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Tube contenant le sang d'un patient après ultracentrifugation sur gradient de chlorure de césium. Les virus (anneau blanchâtre dans la partie inférieure transparente) sont ainsi séparés du sang (partie supérieure dans le tube). Les acides nucléiques de ces virus sont ensuite extraits, séquencés et analysés.

Tube contenant le sang d'un patient après ultracentrifugation sur gradient de chlorure de césium. Les virus (anneau blanchâtre dans la partie inférieure transparente) sont ainsi séparés du sang (partie supérieure dans le tube). La fraction virale est ici extraite du tube sous une hotte, à l'aide d'une seringue. Les acides nucléiques de ces virus sont ensuite extraits, séquencés et analysés.

Ultracentrifugation de sang de patients. Les virus vont ainsi migrer en fonction de leur densité dans un gradient de chlorure de césium de façon à être purifiés des autres composants du sang. Ils seront ensuite récupérés et analysés.

Tube contenant le sang d'un patient après ultracentrifugation sur gradient de chlorure de césium. Les virus (anneau blanchâtre dans la partie inférieure transparente) sont ainsi séparés du sang (partie supérieure dans le tube). Le sang est ici collecté et conservé pour des applications ultérieures.

Après ultracentrifugation, les tubes contenant le sang de patients sont récupérés. L'ultracentrifugation sur gradient de chlorure de césium a permis de purifier les virus du sang. La fraction contenant ces virus sera ensuite prélevée pour analyse.

Tube contenant le sang d'un patient après ultracentrifugation sur gradient de chlorure de césium. Les virus (anneau blanchâtre dans la partie inférieure transparente) sont ainsi séparés du sang (partie supérieure dans le tube). Les acides nucléiques de ces virus sont ensuite extraits, séquencés et analysés.

Tube contenant une fraction virale purifiée du sang d'un patient après ultracentrifugation sur un gradient discontinu de chlorure de césium. Les acides nucléiques de ces virus sont ensuite extraits, séquencés et analysés.

Tube contenant le sang d'un patient après ultracentrifugation sur gradient de chlorure de césium. Les virus (anneau blanchâtre dans la partie inférieure transparente) sont ainsi séparés du sang (partie supérieure dans le tube). Les acides nucléiques de ces virus sont ensuite extraits, séquencés et analysés.

Après ultracentrifugation, les tubes contenant le sang de patients sont récupérés. L'ultracentrifugation sur gradient de chlorure de césium a permis de purifier les virus du sang. La fraction contenant ces virus sera ensuite prélevée pour analyse.

Préparation, sous hotte, d'un gradient de densité de chlorure de césium qui servira à purifier un virus des autres composants d'un échantillon de sang.

Filtration de solutions avec un filtre de 0,02 µm pour éliminer les virus et les bactéries qu'elles contiennent. Cette opération, réalisée sous une hotte, vise à rendre ces solutions "virus free" pour d'autres manipulations.

Filtration de solutions avec un filtre de 0,02 µm pour éliminer les virus et les bactéries qu'elles contiennent. Cette opération, réalisée sous une hotte, vise à rendre ces solutions "virus free" pour d'autres manipulations.

Détermination de la résistance de la protéase du VIH aux traitements antirétroviraux, à l'aide de la levure "Saccharomyces cerevisiae". La protéase virale a une action létale sur la levure donc quand elle est inhibée la levure peut croître. Des levures exprimant la protéase virale d'un individu infecté sont étalées sur un support agar. Un disque papier, contenant le principe actif d'un médicament anti-VIH inhibant l'action de la protéase virale, est déposé au centre du support. La taille du…

Détermination de la résistance de la protéase du VIH aux traitements antirétroviraux, à l'aide de la levure "Saccharomyces cerevisiae". La protéase virale a une action létale sur la levure donc quand elle est inhibée la levure peut croître. Des levures exprimant la protéase virale d'un individu infecté sont étalées sur un support agar. Un disque papier, contenant le principe actif d'un médicament anti-VIH inhibant l'action de la protéase virale, est déposé au centre du support. La taille du…

Détermination de la résistance de la protéase du VIH aux traitements antirétroviraux, à l'aide de la levure "Saccharomyces cerevisiae". La protéase virale a une action létale sur la levure donc quand elle est inhibée la levure peut croître. Des levures exprimant la protéase virale d'un individu infecté sont étalées sur un support agar. Trois disques papier, contenant chacun un principe actif d'un médicament anti-VIH inhibant l'action de la protéase virale, sont déposés au centre du support. La…

Détermination de la résistance de la protéase du VIH aux traitements antirétroviraux, à l'aide de la levure "Saccharomyces cerevisiae". La protéase virale a une action létale sur la levure donc quand elle est inhibée la levure peut croître. Des levures exprimant la protéase virale d'un individu infecté sont étalées sur un support agar. Un disque papier, contenant le principe actif d'un médicament anti-VIH inhibant l'action de la protéase virale, est déposé au centre du support. La taille du…

Détermination de la résistance de la protéase du VIH aux traitements antirétroviraux, à l'aide de la levure "Saccharomyces cerevisiae". La protéase virale a une action létale sur la levure donc quand elle est inhibée la levure peut croître. Des levures exprimant la protéase virale d'un individu infecté sont étalées sur un support agar. Un disque papier, contenant le principe actif d'un médicament anti-VIH inhibant l'action de la protéase virale, est déposé au centre du support. La taille du…

Ces minuscules particules de quelques dizaines de nanomètres de diamètre, entourées d'une coquille de calcium, ressemblent à s'y méprendre à des bactéries. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle leurs découvreurs les ont baptisées des nanobactéries. Pourtant, il ne s'agit pas de micro-organismes mais de complexes de minéraux et de protéines dont la fétuine (protéine humaine du sérum sanguin). Ces particules sont responsables de nombreuse maladies, comme la formation des calculs rénaux. Image…

Image de microscopie électronique à balayage (pseudo couleur) de "Acanthamoeba polyphaga mimivirus" (en vert) à la surface de macrophages murins (en rouge). Ce virus, le plus grand actuellement identifié (700 nm), est probablement responsable de pneumonies chez l'homme. Une équipe de chercheurs a découvert une toute nouvelle stratégie d'entrée des virus dans leurs cellules cibles, ce travail permet de montrer que mimivirus infecte les macrophages de la même manière qu'il infecte les amibes.

Spoutnik

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Les nanobactéries, ressemblant à s'y méprendre à des bactéries, ne sont pourtant pas des micro-organismes mais des complexes de minéraux et de protéines. Ces minuscules particules, entourées d'une coquille de calcium, dix fois plus petites que les bactéries, sont responsables de nombreuse maladies, comme la formation des calculs rénaux. Les protéines de fétuine (protéine du sérum sanguin), sont ici révélées (points noirs) par marquage de type immunogold avec des anticorps anti-fétuine,…

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