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David Etasse, médaille de cristal du CNRS 2019. Ingénieur de recherche en électronique, spécialiste en système d’acquisition de données et expert électronicien au Laboratoire de physique corpusculaire de Caen.

Le support des détecteurs de rayonnements gammas utilisé dans le cadre d'expériences sur la structure des noyaux exotiques.

Le support des détecteurs de rayonnements gammas et la chambre de réaction pour des expériences sur la structure des noyaux exotiques.

Poste de contrôle du GANIL, Grand Accélérateur National d'Ions Lourds (Caen).

Le support des détecteurs de rayonnements gammas et la chambre de réaction pour des expériences sur la structure des noyaux exotiques.

Poste de contrôle du GANIL, Grand Accélérateur National d'Ions Lourds (Caen).

Le support des détecteurs de rayonnements gammas, utilisé dans le cadre d'expériences sur la structure des noyaux exotiques.

Le support des détecteurs de rayonnements gammas, utilisé dans le cadre d'expériences sur la structure des noyaux exotiques.

Mise en place des détecteurs de particules dans la chambre à vide du piège à ions du laboratoire. Ces détecteurs permettent la mesure simultanée de l'ion de recul et de l'électron émis lors de la désintégration beta des noyaux piégés.

Photo du quadrupole radiofréquence (RFQ) du piège à ions du laboratoire. Ce dispositif électromagnétique est chargé de ralentir suffisamment les ions provenant de la ligne de faisceau située plus en amont afin de les injecter dans le piège à ions proprement dit.

Dispositif de circulation de gaz employé dans le détecteur de faisceau CLODIA.

Vue du système de commande et contrôle du piège à ions du laboratoire.

Photo du quadrupole radiofréquence (RFQ) du piège à ions du laboratoire. Ce dispositif électromagnétique est chargé de ralentir suffisamment les ions provenant de la ligne de faisceau située plus en amont afin de les injecter dans le piège à ions proprement dit.

Vue générale de l'expérience FULIS au GANIL.

Mise au point d'un amplificateur pour le piège à ions. Cet appareil a été conçu pour délivrer des impulsions de tension en des temps extrêmement brefs (de l'ordre de quelques dizaines de milliardièmes de seconde).

Vue de la cible tournante utilisée lors d'expériences de synthèse de noyaux superlourds (expérience FULIS). Ces noyaux sont des noyaux beaucoup plus lourds que l'Uranium, et leur nombre atomique dépasse les Z=104.

Assemblage du dispositif CLODIA. Il s'agit d'une série de détecteurs gazeux (plaques parallèles à localisation) qui permettent une localisation précise des trajectoires empruntées par les ions contenus dans un faisceau de particules.

Bride d'une chambre à vide.

Dispositif de détection d'électrons (diode silicium) mis en place dans un piège à ions.

Vue générale du multidétecteur DéMoN (Détecteur Modulaire de Neutrons) en configuration "mur" dans une salle d'expérience du GANIL. Ce multidétecteur est constitué de 96 modules indépendants permettant la mesure des neutrons issus des réactions nucléaires.

Vue générale de la ligne du piège à ions.

Vue d'ensemble du dispositif de détection mis en place dans un piège à ions du LPC Caen. On apercoit au premier plan le détecteur d'ions de recul de faible énergie (galette à micro-canaux).

Mesure de la radiofréquence du piège à ions du laboratoire. Celui-ci est en cours de qualification dans le hall d'expériences du laboratoire avant d'être transporté auprès du GANIL (Grand Accélerateur National d'Ions Lourds) pour piéger des ions de basse énergie.

Vue générale de l'implantation du dispositif de détection d'électrons (beta) dans un piège à ions.

Vue du piège à ions (au centre). Ce dispositif électromagnétique utilise les propriétés de champs radiofréquence modulés dans le temps pour piéger les ions (piège de Paul).

Mise en place de la chambre à réaction pour une expérience avec le multidétecteur DéMoN. Dans cette chambre hermétiquement close se trouve la cible sur laquelle un faisceau produit par l'accélérateur (ici le GANIL) vient taper. Il en résulte l'émission d'un grand nombre de produits de réaction dont des particules chargées et neutres (neutrons notamment).

Module électronique au standard VXI (Vme eXtensions for Instrumentation) développé au laboratoire. Il s'agit d'une carte Trigger (déclencheur), servant à piloter l'acquisition des données en temps réel lors d'une expérience au GANIL. Les fréquences d'opération d'un tel dispositif sont de l'ordre du Ghz.

Partie de la ligne de faisceau du piège à ions du LPC Caen.

Vue du piège à ions du laboratoire. On aperçoit au premier plan le dessus de la chambre à vide contenant le piège. Au second plan, on peut voir le quadrupole radiofréquence (RFQ), dont la fonction est de ralentir suffisamment les ions injectés dans la ligne de faisceau pour qu'il soient correctement piégés par la suite.

Vue du piège à ions (au centre). Ce dispositif électromagnétique utilise les propriétés de champs radiofréquence modulés dans le temps pour piéger les ions (piège de Paul).

Vue générale du LPC Caen. Celui-ci se situe sur le campus 2 de l'Université de Caen, dans les locaux de l'ENSICAEN.

Le détecteur Château de cristal. Le détecteur est implanté au GANIL, il comporte 74 scintillateurs en fluorure de baryum verticaux (en rouge). La chambre à réaction est au milieu. Le faisceau entre par la gauche et ressort par la droite pour être analysé par SPEG (GANIL). Le détecteur a servi à la mesure du rayonnement de freinage de l'hélium 6 (Bremstrahlung) sur une cible de proton.

Piège à ions pour leur stockage temporaire avant accélération. La photo montre le piège à ions dans son enceinte à vide. Le faisceau laser entre verticalement par le haut, frappe une cible dans la partie inférieure du tube. Les ions formés sont piégés par la structure filaire en diabolo.

Station d'identification de noyaux exotiques pour SPIRAL. La photo montre une station d'identification qui est installée dans la ligne très basse énergie de SPIRAL à GANIL. Cette station permet d'identifier et de compter les ions radioactifs produits par la source.

Vue des blindages du détecteur DEMON (détecteur modulaire de neutrons). Bombardes contenant chacune un module DEMON et servant à préserver des bruits de fond. L'ensemble entoure la chambre à réaction dans une expérience dans le cadre du programme GEDEON (gestion des déchets par des options nouvelles) à Louvain la Neuve (Belgique).

Vue extérieure du détecteur TONNERRE (Tonneau pour Neutrons Retardés). Photographie montrant les 32 lattes scintillantes lors d'une expérience test avec le carbone 16, le bore 15, l'azote 17. L'ensemble est placé dans la ligne LISE au GANIL.

Vue de l'intérieur du détecteur TONNERRE (Tonneau pour Neutrons Retardés) implanté au GANIL avec ses 32 douves. La photo montre l'arrivée du faisceau sur le tube horizontal à droite.