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Vue d'un ensemble détruit par incendie, comprenant une grande pièce rectangulaire, un entrepôt, une cour accessible depuis un couloir (vers 225-200 avant notre ère), sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Vue d'ensemble d'un entrepôt à dolia (vases de très grande taille) détruit par un incendie (vers 225-200 avant notre ère) sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Détail d'une mâchoire d'équidé prise dans le niveau de destruction d'un entrepôt à dolia (vases de très grande taille) sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Dépôt rituel associant des ossements d'équidés, des éléments de harnachement en fer et une amphore vinaire gréco-italique (vers 200 avant notre ère) sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Entrepôt détruit par un incendie, l'effondrement des murs et de la toiture ayant écrasé sur place le mobilier contenu dans la pièce (vers 225-200 avant notre ère) sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Détail du bastion érigé au IIIe s. en avant de la porte principale, précédé d'un fossé de 3 mètres de large. Site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Vue d'ensemble d'un entrepôt à dolia (vases de très grande taille) détruit par incendie (vers 225-200 avant notre ère) sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Vue du chantier en cours de fouille depuis 2004 ; fouille manuelle des vestiges sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Détail d'une mandibule, appartenant à un crâne humain découpé, probablement encloué (IIIe s. avant notre ère), retrouvé sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Vue d'ensemble d'un quartier détruit vers 225/200 avant notre ère où ont été accumulés des restes de banquet puis où a été dressé un bûcher funéraire ayant fait office de sépulture pour plusieurs individus. C'est en l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, que de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat. Site de Pech Maho à…

Le seuil de la porte principale du site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude, avec les crapaudines et les traces d'usure laissées par les véhicules attelés (IVe-IIIe s. avant notre ère). En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Détail de l'empierrement ayant servi de socle destiné à recevoir le bûcher funéraire venant marquer la fin de la séquence d'occupation postérieure à la destruction du site qui a eu lieu vers 200 avant notre ère. C'est à cette époque que de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat. Site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude.

Détail d'un dépôt rituel comprenant des ossements d'équidés ainsi qu'une épée en fer de type celtique (vers 200 avant notre ère) sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Détail de l'habillage en grand appareil du parement intérieur du rempart, au niveau de la rue 2 (IIIe s. avant notre ère), sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Dépôt rituel d'une patte d'équidé, dans les niveaux post-destruction (vers 200 avant notre ère) sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Vue aérienne du quartier situé aux abords de la porte principale sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Vue du caniveau débouchant à l'extérieur, au niveau de la porte principale (IVe-IIIe s. avant notre ère), sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Vue d'ensemble de la zone située aux abords de la porte principale ayant livré un dépôt d'ossements d'équidés ainsi que des restes humains (vers 200 avant notre ère), sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Vue des défenses avancées situées en avant de la porte principale (IIIe s. avant notre ère), sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Vue d'ensemble d'une pièce délimitée par des murs en terre, accessible par un escalier, possiblement utilisée à des fins cultuelles comme en témoigne la présence d'une base de stèle. Site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Vue d'ensemble de la rue 2 débouchant sur un ensemble de bâtiments à caractère public et monumental. Au premier plan, le départ du caniveau principal comprenant des stèles en position secondaire (IVe-IIIe s. avant notre ère), sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros…

Dépôt rituel d'un crâne d'équidé, dans les niveaux post-destruction à l'extérieur du rempart (vers 200 avant notre ère), sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Détail d'un ensemble de pièces abandonnées sur le sol de la place 1, comprenant une paire de forces (grands ciseaux) et deux broches à rôtir accolées l'une à l'autre, sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Vue d'ensemble d'une pièce utilisée comme atelier de forge (IIIe s. avant notre ère) sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Détail d'un amas d'ossements d'équidés sur lequel a été déposé un corps humain (sacrifice ?) dont seuls une partie des jambes et d'un avant bras ont été conservés, le reste ayant été entraîné par les labours (vers 200 avant notre ère). Site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros…

Vue d'ensemble du podium monumental accolé au rempart, côté intérieur, bordant la rue 2 (IVe-IIIe s. avant notre ère), sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Dépôt rituel d'ossements d'équidés, dans les niveaux post-destruction (vers 200 avant notre ère) sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Fosse empierrée à fonction indéterminée, comblée à l'aide de blocs issus de la destruction du site ainsi que de deux amphores volontairement brisées (vers 200 avant notre ère) sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Détail de céramiques écrasées lors de la destruction d'un entrepôt, au milieu des tessons, une râpe en bronze (vers 200 avant notre ère), sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Détail de stèles en réemploi dans le caniveau principal (IVe-IIIe s. avant notre ère), sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Vue d'ensemble des dépôts cendreux correspondant à des restes de banquets, étalés au-dessus des ruines d'un quartier d'habitation (vers 200 avant notre ère), sur le site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude. En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.

Le rempart occidental du site de Pech Maho à Sigean dans l'Aude, constitué de différents parements correspondant à des remaniements successifs (VIe-IIIe s. avant notre ère). En l'an 200 avant notre ère, après une destruction brutale, de nombreuses personnes reviennent à Pech Maho pour des rituels funéraires, mêlant sacrifices animaliers et crémation de dépouilles humaines, en l'honneur de héros vraisemblablement morts au combat.