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Campement de l’opération Ice Memory, durant laquelle un carottage profond a été réalisé au col du dôme du Goûter (4 250 m), dans le massif du Mont-Blanc. Les études glaciologiques conduites depuis 25 ans par des chercheurs de l’Institut des géosciences de l'environnement (IGE) et de l’Institute of geography (Russie), sur ce glacier situé à 4 300 m d’altitude révèlent que son épaisseur est restée quasiment inchangée malgré le fort réchauffement du climat au cours des dernières décennies, alors…

Forage à eau chaude à 135 m de profondeur au col du dôme du Goûter (4 250 m), massif du Mont-Blanc, pour installer des capteurs de températures en profondeur. Les études glaciologiques conduites depuis 25 ans par des chercheurs de l’Institut des géosciences de l'environnement (IGE) et de l’Institute of geography (Russie), sur ce glacier situé à 4 300 m d’altitude révèlent que son épaisseur est restée quasiment inchangée malgré le fort réchauffement du climat au cours des dernières décennies,…

Les chercheurs du laboratoire de glaciologie, en train de réaliser un carottage au sommet du Mont-Blanc, en 2005. Les glaciers alpins situés au dessus de 4 200 m, comme le sommet du Mont Blanc (4 810 m) ou le Dôme du Goûter (4 300 m), son contrefort, ont vu l'accumulation de neige à leur sommet rester quasi-constante depuis 100 ans. Ces masses glaciaires ne sont pas encore affectées par le réchauffement climatique sauf lors d'épisodes exceptionnels comme par exemple lors de la canicule de 2003.

Les chercheurs du laboratoire de glaciologie, en train de réaliser un carottage au sommet du Mont-Blanc, en 2005. Les glaciers alpins situés au dessus de 4 200 m, comme le sommet du Mont Blanc (4 810 m) ou le Dôme du Goûter (4 300 m), son contrefort, ont vu l'accumulation de neige à leur sommet rester quasi-constante depuis 100 ans. Ces masses glaciaires ne sont pas encore affectées par le réchauffement climatique sauf lors d'épisodes exceptionnels comme par exemple lors de la canicule de 2003.

Les chercheurs du laboratoire de glaciologie, en train de réaliser un carottage au sommet du Mont-Blanc, en 2005. Les glaciers alpins situés au dessus de 4 200 m, comme le sommet du Mont Blanc (4 810 m) ou le Dôme du Goûter (4 300 m), son contrefort, ont vu l'accumulation de neige à leur sommet rester quasi constante depuis 100 ans. Ces masses glaciaires ne sont pas encore affectées par le réchauffement climatique sauf lors d'épisodes exceptionnels comme par exemple lors de la canicule de 2003.

Les chercheurs du laboratoire de glaciologie, en train de réaliser un carottage au sommet du Mont-Blanc, en 2005. Les glaciers alpins situés au dessus de 4 200 m, comme le sommet du Mont Blanc (4 810 m) ou le Dôme du Goûter (4 300 m), son contrefort, ont vu l'accumulation de neige à leur sommet rester quasi-constante depuis 100 ans. Ces masses glaciaires ne sont pas encore affectées par le réchauffement climatique sauf lors d'épisodes exceptionnels comme par exemple lors de la canicule de 2003.

Mont-Blanc 2005. Les glaciers alpins situés au dessus de 4 200 m, comme le sommet du Mont Blanc (4 810 m) ou le Dôme du Goûter (4 300 m), son contrefort, ont vu l'accumulation de neige à leur sommet rester quasi-constante depuis 100 ans. Ces masses glaciaires ne sont pas encore affectées par le réchauffement climatique sauf lors d'épisodes exceptionnels comme par exemple lors de la canicule de 2003.

Mesures de vitesses d'écoulement du glacier par des observations GPS à la surface du glacier d'Argentière, dans le cadre du service d'observation Glacioclim-Alpes géré par le Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'Environnement. Les glaciers alpins sont considérés comme des indicateurs importants du réchauffement climatique et leur régression a commencé au début du XIXe siècle, soit à la fin du Petit Âge de glace, qui s'est étendu sur plusieurs siècles. Tout au long du XXe siècle, l…

Bassin d'accumulation de la Mer de Glace (Massif du Mont Blanc). Les glaciers alpins sont considérés comme des indicateurs importants du réchauffement climatique et leur régression a commencé au début du XIXe siècle, soit à la fin du Petit Âge de glace, qui s'est étendu sur plusieurs siècles. Tout au long du XXe siècle, l'épaisseur des quatre glaciers français (Argentière, Mer de Glace, Gébroulaz et Saint Sorlin) a été mesurée.