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20210018_0021

© David VILLA / ScienceImage, CBI / ICA / CNRS Images

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Partie supérieure dite chariot et partie inférieure d'une tour de chute après un essai

Partie supérieure dite chariot et partie inférieure d'une tour de chute après un essai. Sont visibles, le tube test écrasé par l'essai, les butées, le plateau inférieur, et le NIDA (nids d'abeille) qui à l'aide des butées absorbe l'excédent d'énergie pour éviter d'endommager la tour de chute dans son ensemble. Sur le chariot, il est possible de visualiser l'incrémentation des plaques de masse. Pour obtenir une vitesse d'écrasement la plus constante possible lors de ces essais, une énergie plus grande que nécessaire est mise en jeu pour écraser le tube. Les essais portent sur des applications de crash (choc frontal de voiture, atterrissage forcé d'un avion...). La tour de chute est utilisée pour évaluer l'énergie dissipée par une structure. Une masse est élevée à une hauteur donnée, puis lâchée sur l'échantillon à tester. Ces essais sont donc dynamiques et "représentatifs" d'un crash réel. Ils correspondent à des essais de crash qui sont interrompus en fin d'écrasement à l'aide de butées pour pouvoir observer les tubes post-crash et appréhender les mécanismes mis en jeu. Ils sont également filmés à l'aide de deux caméras rapide (20 000 image/s). Les échantillons sont ici des tubes dits "sandwichs" avec des peaux en fibres de verre et une âme en peuplier constituée à partir de placages de 1 mm.

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