20230108_0002
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0002
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0003
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0003
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0004
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0004
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0005
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0005
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0006
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0006
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0007
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0007
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0008
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0008
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0009
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0009
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0010
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0010
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230108_0011
Open media modal

Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

Photo
20230108_0011
Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230107_0001
Open media modal

Réplique expérimentale de perles en coquillages avec un colorant organique rouge natoufien à base de racines de Rubiacées. Les chasseurs-cueilleurs de la culture natoufienne, qui s’est développée entre -13 000 et -9 650 ans au Proche-Orient, seraient les premiers à avoir utilisé des pigments rouges d’origine organique. Cette découverte fait suite à l’analyse de perles et des parures provenant de la grotte de Kebara, sur le Mont Carmel, en Israël, conservées au musée Rockefeller de Jérusalem. La…

Photo
20230107_0001
Réplique expérimentale de perles en coquillages avec un colorant organique rouge natoufien
20230107_0002
Open media modal

Blocs d'hématite avec des marques de grattage réalisées par des silex, datant du Natoufien ancien et mis au jour dans la grotte de Kebara, sur le Mont Carmel, en Israël. L’étude des parures issues de cette grotte permet de mieux comprendre les pratiques ornementales et les procédés de fabrication des colorants dans la culture natoufienne, qui s’est développée entre -13 000 et -9 650 ans au Proche-Orient. Les Natoufiens utilisaient une technique de chauffage contrôlé des ornements en os pour…

Photo
20230107_0002
Blocs d'hématite ayant servi pour la fabrication de pigments rouges, Natoufien, grotte de Kebara, Israël
20230108_0001
Open media modal

Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
20230108_0001
Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
20230066_0054
Open media modal

Réalisation d’un modèle expérimental de subduction dans une boîte de plexiglas de 1 m par 1 m par 10 cm remplie de sirop de glucose. Ce matériau visqueux est analogue au manteau convectif terrestre, sur lequel reposent les plaques tectoniques. Le boîte représente l’équivalent dans la nature de 6600 km par 6600 km par 660 km. Sur le sirop est déposée une plaque de silicone noire, un matériau visqueux analogue d’une plaque océanique. Cette expérience permettra de reproduire la dynamique des zones…

Photo
20230066_0054
Réalisation d’un modèle expérimental de subduction dans une boîte de plexiglas
20230066_0055
Open media modal

Réalisation d’un modèle expérimental de subduction dans une boîte de plexiglas de 1 m par 1 m par 10 cm remplie de sirop de glucose. Ce matériau visqueux est analogue au manteau convectif terrestre, sur lequel reposent les plaques tectoniques. Le boîte représente l’équivalent dans la nature de 6600 km par 6600 km par 660 km. Sur le sirop est déposée une plaque de silicone noire, un matériau visqueux analogue d’une plaque océanique. Cette expérience permettra de reproduire la dynamique des zones…

Photo
20230066_0055
Réalisation d’un modèle expérimental de subduction dans une boîte de plexiglas
20230066_0056
Open media modal

Réalisation d’un modèle expérimental de subduction dans une boîte de plexiglas de 1 m par 1 m par 10 cm remplie de sirop de glucose. Ce matériau visqueux est un analogue du manteau convectif terrestre, sur lequel reposent les plaques tectoniques. Le cube représente l’équivalent de 6600 km par 6600 km par 660 km dans la nature. Sur le sirop sont déposées deux plaques de silicone, un matériau visqueux analogue des plaques (lithosphères) terrestres. La noire représente la plaque plongeante dont la…

Photo
20230066_0056
Réalisation d’un modèle expérimental de subduction dans une boîte de plexiglas
20230066_0057
Open media modal

Numérisation en 3D, grâce à un laser de laboratoire, de la topographie d'un modèle de subduction dans une boîte de plexiglas de 1 m par 1 m par 10 cm remplie de sirop de glucose. Ce matériau visqueux est analogue au manteau convectif terrestre, sur lequel reposent les plaques tectoniques. La boîte représente l’équivalent de 6600 km par 6600 km par 660 km dans la nature et permet de reproduire la dynamique des zones de subduction sur Terre, lorsque les plaques tectoniques convergent et qu'une…

Photo
20230066_0057
Numérisation en 3D, grâce à un laser de laboratoire, de la topographie d'un modèle de subduction
20230066_0058
Open media modal

Numérisation en 3D, grâce à un laser de laboratoire, de la topographie d'un modèle de subduction dans une boîte de plexiglas de 1 m par 1 m par 10 cm remplie de sirop de glucose. Ce matériau visqueux est analogue au manteau convectif terrestre, sur lequel reposent les plaques tectoniques. La boîte représente l’équivalent de 6600 km par 6600 km par 660 km dans la nature et permet de reproduire la dynamique des zones de subduction sur Terre, lorsque les plaques tectoniques convergent et qu'une…

Photo
20230066_0058
Numérisation en 3D, grâce à un laser de laboratoire, de la topographie d'un modèle de subduction
20230066_0059
Open media modal

Numérisation en 3D, grâce à un laser de laboratoire, de la topographie d'un modèle de subduction dans une boîte de plexiglas de 1 m par 1 m par 10 cm remplie de sirop de glucose. Ce matériau visqueux est analogue au manteau convectif terrestre, sur lequel reposent les plaques tectoniques. La boîte représente l’équivalent de 6600 km par 6600 km par 660 km dans la nature et permet de reproduire la dynamique des zones de subduction sur Terre, lorsque les plaques tectoniques convergent et qu'une…

Photo
20230066_0059
Numérisation en 3D, grâce à un laser de laboratoire, de la topographie d'un modèle de subduction
20230066_0060
Open media modal

Détail d'une zone de subduction dans un modèle expérimental après plusieurs minutes d’expérience. La plaque de silicone noire, un matériau visqueux analogue d’une plaque océanique, s’est enfoncée sous l’effet de son propre poids entraînant le déplacement de la fosse de subduction, à l’interface entre les deux plaques. Les carrés noirs, dessinés initialement à la surface de la plaque chevauchante rose, permettent de visualiser et de quantifier à posteriori la déformation subie par cette dernière…

Photo
20230066_0060
Détail d'une zone de subduction dans un modèle expérimental après plusieurs minutes d’expérience
20230066_0061
Open media modal

Séparation des plaques de silicone d'un modèle expérimental de subduction. A la fin de l'expérience, les plaques sont extraites de la boîte et nettoyées pour les débarrasser des résidus de sirop restants. Une fois propres, les silicones pourront être réutilisées lors d’une prochaine expérience. La boîte de plexiglas de 1 m par 1 m par 10 cm est remplie de sirop de glucose, un matériau visqueux analogue du manteau convectif terrestre, sur lequel reposent les plaques tectoniques. Elle représente…

Photo
20230066_0061
Séparation des plaques de silicone d'un modèle expérimental de subduction
20230113_0004
Open media modal

Mousse solide de polymère dont les pores de 3 mm sont fermés par de fines membranes. Les mousses solides membranaires sont des mousses de polymère obtenues après solidification d’une mousse liquide. Les pores de ces matériaux sont délimités par des membranes de quelques micromètres qui ont perdu leur élasticité après le processus de solidification. Les pores fermés modifient drastiquement la propagation des ondes : les membranes n’étant pas élastiques, aucune résonnance n’est observée mais leur…

Photo
20230113_0004
Mousse solide de polymère dont les pores sont fermés
Open media modal

Uniquement disponible pour exploitation non commerciale

Écouter les paysages plutôt que les regarder. Telle est l'approche d'Anne Sourdril, ethnologue, et Luc Barbaro, écologue, qui sillonnent le sud de l'Arizona en captant tous les bruits d'origine animale, météorologique ou humaine. Ils utilisent le concept de paysage sonore pour étudier les écosystèmes, l'impact des bruits d'origine humaine sur la faune ou encore les liens qui unissent les habitants à leur environnement.

Vidéo
7670
Des paysages qui s'écoutent
20230019_0001
Open media modal

Modélisation d'un pore ouvert par un champ électrique dans une biomembrane. L'électroporation consiste à perforer la membrane cellulaire à l’aide d’un champ électrique pour délivrer une substance thérapeutique, comme des médicaments ou de l’ADN, à l’intérieur des cellules. Des scientifiques ont dévoilé des éléments essentiels à la connaissance de ce phénomène largement utilisé mais encore peu compris. Les résultats expérimentaux suggèrent ainsi que l’interaction du champ électrique avec les…

Photo
20230019_0001
Modélisation d'un pore ouvert par un champ électrique dans une biomembrane
Open media modal

Uniquement disponible pour exploitation non commerciale

Qu'on leur prête le dessein de nous anéantir, de nous remplacer dans les usines ou de devenir nos esclaves (voire nos amis !), les robots alimentent nos fantasmes depuis des siècles… Surtout lorsqu'ils nous ressemblent. Sauf qu'en vérité, on n'en croise pas beaucoup ailleurs que dans la fiction. Alors on s'est demandé dans cet épisode de #VaSavoir : au fond, à quoi bon chercher à créer des robots humanoïdes ? Et scientifiquement, qu'est-ce qui se cache vraiment derrière cette volonté en…

Vidéo
7672
Au corps à core avec les robots - Va Savoir #03
Open media modal

À quelques encablures de la ville de Catane, en Sicile, une mission océanographique a eu lieu en février 2023 pour étudier l'activité d'une faille sous-marine, découverte il y a seulement 10 ans et appelée « Nord Alfeo ». Embarquez à bord de l'Atalante pour percer les mystères de cette faille qui s'étend depuis la côte au pied de l'Etna vers le Sud-Est sur une longueur totale de plus de 100 km à plus de 2000 mètres de profondeur. L'objectif des scientifiques du CNRS,…

Vidéo
7673
Sicile : une faille sous haute surveillance
19000001_1296
Open media modal

Emmanche-balai Longchamp, conçu par M. Longchamp, présenté au Salon des appareils ménagers, le 22 novembre 1923. Composé de deux cuillers mobiles autour d'un axe par deux charnières, l'une à crampons et l'autre à mâchoires, cet appareil peut emmancher un balai, en le passant autour du manche de ce dernier et en forçant sur la monture. Le Salon des appareils ménagers est organisé à l'initiative de Jules-Louis Breton, directeur de l'Office national des recherches scientifiques et industrielles et…

Photo
19000001_1296
Emmanche-balai Longchamp, Salon des appareils ménagers en 1923
Open media modal

Uniquement disponible pour exploitation non commerciale

Un étrange phénomène frappe plusieurs oeuvres réalisées à Paris à la fin des années 1950, notamment des tableaux de Pierre Soulages : la peinture se ramollit et redevient liquide. Pour comprendre les causes de ces altérations, on vous emmène aux Abattoirs, Musée – Frac Occitanie de Toulouse, suivre une équipe de scientifiques lancée dans une grande campagne d'analyse des composants de peinture, grâce à des techniques d'imagerie non-invasives novatrices.

Vidéo
7679
Soulages : Au coeur de la peinture
20230050_0007
Open media modal

Fresque "Sport & science, l’union fait la force" à la station de métro Montparnasse-Bienvenüe, à Paris. En 2023 et 2024, la France accueillera de grands évènements sportifs internationaux. Ces rendez-vous festifs stimulent la recherche pour aider athlètes et amateurs à aller toujours plus vite, plus haut, plus fort. La fresque "Sport & science, l’union fait la force" conçue par le CNRS en partenariat avec la RATP, met en lumière les domaines liés à l’activité physique que les scientifiques…

Photo
20230050_0007
Fresque "Sport & science, l’union fait la force", métro Montparnasse-Bienvenüe, Paris
20230050_0008
Open media modal

Fresque "Sport & science, l’union fait la force" à la station de métro Montparnasse-Bienvenüe, à Paris. En 2023 et 2024, la France accueillera de grands évènements sportifs internationaux. Ces rendez-vous festifs stimulent la recherche pour aider athlètes et amateurs à aller toujours plus vite, plus haut, plus fort. La fresque "Sport & science, l’union fait la force" conçue par le CNRS en partenariat avec la RATP, met en lumière les domaines liés à l’activité physique que les scientifiques…

Photo
20230050_0008
Fresque "Sport & science, l’union fait la force", métro Montparnasse-Bienvenüe, Paris
20230050_0001
Open media modal

Fresque "Sport & science, l’union fait la force" à la station de métro Montparnasse-Bienvenüe, à Paris. En 2023 et 2024, la France accueillera de grands évènements sportifs internationaux. Ces rendez-vous festifs stimulent la recherche pour aider athlètes et amateurs à aller toujours plus vite, plus haut, plus fort. La fresque "Sport & science, l’union fait la force" conçue par le CNRS en partenariat avec la RATP, met en lumière les domaines liés à l’activité physique que les scientifiques…

Photo
20230050_0001
Fresque "Sport & science, l’union fait la force", métro Montparnasse-Bienvenüe, Paris
20230050_0002
Open media modal

Fresque "Sport & science, l’union fait la force" à la station de métro Montparnasse-Bienvenüe, à Paris. En 2023 et 2024, la France accueillera de grands évènements sportifs internationaux. Ces rendez-vous festifs stimulent la recherche pour aider athlètes et amateurs à aller toujours plus vite, plus haut, plus fort. La fresque "Sport & science, l’union fait la force" conçue par le CNRS en partenariat avec la RATP, met en lumière les domaines liés à l’activité physique que les scientifiques…

Photo
20230050_0002
Fresque "Sport & science, l’union fait la force", métro Montparnasse-Bienvenüe, Paris
20230050_0003
Open media modal

Fresque "Sport & science, l’union fait la force" à la station de métro Montparnasse-Bienvenüe, à Paris. En 2023 et 2024, la France accueillera de grands évènements sportifs internationaux. Ces rendez-vous festifs stimulent la recherche pour aider athlètes et amateurs à aller toujours plus vite, plus haut, plus fort. La fresque "Sport & science, l’union fait la force" conçue par le CNRS en partenariat avec la RATP, met en lumière les domaines liés à l’activité physique que les scientifiques…

Photo
20230050_0003
Fresque "Sport & science, l’union fait la force", métro Montparnasse-Bienvenüe, Paris
20230050_0004
Open media modal

Fresque "Sport & science, l’union fait la force" à la station de métro Montparnasse-Bienvenüe, à Paris. En 2023 et 2024, la France accueillera de grands évènements sportifs internationaux. Ces rendez-vous festifs stimulent la recherche pour aider athlètes et amateurs à aller toujours plus vite, plus haut, plus fort. La fresque "Sport & science, l’union fait la force" conçue par le CNRS en partenariat avec la RATP, met en lumière les domaines liés à l’activité physique que les scientifiques…

Photo
20230050_0004
Fresque "Sport & science, l’union fait la force", métro Montparnasse-Bienvenüe, Paris
20230050_0005
Open media modal

Fresque "Sport & science, l’union fait la force" à la station de métro Montparnasse-Bienvenüe, à Paris. En 2023 et 2024, la France accueillera de grands évènements sportifs internationaux. Ces rendez-vous festifs stimulent la recherche pour aider athlètes et amateurs à aller toujours plus vite, plus haut, plus fort. La fresque "Sport & science, l’union fait la force" conçue par le CNRS en partenariat avec la RATP, met en lumière les domaines liés à l’activité physique que les scientifiques…

Photo
20230050_0005
Fresque "Sport & science, l’union fait la force", métro Montparnasse-Bienvenüe, Paris
20230050_0006
Open media modal

Fresque "Sport & science, l’union fait la force" à la station de métro Montparnasse-Bienvenüe, à Paris. En 2023 et 2024, la France accueillera de grands évènements sportifs internationaux. Ces rendez-vous festifs stimulent la recherche pour aider athlètes et amateurs à aller toujours plus vite, plus haut, plus fort. La fresque "Sport & science, l’union fait la force" conçue par le CNRS en partenariat avec la RATP, met en lumière les domaines liés à l’activité physique que les scientifiques…

Photo
20230050_0006
Fresque "Sport & science, l’union fait la force", métro Montparnasse-Bienvenüe, Paris
Open media modal

Uniquement disponible pour exploitation non commerciale

Plus d'un an après sa mise à l'eau, BathyBot vient de s'éveiller au fond de la mer Méditerranée. Plongez aux côtés de ce robot téléopéré depuis la surface, le premier à être installé de façon permanente à 2400 mètres de profondeur pour au moins cinq ans. Accompagné d'un récif artificiel et d'une batterie d'instruments, BathyBot permettra d'étudier la biodiversité, la bioluminescence et les processus biogéochimiques des fonds marins. Imaginé scientifiquement par…

Vidéo
7685
BathyBot, le robot des profondeurs
20230051_0001
Open media modal

Lymphocyte T infecté par le VIH-1 (en rose) en contact avec un macrophage (en gris), vus en microcopie électronique à balayage. Des scientifiques proposent que le mécanisme de fusion des macrophages avec les lymphocytes T infectés constitue le mode majeur d'infection des macrophages in vivo. Les thérapies antirétrovirales sont efficaces pour réduire la charge virale chez les patients infectés par le VIH-1, mais l'un des défis pour éradiquer complètement le virus reste l'élimination des…

Photo
20230051_0001
Lymphocyte T infecté par le VIH-1 en contact avec un macrophage
20230052_0001
Open media modal

Vue d’artiste de protistes eucaryotes qui vivaient dans l’eau de mer il y a 2,1 milliards d’années. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans le gisement gabonais de Moulendé par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une…

Photo
20230052_0001
Protistes eucaryotes qui vivaient dans l’eau de mer il y a 2,1 milliards d’années
20230052_0002
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote encastré dans la roche hôte de schiste noir du gisement gabonais de Moulendé. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes y ont été découverts par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0002
Fossile de protiste eucaryote de 2,1 milliards d'années, gisement de Moulendé, Gabon
20230052_0003
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote encastré dans la roche hôte de schiste noir du gisement gabonais de Moulendé. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes y ont été découverts par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0003
Fossile de protiste eucaryote de 2,1 milliards d'années, gisement de Moulendé, Gabon
20230052_0004
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0004
Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
20230052_0005
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0005
Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
20230052_0006
Open media modal

Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

Photo
20230052_0006
Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
20230050_0009
Open media modal

Fresque "Sport & science, l’union fait la force" à la station de métro Montparnasse-Bienvenüe, à Paris. En 2023 et 2024, la France accueillera de grands évènements sportifs internationaux. Ces rendez-vous festifs stimulent la recherche pour aider athlètes et amateurs à aller toujours plus vite, plus haut, plus fort. La fresque "Sport & science, l’union fait la force" conçue par le CNRS en partenariat avec la RATP, met en lumière les domaines liés à l’activité physique que les scientifiques…

Photo
20230050_0009
Fresque "Sport & science, l’union fait la force", métro Montparnasse-Bienvenüe, Paris
20230050_0010
Open media modal

Fresque "Sport & science, l’union fait la force" à la station de métro Montparnasse-Bienvenüe, à Paris. En 2023 et 2024, la France accueillera de grands évènements sportifs internationaux. Ces rendez-vous festifs stimulent la recherche pour aider athlètes et amateurs à aller toujours plus vite, plus haut, plus fort. La fresque "Sport & science, l’union fait la force" conçue par le CNRS en partenariat avec la RATP, met en lumière les domaines liés à l’activité physique que les scientifiques…

Photo
20230050_0010
Fresque "Sport & science, l’union fait la force", métro Montparnasse-Bienvenüe, Paris
20230050_0011
Open media modal

Fresque "Sport & science, l’union fait la force" à la station de métro Montparnasse-Bienvenüe, à Paris. En 2023 et 2024, la France accueillera de grands évènements sportifs internationaux. Ces rendez-vous festifs stimulent la recherche pour aider athlètes et amateurs à aller toujours plus vite, plus haut, plus fort. La fresque "Sport & science, l’union fait la force" conçue par le CNRS en partenariat avec la RATP, met en lumière les domaines liés à l’activité physique que les scientifiques…

Photo
20230050_0011
Fresque "Sport & science, l’union fait la force", métro Montparnasse-Bienvenüe, Paris

CNRS Images,

Nous mettons en images les recherches scientifiques pour contribuer à une meilleure compréhension du monde, éveiller la curiosité et susciter l'émerveillement de tous.