Résumé
L'hôpital d'Orsay, grâce à son cyclotron, peut produire des éléments radioactifs qui, fixés sur des molécules biologiques, sont captés par une caméra à émission de positons qui suit la circulation de ces marqueurs dans le corps. A l'Institut Curie, les éléments radioactifs injectés sont repérés par une caméra Gamma. La scintigraphie osseuse permet de détecter une anomalie osseuse, mais sans diagnostic spécifique.
Le scanner X, associant la radiographie X conventionnelle et le traitement numérique de l'image, produit une imagerie en coupes.
L'hôpital du Val de Grâce exploite l'imagerie RMN (résonance magnétique nucléaire), qui trouve sa place dans des opérations délicates, comme celles du cerveau.
Ainsi, chaque technique a ses propres applications et apporte une précision spécifique au diagnostic.