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Wetlands: areas to be preserved

Biodiversity reservoirs, climate regulators and bulwarks against desertification: wetlands are more significant than they appear and protecting them is more important than ever.

Plateforme scientifique de la tourbière de Frasne, dans le Doubs, lors d’une campagne interdisciplinaire d’étude du devenir des gaz à effet de serre.
Plateforme scientifique de la tourbière de Frasne, dans le Doubs, lors d’une campagne interdisciplinaire d’étude du devenir des gaz à effet de serre.

© Hubert Raguet / CNRS Images

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Wetlands, which cover extremely diverse landscapes and landforms with varying degrees of water, are not considered a priori among the most hospitable. And additionally, planning policies, both in France and abroad, have often focused on draining them, either to make them suitable for construction or simply for sanitation purposes.

For some time, scientific research has been shedding new light on these areas: besides being major biodiversity reservoirs, wetlands, which only cover 3% of the world’s surface, capture one-third of carbon trapped in the soil. Therefore, they play a valuable role in climate change while at the same time being directly threatened by it. Their study is crucial, particularly as they are impacted by other human activities, most notably pollution. And in countries where desertification is increasing, especially south of the Sahara, wetlands are at the centre of major reforestation projects which aim to ensure access to vital resources for the greatest number of people.

Wetlands are genuine areas to be preserved on every continent, and this year’s World Wetlands Day is fittingly dedicated to this fight. You can find out more about this through a selection of material covering these major issues.

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Soude ligneuse, "suaeda vera" et graines de peuplier voisin accrochées, végétation du marais de Cassaïre en Camargue. Les scientifiques ont réhabilité une ancienne exploitation de riz et de vigne, à 5 km au sud de la plaine de Crau. Sur ces 35 ha, l'objectif est de retrouver une zone humide caractéristique des espaces naturels de Camargue, tout en permettant une activité de chasse. Le projet vise à tester des moyens de restauration de 2 communautés végétales cibles : les pelouses xérophiles …

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Soude ligneuse, "suaeda vera" et graines de peuplier voisin accrochées, végétation du marais de Cass
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"Stellaria alsine", caryophyllacée envahissante à Crozet, se développant surtout dans les zones humides proches de la base Alfred Faure. Le programme Ecobio (Ecosystèmes, Biodiversité, Evolution) de l'Institut Polaire Français s'intéresse à la biodiversité et au fonctionnement des écosystèmes terrestres subantarctiques soumis aux activités anthropiques (notamment les introductions d'espèces) et au changement climatique.

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"Stellaria alsine", caryophyllacée envahissante à Crozet, se développant surtout dans les zones humi
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Paysage de zone humide au nord du Delta de l'Okavango, au Botswana. Le fleuve Okavango s’arrête au milieu du désert du Kalahari. Ce phénomène géologique rare est qualifié de "système endoréique", ce qui signifie que ses eaux ne gagnent pas la mer ou l’océan. À chaque hiver austral, l'eau de pluie tombée en Angola descend le fleuve et est piégée dans le cône alluvial. La crue progressive dure plusieurs mois et concentre durant cette période un écosystème d'une diversité exceptionnelle. Une…

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Paysage de zone humide au nord du Delta de l'Okavango, au Botswana
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Mesure du niveau d'eau et vidange avant prélèvement d'eau dans les piézomètres de la tourbière de Frasne, dans le Doubs, lors d’une campagne interdisciplinaire d’étude du devenir des gaz à effet de serre (GES). Les scientifiques analyseront les concentrations en gaz, en carbone et en éléments majeurs dissous dans l’eau, ainsi que les isotopes du carbone et de la molécule d'eau. La campagne vise à mieux comprendre les mécanismes hydrologiques, biogéochimiques et écologiques qui contrôlent les…

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Préparation de piézomètres avant prélèvement pour des analyses géochimiques, tourbière de Frasne, Doubs
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Zone humide avec point d’eau dans le massif de Belledonne, dans les Alpes. Dans le cadre du projet de recherche SPARTAGE, des chercheurs et chercheuses en écologie et en sciences humaines et sociales collaborent afin de répondre à des questions de cohabitations entre activités humaines, animales et végétales. La zone Natura 2000 de la chaîne de Belledonne est un des terrains communs pour cette étude interdisciplinaire. Cette collaboration est notamment l’occasion de prendre en compte dans les…

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Zone humide avec point d’eau dans le massif de Belledonne, dans les Alpes
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Zone humide dans la plaine de la Pra, dans le massif de Belledonne, dans les Alpes. La plaine de la Pra, classée partiellement en zone humide, est insérée dans la zone Natura 2000 qui accueille nombre de pratiques humaines. Ce sentier, reliant le refuge de la Pra à Chamrousse, est un espace de rencontre pour les pratiquants de randonnée pédestre, de trail et de VTT. Ce même chemin, qui croise de nombreux cours d’eau, est compris dans l’alpage pâturé par un troupeau de brebis et de chèvres qui,…

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Zone humide dans la plaine de la Pra, dans le massif de Belledonne, dans les Alpes
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Zone humide dans la base de recherche scientifique d'Abisko, dans le nord de la Suède, photographiée lors de la cartographie de la végétation des bassins versants de Miellajokka et Stordalen. Les scientifiques ont numérisé des zones représentatives des principaux types de couverture végétale de cette région au climat subarctique et au permafrost discontinu. Dans le cadre du projet ANR Hiperborea, ils utilisent des technologies de modélisation numérique avancée pour simuler l'évolution des…

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Zone humide, base de recherche scientifique d'Abisko, nord de la Suède
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Zone humide dans la base de recherche scientifique d'Abisko, dans le nord de la Suède, photographiée lors de la cartographie de la végétation des bassins versants de Miellajokka et Stordalen. Les scientifiques ont numérisé des zones représentatives des principaux types de couverture végétale de cette région au climat subarctique et au permafrost discontinu. Dans le cadre du projet ANR Hiperborea, ils utilisent des technologies de modélisation numérique avancée pour simuler l'évolution des…

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Zone humide, base de recherche scientifique d'Abisko, nord de la Suède
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Prélèvement d’eau à proximité de la tourbière de la Guette, dans le Cher. Dans cette zone entre la tourbière et la rivière du même nom, les deux systèmes sont susceptibles d’interagir. La composition des échantillons est analysée dans le cadre du suivi géochimique des eaux de la tourbière. Les tourbières sont des zones humides dont le sol est un dépôt de tourbe. La matière végétale s’y décompose lentement et le carbone s’accumule dans le sol. Cependant, elles sont dégradées par les changements…

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Prélèvement dans le cadre du suivi géochimique des eaux de la tourbière de la tourbière de la Guette
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Prélèvement d’eau à l’exutoire de la tourbière de la Guette, dans le Cher (la zone par laquelle l’eau sort du système). La composition des échantillons est analysée dans le cadre du suivi géochimique des eaux de la tourbière. Les tourbières sont des zones humides dont le sol est un dépôt de tourbe. La matière végétale s’y décompose lentement et le carbone s’accumule dans le sol. Cependant, elles sont dégradées par les changements climatiques et les activités humaines et commencent à émettre du…

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Prélèvement dans le cadre du suivi géochimique des eaux de la tourbière de la tourbière de la Guette
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Parcelle étrépée en aval de la tourbière de la Guette, dans le Cher. Les tourbières sont des zones humides dont le sol est un dépôt de tourbe. Ce sont des puits de carbone mais, dégradées par les changements environnementaux, elles émettent du dioxyde de carbone et du méthane. A la Guette, les pertes en eau et les transformations de la flore pourraient entraîner la disparition de la tourbière. En 2014, dans le cadre du projet CarBioDiv, des placettes ont été étrépées, avec ou sans…

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Dispositif expérimental sur la tourbière de la Guette
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Mesure piézométrique pour connaître la hauteur d’eau dans la rivière la Guette qui longe la tourbière du même nom, dans le Cher. Les tourbières sont des zones humides dont le sol est un dépôt de tourbe. Ce sont des puits de carbone mais, dégradées par les changements environnementaux, elles émettent du dioxyde de carbone et du méthane. A la Guette, ce dérèglement est provoqué par des aménagements autoroutiers qui drainaient la tourbière depuis de nombreuses années. Depuis 2014, des travaux ont…

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Mesure piézométrique pour évaluer la restauration hydrologique de la tourbière de la Guette
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Patch de sphaigne, "Sphagnum", implanté dans un dispositif expérimental sur la tourbière de la Guette, dans le Cher. La sphaigne est l'espèce ingénieur des tourbières. Ces zones humides dont le sol est un dépôt de tourbe sont des puits de carbone mais, dégradées par les changements environnementaux, elles émettent du dioxyde de carbone et du méthane. A la Guette, les pertes en eau et les transformations de la flore pourraient entraîner la disparition de la tourbière. En 2014, dans le cadre du…

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Sphaigne dans un dispositif expérimental sur la tourbière de la Guette
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Prélèvement d’eau dans la rivière la Guette, en amont de la tourbière du même nom, dans le Cher. La composition des échantillons est analysée dans le cadre du suivi géochimique des eaux de la tourbière. Les tourbières sont des zones humides dont le sol est un dépôt de tourbe. La matière végétale s’y décompose lentement et le carbone s’accumule dans le sol. Cependant, elles sont dégradées par les changements climatiques et les activités humaines et commencent à émettre du dioxyde de carbone et…

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Prélèvement dans le cadre du suivi géochimique des eaux de la tourbière de la tourbière de la Guette
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Maintenance d’une station Eddy-covariance installée sur la tourbière de la Guette, dans le Cher. Elle mesure la vitesse et la direction du vent et sa concentration en gaz, afin d’estimer les flux de dioxyde de carbone et de méthane émis par la tourbière. Les tourbières sont des zones humides dont le sol est un dépôt de tourbe. La matière végétale s’y décompose lentement et le carbone s’accumule dans le sol. Cependant, elles sont dégradées par les changements climatiques et les activités…

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Maintenance d’une station Eddy-covariance sur la tourbière de la Guette
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Observation d'une carotte de sédiment prélevée en zone humide, dans la vasière de la réserve naturelle nationale de l'estuaire de la Seine, sous le pont de Normandie. La pointe très fine d'une microsonde va être plongée progressivement dans le sédiment (100 micromètres par 100 micromètres) pour effectuer des mesures d'oxygène à différentes profondeurs. Un micromanipulateur piloté par ordinateur permet de faire cette opération très précisément et d'enregistrer les taux d'oxygène à chaque palier…

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Observation d'une carotte de sédiment prélevée en zone humide
20210036_0161
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Pointe très fine d'une microsonde plongée dans une carotte de sédiment prélevée en zone humide, dans la vasière de la réserve naturelle nationale de l'estuaire de la Seine, sous le pont de Normandie. La pointe plonge progressivement dans le sédiment (100 micromètres par 100 micromètres) pour effectuer des mesures d'oxygène à différentes profondeurs. Un micromanipulateur piloté par ordinateur permet de faire cette opération très précisément et d'enregistrer les taux d'oxygène à chaque palier. Ce…

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Pointe très fine d'une microsonde plongée dans une carotte de sédiment prélevée en zone humide
20170039_0179
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Mâle adulte de crapaud feuille, "Rhinella castaneotica", en posture de chant dans une mare temporaire, sur le sentier botanique, près du Saut Maripa, aux environs Saint-Georges-de-l'Oyapock, en Guyane française. Cette photographie a été prise dans le cadre du projet UACEF (Undergrowth acoustic communication of "earless" frogs) du Centre d'étude de la biodiversité amazonienne (CEBA). Il étudie "Amazophrynella minuta", un groupe d'espèces de crapauds dénués d'oreille moyenne tympanique, pour…

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Crapaud feuille, "Rhinella castaneotica", en posture de chant, en Guyane française
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Tour à flux mesurant les émissions de gaz à effet de serre du site de la tourbière de La Guette, à Neuvy-sur-Barangeon, dans le Cher. Ce dispositif comprend des capteurs de mesure des concentrations atmosphériques de dioxyde de carbone, eau et méthane, un anémomètre 3D, une station de mesure des caractéristiques physiques du sol et des équipements annexes permettant les mesures et la télétransmission des données. Installé en 2017, il permet d'estimer le bilan de carbone des tourbières et…

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Installation d’une tour à flux mesurant les émissions de gaz à effet de serre, La Guette
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Mise en place d'une tour à flux mesurant les émissions de gaz à effet de serre du site de la tourbière de La Guette, à Neuvy-sur-Barangeon, dans le Cher. Ce dispositif comprend des capteurs de mesure des concentrations atmosphériques de dioxyde de carbone, eau et méthane, un anémomètre 3D, une station de mesure des caractéristiques physiques du sol et des équipements annexes permettant les mesures et la télétransmission des données. Installé en 2017, il permet d'estimer le bilan de carbone des…

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Installation d’une tour à flux mesurant les émissions de gaz à effet de serre, La Guette
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Ouvrage de sortie des eaux dépolluées par la zone tampon humide artificielle de Rampillon (1,5 ha environ) en Seine-et-Marne. Les champs alentours sont drainés pour évacuer les eaux de pluie excédentaires. La zone tampon humide est un dispositif naturel permettant d'intercepter les flux de pesticides et de les épurer, grâce à l'activité microbienne du milieu. La fixation des pesticides se fait sur les végétaux, ils sont ensuite dégradés par la lumière ou l'activité microbienne du milieu.

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Zone humide artificielle de Rampillon
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Prélèvement d'eau pour analyse des pesticides, en sortie de la zone tampon humide artificielle de Rampillon (1,5 ha environ), en Seine-et-Marne. Les champs alentours sont drainés pour évacuer les eaux de pluie excédentaires. La zone tampon humide est un dispositif naturel permettant d'intercepter les flux de pesticides et de les épurer grâce à l'activité microbienne du milieu. La fixation des pesticides se fait sur les végétaux, ils sont ensuite dégradés par la lumière ou l'activité microbienne…

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Zone humide artificielle de Rampillon
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Prélèvement d'un échantillon d'eau, pour analyse des pesticides en sortie de la zone tampon humide artificielle de Rampillon (1,5 ha environ) en Seine-et-Marne. Les champs alentours sont drainés pour évacuer les eaux de pluie excédentaires. La zone tampon humide est un dispositif naturel permettant d'intercepter les flux de pesticides et de les épurer grâce à l'activité microbienne du milieu. La fixation des pesticides se fait sur les végétaux, ils sont ensuite dégradés par la lumière ou l…

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Zone humide artificielle de Rampillon
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Batraciens dans la zone tampon humide artificielle de Rampillon (1,5 ha environ), en Seine-et-Marne. Les champs alentours sont drainés pour évacuer les eaux de pluie excédentaires. La zone tampon humide est un dispositif naturel permettant d'intercepter les flux de pesticides et de les épurer grâce à l'activité microbienne du milieu. La fixation des pesticides se fait sur les végétaux, ils sont ensuite dégradés par la lumière ou l'activité microbienne du milieu.

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Zone humide artificielle de Rampillon
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Zone tampon humide artificielle de Rampillon (1,5 ha environ) en Seine-et-Marne. Les champs alentours sont drainés pour évacuer les eaux de pluie excédentaires. La zone tampon humide est un dispositif naturel permettant d'intercepter les flux de pesticides et de les épurer, grâce à l'activité microbienne du milieu. La fixation des pesticides se fait sur les végétaux, ils sont ensuite dégradés par la lumière ou l'activité microbienne du milieu.

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Zone humide artificielle de Rampillon
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Gouffre de Rampillon en aval de la zone tampon humide artificielle de Rampillon, en Seine-et-Marne. Un gouffre est ici une fracture dans la couche calcaire du sol par laquelle les eaux superficielles s'infiltrent directement dans la nappe phréatique du Champigny. Les champs alentours sont drainés pour évacuer les eaux de pluie excédentaires. La zone tampon humide est un dispositif naturel permettant d'intercepter les flux de pesticides et de les épurer grâce à l'activité microbienne du milieu…

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Zone humide artificielle de Rampillon
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Batraciens dans la zone tampon humide artificielle de Rampillon (1,5 ha environ), en Seine-et-Marne. Les champs alentours sont drainés pour évacuer les eaux de pluie excédentaires. La zone tampon humide est un dispositif naturel permettant d'intercepter les flux de pesticides et de les épurer grâce à l'activité microbienne du milieu. La fixation des pesticides se fait sur les végétaux, ils sont ensuite dégradés par la lumière ou l'activité microbienne du milieu.

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Zone humide artificielle de Rampillon
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Rumex crépu, "Rumex crispus", au premier plan dans une mare expérimentale, sur le site du marais de Cassaïre en Camargue. Les scientifiques ont réhabilité une ancienne exploitation de riz et de vigne, à 5 km au sud de la plaine de Crau. Sur ces 35 ha, l'objectif est de retrouver une zone humide caractéristique des espaces naturels de Camargue, tout en permettant une activité de chasse. Le projet vise à tester des moyens de restauration de 2 communautés végétales cibles : les pelouses xérophiles…

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Rumex crépu, "Rumex crispus", au premier plan dans une mare expérimentale, sur le site du marais de
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Rumex crépu, "Rumex crispus", au premier plan dans une mare expérimentale, sur le site du marais de Cassaïre en Camargue. Les scientifiques ont réhabilité une ancienne exploitation de riz et de vigne, à 5 km au sud de la plaine de Crau. Sur ces 35 ha, l'objectif est de retrouver une zone humide caractéristique des espaces naturels de Camargue, tout en permettant une activité de chasse. Le projet vise à tester des moyens de restauration de 2 communautés végétales cibles : les pelouses xérophiles…

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Rumex crépu, "Rumex crispus", au premier plan dans une mare expérimentale, sur le site du marais de
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Jonc piquant, "Juncus acutus", avec des poils de mouton dans un espace naturel résiduel, sur le site du marais de Cassaïre en Camargue. Les scientifiques ont réhabilité une ancienne exploitation de riz et de vigne, à 5 km au sud de la plaine de Crau. Sur ces 35 ha, l'objectif est de retrouver une zone humide caractéristique des espaces naturels de Camargue, tout en permettant une activité de chasse. Le projet vise à tester des moyens de restauration de 2 communautés végétales cibles : les…

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Jonc piquant, "Juncus acutus", avec des poils de mouton dans un espace naturel résiduel, sur le site
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Piège à graines au sol, pour caractériser la pluie de graines, marais de Cassaïre en Camargue. Cette plaque de plexiglas est recouverte de graisse à traire permettant de piéger les graines. Les scientifiques ont réhabilité une ancienne exploitation de riz et de vigne, à 5 km au sud de la plaine de Crau. Sur ces 35 ha, l'objectif est de retrouver une zone humide caractéristique des espaces naturels de Camargue, tout en permettant une activité de chasse. Le projet vise à tester des moyens de…

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Piège à graines au sol, pour caractériser la pluie de graines, marais de Cassaïre en Camargue. Cette
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Au premier plan, panicule de roseau commun, "phragmites australis", à l'arrière-plan jonc piquant, "juncus acutus" et jonc maritime, "juncus maritimus". Espace naturel résiduel sur le site du marais de Cassaïre en Camargue. Les scientifiques ont réhabilité une ancienne exploitation de riz et de vigne, à 5 km au sud de la plaine de Crau. Sur ces 35 ha, l'objectif est de retrouver une zone humide caractéristique des espaces naturels de Camargue, tout en permettant une activité de chasse. Le…

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Au premier plan, panicule de roseau commun, "phragmites australis", à l'arrière-plan jonc piquant, "
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La grenouille à tapirer, "Dendrobates tinctorius", Station des Nouragues, Guyane. Ses couleurs vives sont dites aposématique (qui avertit qu'il n'est pas profitable de l'attaquer)s car elles avertissent un éventuel prédateur que cette grenouille sécrète des toxines assurant sa défense. Les Amérindiens utilisaient cette grenouille pour colorer en rouge ou jaune les plumes des perroquets amazones de couleur verte qu'ils gardaient comme animal de compagnie.

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La grenouille à tapirer, "Dendrobates tinctorius", Station des Nouragues, Guyane. Ses couleurs vives

CNRS Images,

Our work is guided by the way scientists question the world around them and we translate their research into images to help people to understand the world better and to awaken their curiosity and wonderment.