Erwan AMICE

Trou creusé dans la banquise pour permettre aux plongeurs scientifiques de fixer du matériel, au milieu du fjord Young Sund, au Groenland. Les lignes de vie relient la surface au fond et permettent de fixer l’équipement de balisage et de sécurité. En dessous du plongeur, une bouteille de secours. A gauche un hydrophone (en noir avec des boutons rouges) enregistre en continu le son sous-marin. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets…

Lompe sur une laminaire dans le fjord Young Sund, au Groenland. Ces grandes algues parviennent à survivre malgré le peu de lumière qui traverse la banquise. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC, dont le but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes benthiques arctiques et notamment le renouvellement des populations de bivalves, en étudiant les retards à la métamorphose de ces derniers.

Creusement d'un trou dans la banquise à l’aide d’une tarière, à la sortie du fjord Young Sund, au Groenland. Après avoir déblayé la neige et foré le contour du trou, la glace est cassée à l’aide d’une scie ou d’une tronçonneuse. Son épaisseur peut atteindre deux mètres à certains endroits. Une fois le trou creusé, il est exploité et entretenu pendant plusieurs jours. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes…

Deux scientifiques sur une motoneige sur la banquise, rejoignent le site d'expérimentation vers la sortie du fjord Young Sund, au Groenland. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes benthiques arctiques, et notamment le renouvellement des populations de bivalves, en étudiant les retards à la métamorphose de ces derniers.

Creusement d'un trou dans la banquise à l’aide d’une tarière, à la sortie du fjord Young Sund, au Groenland. Après avoir déblayé la neige et foré le contour du trou, la glace est cassée à l’aide d’une scie ou d’une tronçonneuse. Ici, la texture de la neige rend la progression difficile, l'eau de mer remonte et oblige les scientifiques à déblayer régulièrement pour voir où ils creusent. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets anthropiques…

Creusement d'un trou dans la banquise à l’aide d’une tarière, à la sortie du fjord Young Sund, au Groenland. Après avoir déblayé la neige et foré le contour du trou, la glace est cassée à l’aide d’une scie ou d’une tronçonneuse. Ici, la texture de la neige rend la progression difficile, l'eau de mer remonte et oblige les scientifiques à déblayer régulièrement pour voir où ils creusent. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets anthropiques…

Des scientifiques rejoignent l'endroit où un trou a été creusé dans la banquise, à la sortie du fjord Young Sund, au Groenland. Une fois le trou creusé, il est exploité et entretenu pendant plusieurs jours. Même si sa profondeur peut atteindre deux mètres à certains endroits, la neige qui s'accumule peut le rendre à peine perceptible. Il faut donc régulièrement la déblayer pour accéder au trou. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets…

Plongeur scientifique sous la glace au milieu du fjord Young Sund, au pied de Basalt Island, au Groenland. L'épaisse couche de neige présente sur la banquise empêche la luminosité de traverser la glace. Des trous ont été creusés pour créer un chemin de lumière naturelle permettant aux plongeurs de se guider jusqu'à la ligne de vie. Les lignes de vie relient la surface au fond et permettent de fixer l’équipement de balisage, de sondage et de sécurité (ici, les bouteilles de secours). Cette image…

Plongeur scientifique sous la glace au milieu du fjord Young Sund, au pied de Basalt Island, au Groenland. L'épaisse couche de neige présente sur la banquise empêche la luminosité de traverser la glace. Des trous ont été creusés pour créer un chemin de lumière naturelle permettant aux plongeurs de se guider jusqu'à la ligne de mouillage. Cette dernière est tendue verticalement entre la surface et le fond, et permet de fixer les filets collecteurs de bivalves. Les taches sombres sont constituées…

Creusement d'un trou dans la banquise à l’aide d’une tarière, devant Basalt Island, au milieu du fjord Young Sund, au Groenland. Après avoir déblayé la neige et foré le contour du trou, la glace, parfois profonde de plus de deux mètres, est cassée à l’aide d’une scie ou d’une tronçonneuse. Ici, la texture de la neige rend la progression difficile, l'eau de mer remonte et oblige les scientifiques à déblayer régulièrement pour voir où ils creusent. Cette image a été réalisée dans le cadre du…

Vue de la banquise du fjord Young Sund depuis la station de Daneborg, au Groenland. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC.

Des scientifiques déblayent la neige pour creuser un trou dans la banquise, devant Basalt Island, au milieu du fjord Young Sund, au Groenland. Après avoir déblayé la neige et foré le contour du trou, ils cassent la glace à l’aide d’une scie ou d’une tronçonneuse. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes benthiques arctiques, et notamment le renouvellement des populations de bivalves, en étudiant les retards…

Vue aérienne de la banquise au Groenland, près de Constable Point. La ligne au bord de la banquise a été tracée par le passage d'une motoneige. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC.

Vue aérienne de la glace de mer, à l'est du Groenland. Toute l'année, une masse de glace brisée se forme et oscille au gré des courants entre le nord et le sud. La zone est difficile d'accès et n'est donc pas habitée. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC.

Arrivée de l'avion amenant l'équipe scientifique près de la base de Daneborg, au Groenland. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC. Son but est de quantifier les effets anthropiques sur les écosystèmes benthiques arctiques, et notamment le renouvellement des populations de bivalves, en étudiant les retards à la métamorphose de ces derniers.

Vue aérienne de la glace de mer à l'est du Groenland. Toute l'année, une masse de glace brisée se forme et oscille au gré des courants entre le nord et le sud. La taille des blocs varie selon leur proximité avec la côte : plus les plaques bougent, plus elles se morcellent. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC.

Vue aérienne des montagnes et de la banquise au nord du Groenland. La banquise est encore en place, contrairement aux fragments de banquise brisée visibles en bas, qui se baladent au gré du vent et des courants. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC.

Vue aérienne de la banquise brisée au nord du Groenland. Toute l'année, une masse de glace brisée se forme et oscille au gré des courants entre le nord et le sud. La taille des blocs varie selon leur proximité avec la côte : plus les plaques bougent, plus elles se morcellent. Cette image a été réalisée dans le cadre du projet PRIVARC

Gonnelle, "Pholis gunnellus", au 1er plan et une étoile de mer, dans la Passe à Henry, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette espèce se rencontre en milieu marin ou en eaux saumâtres, principalement sur les côtes rocheuses depuis les cuvettes en milieu intertidal mais elle peut descendre jusqu'à 100 m de profondeur en hiver. Elle peut rester émergée sous des pierres ou parmi les algues et les crampons de laminaires. On trouve cette espèce dans l'Atlantique nord-ouest et nord-est…

Plongeur scientifique prélevant des "verrues" d'algue calcaire, dans la Passe à Henry, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Certaines algues rouges déposent des cristaux de carbonate de calcium dans la paroi de leurs cellules et deviennent dures comme de la roche. Le carbonate de calcium est un sous-produit de la photosynthèse. Ces algues calcaires se présentent comme de petits arbustes rigides (Corallina) ou, plus fréquemment, sous forme d'une croûte rose appliquée contre la roche ou…

Oursins verts, "Strongylocentrotus droenbachiensis", sur une roche recouverte par une algue calcaire encroûtante, dans la Passe à Henry, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Crabe commun, "Cancer irroratus", ensablé dans la Passe à Henry, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Il est facilement reconnaissable à sa carapace aplatie, bordée de dents sur sa face antérieure et ses fortes pinces, qu'il brandit de façon menaçante à la moindre provocation. C'est un prédateur actif et un détritivore se nourrissant volontiers de charogne. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest,…

Plongeur scientifique prélevant des "verrues" d'algue calcaire, dans la Passe à Henry, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Certaines algues rouges déposent des cristaux de carbonate de calcium dans la paroi de leurs cellules et deviennent dures comme de la roche. Le carbonate de calcium est un sous-produit de la photosynthèse. Ces algues calcaires se présentent comme de petits arbustes rigides (Corallina) ou, plus fréquemment, sous forme d'une croûte rose appliquée contre la roche ou…

Paysage benthique commun dans l'archipel de Saint Pierre et Miquelon : oursins verts, "Strongylocentrotus droenbachiensis" sur une roche recouverte par une algue calcaire encroûtante et une étoile de mer, "Asterias rubens". Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Champs d'algues laminaires à trous, agar criblé, "Agarum cribrosum", dans la Passe à Henry, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. C'est l'une des rares Laminariacées à résister au broutage des oursins verts. Elle synthétise des substances chimiques qui la rendent non comestible pour ceux-ci. Sa fronde (lame) criblée de trous est un phénomène unique chez les algues. Ces trous augmenteraient la turbulence de l'eau contre la surface de la fronde et amélioreraient ainsi les échanges…

Éponge Chaline oculée, "Haliclona oculata", entourée d'algues laminaires à trous, agar criblé, "Agarum cribrosum", dans la Passe à Henry, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette éponge est de forme arbustive. Les branches, de section cylindrique et d'un diamètre d'environ 7 mm, sont habituellement dichotomes (divisées). Souvent en forme d'éventail, le tronc et les branches portent des rangées de petits oscules (trous de 1 à 3 mm), ronds et bien ordonnés. De consistance ferme, la…

Plongeur scientifique prélevant des "verrues" d'algue calcaire, dans la Passe à Henry, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Certaines algues rouges déposent des cristaux de carbonate de calcium dans la paroi de leurs cellules et deviennent dures comme de la roche. Le carbonate de calcium est un sous-produit de la photosynthèse. Ces algues calcaires se présentent comme de petits arbustes rigides (Corallina) ou, plus fréquemment, sous forme d'une croûte rose appliquée contre la roche ou…

Morue franche, "Gadus morhus", dans une épave sur la côte nord de Saint Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Elle mesure habituellement 70 cm et pèse jusqu'à 3,5 kg mais des spécimens de plus de 90Kg ont été péchés à la fin du XIXe siècle. Elle se nourrit d'autres poissons comme les capelans, les lançons et sébastes, dont l'abondance est déterminante pour la croissance et le maintien des populations. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des…

Crevette polaire, "Lebbeus polaris", parasitée par un bopyre, "Bopyroides hippolytes" un isopode parasite branchial (sorte de boule blanche dans l'abdomen), à Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette crevette est une espèce circumpolaire, s'étendant du sud de Shetland (Écosse) au Skagerrak (Norvège) dans l'Atlantique est, et la baie de Chesapeake (États-Unis) en Atlantique ouest. Elle est très abondante au Canada, le long de la côte ouest de Terre-Neuve jusque dans le…

Dahlia de mer, "Urticina felina", anémone très colorée et souvent de grande taille, à Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Elle vit fermement fixée aux rochers, surtout sur les parties abritées et verticales, sur les tombants, un peu plus bas que la limite de la basse mer et jusqu'à plusieurs dizaines de mètres de profondeur. C'est une espèce très urticante et elle est capable de capturer des poissons de bonne taille. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse,…

Le navire océanique N/O Antea, au large de Saint-Pierre-et-Miquelon, est un catamaran de 35 m qui opère en océan Atlantique et Indien. Il est basé en France. Il réalise des missions en océanographie physique (câble électroporteur, ADCP de coque), en biologie (chalutage, sondeur 4 fréquences, capteurs scanmar). Il est aussi utilisé en tant que navire support pour des missions de plongée (étude de la biodiversité). Cette image a été réalisée lors du programme Matisse à Saint-Pierre-et-Miquelon,…

Forêt d'algues, "Alaria esculenta", au niveau de la Basse du Colombier, à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Anémones plumeuses, "Metridium senile" et bouquet d'hydrozoaires, "Tubularia crocea", à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Crustacés caprelles, "Caprella mutica", sur des algues, au niveau de la Basse du Colombier, à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Il semblerait que cette espèce soit invasive et d'origine asiatique. La caprelle est un crustacé amphipode et se retrouve sur de nombreuses structures artificielles telles que cordages, bouées, récifs artificiels, brise-lames et filières d'élevage de moules. Elle peut atteindre des concentrations très élevées. Comme c…

Ange des mers, "Clione limacina", un gastéropode pélagique sans coquille, au corps transparent, dans la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Celui-ci est de forme conique, surmonté d'une tête globuleuse. Le pied de l'ange des mers s'est transformé en une paire de parapodes, organes natatoires en forme d'ailes ou de nageoires assurant son déplacement. Il se nourrit de zooplancton tel que le gastéropode thécosome "Limacina helicina", sa proie favorite. Cette image a…

Etoile de mer commune, "Asterias rubens", des anémones plumeuses, "Metridium senile" et des alcyonaires, "Gersemia rubiformis" et "Alcyonium digitatum", sur une roche de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Forêt d'algues, "Alaria esculenta", abritant des oursins verts, "Strongylocentrotus droebachiensis", au niveau de la Basse du Colombier, à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.

Étoile de mer polaire, "Leptasterias (Hexasterias) polaris", à la sortie de la baie de Saint-Pierre, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Elle est très abondante dans l'estuaire maritime et le nord du golfe du Saint Laurent. Elle est plutôt rare dans le sud du golfe. On la trouve de l'étage médiolittoral jusqu'à une profondeur de 200 mètres. Elle est également présente dans le fjord du Saguenay et de l'Arctique jusqu'au Cape Cod en Nouvelle Écosse, ainsi que dans l'archipel de Saint…

Paysage sous-marin de Saint-Pierre-et-Miquelon : étoile de mer polaire, "Leptasterias polaris" s'attaquant à une moule géante, "Modiolus modiolus", cernées d'anémones plumeuses, "Metridium senile". Cette image a été réalisée lors du programme Matisse, dans le cadre des missions du laboratoire international associé (LIA) BeBest, issu d'une collaboration entre l'Institut des sciences de la mer de Rimouski au Québec et le Lemar en France.