Thierry PEREZ

"Oscarella lobularis" (banc du Veyron, Marseille) est une éponge qui appartient au groupe des "Homoscleromorpha". Ce groupe est un clade dont les relations avec les autres éponges ne sont pas très claires. Ses représentants partagent certains caractères morphologiques, cytologiques, biochimiques et embryologiques avec les eumétazoaires, mais qui sont absents dans d'autres clades de spongiaires. Il s'agit d'un groupe modèle en biologie de la reproduction.

Les entrées de grottes sous-marines abritent une faune luxuriante, composée d'organismes extrêmement colorés et dits "sciaphiles". Ici, au large de Marseille (Le Veyron), on peut voir l'éponge tubulaire "Haliclona mediterranea" au centre de l'image, et tout autour des polypes du scléractiniaire (coraux) solitaire "Leptosammia pruvoti" et une multitude d'autres organismes sessiles.

"Codium bursa" et "Antedon sp." au large de la principauté de Monaco. Cette boule verte légèrement aplatie est une chlorophycée rencontrée à faible profondeur et également appelée "béret basque". La comatule orange accrochée au "codium" est certainement un "Antedon" dont le nom d'espèce reste à déterminer. Ces échinodermes comportent des bras articulés très fins et portant des pinnules (appendices). Il vit sur le dos et c'est par des cirres dorsaux formant un crampon qu'il s'accroche à d'autres…

Les gorgones sont les éléments essentiels des paysages sous-marins de Méditerranée nord occidentale. Ici au large de Marseille sur le banc du Veyron, la gorgone pourpre est "Paramuricea clavata" et la blanche "Eunicella singularis". Ces deux espèces sont particulièrement sensibles au changement climatique global et notamment aux anomalies thermiques estivales.

"Spongia officinalis" (au large de l'île Maire, Marseille) est une éponge commerciale également appelée "la fine" par les pêcheurs par opposition à l'éponge commune "Hippospongia communis". Son squelette de spongine est des plus fins. Elle peut être abondante dans certains sites de Méditerranée nord occidentale (à Marseille notamment) mais elle se fait rare dans le sud et dans le bassin oriental. Régulièrement victime des dernières anomalies thermiques estivales, elle est menacée par le…

Daurades coryphènes, photographiées à Monaco, des poissons pélagiques, d'origine méridionale de plus en plus fréquents dans le nord de la Méditerranée à cause du réchauffement climatique. Les pêcheurs amateurs commencent à en attraper, mais ils sont assez rares à voir en plongée.

Daurades coryphènes, photographiées à Monaco, des poissons pélagiques, d'origine méridionale de plus en plus fréquents dans le nord de la Méditerranée à cause du réchauffement climatique. Les pêcheurs amateurs commencent à en attraper, mais ils sont assez rares à voir en plongée.

"Axinella polypoides" au large du Cap Morgiou (Marseille) par 30 m de profondeur. Cette espèce est une des plus grandes éponges de Méditerranée (des individus mesurant plus de 100 cm de hauteur). C'est un élément essentiel des paysages sous-marins qui se dresse sur les tombants coralligènes ou replats légèrement envasés depuis 10 m jusqu'à 100 m de profondeur.

"Spongia lamella" (au large de l'île Maire, Marseille) est une éponge commerciale également appelée "oreille d'éléphant". Son squelette de spongine est des plus fins, mais cette espèce se fait de plus en plus rare en Méditerranée. Victime des dernières anomalies thermiques estivales, elle est menacée par le changement climatique global.

L'ascidie rouge, "Halocynthia papillosa", vit fixée sur des substrats durs (roche, coralligène, épave, etc.). Ici, au large de la principauté de Monaco, elle est fixée à l'intérieur d'une grotte obscure artificielle et l'absence de compétiteur pour l'espace permet d'apprécier son ancrage au substrat.

Le chapon "Scorpaena scrofa" est l'ingrédient essentiel de la bouillabaisse. Cette rascasse à la tête très massive vit de préférence sur les fonds rocheux (coralligène) de 20 à 200 m de profondeur, ici au large de la principauté de Monaco.

"Hypselodoris valenciennesi" au large de l'île Plane (archipel de Riou, Marseille). Ce mollusque nudibranche est une des plus grandes espèces que l'on peut observer en Méditerranée (jusqu'à 20 cm). C'est une espèce endémique, il se nourrit principalement d'éponges.

Le chapon "Scorpaena scrofa" est l'ingrédient essentiel de la bouillabaisse. Cette rascasse à la tête très massive vit de préférence sur les fonds rocheux (coralligène) de 20 à 200 m de profondeur. Ile de Riou, Marseille.

"Oscarella tuberculata" (île de Porquerolles, Hyères) est une éponge qui appartient au groupe des "Homoscleromorpha". Ce groupe est un clade dont les relations avec les autres éponges ne sont pas très claires. Ses représentants partagent certains caractères morphologiques, cytologiques, biochimiques et embryologiques avec les eumétazoaires, mais qui sont absents dans d'autres clades de spongiaires. Il s'agit d'un groupe modèle en biologie de la reproduction. Cette espèce présente plusieurs…

"Alcyonium acaule" au large de l'île de Porquerolles (Hyères) par 20 m de fond. Communément appelés "coraux mous" ou "soft coral", ces octocoralliaires sont des organismes coloniaux que l'on trouve en Méditerranée dans la communauté du coralligène.

Mélange de différents cnidaires sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Crustacé décapode "Munidae" sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Nudibranche sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Communauté d'invertébrés marins du Nord-Est de l'Atlantique sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord.

Communauté d'invertébrés marins caractéristiques du Nord-Est de l'Atlantique sur l'île de Rathlin au large de l'Irlande du Nord.

Communauté d'invertébrés marins du Nord-Est de l'Atlantique sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord.

L'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Communauté d'invertébrés marins du Nord-Est de l'Atlantique sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord.

Eponge "Axinella infudibuliformis" sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Crabe sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Zoanthaire sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Anémones de mer sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Eponge "Axinella dissimilis" sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Phoque sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Etoile de mer sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Etoile de mer sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Communauté d'invertébrés marins du Nord-Est de l'Atlantique sur l'île de Rathlin au large de l'Irlande du Nord.

Coquille de Saint Jacques, "Pecten maximus" sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Crustacé décapode "Munidae", sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Zoanthaire sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Méduse sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Crevette Palaemon sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Petite roussette sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.

Poisson gobidae sur l'île de Rathlin, au large de l'Irlande du Nord dans l'Océan Atlantique.