Erwan AMICE

Arrivée d'un avion à la station de Zackenberg, au Groenland. La piste a été déblayée pour que les avions puissent atterrir sur de la terre stabilisée. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes benthiques arctiques, et notamment le renouvellement des populations de bivalves, en étudiant les retards à la métamorphose de ces derniers.

Vue aérienne de la côte nord-est du Groenland (entre Constable Point et Zackenberg). La fonte de la calotte glaciaire débute à la fin de l'hiver et des cours d'eau commencent à se former sur les côtes. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes benthiques arctiques, et notamment le renouvellement des populations de bivalves, en étudiant les retards à la métamorphose de ces derniers.

Vue aérienne du nord-est du Groenland (entre Constable Point et Zackenberg) à la fin de l'hiver. Dans les zones les plus aux nord, la fonte de la calotte glaciaire n'a pas encore débuté. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes benthiques arctiques, et notamment le renouvellement des populations de bivalves, en étudiant les retards à la métamorphose de ces derniers.

Vue aérienne de la banquise au nord-est du Groenland (entre Constable Point et Zackenberg). La masse (à droite) correspond à un iceberg piégé au moment de la formation de la croûte de glace. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC.

Vue aérienne de la banquise au sud-est du Groenland. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC.

Phoque gris, "Halichoerus grypus" et un veau marin, "Phoca vitulina", dans le port de Saint Pierre. Dans l'Archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon, le phoque commun est présent toute l'année, notamment dans la lagune du Grand Barachois, le phoque gris est présent dans la lagune et autour des îles, du printemps à l'automne. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des…

Herbier de zostères, "Zostera marina", à marée basse près du port de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette phanérogame (plante à fleur) se rencontre dans l'Atlantique, aussi bien le long des côtes françaises que du littoral belge, mauritanien ou canadien, en particulier dans la zone estuarienne du golfe du Saint-Laurent. On la trouve également dans quelques stations lagunaires de Méditerranée, étang de Thau par exemple, et dans le Pacifique nord, mais aussi en…

Mesures de la salinité de l'eau de mer influencée par l'eau douce des différents cours d'eau, dans la rade de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Mesures de la salinité de l'eau de mer influencée par l'eau douce des différents cours d'eau, dans la rade de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Côtes de l'Île de Miquelon, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Pétoncle géant, "Placopecten magellanicus", au laboratoire dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Il est équipé d'un accéléromètre permettant d'enregistrer les mouvements de l'animal. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Pétoncle géant du canada, "Placopecten magellanicus", dans la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Ce site est à la croisée des influences des eaux polaires de la mer de Baffin et des eaux estuariennes du Saint-Laurent. L'archipel de Saint-Pierre et Miquelon a été sélectionné, en partenariat avec l'IFREMER de Brest, car ce site présente aussi les variations thermiques diurnes océaniques les plus fortes de notre planète en milieu infralittoral (plus de 10 °C en 6h)…

Pétoncle géant du canada, "Placopecten magellanicus", dans la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Il est équipé d'un accéléromètre enregistreur de ses mouvements, en fonction des variations de son environnement proche. Ce site de Saint-Pierre-et-Miquelon est à la croisée des influences des eaux polaires de la mer de Baffin et des eaux estuariennes du Saint-Laurent. L'archipel de Saint-Pierre et Miquelon a été sélectionné, en partenariat avec l'IFREMER de Brest,…

Plongeur scientifique remontant un panier chargé de pétoncles géants du Canada, "Placopecten magellanicus", dans la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Ces bivalves sont équipés d'accéléromètres enregistreurs de leurs mouvements au cours du temps. La remontée vers la surface se fait ici le long d'une ligne de mouillage portant des thermomètres enregistreurs. Ces données permettent de connaître les variations de températures en fonction de la profondeur. Cette…

Plongeur scientifique remontant un panier chargé de pétoncles géants du Canada, "Placopecten magellanicus", dans la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Ces bivalves sont équipés d'accéléromètres enregistreurs de leurs mouvements au cours du temps. La remontée vers la surface se fait ici le long d'une ligne de mouillage portant des thermomètres enregistreurs. Ces données permettent de connaître les variations de températures en fonction de la profondeur. Cette…

Anémones plumeuses "Metridium senile" ou œillets de mer, sur une roche, à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette roche est également couverte d'algues encroûtantes calcaires et d'oursins. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Paysage de l’Île aux marins, et maison de l'ancien lavoir de l'île, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Paysage sous-marin de Saint-Pierre-et-Miquelon. Une riche diversité biologique est présente : étoile de mer polaire, "Leptasterias polaris" s'attaquant à une moule géante, "Modiolus modiolus", cernées de bouquet d'hydrozoaires, "Tubularia crocea". Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Entrée du port de la ville de Saint Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon, une collectivité d'outre-mer placée sous le régime de l'article 74 de la Constitution et dénommée "collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon". Il ne s'agit donc ni d'un département, ni d'une région. La collectivité est composée de deux communes : Saint-Pierre et Miquelon-Langlade, mais le chef-lieu de l'ensemble du territoire se trouve à Saint-Pierre. Cette image a été réalisée lors du programme…

Crabe commun, "Cancer irroratus", sur le fond marin, à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Il est facilement reconnaissable à sa carapace aplatie, bordée de dents sur sa face antérieure et ses fortes pinces, qu'il brandit de façon menaçante à la moindre provocation. C'est un prédateur actif et un détritivore se nourrissant volontiers de charogne. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire…

Paysage de la partie nord de l’Île aux marins, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. On peut apercevoir les restes de l'épave du Transpacific , un cargo allemand qui s'est échoué en mai 1971. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Etoile de mer, soleil de mer pourpre, "Solaster endeca", à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette très grosse étoile de mer se nourrit d'autres étoiles de mer et très souvent de concombres de mer. Elle ajoute à son régime alimentaire toutes sortes d'animaux benthiques, dont les nudibranches. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration…

Paysage sous-marin commun des fonds de Saint-Pierre-et-Miquelon : des poissons, tanche-tautogue, "Tautogolabrus adspersus" et principalement des alcyonaires "Gersemia rubiformis" et "Alcyonium digitatum". Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Bateau de pêche de Saint-Pierre, au large de l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. La pêche à la morue (cabillaud) a été l'activité traditionnelle et principale de l'archipel. À partir des années 1950, elle avait acquis un caractère industriel avec des chalutiers modernes très performants. Mais à la suite de la décision du tribunal arbitral de New-York, en 1992, délimitant la zone économique exclusive française autour de l'archipel et du moratoire canadien sur la pêche de cette espèce survenu…

Dahlia de mer, "Urticina felina", anémone très colorée et souvent de grande taille, à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Elle est fermement fixée aux rochers, surtout sur les parties abritées et verticales, sur les tombants, un peu plus bas que la limite de la basse mer et jusqu'à plusieurs dizaines de mètres de profondeur. C'est une espèce très urticante et elle est capable de capturer des poissons de bonne taille. Cette image a été réalisée lors…

Paysage sous-marin de l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon : abondance d'alcyonaires, "Gersemia rubiformis" et "Alcyonium digitatum", et au centre une éponge digitée, "Haliclona sp" qui sert de support à des ophiures, "Ophiopholis aculeata". Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Moules géantes des fonds marins de Saint-Pierre-et-Miquelon, "Modiolus modiolus", recouvertes d'algues calcaires encroûtantes. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Asters de Belgique, "Symphyotrichum novi-belgii", dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. C'est une espèce de plante herbacée de la famille des "Asteraceae", elle est originaire d'Amérique du Nord. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Paysage sous-marin commun des fonds de Saint-Pierre-et-Miquelon : principalement des alcyonaires, "Alcyonium digitatum" et des oursins verts, "Strongylocentrotus droebachiensis". La couleur rose de la roche est due à une algue encroûtante calcaire. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Etoile de mer, soleil de mer pourpre, "Solaster endeca", à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette très grosse étoile de mer se nourrit d'autres étoiles de mer et très souvent de concombres de mer. Elle ajoute à son régime alimentaire toutes sortes d'animaux benthiques, dont les nudibranches. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration…

Moules géantes des fonds marins de Saint-Pierre-et-Miquelon, "Modiolus modiolus", recouvertes d'algues calcaires encroûtantes et des oursins verts, "Strongylocentrotus droenbachiensis". Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Paysage de l’Île aux marins, et maison de l'ancien lavoir de l'île, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Moules géantes des fonds marins de Saint-Pierre-et-Miquelon, "Modiolus modiolus", recouvertes d'algues calcaires encroûtantes. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Tourbière à Saint-Pierre-et-Miquelon. Le climat de l'archipel de Saint Pierre et Miquelon plutôt humide et froid est favorable à la formation de tourbières, l'habitat le plus commun dans ces îles. Il existe probablement ici plus de tourbières que dans le reste du territoire français. C'est dans cet habitat que croissent la plupart des plantes carnivores : Sarracénie (emblème de Terre Neuve), droséras, utriculaires et la majeure partie de nos 21 espèces d'orchidées. Cette image a été réalisée…

Végétation typique des côtes de Saint-Pierre-et-Miquelon. La flore de l'archipel comprend environ 600 espèces de plantes vasculaires dont environ 500 indigènes et une centaine introduites, ainsi que 177 espèces de mousses (incluant les 30 espèces de sphaignes) et plusieurs centaines d'espèces de lichens. Étant donné la proximité de Terre Neuve (20 km) l'endémisme est nul, cependant, de nombreuses espèces boréales, arctique-alpines ou américaines sont probablement uniques sur le territoire…

Grenouille verte d'Amérique du nord, "Lithobates clamitans" sur l'île de Saint Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Ville et port de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon, une collectivité d'outre-mer placée sous le régime de l'article 74 de la Constitution et dénommée "collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon". Il ne s'agit donc ni d'un département, ni d'une région. La collectivité est composée de deux communes : Saint-Pierre et Miquelon-Langlade, mais le chef-lieu de l'ensemble du territoire se trouve à Saint-Pierre. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans…

Végétation typique des côtes de Saint-Pierre-et-Miquelon. La flore de l'archipel comprend environ 600 espèces de plantes vasculaires dont environ 500 indigènes et une centaine introduites, ainsi que 177 espèces de mousses (incluant les 30 espèces de sphaignes) et plusieurs centaines d'espèces de lichens. Étant donné la proximité de Terre Neuve (20 km) l'endémisme est nul, cependant, de nombreuses espèces boréales, arctique-alpines ou américaines sont probablement uniques sur le territoire…

Ville et port de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon, une collectivité d'outre-mer placée sous le régime de l'article 74 de la Constitution et dénommée "collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon". Il ne s'agit donc ni d'un département, ni d'une région. La collectivité est composée de deux communes : Saint-Pierre et Miquelon-Langlade, mais le chef-lieu de l'ensemble du territoire se trouve à Saint-Pierre. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse dans…