Les résultats de recherche pour :

Panoramique de "l'oeil" du cyclone tropical Katrina et du "mur de l'oeil" avec un éclairement en incidence rasante montrant plus de détails sur les nuages peu développés de la basse atmosphère dans "l'oeil du cyclone". On retrouve l'enroulement des structures nuageuses et l'élévation progressive du sommet de ces nuages vers le "mur de l'oeil". Vue d'avion prise le 28 août 2005, au maximum de l'intensité du cyclone tropical Katrina, la veille de son arrivée sur La Nouvelle-Orléans.

Détail d'un zone plus dégagée entre deux bandes nuageuses dans "l'oeil" du cyclone tropical Katrina. On peut y distinguer la surface de l'océan. La teinte bleutée vient de la réflexion de la lumière sur les parois internes du "mur de l'oeil" qui entoure "l'oeil". Vue d'avion prise le 28 août 2005, au maximum de l'intensité du cyclone tropical Katrina, la veille de son arrivée sur La Nouvelle-Orléans.

Répartition de l'intensité des précipitations mesurée par le radar météorologique Lower Fuselage située sous le fuselage de l'avion NOAA P3 et qui effectue une surveillance horizontale des zones de pluie, ici à 100 km de portée. A ce moment l'avion est dans "l'oeil" du cyclone tropical Katrina (zone bleue foncée = peu de précipitations) et s'apprête à traverser le "mur de l'oeil" où se trouve les pluies les plus fortes et les vents les plus violents (zone orange-rouge = précipitations intenses)…

Vue rapprochée des nuages bas qui occupent les 1 à 2 premiers kilomètres de l'atmosphère dans "l'oeil" du cyclone tropical Katrina. On distingue l'enroulement en spirale des bandes nuageuses avec des zones un peu plus dégagées entre elles, et la répartition en gradins jusqu'au mur de "l'oeil" qui forme une barrière nuageuse compacte qui s'élève abruptement. Vue d'avion prise le 28 août 2005, au maximum de l'intensité du cyclone tropical Katrina, la veille de son arrivée sur La Nouvelle-Orléans.

Le "mur de l'oeil" du cyclone tropical Katrina. Détails des bandes nuageuses inclinées qui correspondent aux zones où les précipitations formées dans les puissants courants ascendants tombent vers la surface tout en étant entraînées dans un mouvement cyclonique intense. En altitude, est visible une sorte de surplomb nuageux d'où émanent des lambeaux semi-transparents, et où s'étale horizontalement le flux d'air humide et nuageux transporté en altitude. Vue d'avion prise le 28 août 2005, au…

Nuages peu développés dans "l'oeil" du cyclone tropical Katrina. L'éclairement par la réflexion de la lumière sur la face interne du "mur de l'oeil", qui apparaît comme un mur blanc brillant, permet de bien distinguer les détails de la masse nuageuse : structure cumuliforme, organisation en bandes enroulées. Vue d'avion prise le 28 août 2005, au maximum de l'intensité du cyclone tropical Katrina, la veille de son arrivée sur La Nouvelle-Orléans.

Le "mur de l'oeil" du cyclone tropical Katrina. Détails des masses nuageuses qui semblent torsader autour de "l'oeil". Il s'agit du résultat de la combinaison des mouvements verticaux et du puissant mouvement cyclonique. Vue d'avion prise le 28 août 2005, au maximum de l'intensité du cyclone tropical Katrina, la veille de son arrivée sur la Nouvelle-Orléans.

Le "mur de l'oeil" vu depuis "l'oeil" du cyclone tropical Katrina. L'avion NOAA P3 vole à environ 2 500 m d'altitude dans l'air calme de la partie centrale du cyclone, où des nuages bas couvrent la surface océanique. Le diamètre de l'oeil du cyclone est de 50 km environ. L'avion se dirige vers le "mur de l'oeil", un anneau compact de cumulonimbus dont le sommet atteint ou dépasse 15 km d'altitude. Vue prise le 28 août 2005, au maximum de l'intensité du cyclone tropical Katrina, la veille de son…