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Quartier d'Uleelheue presque entièrement rasé par le tsunami du 26 décembre 2004, près de Banda Aceh, en Indonésie. Seuls la mosquée (en arrière-plan avec le toit vert) et de rares bâtiments comme l'hôpital ont résisté à la force du tsunami. A cet endroit, les vagues ont atteint près de 14 m de hauteur. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme Tsunarisque, mené en 2005-2006, pour mieux comprendre ce phénomène et mettre en place une meilleure prévention.

Bateau perché sur le toit d'une maison à Banda Aceh, en Indonésie, après le tsunami du 26 décembre 2004. Dans ce quartier situé à 2,5 km du rivage, la bateau a été transporté par la troisième vague du tsunami et a été déposé sur ce toit. Une vingtaine de personnes ont pu s'y réfugier et être sauvées alors que tous les autres habitants du quartier ont péri. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme Tsunarisque, mené en 2005-2006, pour mieux comprendre ce phénomène et mettre en…

Mosquée de Lampuuk endommagée par le tsunami du 26 décembre 2004, à l'ouest de Banda Aceh, en Indonésie. Située à moins d'un kilomètre du rivage, cette mosquée est le seul bâtiment du village de Lampuuk à avoir résisté à la force du tsunami. Les arcades ont permis au flot de s'écouler sans fragiliser les structures porteuses de la mosquée. A cet endroit, les vagues ont atteint près de 30 m de hauteur. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme Tsunarisque, mené en 2005-2006,…

Hôpital endommagé par le tsunami du 26 décembre 2004, près du port de Banda Aceh, en Indonésie. Proche du rivage, cet hôpital fut l'un des rares bâtiments du village d'Uleelheue à avoir partiellement résisté à la force du tsunami. A cet endroit, les vagues ont atteint près de 14 m de hauteur. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme Tsunarisque, mené en 2005-2006, pour mieux comprendre ce phénomène et mettre en place une meilleure prévention.

Côtes de la province d'Aceh, en Indonésie, encore sous les eaux deux mois après le séisme et le tsunami du 26 décembre 2004. Deux raisons expliquent ce phénomène. D'une part, le séisme a entraîné un abaissement général du littoral, avec une subsidence de plusieurs dizaines de centimètres. D'autre part, les dunes littorales ont été rasées, favorisant ainsi les submersions marines d'origine météorologiques. Cependant, la dérive littorale a reconstitué assez rapidement le cordon, notamment en…

Infrastructures détruites par le tsunami du 26 décembre 2004, sur le littoral d'Aceh, en Indonésie. La route littorale qui longeait la côte sud d'Aceh jusqu'à Sumatra, était l'une des trois voies principales de communication de la province. Elle a été entièrement dévastée par le tsunami entre Banda Aceh et Meulaboh. Dans certains secteurs, seuls quelques portions de route ainsi que les piles de ponts étaient encore visibles, les ponts ayant également disparus. Cette photographie a été réalisée…

Subsidence sur le littoral de Banda Aceh, en Indonésie, après le séisme du 26 décembre 2004. De magnitude 9,15 sur l'échelle de Richter, ce séisme a entraîné dans ce secteur un abaissement topographique pouvant localement atteindre 1 m. Les souches des arbres détruits se sont ainsi retrouvées sous les eaux. Elles disparaîtront quelques années plus tard. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme Tsunarisque, mené en 2005-2006, pour mieux comprendre ce phénomène et mettre en…

Côtes de la province d'Aceh, en Indonésie, encore sous les eaux deux mois après le séisme et le tsunami du 26 décembre 2004. Deux raisons expliquent ce phénomène. D'une part, le séisme a entraîné un abaissement général du littoral, avec une subsidence de plusieurs dizaines de centimètres. D'autre part, les dunes littorales ont été rasées, favorisant ainsi les submersions marines d'origine météorologiques. Cependant, la dérive littorale a reconstitué assez rapidement le cordon, notamment en…

Auscultation du sol par géoradar ou radar au sol, après le tsunami du 26 décembre 2004 à Banda Aceh, en Indonésie. Les chercheurs ont ainsi mesuré l'épaisseur et cartographié les dépôts sableux transportés par le tsunami. Ces mesures ont été réalisées dans le cadre du programme Tsunarisque mené en 2005-2006, pour mieux comprendre ce phénomène et mettre en place une meilleure prévention. Le géoradar permet d'ausculter le sous-sol de façon non-destructive et rapide, par la transmission d'ondes…

Embouchure d'un fleuve côtier à Aceh en Indonésie, deux mois après le tsunami du 26 décembre 2004. Le cordon littoral commence à se reconstituer en raison de l'importante charge sédimentaire des fleuves côtiers.Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme Tsunarisque, mené en 2005-2006, pour mieux comprendre ce phénomène et mettre en place une meilleure prévention.