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Reine de la fourmi noire des jardins, "Lasius niger", et les premières ouvrières produites lors de la fondation de la colonie. La reine d’une colonie de fourmis, spécialisée de naissance dans la ponte des œufs, a pour caractéristique de ne pas s’occuper des autres tâches nécessaires au bon fonctionnement de la colonie, puisque les ouvrières s’en chargent. Les scientifiques ont découvert qu'elle n'est pas intrinsèquement spécialisée dans la production d'œufs, mais que ce comportement est…

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Reine fourmi noire des jardins et les premières ouvrières produites lors de la fondation de la colonie
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Cellules microgliales (en jaune) dans la région de l'hypothalamus d'un cerveau de souris ayant consommé un régime alimentaire pro-inflammatoire enrichi en huile de tournesol, vues en microscopie confocale. Les lipides inflammatoires contenus dans cette huile sont suspectés d'être à l'origine du déclenchement de l'activation des cellules microgliales (des cellules du système nerveux central) qui développent alors une forme très ramifiée. Cette image a été produite dans le cadre d'une étude sur l…

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Cellules microgliales, hypothalamus d'un cerveau de souris, après un régime alimentaire riche en oméga 6
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Les sportifs de hauts niveaux ne travaillent pas uniquement leurs muscles, ils entraînent également leurs cerveaux. C'est le cas avec la visualisation mentale. Une équipe de scientifiques du CNRS étudient l'activité cérébrale des athlètes lorsqu'ils s'imaginent réaliser des gestes techniques. Ils ont aussi mis au point un outil à disposition des sportifs pour intégrer l'imagerie motrice dans leur préparation.

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Dans la tête des athlètes
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Connaissez-vous les synapses, ces zones de contact qui permettent aux neurones de communiquer entre eux ? Le cerveau humain en dénombre un million de milliards ! Afin d'étudier en détail ce réseau très dense et complexe, les scientifiques plongent dans l'infiniment petit grâce à des techniques d'imagerie toujours plus performantes. Leur objectif : mieux appréhender le cerveau et les pathologies qui peuvent le toucher, telle la maladie d'Alzheimer.

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Notre cerveau en super résolution
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Alors que les JO de Paris approchent à grands pas, tous les athlètes s'entraînent pour grappiller encore quelques millimètres ou quelques centièmes de seconde. C'est là que la science peut entrer en jeu : analyses ultra-poussées, équipements de pointe ou environnements en réalité virtuelle, ce nouvel épisode de VaSavoir vous emmène à l'Institut des sciences du mouvement, à Marseille, où les chercheurs tentent d'améliorer les performances des plus grands athlètes... comme des sportifs du…

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Sport dopé par la science (Le) ? - Va Savoir #07
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Their brains may be tiny, but they manage to find their way, communicate and even develop complex strategies to feed their communities... Social insects therefore demonstrate remarkable intelligence, which allows them to create real societies despite their brains being infinitely smaller than ours. But how can we actually measure the intelligence of an insect with which we have (almost) nothing in common? Head to the Animal Cognition Research Centre in Toulouse, where scientists have developed…

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Ants and bees: tiny animals with a vast intelligence - Va Savoir #04
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Des milliers de couples de Fous de Bassan se reproduisent chaque année sur l'île Rouzic, unique colonie française située au large des côtes bretonnes. Mais cette espèce d'oiseaux marin vient de subir, pour la première fois, une mortalité massive causée par le virus de l'Influenza aviaire. En étudiant le comportement des oiseaux encore vivants grâce à la pose de GPS miniaturisés, les scientifiques du CNRS sont parvenus à suivre plusieurs Fous de Bassan au coeur de l'épidémie. L'étude a été…

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Fou de Bassan face au virus (Le)
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Patricia Rousselle est spécialisée dans la cicatrisation et la régénération de la peau. Cette directrice de recherche du CNRS au Laboratoire de biologie tissulaire et d'ingénierie thérapeutique étudie le dialogue entre les cellules, du derme comme de l'épiderme, et les protéines présentes dans leur microenvironnement. Ses travaux l'ont amenée à développer des traitements pour les grands brûlés, pour la cicatrisation post-chirurgie et sur les tumeurs qui touchent la peau. Patricia…

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Médaille de l'innovation 2023 : Patricia Rousselle, chercheuse en biologie cellulaire et tissulaire
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Claire Hellio développe des solutions innovantes bio inspirées, à partir de molécules actives produites par les algues et les microorganismes. Mené au Laboratoire des sciences de l'environnement marin, ce travail de valorisation, à l'interface entre la chimie, la biologie, la biochimie et l'écologie, est notamment réalisé via la plateforme de bioprospection Biodimar, que Claire Hellio dirige. Les applications visent principalement les domaines des cosmétiques (antioxydants et…

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Médaille de l'Innovation 2023 : Claire Hellio, chercheuse en biotechnologies marines
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Dans le cadre d'un partenariat entre l'Université d'Arizona et le CNRS, des scientifiques s'intéressent à la création du sol. Pour cela, deux expériences sont montées en parallèle. Aux Etats-Unis, au sein de Biosphere 2, trois immenses serres ont été remplies de basalte. En faisant pleuvoir sur cette roche, les chercheurs simulent l'origine du sol. Tandis qu'en France, en lisière de forêt de Fontainebleau, à l'Ecotron Ile-de-France, les scientifiques s'intéressent aux interactions entre les…

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Aux origines du sol
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C'est une algue microscopique qui vit... dans la neige ! "Sanguina nivaloides", de son nom scientifique, se laisse apercevoir au printemps lorsqu'elle teinte la neige d'un rouge sang. Direction le col du Lautaret, dans les Alpes, où biologistes et physiciens nous expliquent comment la neige se révèle être un étonnant écosystème dans lequel la vie tient toute sa place.

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Sang des glaciers (Le)
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Une jeune participante prend part à l’inoculation d’une souche bactérienne en l'absence d’oxygène, afin de synthétiser de l’hydrogène au laboratoire Bioénergétique et ingénierie des protéines. Avoir pu se mettre dans la peau d’une microbiologiste pour quelques heures l’incitera peut-être à poursuivre des études en sciences. Dans le cadre de la Fête de la science, le CNRS Provence et Corse organise chaque année "Les visites insolites du CNRS" de ses laboratoires. Ces rendez-vous se veulent…

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Inoculation d’une souche bactérienne afin de synthétiser de l’hydrogène au laboratoire BIP, Visite insolite du CNRS 2023
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In the centre of the island of Honshu, Japan, temperatures can fall to -20 °C in winter. To cope with this bitter cold, the Japanese macaques of Jigokudani have taken to bathing in the natural hot springs that have made the place famous. However, of the two hundred monkeys that make up this population, only about forty enjoy this privilege. When an individual not belonging to this dominant caste attempts to enter the pools, like this macaque here seen face-on, they are violently repelled. For…

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The hot springs of discord
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This is not a torture session but rather a totally painless experiment designed to reveal the subtle mechanisms involved in speech production. Sensors attached to the tongue and lips of this volunteer, who is placed in a low-intensity electromagnetic field, enable the movements of these articulatory organs to be recorded. This makes it possible to visualise how the tongue and lips work together to pronounce specific sounds and sequences of sounds. Through this experiment, researchers hope to…

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On the tip of the tongue
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Use only in the context of the LPPI competition

The visual appeal of this chromatic composition is deceptive. This is in fact a cluster of cancer cells from the peritoneal fluid of a patient with advanced ovarian cancer. This high-resolution image, which shows in detail the morphology of a cell cluster, reveals its metastatic potential. Under such circumstances, some nuclei, in blue, press up against the cell walls, in red. The yellow spots dotted around the interior of these same cells reveal the presence of a protein involved in the…

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Lethal beauty
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Gorgone "Paramuricea clavata" sur la Katchoff, un plateau situé dans la rade nord de Marseille, à 60 mètres de profondeur. On y rencontre de nombreuses gorgones mais aussi des bancs de poissons. C'est l'un des sites stratégiques de la rade où les scientifiques installent des balises permettant d'enregistrer le passage de poissons marqués à l'aide d'implants acoustiques. Malgré la fréquentation de la zone pour la pêche de loisir, cette gorgone, implantée suffisamment profondément pour ne pas…

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Gorgone "Paramuricea clavata" à 60 mètres de profondeur, rade nord de Marseille
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Un jeune orignal (ou élan) qui fait partie de la faune sauvage locale en Alaska. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme ANR Permolards. ---------- Ces recherches ont été financées en tout ou partie par l'Agence Nationale de la Recherche (ANR) au titre du projet ANR Permolards-AAPG2019. Ce reportage a été réalisé et financé dans le cadre de l'appel à projet Sciences Avec et Pour la Société - Culture Scientifique Technique et Industrielle pour les projets JCJC et PRC des…

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Un jeune orignal (ou élan) qui fait partie de la faune sauvage locale en Alaska
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Un orignal (ou élan) qui fait partie de la faune sauvage locale en Alaska. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme ANR Permolards. ---------- Ces recherches ont été financées en tout ou partie par l'Agence Nationale de la Recherche (ANR) au titre du projet ANR Permolards-AAPG2019. Ce reportage a été réalisé et financé dans le cadre de l'appel à projet Sciences Avec et Pour la Société - Culture Scientifique Technique et Industrielle pour les projets JCJC et PRC des appels…

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Un orignal (ou élan) qui fait partie de la faune sauvage locale en Alaska
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Un orignal (ou élan) qui fait partie de la faune sauvage locale en Alaska. Cette photographie a été réalisée dans le cadre du programme ANR Permolards. ---------- Ces recherches ont été financées en tout ou partie par l'Agence Nationale de la Recherche (ANR) au titre du projet ANR Permolards-AAPG2019. Ce reportage a été réalisé et financé dans le cadre de l'appel à projet Sciences Avec et Pour la Société - Culture Scientifique Technique et Industrielle pour les projets JCJC et PRC des appels…

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Un orignal (ou élan) qui fait partie de la faune sauvage locale en Alaska
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Macaque japonais, "Macaca fuscata", se reposant paisiblement sur une route du parc national de Yakushima, au Japon. Les macaques n'y sont pas chassés et ils sont habitués au passage des voitures. Même le klaxon ne fait rien, il faut rouler doucement, certains ne se déplaçant qu'au contact du pare-chocs. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe, transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient…

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Macaque japonais sur une route du parc national de Yakushima, Japon
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Troupe de macaques japonais, "Macaca fuscata", traversant une route dans le parc national de Yakushima, au Japon. Les macaques n'y sont pas chassés et ils sont habitués au passage des voitures. Même le klaxon ne fait rien, il faut rouler doucement, certains ne se déplaçant qu'au contact du pare-chocs. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe, transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient cette…

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Troupe de macaques japonais traversant une route dans le parc national de Yakushima, Japon
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Mère macaque japonais, "Macaca fuscata", et son petit dans le parc à singes d'Arashiyama, à Kyoto, au Japon. Les singes y vivent en liberté mais sont nourris par les gardiennes pour éviter les vols dans les champs et les maisons avoisinants, perpétrés par des individus qui s'habituent au fil des générations à la tolérance humaine. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe, transmises de génération en génération. Des…

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Mère macaque japonais et son petit dans le parc à singes d'Arashiyama, Kyoto, Japon
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Macaque japonais, "Macaca fuscata", sous une douce chute de neige dans le parc à singes d'Arashiyama, à Kyoto, au Japon. Les singes y vivent en liberté mais sont nourris par les gardiennes pour éviter les vols dans les champs et les maisons avoisinants, perpétrés par des individus qui s'habituent au fil des générations à la tolérance humaine. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe, transmises de génération en…

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Macaque japonais sous la neige dans le parc à singes d'Arashiyama, Kyoto, Japon
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Jeune macaque japonais, "Macaca fuscata", découvrant l'usage d'une pierre, un comportement culturel fascinant, dans le parc à singes d'Arashiyama, à Kyoto, au Japon. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe (nettoyage des patates douces à l'eau de mer, jeux de pierres, agglutinement pour se protéger de la météo, habituation à la tolérance humaine, etc.), transmises de génération en génération. Des scientifiques…

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Jeune macaque japonais découvrant l'usage d'une pierre dans le parc à singes d'Arashiyama, Kyoto, Japon
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Macaques japonais, "Macaca fuscata", rassemblés dans l'attente de fruits sur l'île d'Awajishima, au Japon. Alors que cette espèce est dite "agressive" et que les différentes familles d'un groupe ont d'habitude peu d'interaction, les 200 individus d'Awajishima sont tous connectés socialement. Cela pourrait être lié à des facteurs génétiques ou à l'insularité qui réduit la compétition avec d'autres groupes. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et…

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Macaques japonais rassemblés pour le nourrissage sur l'île d'Awajishima, Japon
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Instant intime d'un jeune macaque japonais, "Macaca fuscata", toiletté par sa mère dans les "onsen" de Jigokudani, au Japon. Les singes des montagnes de Nagano sont les seuls de l'archipel à se baigner dans les sources chaudes. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe, transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient cette évolution culturelle, en s'appuyant sur leur connaissance des dynamiques de…

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Jeune macaque japonais toiletté par sa mère dans une source chaude (onsen) de Jigokudani, Japon
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Moment de détente d'un macaque japonais, "Macaca fuscata", dans les "onsen" de Jigokudani, au Japon. Les singes des montagnes de Nagano sont les seuls de l'archipel à se baigner dans les sources chaudes. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe, transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient cette évolution culturelle, en s'appuyant sur leur connaissance des dynamiques de groupes (réseaux de…

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Moment de détente d'un macaque japonais dans une source chaude (onsen) de Jigokudani, Japon
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Macaques japonais, "Macaca fuscata", sur l'île de Shodoshima, au Japon. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe (nettoyage des patates douces à l'eau de mer, jeux de pierres, agglutinement pour se protéger de la météo, habituation à la tolérance humaine, etc.), transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient cette évolution culturelle, en s'appuyant sur leur connaissance des dynamiques de…

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Macaques japonais sur l'île de Shodoshima, Japon

CNRS Images,

Our work is guided by the way scientists question the world around them and we translate their research into images to help people to understand the world better and to awaken their curiosity and wonderment.