Vignette LPPI 2023
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En 2019, le CNRS a lancé un partenariat avec l’Acfas en déclinant en France le concours photo La preuve par l’image initié en 2010 au Québec. Pour cette cinquième édition CNRS, les acteurs de la recherche ont été invités à proposer leur plus belle image de science. Le pari de ce concours : partir de l’image, qui interpelle et interroge, et non des mots, pour montrer la recherche.
Exposition
EXP100725
La Preuve Par l'Image 2023
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Léonard de Vinci disait à ses élèves : « Va prendre tes leçons dans la nature, c'est là qu'est ton futur ! ». Les cônes sont des mollusques présents dans tous les océans. Une de leurs particularités est la production d'un venin qui paralyse leurs proies. Cette substance intéresse les chercheurs car elle ouvre la voie à de nouvelles applications thérapeutiques, notamment dans le domaine des anti-douleurs plus efficaces.

Vidéo
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Venins guérisseurs de l'océan (Les)
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Claire Hellio développe des solutions innovantes bio inspirées, à partir de molécules actives produites par les algues et les microorganismes. Mené au Laboratoire des sciences de l'environnement marin, ce travail de valorisation, à l'interface entre la chimie, la biologie, la biochimie et l'écologie, est notamment réalisé via la plateforme de bioprospection Biodimar, que Claire Hellio dirige. Les applications visent principalement les domaines des cosmétiques (antioxydants et…

Vidéo
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Médaille de l'Innovation 2023 : Claire Hellio, chercheuse en biotechnologies marines
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Gorgone "Paramuricea clavata" sur la Katchoff, un plateau situé dans la rade nord de Marseille, à 60 mètres de profondeur. On y rencontre de nombreuses gorgones mais aussi des bancs de poissons. C'est l'un des sites stratégiques de la rade où les scientifiques installent des balises permettant d'enregistrer le passage de poissons marqués à l'aide d'implants acoustiques. Malgré la fréquentation de la zone pour la pêche de loisir, cette gorgone, implantée suffisamment profondément pour ne pas…

Photo
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Gorgone "Paramuricea clavata" à 60 mètres de profondeur, rade nord de Marseille
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Plus d'un an après sa mise à l'eau, BathyBot vient de s'éveiller au fond de la mer Méditerranée. Plongez aux côtés de ce robot téléopéré depuis la surface, le premier à être installé de façon permanente à 2400 mètres de profondeur pour au moins cinq ans. Accompagné d'un récif artificiel et d'une batterie d'instruments, BathyBot permettra d'étudier la biodiversité, la bioluminescence et les processus biogéochimiques des fonds marins. Imaginé…

Vidéo
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BathyBot, le robot des profondeurs
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Langouste rouge, "Palinurus elephas", juvénile âgée de 11 mois issue de la reproduction contrôlée et élevée à la plateforme de recherches marines Stella Mare. L'espèce, que l'on rencontre principalement en mer Méditerranée et dans le nord-est de l'océan Atlantique, est considérée comme vulnérable sur la liste rouge des espèces menacées de l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN). Forte de plus de 10 ans d’expérience sur la maîtrise de la reproduction d’espèces vulnérables…

Photo
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Langouste rouge juvénile issue de la reproduction contrôlée et élevée à Stella Mare
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Vue d’artiste de protistes eucaryotes qui vivaient dans l’eau de mer il y a 2,1 milliards d’années. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans le gisement gabonais de Moulendé par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une…

Photo
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Protistes eucaryotes qui vivaient dans l’eau de mer il y a 2,1 milliards d’années
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Fossile de protiste eucaryote encastré dans la roche hôte de schiste noir du gisement gabonais de Moulendé. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes y ont été découverts par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote de 2,1 milliards d'années, gisement de Moulendé, Gabon
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Fossile de protiste eucaryote encastré dans la roche hôte de schiste noir du gisement gabonais de Moulendé. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes y ont été découverts par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote de 2,1 milliards d'années, gisement de Moulendé, Gabon
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Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
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Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
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Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
20220103_0008
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Pas d'utilisation commerciale

Distribution des gamètes de l'algue rouge "Gracilaria gracilis" sur le corps d'un jeune spécimen d'idotée, "Idotea balthica", vue en microscopie confocale. Ce petit crustacé marin utilise les gracilaires pour s'abriter et se nourrit des microalgues qui poussent à leur surface. Des scientifiques de la Station biologique de Roscoff ont démontré qu'il facilite également leur fécondation. Les gamètes mâles libérés par les gracilaires adhèrent aux pattes des idotées qui les déposent sur les algues…

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Distribution des gamètes d'algue rouge "Gracilaria gracilis" sur une idotée
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Pas d'utilisation commerciale

Accumulation des gamètes de l'algue rouge "Gracilaria gracilis" sur une des pattes (péréopode) d'une jeune idotée, vue en microscopie confocale. Ce petit crustacé marin utilise les gracilaires pour s'abriter et se nourrit des microalgues qui poussent à leur surface. Des scientifiques de la Station biologique de Roscoff ont démontré qu'il facilite également leur fécondation. Les gamètes mâles libérés par les gracilaires adhèrent aux pattes des idotées qui les déposent sur les algues femelles,…

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Accumulation de gamètes d'algue rouge "Gracilaria gracilis" sur une idotée, microscopie confocale
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Mieux comprendre la physique, la chimie et la biologie des océans, et ainsi mieux prévoir leurs effets sur l'évolution du climat, c'est l'objet du réseau scientifique mondial de flotteurs profileurs Argo. Des plateformes autonomes qui parcourent les profondeurs aquatiques à la rencontre des courants et du petit peuple océanique. Dernier-né de cette flotte, un petit bijou de technologie, le flotteur profileur BGC-Argo (nKe), spécialement équipé pour étudier le plancton. Découverte avec l'équipe…

Vidéo
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Sonder les océans
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Fondée il y a tout juste 150 ans, le 20 août 1872, la Station biologique de Roscoff fait toujours référence pour l'étude de la vie marine. Pour preuve, cette découverte majeure publiée fin juillet à la une de la revue Science : les scientifiques ont montré qu'un petit crustacé, l'idotée, pouvait aider à la reproduction des algues, à l'image des abeilles qui pollinisent les fleurs. Cap sur la Bretagne pour découvrir les coulisses de ces travaux fascinants.

Vidéo
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Algues : comment font-elles des bébés ?
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Portrait de Richard Dorrell, médaille de bronze 2022 du CNRS, chargé de recherche à l'Institut de biologie de l'École normale supérieure, spécialiste de l'évolution des microalgues des océans et de leur acquisition de la photosynthèse. Pour Richard Dorrell, l'évolution la plus importante de l'histoire des formes de vie eucaryotes est l'acquisition de chloroplastes par endosymbiose des cellules primitives, pour obtenir les premières microalgues capables de photosynthèse. Il en a…

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Médaille de bronze 2022 : Richard Dorrell, génétique des microalgues
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Une équipe de chercheurs embarque chaque année à bord du Marion Dufresne pour étudier des animaux peu connus : le macrozooplancton et le micronecton. Ces organismes de milieu de chaine alimentaire se composent de gélatineux, de crustacés et de poissons. Mais pour les étudier, il faut d'abord les repérer en pleine mer grâce à un instrument acoustique, un écho sondeur. Puis ils sont pêchés, triés par espèces et comptés. En les suivant d'année en année, les scientifiques peuvent mieux comprendre l…

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Pêcheurs de zooplanctons et micronectons
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Les ostracodes sont de microscopiques crustacés, pour la plupart pas plus grands qu’un grain de sable. Ce spécimen de "Havanardia societatis" provient d’un lagon de Polynésie française et possède des valves pourvues d’impressionnantes extensions latérales qui rendent cette espèce unique. Il fait partie d’une grande famille qui peuple les milieux marins, des zones littorales aux abysses, depuis près de 500 millions d’années. Fragile mais résiliente, elle a survécu aux cinq grandes crises…

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Nage en eaux troubles
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Juvénile stade II de langouste rouge, "Palinurus elephas", obtenu par la plateforme de recherches marines Stella Mare. Ce stade de développement succède au juvénile de premier stade. Stella Mare est l'un des trois laboratoires au monde à maîtriser la reproduction de cet animal. Les scientifiques ont obtenu 25 juvéniles de stade I de langouste en 2022 puis 5 juvéniles de stade II actuellement en grossissement dans les aquariums de Stella Mare. Les scientifiques ont amélioré les rendements de…

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Juvénile stade II de langouste rouge obtenu par Stella Mare
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Puerulus transparent de langouste rouge, "Palinurus elephas", obtenu par la plateforme de recherches marines Stella Mare. Ce stade de développement précède au juvénile de premier stade. Stella Mare est l'un des trois laboratoires au monde à maîtriser la reproduction de cet animal. Les scientifiques ont obtenu 25 juvéniles de stade I de langouste en 2022 puis 5 juvéniles de stade II actuellement en grossissement dans les aquariums de Stella Mare. Les scientifiques ont amélioré les rendements de…

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Puerulus transparent de langouste rouge obtenu par Stella Mare
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BathyBot dans le BathyDock, sur le pont du navire océanographique Pourquoi pas ? Une fois installé sur le fond marin, le BathyDock reliera le robot à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en…

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BathyBot dans le BathyDock, sur le pont du N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau de BathyBot depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands…

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Mise à l’eau de BathyBot depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau de BathyBot depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands…

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Mise à l’eau de BathyBot depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau de BathyBot. Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le…

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Mise à l’eau de BathyBot
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Mise à l’eau de BathyBot. Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le…

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Mise à l’eau de BathyBot
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Mise à l’eau de BathyBot. Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le…

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Mise à l’eau de BathyBot
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Mise à l’eau de BathyBot. Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le…

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Mise à l’eau de BathyBot
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Mise à l’eau de BathyBot. Il est intégré dans le BathyDock, une structure qui, une fois installée sur le fond marin, le reliera à la boîte de jonction scientifique (une prise connectée) pour l’alimenter et le connecter à Internet. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le…

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Mise à l’eau de BathyBot
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Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? au large de Toulon. Cet échantillonneur d’eau de grand volume collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures pour décantation. Les particules coulent au fond et les 7 litres de la partie inférieure représentent donc le plus grand intérêt. Les 93 litres restants sont…

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Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? au large de Toulon. Cet échantillonneur d’eau de grand volume collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures pour décantation. Les particules coulent au fond et les 7 litres de la partie inférieure représentent donc le plus grand intérêt. Les 93 litres restants sont…

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Mise à l’eau d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Récupération d’un marine snow catcher après un prélèvement au large de Toulon, depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Il est déposé sur le pont pour décantation. La rosette-CTD à droite est un autre type d’échantillonneur d’eau. Le marine snow catcher est un échantillonneur d’eau de grand volume qui collecte la neige marine. Il est descendu ouvert et refermé à la profondeur souhaitée pour prélever une colonne d’eau. Une fois remonté, il est laissé sur le pont durant plusieurs heures…

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Récupération d’un marine snow catcher depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Vue depuis le pont arrière du navire océanographique Pourquoi pas ? Ce navire de la flotte océanographique opérée par l’Ifremer est utilisé lors de campagnes dans tous les domaines des sciences de l’environnement. Cette image a été réalisée durant la campagne d’installation de plusieurs instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le BathyReef (un récif artificiel…

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Vue depuis le pont arrière du N/O Pourquoi pas ?
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Intérieur du BathyReef. Le récif artificiel bioinspiré BathyReef est un colonisateur en béton dont la forme s’inspire des ascidies, un animal vivant dans les fonds marins. Il est installé sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec plusieurs autres dispositifs : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra et le rover sous-marin benthique BathyBot. Ce robot suivra sur plusieurs années l’environnement, la biodiversité et les…

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Intérieur du BathyReef
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Surface du BathyReef. Il attend sa mise à l’eau sur le pont du navire océanographique Pourquoi pas ? Le récif artificiel bioinspiré BathyReef est un colonisateur en béton dont la forme s’inspire des ascidies, un animal vivant dans les fonds marins. Il est installé sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec plusieurs autres dispositifs : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra et le rover sous-marin benthique BathyBot. Ce robot…

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Surface du BathyReef, sur le pont du N/O Pourquoi pas ?
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Vue depuis la timonerie du navire océanographique Pourquoi pas ? Ce navire de la flotte océanographique opérée par l’Ifremer est utilisé lors de campagnes dans tous les domaines des sciences de l’environnement. Cette image a été réalisée durant la campagne d’installation de plusieurs instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le BathyReef (un récif artificiel bio…

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Vue depuis la timonerie du N/O Pourquoi pas ?
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Les hublots du Nautile, vus de la sphère habitable de ce sous-marin qui peut accueillir un pilote, un co-pilote et un scientifique. Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon déroulement. Ces équipements comprennent un sismographe, un…

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Les hublots du Nautile, vus de la sphère habitable de ce sous-marin

CNRS Images,

Nous mettons en images les recherches scientifiques pour contribuer à une meilleure compréhension du monde, éveiller la curiosité et susciter l'émerveillement de tous.