Antarctique 2014 OTELo

Départ du raid pour la base Dumont d'Urville, en Antarctique. Le raid permet d'apporter le matériel et le carburant à la base Concordia. Il y a trois raids par an, tous réalisés pendant la période d'été. Le dernier a la particularité d'apporter également les vivres pour l'hivernage et la saison suivante.

Formation de Yukimarimo, des boules de neige naturelles, sur la base Concordia, en Antarctique. Ces boules se forment à des températures comprises entre - 59 et - 72 °C, avec un très faible vent, après un épisode de forte humidité, puis de givre. Ce sont les forces électrostatiques des cristaux de neige qui maintiennent la cohésion de l'ensemble. Ces boules font de quelques millimètres à plusieurs centimètres de diamètre. Elles sont extrêmement fragiles.

Manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", se dirigeant vers la mer sur le ventre, à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Bord du glacier de l'Astrolabe, banquise et scientifiques se rendant sur un site de pêche, pour l'étude des poissons antarctiques, à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Entrée d'un shelter de sismologie, à 1 km de la base Concordia, en Antarctique. Ce shelter permet l'accès à la cave sismologique et aux sismomètres installés à 15 m sous la surface. Ces équipements correspondent à une station sismologique large-bande de type "observatoire". Cette station sismologique fait partie du programme de sismologie à Concordia, Sismordia, qui a deux objectifs : le fonctionnement d'une station sismologique large-bande proche de la base et le déploiement de stations…

Piquets signalant la position du sismomètre de la station sismologique CAS01 à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base. Elles ne sont accessibles qu…

Colonie de manchots empereurs, "Aptenodytes forsteri", à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Shelter de magnétisme, base Concordia, Dôme C, en Antarctique. Ce shelter sert aux mesures absolues de champ magnétique terrestre, réalisées régulièrement par l'hivernant chargé du programme de magnétisme.

Passage du 1er avion de la campagne d'été 2011 - 2012, au-dessus de la base Concordia, en Antarctique.

Icebergs tabulaires inclinés et bloqués dans la banquise, à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Arches du programme AstroConcordia et la Lune, sur la base Concordia, en Antarctique. Ce sont des plateformes astronomiques, où est installée une partie des télescopes de ce programme de qualification des qualités astronomiques du site de Concordia.

Navire polaire Astrolabe, à quai, à Hobart, en Tasmanie, Australie.

Lever de soleil, base Concordia en Antarctique. On peut voir des containers au milieu et le camp d'été sur la droite.

Manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Base Concordia, sous la Voie lactée (avec le passage de deux satellites), en Antarctique.

Banquise et iceberg tabulaire éclairé par le soleil rasant, à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Vérifications de la station CAS01, à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base. Elles ne sont accessibles qu'en été. Le but est de contribuer à l'étude…

Image radar du "pack" (banquise morcelée), avec une ligne représentant un iceberg tabulaire d'environ 5 km de long, à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Shelter de sismologie, à 1 km de la base Concordia, en Antarctique. Ce shelter permet l'accès à la cave sismologique et aux sismomètres installés à 15 m sous la surface. Ces équipements correspondent à une station sismologique large-bande de type "observatoire". Cette station sismologique fait partie du programme de sismologie à Concordia, Sismordia, qui a 2 objectifs : le fonctionnement d'une station sismologique large-bande proche de la base et le déploiement de stations autonomes…

Remise en place d'un télescope par -60 °C, base Concordia, en Antarctique. Ce télescope est un profileur de bord de Lune (PBL). Il permet de définir les profils de turbulences de l'atmosphère, en observant les bords de la lune, la nuit, ou du soleil, le jour. Ces recherches sont liées aux problèmes d'optique adaptative des grands télescopes comme le VLT (Very large telescope).

Shelter de sismologie, à 1 km de la base Concordia, en Antarctique. Ce shelter permet l'accès à la cave sismologique et aux sismomètres installés à 15 m sous la surface. Ces équipements correspondent à une station sismologique large-bande de type "observatoire". Cette station sismologique fait partie du programme de sismologie à Concordia, Sismordia, qui a deux objectifs : le fonctionnement d'une station sismologique large-bande proche de la base et le déploiement de stations autonomes…

Astronomes de retour des shelters du programme AstroConcordia, en Antarctique. Ce sont des plateformes astronomiques, où est installée une partie des télescopes de ce programme de qualification des qualités astronomiques du site de Concordia.

Premières vérifications de la station sismologique autonome CAS01 à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base. Elles ne sont accessibles qu'en été. Le…

Vérification de la liaison wifi de la station sismologique CAS01 à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base. Elles ne sont accessibles qu'en été. Le…

Halo (parhélie), créé par des cristaux de neige, autour de la base Concordia, en Antarctique.

Skua ou Labbe antarctique, "Stercorarius antarcticus", baie Terra Nova, mer de Ross, en Antarctique.

Progression de l'Astrolabe dans le "pack" (banquise morcelée), à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Bord du glacier de l'Astrolabe, banquise et manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Déneigement du sismomètre de la station autonome CAS03, à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base. Elles ne sont accessibles qu'en été. Le but est de…

Progression de l'Astrolabe dans le "pack" (banquise morcelée), à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Aurore australe, base Concordia, en Antarctique.

Iceberg tabulaire, vu d'avion, au milieu de la banquise disloquée, dans la mer de Ross, au large de l'Antarctique.

Mont Melbourne (2732 m), volcan vu depuis la baie Terra Nova, dans la mer de Ross, en Antarctique.

Vérifications de la station sismologique CAS01 à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base. Elles ne sont accessibles qu'en été. Le but est de…

Installations astronomiques, sur la base Concordia, en Antarctique.

Aurore australe, base Concordia, en Antarctique.

Nébuleuse de la Carène, "Eta carinae", vue depuis la base Concordia, en Antarctique.

Tunnel d'accès à une cave sismologique, située à 15 m sous la surface et à 1 100 m de la base Concordia, en Antarctique. Cette cave fait partie du programme de sismologie à Concordia, Sismordia. Il poursuit 2 objectifs : le fonctionnement d'une station sismologique de type "observatoire" proche de la base et le déploiement de stations autonomes fonctionnant en continu, mais accessibles seulement en campagne d'été. Les deux aspects du projet doivent contribuer à l'étude des séismes et de la…

Givre sur un piquet de balisage, base Concordia, en Antarctique.

Manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", au soleil de minuit, à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Manchots Empereur ,"Aptenodytes forsteri", à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Préparation des panneaux solaires de la station sismologique CASE05 à 220 km de la base Concordia, en Antarctique. Cette station fait partie du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) et du réseau Polenet qui prévoit le déploiement de sismomètres entre la base Concordia et la base russe Vostok. Ce sont des stations autonomes fonctionnant en continu, mais accessibles seulement en campagne d'été. Le but est de contribuer à l'étude des séismes et de la structure de la Terre.

Base Concordia, en Antarctique.

Manchot Adélie, "Pygoscelis adeliae", devant la navire polaire "Astrolabe", à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Manchots Empereur ,"Aptenodytes forsteri", à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Base Concordia, en Antarctique, sous la constellation d'Orion.

Vérification d'un sismomètre dans une cave sismologique située 15 m sous la surface et à 1 100 m de la base Concordia, en Antarctique. C'est une station sismologique large-bande de type "observatoire". La température dans la cave est constante, elle est de - 54 °C. Cette station sismologique fait partie du programme de sismologie à Concordia, Sismordia, qui a 2 objectifs : le fonctionnement d'une station sismologique large-bande proche de la base et le déploiement de stations autonomes…

Prise de vue photographique aux abords de la station sismologique CAS02, à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base. Elles ne sont accessibles qu'en…

Panneaux, à proximité de la base Concordia, en Antarctique. Concordia est une station de recherche franco-italienne permanente installée au Dôme C, sur le plateau antarctique.

Iceberg tabulaire érodé dans le "pack" (banquise morcelée), à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Abris de l'observatoire magnétique de Concordia, avec au loin le reflet de capteurs photovoltaïques d'une station sismologique autonome, distante de 4 km de la base Concordia, Dôme C, en Antarctique. Ces abris servent pour l'enregistrement des variations du champ magnétique terrestre.

Concrétions formées par le vent, à proximité de la base Concordia, en Antarctique.

Phoque de Weddel, "Leptonychotes weddellii", baie Terra Nova, mer de Ross en Antarctique.

Tour américaine et quartier de Lune, à proximité de la base Concordia, en Antarctique.

Avion DC3 devant la base Concordia, en Antarctique, lors du départ des estivants. Cet avion sert aux liaisons entre les bases française Dumont d'Urville et italienne Mario Zucchelli et Concordia. Il permet le transport d'une seule traite entre les bases. Il est utilisé pour transporter le personnel et le matériel fragile. Il est très apprécié car il apporte également des fruits et légumes frais (salades, tomates, mangues, etc.), en grande quantité et hors gel.

Scientifiques dégivrant des instruments météorologiques sur la tour "américaine", à plus de 40 m de haut, à proximité de la base Concordia, en Antarctique.

Pose d'un sismomètre dans un trou à 2 m de profondeur, à la station sismologique CASE05 située à 220 km de la base Concordia, en Antarctique. Cette station fait partie du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) et du réseau Polenet pour le déploiement de sismomètres entre la base Concordia et la base russe Vostok. Ce sont des stations autonomes fonctionnant en continu mais accessibles seulement en campagne d'été. Le but est de contribuer à l'étude des séismes et de la structure de…

Pétrel des neiges ou fulmar, "Pagodroma nivea", à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Shelter de sismologie, piquets d'amenée de courant électrique et station météo, à 1 km de la base Concordia, en Antarctique. Ce shelter permet l'accès à la cave sismologique et aux sismomètres installés à 15 m sous la surface. Ces équipements correspondent à une station sismologique large-bande de type "observatoire". Cette station sismologique fait partie du programme de sismologie à Concordia, Sismordia, qui a deux objectifs : le fonctionnement d'une station sismologique large-bande proche de…

Dernier coucher de soleil avant la nuit polaire, base Concordia en Antarctique.

Manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Skua ou Labbe antarctique, "Stercorarius antarcticus", baie Terra Nova, mer de Ross, en Antarctique.

Montage des panneaux solaires de la station sismologique CASE05 située à 220 km de la base Concordia, en Antarctique. Cette station fait partie du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) et du réseau Polenet pour le déploiement de sismomètres entre la base Concordia et la base russe Vostok. Ce sont des stations autonomes fonctionnant en continu mais accessibles seulement en campagne d'été. Le but est de contribuer à l'étude des séismes et de la structure de la Terre.

Pétrel de Wilson ou océanite de Wilson, "Oceanites oceanicus", à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique. C'est le plus petit oiseau marin.

Mid Point, en Antarctique. Ce point sur les cartes est un lieu de ravitaillement pour les avions réalisant la liaison entre les bases Mario Zucchelli et Concordia. Il est constitué d'une piste et d'un stock de bidons de kérosène. Les fanions permettent de localiser les bidons qui auraient été ensevellis par la neige transportée par le vent.

Arches du programme AstroConcordia, station Concordia, en Antarctique. Ce sont des plateformes astronomiques, où est installée une partie des télescopes de ce programme de qualification des qualités astronomiques du site de Concordia.

Shelter de sismologie et piquets d'amenée de courant électrique, base Concordia, en Antarctique. Au-delà du shelter, la vision de l'horizon est troublée par le mouvement des masses d'air. Cet abri permet l'accès à la cave sismologique et aux sismomètres installés à 15 m sous la surface. Ces équipements correspondent à une station sismologique large-bande de type "observatoire". Cette station sismologique fait partie du programme de sismologie à Concordia, Sismordia, qui a 2 objectifs : le…

Station sismologique CAS01 et piste d'accès, à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base. Elles ne sont accessibles qu'en été. Le but est de contribuer…

Eclairage extérieur d'un shelter de magnétisme et la lune, base Concordia, Dôme C, en Antarctique. Ce shelter sert pour l'enregistrement des variations du champ magnétique terrestre. Il est équipé d'une cave qui contient un magnétomètre triaxial, pour relever les données magnétiques dans trois directions. Ces données sont enregistrées toutes les secondes. L'éclairage sur la façade sert à illuminer une mire, utilisée comme référence angulaire lors des mesures absolues effectuées dans le second…

Vérification de la liaison wifi de la station sismologique CAS01 à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base. Elles ne sont accessibles qu'en été. Le…

Soleil au dessus des shelters de magnétisme, à proximité de la base Concordia, Dôme C, en Antarctique. Ce shelter sert pour l'enregistrement des variations du champ magnétique terrestre.

Contre-jour en début d'après midi, sur la base Concordia, en Antarctique.

Bord de la langue glaciaire de Drygalski, dans la mer de Ross, au large de l'Antarctique.

Base Concordia en Antarctique et le camp d'été.

Formation de cristaux de givre sur le toit d'un shelter de sismologie, base Concordia, en Antarctique.

Navire polaire "Astrolabe" dans la banquise, au large de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Shelter de sismologie au clair de lune, base Concordia, en Antarctique. Ce shelter permet l'accès à la cave sismologique et aux sismomètres installés à 12 m sous la surface. Ces équipements correspondent à une station sismologique large-bande de type "observatoire". Cette station sismologique fait partie du programme de sismologie à Concordia, Sismordia, qui a deux objectifs : le fonctionnement d'une station sismologique large-bande proche de la base et le déploiement de stations autonomes…

Icebergs bloqués dans la banquise au large de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Déchargement du matériel, pour une mission aéroportée à 220 km de la base Concordia, en Antarctique. La température estimée est de - 40°C, avec un vent très faible. Cette mission est effectuée dans le cadre du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) et du réseau Polenet, qui prévoit le déploiement de sismomètres entre la base Concordia et la base russe Vostok. Ce sont des stations autonomes fonctionnant en continu, mais accessibles seulement en campagne d'été. Le but est de…

Manchot Adélie, "Pygoscelis adeliae", baie Terra Nova, mer de Ross en Antarctique.

Eolienne givrée, base Concordia, en Antarctique.

Départ du raid pour la base de Dumont d'Urville, en Antarctique. C'est un train de citernes de carburant vides. Ce carburant est necéssaire à l'alimentation des groupes électrogènes de la base de Concordia et des véhicules. Le raid permet d'apporter le matériel et le carburant à la base Concordia. Il y a trois raids par an, tous réalisés pendant la période d'été. Le dernier a la particularité d'apporter également les vivres pour l'hivernage et la saison suivante.

Vérifications détaillées de la station CAS01 à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base. Elles ne sont accessibles qu'en été. Le but est de contribuer…

Horizon coloré, base Concordia en Antarctique.

DC3 devant la base Concordia, située au Dôme C, en Antarctique. Cet avion sert aux liaisons entre les bases française Dumont d'Urville et italienne Mario Zucchelli et Concordia. Il permet le transport d'une seule traite entre les bases. Il est utilisé pour transporter le personnel et le matériel fragile. Il est très apprécié car il apporte également des fruits et légumes frais (salades, tomates, mangues, etc.), en grande quantité et hors gel.

Station sismologique autonome CAS03 déneigée, à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base. Elles ne sont accessibles qu'en été. Le but est de…

Shelter de magnétisme enseveli par une tempête de neige, base Concordia, Dôme C, en Antarctique. Ce shelter sert pour l'enregistrement des variations du champ magnétique terrestre.

Bord du glacier de l'Astrolabe, banquise et manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Vérification de bon fonctionnement des instruments de la station sismologique CASE 05 située à 220 km de la base Concordia, en Antarctique. Cette station fait partie du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) et du réseau Polenet pour le déploiement de sismomètres entre la base Concordia et la base russe Vostok. Ce sont des stations autonomes fonctionnant en continu mais accessibles seulement en campagne d'été. Le but est de contribuer à l'étude des séismes et de la structure de la…

Icebergs tabulaires inclinés et bloqués dans la banquise, à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Givre sur les installations du programme AstroConcordia, station Concordia en Antarctique. Ce sont des plateformes astronomiques, où est installée une partie des télescopes de ce programme de qualification des qualités astronomiques du site de Concordia.

Glaciers de la chaîne Transantarctique, baie Terra Nova, mer de Ross, en Antarctique.

Iceberg bloqué dans la banquise, à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Glacier Larsen et mont Larsen (1 560 m), chaîne Transantarctique, dans la baie Terra Nova, mer de Ross en Antarctique.

Base Concordia sous la Lune, en Antarctique.

Clair de lune sur la base Concordia, en Antarctique.

Lune sur le camp d'été, base Concordia, en Antarctique.

Scientifique dégivrant des instruments météorologiques sur la tour "américaine", à plus de 40 m de haut, à proximité de la base Concordia, en Antarctique.

Montage des panneaux solaires de la station sismologique CASE05 située à 220 km de la base Concordia, en Antarctique. Cette station fait partie du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) et du réseau Polenet pour le déploiement de sismomètres entre la base Concordia et la base russe Vostok. Ce sont des stations autonomes fonctionnant en continu mais accessibles seulement en campagne d'été. Le but est de contribuer à l'étude des séismes et de la structure de la Terre.

Manchots Adélie, "Pygoscelis adeliae", se dirigeant vers la mer sur leurs pattes, à proximité de la station Dumont d'Urville, en Antarctique.

Petite partie de la Voie lactée, vue de la base Concordia, en Antarctique.

Installations astronomiques éclairées par la lune, sous un ciel étoilé, base Concordia, en Antarctique.

Lune au dessus d'un shelter de magnétisme, base Concordia, Dôme C, en Antarctique. Ce shelter sert pour l'enregistrement des variations du champ magnétique terrestre.

Rayon vert au coucher du soleil, à la base Concordia en Antarctique. C'est un phénomène optique rare, un point vert qui peut être observé au lever ou au coucher du soleil. Au lever, il est très difficile à voir, car on ne sait pas exactement où va se produire le lever du soleil.

Manchot Adélie, "Pygoscelis adeliae", baie Terra Nova, mer de Ross en Antarctique.

Blocs de granit érodés, baie Terra Nova, mer de Ross, en Antarctique.

Vérifications de la station sismologique CAS02 à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base. Elles ne sont accessibles qu'en été. Le but est de…

Véhicule tout terrain pour la neige, à proximité des panneaux solaires de la station sismologique CAS03, à 5 km de la base Concordia, en Antarctique. Les trois stations du projet Case (Concordia antarctic seismic experiment) sont disposées à 120° autour de la base sur un rayon de 5 km. Elles sont autonomes et fonctionnent en continu. Elles cessent de transmettre des données quand la lumière du soleil disparaît. Ensuite, elles redémarrent automatiquement et envoient leurs données vers la base…