20230052_0001
Open media modal

Vue d’artiste de protistes eucaryotes qui vivaient dans l’eau de mer il y a 2,1 milliards d’années. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans le gisement gabonais de Moulendé par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une…

Photo
20230052_0001
Protistes eucaryotes qui vivaient dans l’eau de mer il y a 2,1 milliards d’années
20230052_0002
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote encastré dans la roche hôte de schiste noir du gisement gabonais de Moulendé. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes y ont été découverts par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0002
Fossile de protiste eucaryote de 2,1 milliards d'années, gisement de Moulendé, Gabon
20230052_0003
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote encastré dans la roche hôte de schiste noir du gisement gabonais de Moulendé. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes y ont été découverts par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0003
Fossile de protiste eucaryote de 2,1 milliards d'années, gisement de Moulendé, Gabon
20230052_0004
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0004
Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
20230052_0005
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0005
Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
20230052_0006
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0006
Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
20240010_0001
Open media modal

Gorgone "Paramuricea clavata" sur la Katchoff, un plateau situé dans la rade nord de Marseille, à 60 mètres de profondeur. On y rencontre de nombreuses gorgones mais aussi des bancs de poissons. C'est l'un des sites stratégiques de la rade où les scientifiques installent des balises permettant d'enregistrer le passage de poissons marqués à l'aide d'implants acoustiques. Malgré la fréquentation de la zone pour la pêche de loisir, cette gorgone, implantée suffisamment profondément pour ne pas…

Photo
20240010_0001
Gorgone "Paramuricea clavata" à 60 mètres de profondeur, rade nord de Marseille
20230102_0001
Open media modal

Langouste rouge, "Palinurus elephas", juvénile âgée de 11 mois issue de la reproduction contrôlée et élevée à la plateforme de recherches marines Stella Mare. L'espèce, que l'on rencontre principalement en mer Méditerranée et dans le nord-est de l'océan Atlantique, est considérée comme vulnérable sur la liste rouge des espèces menacées de l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN). Forte de plus de 10 ans d’expérience sur la maîtrise de la reproduction d’espèces vulnérables…

Photo
20230102_0001
Langouste rouge juvénile issue de la reproduction contrôlée et élevée à Stella Mare
20230108_0002
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0002
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0003
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0003
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0004
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0004
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0005
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0005
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0006
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0006
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0007
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0007
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0008
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0008
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0009
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0009
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0010
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0010
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0011
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0011
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0001
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0001
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
Open media modal

Uniquement disponible pour exploitation non commerciale

Pour toute exploitation commerciale contacter le producteur délégué

Léonard de Vinci disait à ses élèves : « Va prendre tes leçons dans la nature, c'est là qu'est ton futur ! ». Les cônes sont des mollusques présents dans tous les océans. Une de leurs particularités est la production d'un venin qui paralyse leurs proies. Cette substance intéresse les chercheurs car elle ouvre la voie à de nouvelles applications thérapeutiques, notamment dans le domaine des anti-douleurs plus efficaces.

Vidéo
7770
Venins guérisseurs de l'océan (Les)
Open media modal

Uniquement disponible pour exploitation non commerciale

Claire Hellio développe des solutions innovantes bio inspirées, à partir de molécules actives produites par les algues et les microorganismes. Mené au Laboratoire des sciences de l'environnement marin, ce travail de valorisation, à l'interface entre la chimie, la biologie, la biochimie et l'écologie, est notamment réalisé via la plateforme de bioprospection Biodimar, que Claire Hellio dirige. Les applications visent principalement les domaines des cosmétiques (antioxydants et…

Vidéo
7795
Médaille de l'Innovation 2023 : Claire Hellio, chercheuse en biotechnologies marines
Open media modal

Uniquement disponible pour exploitation non commerciale

Plus d'un an après sa mise à l'eau, BathyBot vient de s'éveiller au fond de la mer Méditerranée. Plongez aux côtés de ce robot téléopéré depuis la surface, le premier à être installé de façon permanente à 2400 mètres de profondeur pour au moins cinq ans. Accompagné d'un récif artificiel et d'une batterie d'instruments, BathyBot permettra d'étudier la biodiversité, la bioluminescence et les processus biogéochimiques des fonds marins. Imaginé scientifiquement par…

Vidéo
7685
BathyBot, le robot des profondeurs
20220020_0059
Open media modal

BathyBot dans le BathyDock, sur le pont du navire océanographique Pourquoi pas ? Une fois installé sur le fond marin, le BathyDock reliera le robot à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en…

Photo
20220020_0059
BathyBot dans le BathyDock, sur le pont du N/O Pourquoi pas ?
20220020_0061
Open media modal

Mise à l’eau de BathyBot depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands…

Photo
20220020_0061
Mise à l’eau de BathyBot depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0064
Open media modal

Mise à l’eau de BathyBot depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands…

Photo
20220020_0064
Mise à l’eau de BathyBot depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0066
Open media modal

Mise à l’eau de BathyBot. Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le…

Photo
20220020_0066
Mise à l’eau de BathyBot
20220020_0067
Open media modal

Mise à l’eau de BathyBot. Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le…

Photo
20220020_0067
Mise à l’eau de BathyBot
20220020_0062
Open media modal

Mise à l’eau de BathyBot. Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le…

Photo
20220020_0062
Mise à l’eau de BathyBot
20220020_0063
Open media modal

Mise à l’eau de BathyBot. Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le…

Photo
20220020_0063
Mise à l’eau de BathyBot
20220020_0065
Open media modal

Mise à l’eau de BathyBot. Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le…

Photo
20220020_0065
Mise à l’eau de BathyBot
20220103_0004
Open media modal

Pas d'utilisation commerciale

Isopode "Idotea balthica" fortement agrippé à une algue rouge "Gracilaria gracilis". Ce petit crustacé utilise les algues rouges pour s'abriter et se nourrit des microalgues qui poussent à leur surface. Des scientifiques de la Station biologique de Roscoff ont démontré qu'il facilite également leur fécondation. Les gamètes mâles libérés par les gracilaires adhèrent aux pattes des idotées qui les déposent sur les algues femelles, de la même manière que certains insectes pollinisent les plantes à…

Photo
20220103_0004
Isopode "Idotea balthica" agrippé à une algue rouge "Gracilaria gracilis"
20220103_0005
Open media modal

Pas d'utilisation commerciale

Isopode "Idotea balthica" fortement agrippé à une algue rouge "Gracilaria gracilis". Ce petit crustacé utilise les algues rouges pour s'abriter et se nourrit des microalgues qui poussent à leur surface. Des scientifiques de la Station biologique de Roscoff ont démontré qu'il facilite également leur fécondation. Les gamètes mâles libérés par les gracilaires adhèrent aux pattes des idotées qui les déposent sur les algues femelles, de la même manière que certains insectes pollinisent les plantes à…

Photo
20220103_0005
Isopode "Idotea balthica" agrippé à une algue rouge "Gracilaria gracilis"
20220103_0006
Open media modal

Pas d'utilisation commerciale

Isopode "Idotea balthica" fortement agrippé à une algue rouge "Gracilaria gracilis". Ce petit crustacé utilise les algues rouges pour s'abriter et se nourrit des microalgues qui poussent à leur surface. Des scientifiques de la Station biologique de Roscoff ont démontré qu'il facilite également leur fécondation. Les gamètes mâles libérés par les gracilaires adhèrent aux pattes des idotées qui les déposent sur les algues femelles, de la même manière que certains insectes pollinisent les plantes à…

Photo
20220103_0006
Isopode "Idotea balthica" agrippé à une algue rouge "Gracilaria gracilis"
20220103_0007
Open media modal

Pas d'utilisation commerciale

Isopode "Idotea balthica" broutant les algues vertes épiphytes poussant à la surface d'une algue rouge "Gracilaria gracilis". L’interaction entre ce petit crustacé marin et l'algue rouge pourrait être à bénéfices réciproques : en se nourrissant des épiphytes, il nettoie l’algue et favorise la fécondation en transportant les gamètes mâles collés à ses pattes d’une algue mâle vers une femelle, de la même manière que certains insectes pollinisent les plantes à fleurs. Ce type d’interaction entre…

Photo
20220103_0007
Isopode "Idotea balthica" broutant des algues épiphytes sur une algue rouge "Gracilaria gracilis"
20220103_0008
Open media modal

Pas d'utilisation commerciale

Distribution des gamètes de l'algue rouge "Gracilaria gracilis" sur le corps d'un jeune spécimen d'idotée, "Idotea balthica", vue en microscopie confocale. Ce petit crustacé marin utilise les gracilaires pour s'abriter et se nourrit des microalgues qui poussent à leur surface. Des scientifiques de la Station biologique de Roscoff ont démontré qu'il facilite également leur fécondation. Les gamètes mâles libérés par les gracilaires adhèrent aux pattes des idotées qui les déposent sur les algues…

Photo
20220103_0008
Distribution des gamètes d'algue rouge "Gracilaria gracilis" sur une idotée
20220103_0009
Open media modal

Pas d'utilisation commerciale

Accumulation des gamètes de l'algue rouge "Gracilaria gracilis" sur une des pattes (péréopode) d'une jeune idotée, vue en microscopie confocale. Ce petit crustacé marin utilise les gracilaires pour s'abriter et se nourrit des microalgues qui poussent à leur surface. Des scientifiques de la Station biologique de Roscoff ont démontré qu'il facilite également leur fécondation. Les gamètes mâles libérés par les gracilaires adhèrent aux pattes des idotées qui les déposent sur les algues femelles,…

Photo
20220103_0009
Accumulation de gamètes d'algue rouge "Gracilaria gracilis" sur une idotée, microscopie confocale
20220115_0001
Open media modal

Corb, "Sciaena umbra", présentant un élastomère de marquage, relâché dans le port de Saint-Florent, en Haute-Corse. Cet individu provient d'un lot élevé en laboratoire par la plateforme Stella mare et relâché en mer à des fins de restauration écologique. Le marquage qui fluoresce sous lumière UV permet de distinguer, lors des suivis en plongée, ces individus de ceux issus des pontes du milieu. La plateforme Stella mare est dédiée à l’ingénierie écologique marine et littorale. Elle réunit…

Photo
20220115_0001
Corb relâché dans le port de Saint-Florent, en Haute-Corse, par Stella mare
20220115_0002
Open media modal

Araignées de mer, "Maja squinado", à Stella Mare. De gauche à droite, un individu d'un mois et demi et deux individus d'un an issus de l’écloserie du laboratoire, ainsi qu'un adulte géniteur prélevé en milieu naturel. La disparité de taille observée pour les deux individus d’un an peut venir de différences génétiques ou être liée à l'environnement et l'alimentation durant le grossissement. Les recherches menées par les équipes de la plateforme Stella mare ont permis de maîtriser le cycle…

Photo
20220115_0002
Araignées de mer issues de l’écloserie et adulte géniteur à Stella Mare
20220020_0080
Open media modal

Surveillance du Nautile depuis le poste de contrôle de ce sous-marin habité sur le navire océanographique Pourquoi pas ? Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon déroulement. Ces équipements comprennent un sismographe, un spectromètre…

Photo
20220020_0080
Surveillance du Nautile depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0081
Open media modal

Surveillance du Nautile depuis le poste de contrôle de ce sous-marin habité sur le navire océanographique Pourquoi pas ? Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon déroulement. Ces équipements comprennent un sismographe, un spectromètre…

Photo
20220020_0081
Surveillance du Nautile depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0079
Open media modal

Remontée du Nautile sur le navire océanographique Pourquoi pas ? Le plongeur sur le pont appartient à une équipe qui a rattaché le sous-marin au navire océanographique et sécurisé sa récupération. Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon…

Photo
20220020_0079
Remontée du Nautile sur le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0083
Open media modal

Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? au large de Toulon. La rosette-CTD, à gauche, est un instrument d’échantillonnage en océanographie permettant d’avoir des profils des conditions hydrologiques au cours du déploiement. Le marine snow catcher est un échantillonneur d’eau de grand volume qui collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le…

Photo
20220020_0083
Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0084
Open media modal

Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? au large de Toulon. Cet échantillonneur d’eau de grand volume collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures pour décantation. Les particules coulent au fond et les 7 litres de la partie inférieure représentent donc le plus grand intérêt. Les 93 litres restants sont…

Photo
20220020_0084
Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0085
Open media modal

Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? au large de Toulon. Cet échantillonneur d’eau de grand volume collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures pour décantation. Les particules coulent au fond et les 7 litres de la partie inférieure représentent donc le plus grand intérêt. Les 93 litres restants sont…

Photo
20220020_0085
Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0086
Open media modal

Récupération d’un marine snow catcher après un prélèvement au large de Toulon, depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Il est déposé sur le pont pour décantation. La rosette-CTD à droite est un autre type d’échantillonneur d’eau. Le marine snow catcher est un échantillonneur d’eau de grand volume qui collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures…

Photo
20220020_0086
Récupération d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
20220020_0091
Open media modal

Vue depuis le pont arrière du navire océanographique Pourquoi pas ? Ce navire de la flotte océanographique opérée par l’Ifremer est utilisé lors de campagnes dans tous les domaines des sciences de l’environnement. Cette image a été réalisée durant la campagne d’installation de plusieurs instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le BathyReef (un récif artificiel…

Photo
20220020_0091
Vue depuis le pont arrière du N/O Pourquoi pas ?
20220020_0087
Open media modal

Intérieur du BathyReef. Le récif artificiel bioinspiré BathyReef est un colonisateur en béton dont la forme s’inspire des ascidies, un animal vivant dans les fonds marins. Il est installé sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec plusieurs autres dispositifs : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra et le rover sous-marin benthique BathyBot. Ce robot suivra sur plusieurs années l’environnement, la biodiversité et les…

Photo
20220020_0087
Intérieur du BathyReef
20220020_0088
Open media modal

Surface du BathyReef. Il attend sa mise à l’eau sur le pont du navire océanographique Pourquoi pas ? Le récif artificiel bioinspiré BathyReef est un colonisateur en béton dont la forme s’inspire des ascidies, un animal vivant dans les fonds marins. Il est installé sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec plusieurs autres dispositifs : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra et le rover sous-marin benthique BathyBot. Ce robot…

Photo
20220020_0088
Surface du BathyReef, sur le pont du N/O Pourquoi pas ?
20220020_0090
Open media modal

Vue depuis la timonerie du navire océanographique Pourquoi pas ? Ce navire de la flotte océanographique opérée par l’Ifremer est utilisé lors de campagnes dans tous les domaines des sciences de l’environnement. Cette image a été réalisée durant la campagne d’installation de plusieurs instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le BathyReef (un récif artificiel bio…

Photo
20220020_0090
Vue depuis la timonerie du N/O Pourquoi pas ?

CNRS Images,

Nous mettons en images les recherches scientifiques pour contribuer à une meilleure compréhension du monde, éveiller la curiosité et susciter l'émerveillement de tous.