Antarctique LGGE 2

Carottage de glace en Antarctique afin d'évaluer la densité de la neige. Les valeurs obtenues servent à transposer en centimètres d'eau, les valeurs d'accumulations de neige mesurées sur des balises. Ces dernières constituent des jalons plantés tous les kilomètres. Les chercheurs effectuent ici un carottage à chaque balise à l'aide d'un carottier manuel. Ce cliché a été réalisé dans le cadre de l'observatoire GLACIOCLIM-SAMBA destiné à détecter, surveiller et comprendre l'évolution du climat et…

Océanite de Wilson, "Oceanites oceanicus", atterrissant à proximité de la base de Cap Prudhomme, en Antarctique.

Départ d'un second raid logistique depuis la Terre-Adélie vers Dôme C, en Antarctique. Ce raid assure la livraison des matériels logistiques et scientifiques à Dôme C.

Base Dumont d'Urville vue depuis le sommet du mât Iono, en Antarctique. Afin de séparer les précipitations et la neige transportée par le vent à la surface du sol, des capteurs sont placés à 80 m d'altitude sur ce mât.

Naissance d'un poussin de manchot Adélie, "Pygoscelis adeliae", à Cap Prudhomme, en Antarctique. En 2014, la quasi-totalité de ces poussins n'ont pas survécu aux conditions météorologiques (pluie) et au manque de nourriture. En effet, la banquise n'ayant pas débâclé pendant l'été, les manchots ont dû parcourir une trop grande distance pour ramener de la nourriture à leurs poussins.

Sastrugi à la surface de la neige, en Antarctique. En raison des vents violents, la surface est érodée. Les sastrugi constituent une adaptation de la surface. Malgré son apparence rugueuse, la surface exerce ainsi une résistance minimale au vent.

Mur de glace d'un gros iceberg en Antarctique. La banquise n'ayant pas débâclé pendant l'été, les opérations scientifiques ont été bloquées par les glaces.

Etendue de banquise n'ayant pas totalement débâclé en été, en Antarctique. Ce phénomène se produit depuis plusieurs années et empêche le l'Astrolabe, le navire polaire de l'Institut polaire (IPEV), de rejoindre la base Dumont d'Urville. Cela complique l'acheminement du fuel et du matériel logistique et scientifique. Au premier plan, une colonie de manchots donne une idée de l'échelle de l'image.

Premier carottage de glace d'une série effectuée en zone côtière antarctique, là où l'accumulation de neige est la plus importante, pour évaluer le rapport signal sur bruit. Ce dernier résulte de processus tels que l'érosion, le dépôt, la sublimation qui suivent la précipitation de neige. Cette analyse va permettre de connaître la part des variations imputables au bruit et celles pouvant être interprétées en termes de climat. Ce cliché a été réalisé dans le cadre du projet ANR-ASUMA visant à…

Vue en surplomb de la manchotière depuis la base de Dumont d'Urville, en Antarctique.

Hélicoptère posé sur l'Astrolabe, le navire polaire de l'Institut polaire (IPEV), en Antarctique. L'hélicoptère s'avère indispensable pour trouver des rivières et accéder à l'eau libre, lorsque l'Astrolabe est bloqué dans la banquise.

Neige soufflée, nuages et vent catabatique, en Antarctique. La neige soufflée est un facteur important de redistribution de la neige en zone côtière. Le ciel et le sol montrent la marque du vent catabatique. Ce cliché a été réalisé dans le cadre de l'observatoire GLACIOCLIM-SAMBA destiné à détecter, surveiller et comprendre l'évolution du climat et du bilan de masse en milieu glaciaire. Il s'agit notamment d'assurer la pérennité des réseaux de mesure du bilan de masse de surface dans la région…

Base de Cap PrudHomme, en Antarctique, pendant la nuit de la Saint-Sylvestre.

Iceberg en Antarctique. En décembre 2014, lors de sa rotation aller, l'Astrolabe, le navire de l'Institut polaire (IPEV), se fraye un chemin au milieu des icebergs pour se rapprocher au maximum de la base Dumont d'Urville.

Rivière au droit du glacier de l'Astrolabe, en Antarctique. En janvier 2015, lors de la rotation retour de l'Astrolabe, le navire polaire de l'Institut polaire (IPEV), la banquise n'ayant pas totalement débâclé, les chercheurs sont restés bloqués dans la glace pendant trois jours. Ils ont circulé par les rares rivières ouvertes dans la glace de mer.

Pétrel des neiges, "Pagodroma nivea", en Antarctique. Sa blancheur contraste beaucoup avec la noirceur de l'océan.

Iceberg au droit du glacier de l'Astrolabe, en Antarctique. Ce type d'iceberg est largué par le glacier. Lors de la rotation retour de l'Astrolabe, le navire polaire de l'Institut polaire (IPEV), les chercheurs sont restés bloqués dans les glaces pendant trois jours en janvier 2015. En effet, la banquise n'avait pas totalement débâclé pendant l'été.