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Digue du Rhône en rive droite, entre Salin-de-Giraud et l'embouchure (5 km). En 6 000 ans, les 80 000 hectares du delta du Rhône - la Camargue - ont été gagnés sur la mer par les apports sédimentaires du fleuve. Désormais transformés en polder derrière des digues fluviales, ils sont aussi protégés par une digue à la mer construite en 1859 afin de limiter les entrées d'eau salée.

Les pompes de la station d'Albaron (station de pompage pour le dessalement des terres), assainissement de l'ASA de Corrège et Camargue Major (association d'irrigation), au nord de l'île de Camargue. En 6 000 ans, les 80 000 hectares du delta du Rhône - la Camargue - ont été gagnés sur la mer par les apports sédimentaires du fleuve. Désormais transformés en polder derrière des digues fluviales, ils sont aussi protégés par une digue à la mer construite en 1859 afin de limiter les entrées d'eau…

Camargue nord, le Rhône et sa rive droite récemment rénovée où se cantonne l'agriculture. En 6 000 ans, les 80 000 hectares du delta du Rhône - la Camargue - ont été gagnés sur la mer par les apports sédimentaires du fleuve. Désormais transformés en polder derrière des digues fluviales, ils sont aussi protégés par une digue à la mer construite en 1859 afin de limiter les entrées d'eau salée.

Pertuis de La Fourcade (lieu d'échanges entre mer et étang) sur la digue à la mer, côté étangs. En 6 000 ans, les 80 000 hectares du delta du Rhône - la Camargue - ont été gagnés sur la mer par les apports sédimentaires du fleuve. Désormais transformés en polder derrière des digues fluviales, ils sont aussi protégés par une digue à la mer construite en 1859 afin de limiter les entrées d'eau salée.

Pertuis de Rousty (lieu d'échanges entre mer et étang) sur la digue à la mer, un système de vannes installé entre la mer et un étang d'irrigation. Son fonctionnement est occasionnel. En 6 000 ans, les 80 000 hectares du delta du Rhône - la Camargue - ont été gagnés sur la mer par les apports sédimentaires du fleuve. Désormais transformés en polder derrière des digues fluviales, ils sont aussi protégés par une digue à la mer construite en 1859 afin de limiter les entrées d'eau salée.

Dans la vallée du Rieutord, à proximité du hameau de St-Martial (Haute vallée de l'Hérault), si des terrasses sont encore cultivées (vignes, vergers, oignons) d'autres à l'abandon sont peu à peu envahies par divers ligneux, puis des arbres (chênes verts ou pubescents).

Vue du Rocher de l'Euzière à Saint-Bauzille-de-Putois (vallée de l'Hérault) en 1991.

Le Vigan (Gard) et la vallée de l'Arre en 1991. Vue de l'usine et de la chaussée de Lacroix.

Mésange bleue femelle apportant de la nourriture à ses jeunes. (Réf. CNRS-INFO N°240 Avril 92).

Paysage de l'Hérault en 1910. Le hameau de Souteyrois à Gorniès et la vallée de la Vis.

En arrière plan, une partie du bois de chênes verts où a été réalisée l'étude de la biologie de la reproduction des mésanges bleues en milieu méditerranéen sempervirens. C'est dans cette partie qu'a été effectué le premier volet de l'expérience d'avancement des dates de ponte par alimentation artificielle précoce, en 1986.(Réf. CNRS-INFO N°240 Avril 92).

Poussins de mésanges bleues à l'intérieur d'un nichoir. (Réf. CNRS-INFO N°240 Avril 92).

Nichoir à mésange installé sur un chêne pubescent. (Réf. CNRS-INFO N°240 Avril 92).

Nichoir à mésange installé sur un chêne vert. (Réf. CNRS-INFO N°240 Avril 92).

Paysage de l'Hérault en 1991. Le hameau de Souteyrois à Gorniès et la vallée de la Vis.

Lisière nord du bois de chênes pubescents où a été réalisée l'étude de la biologie de la reproduction des mésanges bleues en milieu méditerranéen caducifolié. (Réf. CNRS-INFO N°240 Avril 92).