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De nombreuses ondes partant du foyer "éclairent" le noyau terrestre. Elles combinent des ondes P de type acoustique (en rouge), qui se propagent partout, et des ondes de cisaillement S (en violet), qui ne se propagent pas dans les liquides. Certaines traversent les structures, d'autres sont réfléchies à leur surface.

Exemple de paysage désertique dans le massif de péridotite de Maqsad (OMAN) où l'analyse par imagerie hyperspectrale permet de caractériser les variations minéralogiques et pétrologiques présentes sur le terrain, en dépit de la présence d'un cortex d'altération (contraste entre surface rougeâtre oxydée et intérieur frais de la roche) (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Enregistrement graphique d'un séisme pyrénéen de faible magnitude. Les mouvements du sol détectés par un sismomètre dans la grotte CNRS de Moulis (Ariège) sont transmis via une ligne téléphonique spécialisée à Toulouse, où ils sont retranscrits en continu sur papier (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Un théoricien au travail : papier, crayon, ordinateur et livres. Sur l'écran un mode gravito-inertiel tel qu'il peut en exister dans les étoiles ou les planètes en rotation rapide (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Sur l'écran un mode gravito-inertiel tel qu'il peut en exister dans les étoiles ou les planètes en rotation rapide (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Carte d'implantation des stations de surveillance sismique des Pyrénées. L'activité sismique de la chaîne pyrénéenne, située à la frontière entre 2 plaques tectoniques, fait l'objet d'une surveillance continue par une quarantaine de stations, dont la moitié dépend de l'Observatoire Midi-Pyrénées. Gros plan sur la région Cerdagne-Capcir-Conflent (Pyrénées-Orientales) (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Carte d'implantation des stations de surveillance sismique des Pyrénées. L'activité sismique de la chaîne pyrénéenne, située à la frontière entre 2 plaques tectoniques, fait l'objet d'une surveillance continue par une quarantaine de stations, dont la moitié dépend de l'Observatoire Midi-Pyrénées (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Enregistrement graphique d'un séisme pyrénéen de faible magnitude. Les mouvements du sol détectés par un sismomètre dans la grotte CNRS de Moulis (Ariège) sont transmis via une ligne téléphonique spécialisée à Toulouse, où ils sont retranscrits en continu sur papier (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Enregistrement graphique d'un séisme pyrénéen de faible magnitude. Les mouvements du sol détectés par un sismomètre dans la grotte CNRS de Moulis (Ariège) sont transmis via une ligne téléphonique spécialisée à Toulouse, où ils sont retranscrits en continu sur papier (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Sismomètre trois composantes à courte période d'oscillation. Ce type de capteur est particulièrement adapté à l'étude de la sismicité locale. Les trois composantes permettent de reconstituer le mouvement du sol en trois dimensions (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Enregistrements d'un séisme lointain par les stations du Réseau Sismologique des Pyrénées (O.M.P. - UMR 5562). La sensibilité des appareils permet de détecter les vibrations engendrées non seulement par les événements régionaux, mais aussi par des séismes survenus sur l'ensemble du globe (ici, un séisme indonésien) (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Vue complète de la cible de basalte (200mm x 200mm) à laquelle se rapporte la vue macro mentionnée ci-dessus (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Sur l'écran au mode inertiel singulier : ce sont les oscillations d'un fluide en rotation lorsque le conteneur est une coquille sphérique : tel le noyau liquide de la Terre (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Sur l'écran au mode inertiel singulier : ce sont les oscillations d'un fluide en rotation lorsque le conteneur est une coquille sphérique : tel le noyau liquide de la Terre (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Exemple de paysage désertique dans le massif de péridotite de Maqsad (OMAN) où l'analyse par imagerie hyperspectrale permet de caractériser les variations minéralogiques et pétrologiques présentes sur le terrain, en dépit de la présence d'un cortex d'altération (contraste entre surface rougeâtre oxydée et intérieur frais de la roche) (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Enregistrements d'un séisme lointain par les stations du Réseau Sismologique des Pyrénées (O.M.P. - UMR 5562). La sensibilité des appareils permet de détecter les vibrations engendrées non seulement par les événements régionaux, mais aussi par des séismes survenus sur l'ensemble du globe (ici, un séisme indonésien) (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Chaîne d'acquisition sismologique. A droite, un sismomètre courte-période ; à gauche, le système d'acquisition numérique portable associé (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Détail de la chaîne d'acquisition d'une station sismologique. Au premier plan, le sismomètre est le capteur mécanique qui détecte les mouvements du sol et les convertit en courant électrique. A l'arrière-plan, le système d'acquisition numérique transforme le signal analogique issu du sismomètre en signal numérique ; il comprend également une unité de sauvegarde qui permet de stocker in situ de gros volumes de données (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Exemple de paysage désertique dans le massif de péridotite de Maqsad (OMAN) où l'analyse par imagerie hyperspectrale permet de caractériser les variations minéralogiques et pétrologiques présentes sur le terrain, en dépit de la présence d'un cortex d'altération (contraste entre surface rougeâtre oxydée et intérieur frais de la roche) (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Vue macro sur des inclusions d'olivine (en vert) présentes dans la matrice basaltique (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Exemple de surface planétaire rocheuse hétérogène. Un échantillon de basalte frais, riche en olivine est réduit en fragments rocheux et en poudre de granulométrie variable afin de simuler une surface naturelle rugueuse et d'étudier son comportement photométrique (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).

Mise en place de la cible rocheuse sous le faisceau solaire incident capté par le coelostat, utilisé comme source de lumière pour l'imageur spectral (Réf. Le Journal du CNRS Juillet/Aout 2000).