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Réacteur de production d'hydrogène vert, ou "déchets sourcés", par bioélectrolyse des eaux usées. Ce dispositif est à l'échelle pilote, ou semi-industrielle. Il est alimenté en continu avec des eaux usées et exploite des biofilms comme catalyseurs pour la production bioélectrochimique d'hydrogène vert. Les biofilms, ou films microbiens, sont des communautés constituées de microorganismes englobés dans une matrice protectrice de polymères qui se forment sur des surfaces naturelles ou…

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Réacteur pilote de production d'hydrogène vert, ou "déchets sourcés", à partir des eaux usées
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Episode 3 : Ne pas polluer davantage, c'est bien… Mais dépolluer notre planète : c'est mieux ! Des chercheurs ont mis au point des technologies permettant de créer des produits synthétiques qui non seulement n'engendrent pas de nouvelle pollution mais en plus font disparaître la pollution déjà existante ! Et grâce à la phytorestauration, c'est-à-dire aux plantes, des chercheurs sont capables de dépolluer "naturellement" les eaux et sols usés, en produisant au passage un compost réutilisable et…

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Une chimie verte qui se fait dans l'herbe ZPP#03
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Bio Inspir' étudie les vertus dépolluantes d'un certain nombre de plantes, terrestres ou aquatiques. Cette start-up s'intéresse notamment à la menthe aquatique, une petite plante autochtone de la région Occitanie, qui possède des capacités exceptionnelles d'épuration d'eaux chargées en éléments métalliques et organiques. Utilisée sous forme de poudre ou vivante, cette plante permet de dépolluer des eaux contaminées directement sur des sites industriels. La start-up Bio Inspir' transpose les…

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Bio Inspir'
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Pour toute exploitation commerciale contacter le producteur délégué

Les termites et les vaches sont parmi les êtres vivants qui produisent le plus de méthane. Des scientifiques ont eu l'idée d'aller voir pourquoi et comment. Ils ont cultivé les bactéries responsables de ces performances et les utilisent pour améliorer la méthanisation des effluves des centrales d'épuration des eaux usées. Les bactéries deviennent ainsi nos alliées dans la lutte contre les gaz à effet de serre...

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Bon appétit les termites
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Les plantes et bactéries associées au rayonnement du soleil ont la faculté de dégrader ou d'absorber de nombreuses molécules de nos eaux usées. Si la nature sait si bien épurer l'eau, nous pouvons nous en inspirer pour créer des stations d'épuration qui deviennent elle-mêmes de jolis petits coins de nature !

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Zone libellule (La)
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Bois des gouffres de Rampillon, en Seine-et-Marne. Un gouffre est ici une fracture dans la couche calcaire du sol, par laquelle les eaux superficielles s'infiltrent directement dans la nappe phréatique du Champigny. Ce bois fait partie du bassin versant sur lequel les scientifiques et acteurs locaux mènent des actions préventives, pour retrouver le bon état chimique des masses d'eau souterraine.

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Zone humide artificielle de Rampillon
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Batraciens dans la zone tampon humide artificielle de Rampillon (1,5 ha environ), en Seine-et-Marne. Les champs alentours sont drainés pour évacuer les eaux de pluie excédentaires. La zone tampon humide est un dispositif naturel permettant d'intercepter les flux de pesticides et de les épurer grâce à l'activité microbienne du milieu. La fixation des pesticides se fait sur les végétaux, ils sont ensuite dégradés par la lumière ou l'activité microbienne du milieu.

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Zone humide artificielle de Rampillon
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Batraciens dans la zone tampon humide artificielle de Rampillon (1,5 ha environ), en Seine-et-Marne. Les champs alentours sont drainés pour évacuer les eaux de pluie excédentaires. La zone tampon humide est un dispositif naturel permettant d'intercepter les flux de pesticides et de les épurer grâce à l'activité microbienne du milieu. La fixation des pesticides se fait sur les végétaux, ils sont ensuite dégradés par la lumière ou l'activité microbienne du milieu.

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Zone humide artificielle de Rampillon
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Batraciens dans la zone tampon humide artificielle de Rampillon (1,5 ha environ), en Seine-et-Marne. Les champs alentours sont drainés pour évacuer les eaux de pluie excédentaires. La zone tampon humide est un dispositif naturel permettant d'intercepter les flux de pesticides et de les épurer grâce à l'activité microbienne du milieu. La fixation des pesticides se fait sur les végétaux, ils sont ensuite dégradés par la lumière ou l'activité microbienne du milieu.

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Zone humide artificielle de Rampillon
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Gouffre de Rampillon en aval de la zone tampon humide artificielle de Rampillon, en Seine-et-Marne. Un gouffre est ici une fracture dans la couche calcaire par laquelle les eaux superficielles s'infiltrent directement dans la nappe phréatique du Champigny. Les champs alentours sont drainés pour évacuer les eaux de pluie excédentaires. La zone tampon humide est un dispositif naturel permettant d'intercepter les flux de pesticides et de les épurer grâce à l'activité microbienne du milieu. La…

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Zone humide artificielle de Rampillon
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Batraciens dans la zone tampon humide artificielle de Rampillon (1,5 ha environ), en Seine-et-Marne. Les champs alentours sont drainés pour évacuer les eaux de pluie excédentaires. La zone tampon humide est un dispositif naturel permettant d'intercepter les flux de pesticides et de les épurer grâce à l'activité microbienne du milieu. La fixation des pesticides se fait sur les végétaux, ils sont ensuite dégradés par la lumière ou l'activité microbienne du milieu.

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Zone humide artificielle de Rampillon
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Site pilote de Malamani, baie de Chirongui, Mayotte. Les eaux usées domestiques du village de Malamani, au premier plan, sont collectées vers un décanteur, cuves bleu et blanche, au second plan au centre, puis rejetées après décantation vers la mangrove. Les taches vert sombre dans la première ceinture de mangrove (Rhizophoracées) soulignent l'emplacement des parcelles impactées par les eaux usées. L'azote polluant les eaux usées est absorbé par la végétation et favorise sa croissance tel un…

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Site pilote de Malamani, baie de Chirongui, Mayotte. Les eaux usées domestiques du village de Malama
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Vue aérienne des parcelles impactées par les eaux usées, sur le site pilote de Malamani, baie de Chirongui, Mayotte. Elles se différencient du reste de la mangrove par une couleur vert sombre, traduisant une différenciation de leur croissance et des processus photosynthétiques. Sur cette île très dense en population, où les stations d'épuration manquent, les scientifiques ont installé un système de collecte des eaux usées domestiques dans un lotissement. Après un traitement de décantation qui…

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Vue aérienne des parcelles impactées par les eaux usées, sur le site pilote de Malamani, baie de Chi
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Les eaux usées domestiques prétraitées sont rejetées dans une parcelle de mangrove, ici "Rhizophora mucronata", sur le site pilote de Malamani, baie de Chirongui, Mayotte. Les eaux rejetées au moyen de rampes d'aspersion toutes les deux marées basses, pénètrent rapidement dans le sédiment par l'intermédiaire notamment des terriers de crabes, puis sont absorbées par la végétation. L'azote polluant les eaux usées est absorbé par la végétation et favorise sa croissance tel un engrais. Sur cette…

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Les eaux usées domestiques prétraitées sont rejetées dans une parcelle de mangrove, ici "Rhizophora
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Les 2 cuves du décanteur, dans lesquelles les eaux usées domestiques sont décantées et stockées, sur le site pilote de Malamani, baie de Chirongui, Mayotte. Sur cette île très dense en population, où les stations d'épuration manquent, les scientifiques ont installé un système de collecte des eaux usées domestiques dans un lotissement. Après un traitement de décantation qui élimine une partie de la pollution, l'eau est rejetée à marée basse sur des parcelles de mangrove. L'azote polluant les…

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Les 2 cuves du décanteur, dans lesquelles les eaux usées domestiques sont décantées et stockées, sur
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Feuilles de palétuvier, "Ceriops tagal", collectées en parcelle témoin (gauche) et parcelle impactée (droite), sur le site pilote de Malamani, baie de Chirongui, Mayotte. Les scientifiques ont installé un système de collecte des eaux usées domestiques dans un lotissement. Après un traitement de décantation qui élimine une partie de la pollution, l'eau est rejetée à marée basse sur des parcelles de mangrove. L'azote polluant les eaux usées est absorbé par la végétation et favorise sa croissance…

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Feuilles de palétuvier, "Ceriops tagal", collectées en parcelle témoin (gauche) et parcelle impactée
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Portrait de Jean Weissenbach, généticien de renommée internationale et directeur de recherche au CNRS qui a reçu la médaille d'or du CNRS 2008. Ce chercheur est à l'origine de la première carte génétique humaine de haute résolution, permettant de faire des diagnostics précoces de maladies génétiques. Jean Weissenbach a également participé au grand projet de séquençage du génome humain et a mis au point des techniques innovantes pour explorer le génome d'organismes modèles en biologie. Depuis…

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Jean Weissenbach, généticien
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Dans le Gard, sur la commune de Saint Sébastien d'Aigrefeuille, se trouvent stockés les déchets d'une ancienne mine de plomb et de zinc qui, sous l'action des pluies, déversent de grandes quantités d'arsenic dans le Réigous, un ruisseau de la région. Marc Leblanc, chercheur au CNRS, analyse les eaux contaminées, essaie de comprendre les réactions chimiques complexes qui s'y produisent et recherche des solutions pour réduire ou supprimer cette pollution. Il met ainsi en évidence le…

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Arsenic et bactéries
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Montage de microscopies de diatomées et de photographies des caniveaux parisiens où elles ont été retrouvées. Les caniveaux parisiens abritent une grande diversité de micro-organismes. Des chercheurs ont étudié la biodiversité des caniveaux des rues qu’ils ont comparée à celle des sources d’eaux non potables. En analysant près d’une centaine d’échantillons distribués sur l’ensemble de Paris, ils ont trouvé 6 900 espèces potentielles d'eucaryotes. Cette biodiversité foisonnante est…

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Diatomées et caniveaux des rues de Paris
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Montage de microscopies de diatomées et de photographies des caniveaux parisiens où elles ont été retrouvées. Les caniveaux parisiens abritent une grande diversité de micro-organismes. Des chercheurs ont étudié la biodiversité des caniveaux des rues qu’ils ont comparée à celle des sources d’eaux non potables. En analysant près d’une centaine d’échantillons distribués sur l’ensemble de Paris, ils ont trouvé 6 900 espèces potentielles d'eucaryotes. Cette biodiversité foisonnante est…

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Diatomées et caniveaux des rues de Paris
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Montage assemblant l'eau d'un caniveau, des diatomées et une carte de Paris. Les caniveaux parisiens abritent une grande diversité de micro-organismes. Des chercheurs ont étudié la biodiversité des caniveaux des rues qu’ils ont comparée à celle des sources d’eaux non potables. En analysant près d’une centaine d’échantillons distribués sur l’ensemble de Paris, ils ont trouvé 6 900 espèces potentielles d'eucaryotes. Cette biodiversité foisonnante est majoritairement composée de microalgues du…

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Diatomées de caniveaux parisiens superposées à une carte de la capitale
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Diatomées prélevées dans des caniveaux parisiens observées en microscopie électronique à balayage (MEB). Les caniveaux parisiens abritent une grande diversité de micro-organismes. Des chercheurs ont étudié la biodiversité des caniveaux des rues qu’ils ont comparée à celle des sources d’eaux non potables. En analysant près d’une centaine d’échantillons distribués sur l’ensemble de Paris, ils ont trouvé 6 900 espèces potentielles d'eucaryotes. Cette biodiversité foisonnante est majoritairement…

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Diatomées prélevées dans des caniveaux parisiens
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Diatomées prélevées dans des caniveaux parisiens observées en microscopie électronique à balayage (MEB). Les caniveaux parisiens abritent une grande diversité de micro-organismes. Des chercheurs ont étudié la biodiversité des caniveaux des rues qu’ils ont comparée à celle des sources d’eaux non potables. En analysant près d’une centaine d’échantillons distribués sur l’ensemble de Paris, ils ont trouvé 6 900 espèces potentielles d'eucaryotes. Cette biodiversité foisonnante est majoritairement…

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Diatomées prélevées dans des caniveaux parisiens
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Montage de photographies de caniveaux parisiens. Ces derniers abritent une grande diversité de micro-organismes. Des chercheurs ont étudié la biodiversité des caniveaux des rues qu’ils ont comparée à celle des sources d’eaux non potables. En analysant près d’une centaine d’échantillons distribués sur l’ensemble de Paris, ils ont trouvé 6 900 espèces potentielles d'eucaryotes. Cette biodiversité foisonnante est majoritairement composée de microalgues du groupe des diatomées, ainsi que d’autres…

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Montage de photographies de caniveaux parisiens
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Montage de photographies de caniveaux parisiens. Ces derniers abritent une grande diversité de micro-organismes. Des chercheurs ont étudié la biodiversité des caniveaux des rues qu’ils ont comparée à celle des sources d’eaux non potables. En analysant près d’une centaine d’échantillons distribués sur l’ensemble de Paris, ils ont trouvé 6 900 espèces potentielles d'eucaryotes. Cette biodiversité foisonnante est majoritairement composée de microalgues du groupe des diatomées, ainsi que d’autres…

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Montage de photographies de caniveaux parisiens
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Matières organiques naturelles (MON) extraites sous formes de matériaux lyophilisés. La présence naturelle dans les eaux de ces composés inoffensifs, issus principalement de la décomposition des micro-organismes et des végétaux, couplée à l'action d'un résiduel de désinfectant dans les eaux distribuées, est à l'origine de réactions chimiques complexes conduisant à des produits de réaction potentiellement cancérigènes pour le consommateur. (Réf. CNRS INFO Supplément "L'eau de tous les enjeux" N…

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Matières organiques naturelles sous forme lyophilisée

CNRS Images,

Nous mettons en images les recherches scientifiques pour contribuer à une meilleure compréhension du monde, éveiller la curiosité et susciter l'émerveillement de tous.