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Système robotique PUMAH (Pan-tilt Ultrasound Mid-Air Haptics) pour les interfaces haptiques sans contact, développé par l’Irisa. L’interface qui est montée sur ce système recrée la sensation de toucher à distance, grâce à un réseau de haut-parleurs à ultrasons qui font vibrer la peau de son utilisateur. Le système Pan-Tilt PUMAH est capable de déplacer et d’orienter cette tablette, pour suivre la main d'un scientifique en train d'interagir avec un modèle virtuel. Lorsque la main de l'avatar…

Claudio Pacchierotti, lauréat de la médaille de bronze du CNRS 2022, manipule une interface haptique portable développée par l'Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (IRISA). Les technologies haptiques portables de ce type sont des outils prometteurs de l’interaction humain-machine. Ils permettent de développer le travail collaboratif entre humains et robots, grâce à une communication efficace basée sur le sens du toucher plutôt que sur la parole. Ainsi, grâce au bracelet…

Claudio Pacchierotti, lauréat de la médaille de bronze du CNRS 2022, manipule une interface haptique portable développée par l'Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (IRISA). Les technologies haptiques portables de ce type sont des outils prometteurs de l’interaction humain-machine. Ils permettent de développer le travail collaboratif entre humains et robots, grâce à une communication efficace basée sur le sens du toucher plutôt que sur la parole. Ainsi, grâce au bracelet…

Pompe du système de refroidissement du supercalculateur Jean Zay, installé à Orsay, à l’Institut du développement et des ressources en informatique scientifique. L’EPA Paris-Saclay a signé, le 16 février 2021, une convention avec le CNRS visant à récupérer la chaleur fatale produite par ce supercalculateur, qui alimentera le réseau d’échange de chaleur et de froid du Campus urbain Paris-Saclay.

Radiateur adiabatique du système de refroidissement du supercalculateur Jean Zay, installé à Orsay, à l’Institut du développement et des ressources en informatique scientifique. L’EPA Paris-Saclay a signé, le 16 février 2021, une convention avec le CNRS visant à récupérer la chaleur fatale produite par ce supercalculateur, qui alimentera le réseau d’échange de chaleur et de froid du Campus urbain Paris-Saclay.

Radiateur adiabatique du système de refroidissement du supercalculateur Jean Zay, installé à Orsay, à l’Institut du développement et des ressources en informatique scientifique. L’EPA Paris-Saclay a signé, le 16 février 2021, une convention avec le CNRS visant à récupérer la chaleur fatale produite par ce supercalculateur, qui alimentera le réseau d’échange de chaleur et de froid du Campus urbain Paris-Saclay.

Tuyaux du système de refroidissement du supercalculateur Jean Zay, installé à Orsay, à l’Institut du développement et des ressources en informatique scientifique. L’EPA Paris-Saclay a signé, le 16 février 2021, une convention avec le CNRS visant à récupérer la chaleur fatale produite par ce supercalculateur, qui alimentera le réseau d’échange de chaleur et de froid du Campus urbain Paris-Saclay.

Anne-Cécile Orgerie est chercheuse à l’Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (Irisa). Elle est spécialiste en efficacité énergétique des systèmes distribués. Ses travaux prometteurs visant des centres de calcul moins énergivores lui valent en 2020 la médaille de bronze du CNRS.

Anne-Cécile Orgerie est chercheuse à l’Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (Irisa). Elle est spécialiste en efficacité énergétique des systèmes distribués. Ses travaux prometteurs visant des centres de calcul moins énergivores lui valent en 2020 la médaille de bronze du CNRS.

Anne-Cécile Orgerie est chercheuse à l’Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (Irisa). Elle est spécialiste en efficacité énergétique des systèmes distribués. Ses travaux prometteurs visant des centres de calcul moins énergivores lui valent en 2020 la médaille de bronze du CNRS.

Anne-Cécile Orgerie est chercheuse à l’Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (Irisa). Elle est spécialiste en efficacité énergétique des systèmes distribués. Ses travaux prometteurs visant des centres de calcul moins énergivores lui valent en 2020 la médaille de bronze du CNRS.

Anne-Cécile Orgerie est chercheuse à l’Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (Irisa). Elle est spécialiste en efficacité énergétique des systèmes distribués. Ses travaux prometteurs visant des centres de calcul moins énergivores lui valent en 2020 la médaille de bronze du CNRS.

Anne-Cécile Orgerie, médaille de bronze du CNRS 2020, en visioconférence avec les membres du Groupement de Service du CNRS EcoInfo, qui étudie les impacts environnementaux du numérique. Chercheuse à l’Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (Irisa), elle est spécialiste en efficacité énergétique des systèmes distribués. Ses travaux prometteurs visent des centres de calcul moins énergivores.

Anne-Cécile Orgerie, médaille de bronze du CNRS 2020, avec François Lemercier, post-doctorant et Clément Courageux-Sudan, doctorant, lors d'un échange sur la modélisation de la consommation énergétique d'une infrastructure numérique. Chercheuse à l’Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (Irisa), Anne-Cécile Orgerie est spécialiste en efficacité énergétique des systèmes distribués. Ses travaux prometteurs visent des centres de calcul moins énergivores.

Anne-Cécile Orgerie, médaille de bronze du CNRS 2020, avec François Lemercier, post-doctorant et Clément Courageux-Sudan, doctorant, lors d'un échange sur la modélisation de la consommation énergétique d'une infrastructure numérique. Chercheuse à l’Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (Irisa), Anne-Cécile Orgerie est spécialiste en efficacité énergétique des systèmes distribués. Ses travaux prometteurs visent des centres de calcul moins énergivores.

Anne-Cécile Orgerie, médaille de bronze du CNRS 2020, dans la salle serveur de l’Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (Irisa), qui héberge le site rennais de la plate-forme expérimentale Grid'5000. Cette plate-forme est utilisée pour réaliser des expérimentations à large-échelle, afin d'identifier les liens entre l'utilisation des ressources matérielles et logicielles d'infrastructures de Cloud computing et leur consommation énergétique. Chercheuse à l'Irisa, Anne-Cécile…

Anne-Cécile Orgerie, médaille de bronze du CNRS 2020, dans la salle serveur de l’Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (Irisa), qui héberge le site rennais de la plate-forme expérimentale Grid'5000. Cette plate-forme est utilisée pour réaliser des expérimentations à large-échelle, afin d'identifier les liens entre l'utilisation des ressources matérielles et logicielles d'infrastructures de Cloud computing et leur consommation énergétique. Chercheuse à l'Irisa, Anne-Cécile…

Serveurs du site de Rennes de la plate-forme expérimentale Grid'5000. Cette plate-forme est utilisée pour réaliser des expérimentations à large-échelle, afin d'identifier les liens entre l'utilisation des ressources matérielles et logicielles d'infrastructures de Cloud computing et leur consommation énergétique.

Test de l’interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Ici, le scientifique immergé dans la réalité virtuelle attrape une pomme posée sur une table. Alors qu’il s'apprête à saisir un objet qui n’existe que dans le monde virtuel, une sphère motorisée se déplace vers sa paume, qu’elle touche à l…

Test de l’interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Lorsque l’utilisateur immergé dans la réalité virtuelle s'apprête à saisir un objet qui n’existe que dans le monde virtuel, une sphère motorisée se déplace vers sa paume, qu’elle touche à l’exact moment où la main de l'avatar attrape l'objet…

Test de l’interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Ici, le scientifique immergé dans la réalité virtuelle cueille une pomme pour la jeter dans un panier. Alors qu’il s'apprête à saisir un objet qui n’existe que dans le monde virtuel, une sphère motorisée se déplace vers sa paume, qu’elle touche…

Test de l’interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Ici, le scientifique immergé dans la réalité virtuelle cueille une pomme. Alors qu’il s'apprête à saisir un objet qui n’existe que dans le monde virtuel, une sphère motorisée se déplace vers sa paume, qu’elle touche à l’exact moment où la main…

Test de l’interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Ici, le scientifique immergé dans la réalité virtuelle cueille une pomme. Alors qu’il s'apprête à saisir un objet qui n’existe que dans le monde virtuel, une sphère motorisée se déplace vers sa paume, qu’elle touche à l’exact moment où la main…

Test de l’interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Ici, le scientifique immergé dans la réalité virtuelle vient de cueillir une pomme pour la lancer dans un panier. Lorsqu'il a saisi cet objet qui n'existe que dans le monde virtuel, une sphère motorisée s'est déplacée vers sa paume, qu’elle a…

Test de l’interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Ici, le scientifique immergé dans la réalité virtuelle vient de cueillir une pomme. Lorsqu'il a saisi cet objet qui n'existe que dans le monde virtuel, une sphère motorisée s'est déplacée vers sa paume, qu’elle a touché à l’exact moment où la…

Test de l’interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Ici, le scientifique immergé dans la réalité virtuelle s'apprête à lancer une balle à un chien. Lorsqu'il jettera cet objet qui n'existe que dans le monde virtuel, la sphère motorisée qu'il tient dans sa main se déplacera à l'exact moment où la…

Test de l’interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Ici, le scientifique immergé dans la réalité virtuelle lance une balle. A l'exact moment où il a jeté cet objet qui n'existe que dans le monde virtuel, la sphère motorisée qu'il tenait dans la main a quitté sa paume. La cohérence entre la…

Test de l’interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Ici, le scientifique immergé dans la réalité virtuelle vient de lancer une balle à un chien. A l'exact moment où il a jeté cet objet qui n'existe que dans le monde virtuel, la sphère motorisée qu'il tenait dans la main a quitté sa paume. La…

Test de l’interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Ici, le scientifique immergé dans la réalité virtuelle tient un gobelet. Lorsqu'il a saisi cet objet qui n'existe que dans le monde virtuel, une sphère motorisée s'est déplacée vers sa paume, qu’elle a touché à l’exact moment où la main de l…

Test de l’interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Lorsque l’utilisateur immergé dans la réalité virtuelle s'apprête à saisir un objet qui n’existe que dans le monde virtuel, une sphère motorisée se déplace vers sa paume, qu’elle touche à l’exact moment où la main de l'avatar attrape l'objet…

Interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Lorsque l’utilisateur immergé dans la réalité virtuelle s'apprête à saisir un objet qui n’existe que dans le monde virtuel, une sphère motorisée se déplace vers sa paume, qu’elle touche à l’exact moment où la main de l'avatar attrape l'objet virtuel…

Interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Lorsque l’utilisateur immergé dans la réalité virtuelle s'apprête à saisir un objet qui n’existe que dans le monde virtuel, une sphère motorisée se déplace vers sa paume, qu’elle touche à l’exact moment où la main de l'avatar attrape l'objet virtuel…

Interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Lorsque l’utilisateur immergé dans la réalité virtuelle s'apprête à saisir un objet qui n’existe que dans le monde virtuel, une sphère motorisée se déplace vers sa paume, qu’elle touche à l’exact moment où la main de l'avatar attrape l'objet virtuel…

Interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Lorsque l’utilisateur immergé dans la réalité virtuelle s'apprête à saisir un objet qui n’existe que dans le monde virtuel, une sphère motorisée se déplace vers sa paume, qu’elle touche à l’exact moment où la main de l'avatar attrape l'objet virtuel…

Interface haptique WeATaViX (WEarable Actuated TAngibles for VIrtual reality eXperiences) développée par l’Irisa. Ce dispositif fixé sur le dos de la main de son utilisateur permet de recréer la sensation de toucher dans l’expérience virtuelle. Lorsque l’utilisateur immergé dans la réalité virtuelle s'apprête à saisir un objet qui n’existe que dans le monde virtuel, une sphère motorisée se déplace vers sa paume, qu’elle touche à l’exact moment où la main de l'avatar attrape l'objet virtuel…

Système robotique PUMAH (Pan-tilt Ultrasound Mid-Air Haptics) pour les interfaces haptiques sans contact, développé par l’Irisa. L’interface qui est montée sur ce système recrée la sensation de toucher à distance, grâce à un réseau de haut-parleurs à ultrasons qui font vibrer la peau de son utilisateur. Le système Pan-Tilt PUMAH est capable de déplacer et d’orienter cette tablette, pour suivre la main d'un utilisateur immergé dans la réalité virtuelle. Lorsque celui-ci touche un objet virtuel,…

Système robotique PUMAH (Pan-tilt Ultrasound Mid-Air Haptics) pour les interfaces haptiques sans contact, développé par l’Irisa. L’interface qui est montée sur ce système recrée la sensation de toucher à distance, grâce à un réseau de haut-parleurs à ultrasons qui font vibrer la peau de son utilisateur. Le système Pan-Tilt PUMAH est capable de déplacer et d’orienter cette tablette, pour suivre la main d'un utilisateur immergé dans la réalité virtuelle. Lorsque celui-ci touche un objet virtuel,…