Les résultats de recherche pour :

Canal d'irrigation à Aslewa, dans les basses montagnes de l'ouest du Népal (district de Gulmi). Ce canal en terre apporte l'eau directement aux terrasses de colza et de blé en hiver (comme c'est le cas ici), puis de maïs et de riz au printemps, et enfin de riz de mousson entre juillet et octobre. L'irrigation permet, à cette altitude (700 m) trois cultures par an. "Purano khet' ("vieilles rizières") est le premier espace du village à avoir été irrigué, vraisemblablement à la fin du XVIIIe…

Dispositif de partiteurs successifs en ciment à Argali, un village des basses montagnes de l'ouest du Népal (district de Palpa). Ces structures, placées en travers d'un canal et composées d'encoches qui laissent passer l'eau, permettent de partager celle d'un canal d'irrigation entre plusieurs quartiers de rizières. Les proportions du partage correspondent à la somme des droits d'eau détenus par les ayants droit de chaque quartier à irriguer. Les encoches des partiteurs ont ainsi des tailles…

Cultures en terrasses à Aslewa, dans les basses montagnes de l'ouest du Népal (district de Gulmi). Ces terrasses sont des rizières, c'est-à-dire des champs à riz aménagés pour retenir l'eau. Toutefois, ils accueillent en cette fin d'hiver des cultures de blé. Les canaux d'irrigation ne sont pas visibles, mais apportent l'eau nécessaire aux cultures.

Réunion du comité des irrigants d'Aslewa, un village des basses montagnes de l'ouest du Népal. Ce comité est en charge de la maintenance du canal principal d'amenée de l'eau d'irrigation au village, canal long de 6 km à flanc de montagne, fragile et sujet aux glissements de terrain. Une règle de maintenance a été établie dès l'origine de ce système d'irrigation, au début du XXe siècle : tous les ayants droit doivent participer aux travaux de réparation proportionnellement à leur droit d'eau, et…

Horloge à eau pour décompter les durées d'irrigation de chaque irrigant du village d'Aslewa, dans les basses montagnes de l'ouest du Népal. Des droits d'eau individuels ont été définis et sont décomptés en "ghari", unité de temps correspondant à la durée de remplissage de la coupelle placée sur l'eau et percée en son fond. Un "ghari" représente 24 minutes, 60 ghari sont donc comptabilisés en 24 heures. Cette horloge à eau est inspirée de celle des astrologues indiens. Elle requiert la présence…

Récolte du soja à la fazenda Bom futuro, dans l'état du Mato Grosso, au Brésil. Le groupe Bom futuro cultive 420 000 ha, dont 250 000 plantés en soja. Il faut évidemment un imposant parc de moissonneuses-batteuses et de camions pour les moissons.

Canal d'irrigation paysan dans la plaine du Téraï, la partie népalaise de la plaine indo-gangétique. Des champs de riz, ici à maturité, sont irrigués par ce canal qui permet d'apporter régulièrement de l'eau aux rizières de juillet à octobre puis au blé en hiver. L'eau est déviée de la rivière, plus en amont mais ce canal est menacé par le processus d'urbanisation que connaît le village et que l'on entrevoit en arrière-plan. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du projet ANR Terre…

Récolte de riz dans le village de Ranibhagiya, dans la plaine du Téraï au Népal (Rupandehi). Le Téraï, partie népalaise de la plaine indo-gangétique située dans le piémont himalayen, constitue aujourd'hui le grenier à grain (riz et blé) du pays. Cette production est toutefois majoritairement le fait d'une agriculture paysanne, vivant sur de petites propriétés (1 ha en moyenne). Ici, la récolte est effectuée en famille (la grand-mère, la mère et trois filles) et avec l'aide de trois voisines…

Canal d'irrigation paysan du village de Ranibhagiya (Rupandehi) dans la plaine du Téraï, la partie népalaise de la plaine indo-gangétique. Des champs de riz, ici à maturité, sont irrigués par ce canal. Ce dernier permet d'apporter régulièrement de l'eau aux rizières de juillet à octobre, puis au blé en hiver. L'eau est déviée de la rivière, plus en amont mais ce canal est menacé par le processus d'urbanisation que connaît le village et que l'on entrevoit en arrière-plan. Cette photographie a…

Dérivation d'eau d'une rivière vers un canal d'irrigation paysan, à Ranibhagiya (district de Rupandehi) dans la plaine népalaise. Constituée d'un barrage sommaire de pierres, cette prise en rivière dévie l'eau dans le canal qui alimente près de 200 hectares de rizières. En période de mousson, la rivière voit son volume enfler brusquement, ce qui peut emporter le barrage. Les irrigants doivent alors le réparer collectivement. La construction est ancienne, bien que des gabions aient été installés…

Paysan labourant son champ avec un motoculteur, au village de Parroha (Rupandehi) dans la plaine de l'ouest népalais. Le riz vient d'être récolté et le blé sera semé pour l'hiver. Les motoculteurs ont été introduits depuis une dizaine d'années dans cette région du piémont himalayen en réponse au manque de main-d'œuvre masculine manifeste dans les campagnes du fait de l'urbanisation croissante et des migrations de travail à l'étranger. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du projet…

Coupe à blanc réalisée par l'ONF en forêt de Chailluz au cours de l'hiver 2009/2010 après l'acquisition de données LIDAR (télédétection par laser aéroporté). La parcelle déboisée est située sur un coteau orienté sud / sud-est dominant la zone de plaine où s'est développée la ville de Besançon. L'abondante végétation basse est diversifiée. Certaines espèces restées en dormance ont profité de l'ouverture du milieu. Les buissons plus sombres observables sur l'ensemble de la parcelle sont des…

Récolte de roses, "Rosa centifolia", sur une parcelle du jardin du musée international de la parfumerie, à Mouans-Sartoux à coté de Grasse dans les Alpes-Maritimes. Cette récolte servira à la création d'un parfum antique, selon une recette décrite par Dioscorides dans le livre "De Materia Medica". Image extraite du film "Le parfum retrouvé".

Coupe à blanc réalisée par l'ONF en forêt de Chailluz au cours de l'hiver 2009/2010 après l'acquisition de données LIDAR (télédétection par laser aéroporté). La parcelle déboisée est située sur un coteau orienté sud / sud-est dominant la plaine où s'est développée Besançon. L'abondante végétation basse est diversifiée. Certaines espèces restées en dormance ont profité de l'ouverture du milieu. Les buissons plus sombres sont des tilleuls à grandes feuilles, "Tilia platyphyllos", qui rejettent à…

Récolte du maïs à Sorriso, Mato Grosso, Brésil.

Récolte du coton à Sorriso, Mato Grosso, Brésil.

Pivots d'irrigation, près de Brasília, dans le Goiás, Brésil. Ils couvrent une superficie de 64 ha, et se détachent sur les parcelles de cultures pluviales du premier plan.

Pertuis de Rousty (lieu d'échanges entre mer et étang) sur la digue à la mer, un système de vannes installé entre la mer et un étang d'irrigation. Son fonctionnement est occasionnel. En 6 000 ans, les 80 000 hectares du delta du Rhône - la Camargue - ont été gagnés sur la mer par les apports sédimentaires du fleuve. Désormais transformés en polder derrière des digues fluviales, ils sont aussi protégés par une digue à la mer construite en 1859 afin de limiter les entrées d'eau salée.

Arrachage des plants de la pépinière pour un repiquage en rizière. Matatàña (Madagascar).

Scène d'horticulture sur brûlis à l'île des Pins (Nouvelle-Calédonie). Champ défriché et brûlé pour la plantation d'ignames par la population kanak.

Technique de culture sur brûlis par la population kanak : on brûle le terrain pour y implanter un nouveau champ de cultures vivrières (ici champ de manioc) à Vao, île des Pins Nouvelle-Calédonie.

Village d'Ambatofotsy (Madagascar). Scène de repiquage. Riz de saison chaude.

Village d'Androrangavola (Madagascar). Cérémonie du tongoa fototra, avant le semis du riz sur l'essart. Le riz cuit a été posé à l'ouest des bambous, sur une pierre plate. Tourné vers l'est, le maître de l'essart invoque les divinités et les esprits du sol mais pas les ancêtres.

Région de la Manambondro (Madagascar). Essart après le passage du feu.

Village d'Androrangavola (Madagascar). Repas en commun de la famille à l'issue de la cérémonie du tongoa fototra qui précède le semis du riz sur l'essart.

Village d'Androrangavola (Madagascar). Semis collectif du riz sur l'essart par les femmes. Le bâton manié de la main droite réalise un trou dans lequel la femme jette de la main gauche quelques grains de riz. Les grains sont portés dans un petit panier attaché à la ceinture.

Village d'Androrangavola (Madagascar). Brûlis. Au milieu de l'essart, un arbre du voyageur laissé volontairement non coupé sert d'abri aux esprits.

Village d'Androrangavola (Madagascar). Essart au pied du massif forestier (en principe intouchable) entourant le tombeau de Beretra.

Village d'Androrangavola (Madagascar). Essart après le passage du feu.

Village d'Androrangavola (Madagascar). Préparation de la cérémonie du tongoa fototra (de tongoa, "action de mettre sur", et fototra, "souche, base coupée d'un tronc"). Le maître de l'essart érige deux bambous verts, dans lesquels il verse du rhum, un rameau feuillu d'arbre sambalahy (samba, cf. sambasamba, remerciement prononcé lorsqu'on s'adresse aux divinités) (Albizzia fastigiata Oliver), arbre des esprits du sol. Il accroche au rameau une feuille roulée de longoza (Aframomum angustifolium K…

Village d'Androrangavola (Madagascar). Récolte.