coquille, les scientifiques ont fait de ces coquillages de très précieux assistants pour comprendre l'évolution de la planète. Mais…

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Pétoncle austral en chambre de mesure in situ en Terre Adélie (Antarctique). Mesure de la respiration de ce mollusque. Le pétoncle austral est un bivalve qui "enregistre" les caractéristiques de son environnement au cours de sa croissance. En mesurant précisément la croissance de ces animaux au cours de leur vie et en déchiffrant le message chimique contenu dans leur coquille, les scientifiques ont fait de ces coquillages de très précieux assistants pour comprendre l'évolution de la planète…

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Plongeur scientifique et iceberg en Terre Adélie, Antarctique.

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Plongeur scientifique installant une enceinte benthique pour mesurer le métabolisme du pétoncle austral en Terre Adélie (Antarctique). Le pétoncle austral est un bivalve qui "enregistre" les caractéristiques de son environnement au cours de sa croissance. En mesurant précisément la croissance de ces animaux au cours de leur vie et en déchiffrant le message chimique contenu dans leur coquille, les scientifiques ont fait de ces coquillages de très précieux assistants pour comprendre l'évolution…

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Plongeur scientifique en programme d'un P.A.M. (mesure de l'activité photosynthétique du microphytobenthos en Antarctique) au large de la base Dumont d'Urville, Terre Adélie, Antarctique.

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Plongeur scientifique en expérimentation en Terre Adélie (Antarctique). Mise à l'eau d'instrumentations scientifiques.

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Valve de pétoncle austral, "Adamussium colbecki" prélevé au large de la Terre Adélie (Antarctique). On peut y voir les stries de croissance. Le pétoncle austral est un bivalve qui "enregistre" les caractéristiques de son environnement au cours de sa croissance. En mesurant précisément la croissance de ces animaux au cours de leur vie et en déchiffrant le message chimique contenu dans leur coquille, les scientifiques ont fait de ces coquillages de très précieux assistants pour comprendre l…

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Dispositif d'enceintes benthiques pour mesurer la respiration du pétoncle polaire, "Adamussium colbecki", au large de la base Dumont d'Urville, Terre Adélie, Antarctique. Le plongeur scientifique utilise également un ROV (Remote Operated Vehicle), robot qui lui permet de filmer et d'observer sous l'eau. Ces mesures sont effectuées dans le cadre du programme MACARBI (Monitoring environnemental en Antarctique basé sur l'étude des structures CARbonatées de BIvalves), qui tente de faire du pétoncle…

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Plongeur scientifique installant un courantomètre utilisé pour mesurer l'impact des courants marins sur la remise en suspension des sédiments. Rade de Brest, Bretagne, océan Atlantique.

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Mesure de la taille d'un pétoncle, "Comptopallium radula", prélevé dans le lagon sud de Nouvelle-Calédonie, dans l'océan Pacifique. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du projet de recherche IBANOE dont l'objectif est d'identifier de nouveaux indicateurs des apports anthropiques (nutriments, métaux lourds) et du fonctionnement trophique du lagon sud-ouest de Nouvelle-Calédonie. In fine, il s'agit d'appréhender l'intensité et l'étendue spatiale des apports anthropiques de Nouvelle…

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Plongeur scientifique installant une enceinte d'incubation à pétoncle, au large de la base Dumont d'Urville, Terre Adélie, Antarctique. Dans cette enceinte, un colorant fluorescent, la calcéine, est introduit pour effectuer le marquage de la coquille de ce bivalve. Ceci afin de déterminer la vitesse de croissance de l'animal. Expérience réalisée dans le cadre du programme MACARBI (Monitoring environnemental en Antarctique basé sur l'étude des structures CARbonatées de BIvalves), qui tente de…

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Enregistreur et capteur PAR (photosynthetically active radiation), mesurant le spectre d'absorption de la chlorophylle par les végétaux, dans le fjord Kongsfjorden, au Spitzberg, dans l'archipel du Svalbard, en Norvège. Cet équipement permet de mesurer la présence de phytoplancton. Cette photographie a été réalisée dans le cadre d'Apolobis, un pré-projet pour un observatoire polaire arctique au Spitzberg. L'objectif de ce projet est d'étudier l'impact des changements induits par les variations…

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Structure expérimentale, appelée "cage" par les scientifiques, acheminée sur le site où elle enregistrera les bruits de la faune sous-marine, en rade de Brest. Elle peut supporter 3 ou 4 microphones, ce qui permet de localiser l'origine des sons enregistrés. La cage, posée sur le fond, est positionnée en fonction du relief alentour, afin d'étalonner la position des sons en 3 dimensions. On peut ainsi déterminer la position du bruit d'origine. Ce recueil de données est réalisé dans le cadre de…

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Pétoncle "Chlamys islandica" équipé d'un accéléromètre, en laboratoire, au Spitzberg, dans l'archipel du Svalbard, en Norvège, avant sa réintroduction dans son milieu naturel. L'accéléromètre permet d'enregistrer les mouvements de l'animal et de connaître son activité. Cette photographie a été réalisée pendant le projet scientifique B.B. Polar qui a pour objectif l'utilisation du squelette des invertébrés marins polaires, comme bioarchives des variations environnementales des écosystèmes marins…

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Plongeuse scientifique se préparant avant une immersion dans le fjord Kongsfjorden, au Spitzberg, dans l'archipel du Svalbard, en Norvège. Elle installera des enceintes benthiques permettant d'étudier la physiologie du pétoncle "Chlamys islandica". Cette photographie a été réalisée pendant le projet scientifique B.B. Polar qui a pour objectif l'utilisation du squelette des invertébrés marins polaires, comme bioarchives des variations environnementales des écosystèmes marins côtiers arctiques…

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Coquilles de pétoncle "Chlamys islandica", en laboratoire, au Spitzberg, dans l'archipel du Svalbard, en Norvège. Elles seront ensuite ramenées en France pour de la sclérochronologie (étude de la croissance et de la géochimie des coquilles). Cette photographie a été réalisée pendant le projet scientifique B.B. Polar qui a pour objectif l'utilisation du squelette des invertébrés marins polaires, comme bioarchives des variations environnementales des écosystèmes marins côtiers arctiques. Diverses…

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Bivalves, en laboratoire, au Spitzberg, dans l'archipel du Svalbard, en Norvège. Cette photographie a été réalisée pendant le projet scientifique B.B. Polar qui a pour objectif l'utilisation du squelette des invertébrés marins polaires, comme bioarchives des variations environnementales des écosystèmes marins côtiers arctiques. Diverses méthodes sont mises en œuvre, afin de reconstituer ces variations passées, à différentes échelles de temps et d'espace et en utilisant deux espèces de bivalves …

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Plongeur installant un hydrophone sur les contreforts du fjord Kongsfjorden, au Spitzberg, dans l'archipel du Svalbard, en Norvège, pour connaître le paysage acoustique à cet endroit. Cette photographie a été réalisée pendant le projet scientifique B.B. Polar qui a pour objectif l'utilisation du squelette des invertébrés marins polaires, comme bioarchives des variations environnementales des écosystèmes marins côtiers arctiques. Diverses méthodes sont mises en œuvre, afin de reconstituer ces…

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Quatre microphones reliés à un hydrophone enregistreur (visible au fond), dans le fjord Young Sund, aux abords de la station de Daneborg, au Groenland. La présence des quatre microphones permet la géolocalisation du bruit, permettant ainsi de cibler l'écoute. Ils sont fixés dans un endroit où sont situés de nombreux terriers de crevettes, crustacés ou poissons, ce qui permet de caractériser les espèces y vivant, et donc le paysage acoustique. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet…

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CNRS Images,

Nous mettons en images les recherches scientifiques pour contribuer à une meilleure compréhension du monde, éveiller la curiosité et susciter l'émerveillement de tous.