Les résultats de recherche pour :

Etude de l'extension des prairies de l'algue "Caulerpa taxifolia" sur les fonds marins méditerranéens, à Villefranche-sur-Mer. Cette espèce d'origine australienne introduite en 1984 à Monaco a envahi les fonds marins de six pays méditerranéens. Ce sont des zones de compétition avec l'herbier à "Posidonia oceanica", plantes à fleurs de la famille des "Posidoniaceae" qui constituent un des écosystèmes majeurs de la Méditerranée.

Etude de l'extension des prairies de l'algue "Caulerpa taxifolia" sur les fonds marins méditerranéens, à Villefranche-sur-Mer. Cette espèce d'origine australienne introduite en 1984 à Monaco a envahi les fonds marins de six pays méditerranéens. Ce sont des zones de compétition avec l'herbier à "Posidonia oceanica", plantes à fleurs de la famille des "Posidoniaceae" qui constituent un des écosystèmes majeurs de la Méditerranée.

Etude de l'extension des prairies de l'algue "Caulerpa taxifolia" sur les fonds marins méditerranéens, à Villefranche-sur-Mer. Cette espèce d'origine australienne introduite en 1984 à Monaco a envahi les fonds marins de six pays méditerranéens. Ce sont des zones de compétition avec l'herbier à "Posidonia oceanica", plantes à fleurs de la famille des "Posidoniaceae" qui constituent un des écosystèmes majeurs de la Méditerranée.

Les gorgones sont les éléments essentiels des paysages sous-marins de Méditerranée nord occidentale. Ici au large de Marseille sur le banc du Veyron, la gorgone pourpre est "Paramuricea clavata" et la blanche "Eunicella singularis". Ces deux espèces sont particulièrement sensibles au changement climatique global et notamment aux anomalies thermiques estivales.

Entrée de la grotte du Chinois (Niolon, Le Rove). Cette grotte a été le siège de la première description de la communauté des grottes semi-obscures en 1958. Cette communauté peut être dominée comme ici par l'espèce emblématique de méditerranée "Corallium rubrum". Dans ce cas, on parle de faciès à corail rouge.

"Axinella polypoides" au large du Cap Morgiou (Marseille) par 30 m de profondeur. Cette espèce est une des plus grandes éponges de Méditerranée (des individus mesurant plus de 100 cm de hauteur). C'est un élément essentiel des paysages sous-marins qui se dresse sur les tombants coralligènes ou replats légèrement envasés depuis 10 m jusqu'à 100 m de profondeur.

Dorades coryphènes, photographiées à Monaco, des poissons pélagiques, d'origine méridionale de plus en plus fréquents dans le nord de la Méditerranée à cause du réchauffement climatique. Les pêcheurs amateurs commencent à en attraper, mais ils sont assez rares à voir en plongée.

Dorades coryphènes, photographiées à Monaco, des poissons pélagiques, d'origine méridionale de plus en plus fréquents dans le nord de la Méditerranée à cause du réchauffement climatique. Les pêcheurs amateurs commencent à en attraper, mais ils sont assez rares à voir en plongée.

Prélèvement de l'eau interstitielle du sédiment destiné à étudier les zones du fond marin méditerranéen envahies par la prairie de l'algue "Caulerpa racemosa", à Marseille. Cette espèce introduite d'origine australienne, découverte en Lybie en 1990, s'est depuis propagée sur les fonds marins de treize pays méditerranéens et de toutes les grandes îles de la mer Méditerranée. Son expansion se poursuit actuellement.

Un échinoderme crinoïde, "Antedon sp.", sur l'éponge encroutante "Phorbas tenacior" au large de la principauté de Monaco. Comme la grande majorité des éponges, "P. tenacior" filtre l'eau de mer pour se nourrir. Ici, l'eau pénètre par une multitude de pores inhalants regroupés dans des zones criblées visibles sur la photo. L'eau "épurée" est rejetée dans le milieu ambiant par un réseau de canaux exhalants visibles à la surface de l'éponge et débouchant sur l'extérieur par un gros oscule.

"Codium bursa" et "Antedon sp." au large de la principauté de Monaco. Cette boule verte légèrement aplatie est une chlorophycée rencontrée à faible profondeur et également appelée "béret basque". La comatule orange accrochée au "codium" est certainement un "Antedon" dont le nom d'espèce reste à déterminer. Ces échinodermes comportent des bras articulés très fins et portant des pinnules (appendices). Il vit sur le dos et c'est par des cirres dorsaux formant un crampon qu'il s'accroche à d'autres…

Les entrées de grottes sous-marines abritent une faune luxuriante, composée d'organismes extrêmement colorés et dits "sciaphiles". Ici, au large de Marseille (Le Veyron), on peut voir l'éponge tubulaire "Haliclona mediterranea" au centre de l'image, et tout autour des polypes du scléractiniaire (coraux) solitaire "Leptosammia pruvoti" et une multitude d'autres organismes sessiles.

"Spongia lamella" (au large de l'île Maire, Marseille) est une éponge commerciale également appelée "oreille d'éléphant". Son squelette de spongine est des plus fins, mais cette espèce se fait de plus en plus rare en Méditerranée. Victime des dernières anomalies thermiques estivales, elle est menacée par le changement climatique global.

"Oscarella lobularis" (banc du Veyron, Marseille) est une éponge qui appartient au groupe des "Homoscleromorpha". Ce groupe est un clade dont les relations avec les autres éponges ne sont pas très claires. Ses représentants partagent certains caractères morphologiques, cytologiques, biochimiques et embryologiques avec les eumétazoaires, mais qui sont absents dans d'autres clades de spongiaires. Il s'agit d'un groupe modèle en biologie de la reproduction.

Entrée de la grotte du Chinois (Niolon, Le Rove). Cette grotte a été le siège de la première description de la communauté des grottes semi-obscures en 1958. Cette communauté peut être dominée comme ici par l'espèce emblématique de méditerranée "Corallium rubrum". Dans ce cas, on parle de faciès à corail rouge.

"Parazoanthus axinellae", un zoanthaire méditerranéen également appelé "anémone bouton d'or", dont les polypes mesurent de 1 à 2 cm de hauteur. Cette espèce est abondante dans les entrées de grottes sous-marine (ici grotte du Chinois, Niolon, Le Rove), les surplombs et parfois en épibiose sur d'autres organismes sessiles (éponges, ascidies notamment).

Plongeur photographe utilisant un appareil photo avec un objectif macro pour une identification d'espèce sur substrat dur, réserve de Scandola, Corse, mer Méditerranée. Ce substrat est couvert d'algues calcaires (surface rose), typiques du coralligène, et d'éponges marines (taches rouges et orange).

"Spongia officinalis" (au large de l'île Maire, Marseille) est une éponge commerciale également appelée "la fine" par les pêcheurs par opposition à l'éponge commune "Hippospongia communis". Son squelette de spongine est des plus fins. Elle peut être abondante dans certains sites de Méditerranée nord occidentale (à Marseille notamment) mais elle se fait rare dans le sud et dans le bassin oriental. Régulièrement victime des dernières anomalies thermiques estivales, elle est menacée par le…

Les entrées de grotte sous-marine (ici sur le banc du Veyron, Marseille) abritent une faune luxuriante, composée d'organismes extrêmement colorés et dits "sciaphiles" (tolérant un éclairement faible). Au centre de l'image, l'éponge tubulaire "Haliclona mediterranea". Tout autour, on trouve des polypes du scléractiniaire solitaire (corail), "Leptosammia pruvoti", et une multitude d'autres organismes sessiles (fixés au sol).

Espèces patrimoniales des grottes sous-marines de Méditerranée : la grande cigale de mer, "Scyllarides latus", un crustacé décapode strictement protégé en France et le corail rouge, "Corallium rubrum", un cnidaire octocoralliaire. Assez peu fréquente en Provence, la grande cigale de mer est une des espèces méridionales dont la dynamique semble favorisée par les conditions climatiques actuelles. Le corail rouge est fréquent en Provence dans les habitats rocheux ombragés depuis 5 m jusqu'à plus…

Prélèvement d'algues, en plongée autonome, destiné à la recherche d'une algue rouge d'origine australienne du genre "Asparagopsis" sur les côtes méditerranéennes françaises, à La Ciotat.

"Corallium rubrum", corail rouge dans la grotte du Chinois (Niolon, Le Rove). Le corail rouge de Méditerranée est un organisme marin appelé "or rouge".

"Asparagopsis taxiformis", algue rouge envahissante d'origine australienne récemment introduite sur les fonds marins, en Méditerranée occidentale.

"Asparagopsis taxiformis", algue rouge envahissante d'origine australienne récemment introduite sur les fonds marins, en Méditerranée occidentale.

L'ascidie rouge, "Halocynthia papillosa", vit fixée sur des substrats durs (roche, coralligène, épave, etc.). Ici, au large de la principauté de Monaco, elle est fixée à l'intérieur d'une grotte obscure artificielle et l'absence de compétiteur pour l'espace permet d'apprécier son ancrage au substrat.

"Oscarella tuberculata" (île de Porquerolles, Hyères) est une éponge qui appartient au groupe des "Homoscleromorpha". Ce groupe est un clade dont les relations avec les autres éponges ne sont pas très claires. Ses représentants partagent certains caractères morphologiques, cytologiques, biochimiques et embryologiques avec les eumétazoaires, mais qui sont absents dans d'autres clades de spongiaires. Il s'agit d'un groupe modèle en biologie de la reproduction. Cette espèce présente plusieurs…

"Hypselodoris valenciennesi" au large de l'île Plane (archipel de Riou, Marseille). Ce mollusque nudibranche est une des plus grandes espèces que l'on peut observer en Méditerranée (jusqu'à 20 cm). C'est une espèce endémique, il se nourrit principalement d'éponges.

Le chapon "Scorpaena scrofa" est l'ingrédient essentiel de la bouillabaisse. Cette rascasse à la tête très massive vit de préférence sur les fonds rocheux (coralligène) de 20 à 200 m de profondeur. Ile de Riou, Marseille.

"Alcyonium acaule" au large de l'île de Porquerolles (Hyères) par 20 m de fond. Communément appelés "coraux mous" ou "soft coral", ces octocoralliaires sont des organismes coloniaux que l'on trouve en Méditerranée dans la communauté du coralligène.

Le chapon "Scorpaena scrofa" est l'ingrédient essentiel de la bouillabaisse. Cette rascasse à la tête très massive vit de préférence sur les fonds rocheux (coralligène) de 20 à 200 m de profondeur, ici au large de la principauté de Monaco.

Fond marin méditerranéen envahi par l'algue "Caulerpa racemosa" var. "cylindracea", à la Gabinière, parc national de Port-Cros. Cette espèce introduite d'origine australienne, découverte en Lybie en 1990, a depuis envahi les fonds marins de treize pays méditerranéens et ceux de toutes les grandes îles de la mer Méditerranée. Son expansion se poursuit actuellement.

Fond marin méditerranéen envahi par l'algue "Caulerpa racemosa" var. "cylindracea", à la Gabinière, parc national de Port-Cros. Cette espèce d'origine australienne a été introduite en Méditerranée au début des années 1990.

Fond marin méditerranéen envahi par l'algue "Caulerpa racemosa" var. "cylindracea", à la Gabinière, parc national de Port-Cros. Cette espèce d'origine australienne a été introduite en Méditerranée au début des années 1990.

Balisage d'une zone expérimentale, sur le fond marin méditerranéen, destinée à l'étude de l'algue "Caulerpa racemosa" et au suivi de son expansion, à Marseille. Cette espèce introduite d'origine australienne, découverte en Lybie en 1990, s'est depuis propagée sur les fonds marins de treize pays méditerranéens et de toutes les grandes îles de la mer Méditerranée.

Prélèvement d'un quadrat de 20 x 20 cm destiné à étudier les zones du fond marin méditerranéen envahies par la prairie de l'algue "Caulerpa racemosa", à Marseille. Cette espèce introduite d'origine australienne, découverte en Lybie en 1990, s'est depuis propagée sur les fonds marins de treize pays méditerranéens et de toutes les grandes îles de la mer Méditerranée. Son expansion se poursuit actuellement.

Gorgone rouge, "Paramuricea clavata", à un stade avancé de nécrose, avec des restes grisâtres de coenenchyme (partie charnue qui recouvre l'axe squelettique) et l'axe corné totalement nu. Cette image, prise en octobre 1999 à Port-Cros par 25 m de profondeur, illustre la mortalité d'invertébrés suite à des réchauffements estivaux exagérés de la mer.

Macrodéchets en surface, à proximité du débouché en mer de l'émissaire d'une grande cité méditerranéenne (région marseillaise), après un orage. Les macrodéchets rejetés en mer ne sont que la partie la plus spectaculaire de la pollution résultant de l'urbanisation de plus en plus grande du littoral. Cette photo correspond à une situation ancienne (1975), avant la mise en fonctionnement d'une station d'épuration. Toutefois, la gestion des apports brutaux occasionnés par les orages est un problème…

Les herbiers à "Posidonia oceanica", une phanérogame marine endémique de Méditerranée, constituent un écosystème littoral fondamental et un centre majeur de biodiversité sur tout le pourtour méditerranéen. Ces herbiers ont beaucoup souffert de la pollution chimique, de l'accroissement de la turbidité et de la sédimentation, des agressions mécaniques (ancres, engins traînants, mines) et de l'envahissement du domaine marin par les aménagements côtiers. La posidonie a été classée comme espèce…

Macrodéchets accumulés sur un fond de sable dans une zone urbanisée en Méditerranée (large du Frioul, baie de Marseille en 1970). L'utilisation des emballages jetables faits de matériaux légers et peu dégradables a accéléré considérablement leur multiplication dans les milieux naturels et leur dispersion à grande distance. En Méditerranée, les vents, les courants locaux et la circulation à plus grande échelle, comme le courant Nord ( liguro-provenço-catalan), contribuent à leur dissémination…

Une petite murène, "Muraena helena", au milieu d'algues photophiles par 3 m de profondeur devant la Station marine d'Endoume (Marseille).

Les peuplements des parois ombragées des grottes sont dominés par des invertébrés fixés qui présentent des couleurs spectaculaires et une grande diversité. Le porche de cette petite cavité d'une paroi rocheuse peu profonde (14 m), près de Cassis, présente un peuplement typique de cet habitat dans cette partie de la Méditerranée, en condition de pollution faible. A l'extérieur, la gorgone jaune, "Eunicella cavolinii", et l'éponge rouge en plaque, "Crambe crambe", et plus vers l'intérieur, le…

Diversité des cnidaires de Méditerranée, "Metridium Senile", sur épave, à 30 m de profondeur au large de l'île de Rathlin, Irlande du Nord. Cette image a été prise dans le cadre d'une mission (4-16 juin 2005) organisée par le Muséum d'Ulster (Belfast, Irlande du Nord) sur l'île de Rathlin, site Natura 2000, pour laquelle l'Union européenne finance un programme d'inventaire et de conservation de la biodiversité marine.

Les gorgones, ici "Paramuricea clavata" et "Eunicella singularis", sont des composants paysagers majeurs des fonds coralligènes de Méditerranée, mais sont très vulnérables aux agressions mécaniques et au réchauffement climatique.