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Anthroparc project

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Ce site archéologique, qui compte une quinzaine de grottes et d’abris, a livré des occupations humaines s’échelonnant du Paléolithique moyen au Paléolithique final. Ce projet révèle qu’une multitude d’activités et de techniques s’y sont développées depuis les premières fouilles menées par le célèbre préhistorien André Leroi-Gourhan de 1946 et 1963. Une diversité de spécialistes se retrouve ainsi au centre de cette recherche. Conduite par l’anthropologue Gwendoline Torterat, elle est soutenue par une enquête ethnographique mêlant l’entretien, la photographie et l’audiovisuel. L’archéozoologue Thérèse Josien-Poulain (1929–2022) compte parmi les acteurs impliqués. Des milliers d’ossements fossiles extraits de plusieurs centaines de sites archéologiques sont passés entre ses mains. C’est par pure passion pour les os qu’elle a continué à travailler de son domicile, mêlant vie de famille et vie d’archéologue. La Préhistoire lui doit bien plus qu’une thèse remarquablement novatrice. Elle connaissait la moindre dénomination savante des restes d’animaux. Elle était également l’une des premières à vouloir reconstituer l’histoire des relations naturelles entre l’homme et l’animal.
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LPPI caption : Well into her nineties, Thérèse Josien-Poulain (1929-2022) still mastered to perfection the art of assembling the bones of prehistoric animals. A pioneer of French archaeozoology, which she developed in the mid-1950s, the scientist pursued most of her career from her house in Avallon, in the central eastern French region of Burgundy, which enabled her to reconcile family life and archaeology. In her home laboratory, she saw hundreds of thousands of fragments of fossilised…

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Resident researcher

CNRS Images,

Our work is guided by the way scientists question the world around them and we translate their research into images to help people to understand the world better and to awaken their curiosity and wonderment.