Nathalie Gaborit, lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2022

Nathalie Gaborit, lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2022, est chercheuse à l'institut du thorax, à Nantes. Après un doctorat de biologie à l’université de Nantes et un postdoctorat à l’université de Californie à San Francisco (États-Unis), elle rejoint le CNRS en 2015 comme chargée de recherche. Ses travaux visent à identifier les mécanismes physiopathologiques des arythmies cardiaques héréditaires, telles que le syndrome du QT long, le syndrome d’Hamamy ou encore le syndrome de Brugada…

Nathalie Gaborit, lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2022, est chercheuse à l'institut du thorax, à Nantes. Après un doctorat de biologie à l’université de Nantes et un postdoctorat à l’université de Californie à San Francisco (États-Unis), elle rejoint le CNRS en 2015 comme chargée de recherche. Ses travaux visent à identifier les mécanismes physiopathologiques des arythmies cardiaques héréditaires, telles que le syndrome du QT long, le syndrome d’Hamamy ou encore le syndrome de Brugada…

Nathalie Gaborit, lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2022, est chercheuse à l'institut du thorax, à Nantes. Après un doctorat de biologie à l’université de Nantes et un postdoctorat à l’université de Californie à San Francisco (États-Unis), elle rejoint le CNRS en 2015 comme chargée de recherche. Ses travaux visent à identifier les mécanismes physiopathologiques des arythmies cardiaques héréditaires, telles que le syndrome du QT long, le syndrome d’Hamamy ou encore le syndrome de Brugada…

Nathalie Gaborit, lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2022, remplit une micropipette avec une solution conductrice semblable au milieu intracellulaire des cardiomyocytes humains. Cette étape permet de préparer l'enregistrement de courants ioniques et de potentiels d'action par la technique de patch-clamp. Les travaux de Nathalie Gaborit visent à identifier les mécanismes physiopathologiques des arythmies cardiaques héréditaires, telles que le syndrome du QT long, le syndrome d’Hamamy ou…

Nathalie Gaborit, lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2022, remplit une micropipette avec une solution conductrice semblable au milieu intracellulaire des cardiomyocytes humains. Cette étape permet de préparer l'enregistrement de courants ioniques et de potentiels d'action par la technique de patch-clamp. Les travaux de Nathalie Gaborit visent à identifier les mécanismes physiopathologiques des arythmies cardiaques héréditaires, telles que le syndrome du QT long, le syndrome d’Hamamy ou…

Nathalie Gaborit, lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2022, est chercheuse à l'institut du thorax, à Nantes. Après un doctorat de biologie à l’université de Nantes et un postdoctorat à l’université de Californie à San Francisco (États-Unis), elle rejoint le CNRS en 2015 comme chargée de recherche. Ses travaux visent à identifier les mécanismes physiopathologiques des arythmies cardiaques héréditaires, telles que le syndrome du QT long, le syndrome d’Hamamy ou encore le syndrome de Brugada…

Mise en culture de cardiomyocytes différenciés à partir de cellules souches pluripotentes induites humaines. Ces recherches sont menées par Nathalie Gaborit, lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2022. Elles visent à identifier les mécanismes physiopathologiques des arythmies cardiaques héréditaires, telles que le syndrome du QT long, le syndrome d’Hamamy ou encore le syndrome de Brugada, des maladies rares, graves et mal connues, associées à un risque élevé de mort subite cardiaque. L…

Observation au microscope de cellules souches pluripotentes induites humaines différenciées en cardiomyocytes. Ces observations sont réalisées dans le cadre des recherches dirigées par Nathalie Gaborit, lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2022. Elles visent à identifier les mécanismes physiopathologiques des arythmies cardiaques héréditaires, telles que le syndrome du QT long, le syndrome d’Hamamy ou encore le syndrome de Brugada, des maladies rares, graves et mal connues, associées à un…

Observation au microscope de cellules souches pluripotentes induites humaines différenciées en cardiomyocytes. Ces observations sont réalisées dans le cadre des recherches dirigées par Nathalie Gaborit, lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2022. Elles visent à identifier les mécanismes physiopathologiques des arythmies cardiaques héréditaires, telles que le syndrome du QT long, le syndrome d’Hamamy ou encore le syndrome de Brugada, des maladies rares, graves et mal connues, associées à un…

Enregistrement de courants ioniques par la technique du patch-clamp automatisé qui permet d'analyser jusqu'à 384 cellules en même temps. La technique du patch-clamp permet d’enregistrer l'activité électrique et électrochimique des cellules. Ces recherches sont menées par Nathalie Gaborit, lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2022. Elles visent à identifier les mécanismes physiopathologiques des arythmies cardiaques héréditaires, telles que le syndrome du QT long, le syndrome d’Hamamy ou…

Enregistrement de courants ioniques par la technique du patch-clamp automatisé qui permet d'analyser jusqu'à 384 cellules en même temps. La technique du patch-clamp permet d’enregistrer l'activité électrique et électrochimique des cellules. Ces recherches sont menées par Nathalie Gaborit, lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2022. Elles visent à identifier les mécanismes physiopathologiques des arythmies cardiaques héréditaires, telles que le syndrome du QT long, le syndrome d’Hamamy ou…

Nathalie Gaborit, lauréate de la médaille de bronze du CNRS 2022, analyse des données et les met en forme en vue d'une publication. Ses travaux visent à identifier les mécanismes physiopathologiques des arythmies cardiaques héréditaires, telles que le syndrome du QT long, le syndrome d’Hamamy ou encore le syndrome de Brugada, des maladies rares, graves et mal connues, associées à un risque élevé de mort subite cardiaque. L’originalité de son travail réside dans l’utilisation d’une technique…